Tous ces fats qui ruinent mon pays…
Le dernier épisode de ce feuilleton inimitable et
interminable, c’était la semaine dernière : « Michou-Barre-niée »
présentait son budget pour 2025 !
Le truc préparé sans lui durant tout l’été où il n’y avait plus de « sinistre » de plein exercice, juste des meks et des nanas qui passaient par là pour profiter de la voiture de fonction (avec chauffeurs, s’il vous plait … On n’a que les petits plaisirs qu’on peut s’offrir…)
Il lui aura toute de même fallu une bonne quinzaine pour savoir à peu près ce qu’il y avait dedans, au moins assez pour une faire une présentation convaincante, même s’il a tout faux en répétant bêtement ce que son cabinet – qui n’en savait pas plus – a bien voulu lui en raconter…
Le temps est vraiment révolu où « Giscard-A-la-Barre » en faisait la présentation orale détaillée durant plusieurs heures et sans une note devant lui…
Mais ce n’est pas sujet…
Ce qui reste intéressant, bien évidemment, ce sont
tous ses fats qui savent mieux que tout le monde tout ce qu’il faut en penser
et surtout se précipitent, sans l’avoir lu pour vous expliquer pourquoi il faut
être contre !
Sans l’avoir lu, hein…
Moâ, ça, j’adore…
Déjà qu’en le lisant, il n’est pas évident de se faire une opinion éclairée, c’est vous dire si j’admire…
De toute façon, il aurait raconté n’importe quoi d’autre, il y aurait glissé sa recette des gnocchis-à-la-romaine (ou celle de ma grand-mère), les réactions auraient été les mêmes.
Par principe : Tout le monde aurait été contre !
Que des faux-kul, des faux-derches. Des politicards
dont le métier c’est de concourir au Bal des hypocrites et décrocher la
médaille d’or en toutes circonstances…
Ils en pensent que c’est la seule façon de se faire élire pour user de la voiture avec chauffeur (il n’y a que les petits-plaisirs qu’on peut s’offrir qui comptent) en baratinant le chaland d’électeur… Le côté pervers de la démocratie élective !
Car, n’est-ce pas magnifique, si tout le monde est contre, personne jamais ne propose rien.
Et quand on les aura mis à la place de « Barre-niée » avant d’avoir recours à ce dernier, ils avaient les pleins pouvoirs pour faire et finalement ils ont si bien réussi à ruiner tout le monde qu’ils se sont faits salement virer alors que désormais ils ont la solution à tous les problèmes qu’ils auront généré !
Fabuleux vous dis-je !
De toute façon, c’est même pire que ça, puisque la
presse était déjà prête avant même que « Barre-niée » n’annonce ce
budget, déclarations et tous les articles de presse exactement comme lors du
décès d’une personne connue dont la nécrologie était déjà toute prête à être
servie au « bon peuple » sitôt le dernier souffle rendu !
Là, il s’agit d’un grand moment pour les politiques de tous bords pour se faire remarquer en « défendant » les « Gauloisiens-olympiques » mieux que quiconque justement en vue des prochaines élections.
Aucun débat de fond bien sûr et aucun sens du bien commun ni de l’intérêt général.
Des « politicards de m… » (étron), rien de plus…
Alors on aura plus d’impôt que prévu et qu’annoncé.
Plutôt 25 milliards d’euros que 20 comme annoncé la veille (ou l’avant-veille,
parce que bon… on improvise un peu tout de même).
Un effort global de 60 milliards que le Haut Conseil des finances publiques, qui n’a de Haut que le nom pour être perché en haut de l’escalier, conteste déjà avec un chiffre plutôt proche de 42 milliards d’euros.
De toute façon, personne ne sait compter dans ce pays, pas plus « en haut » qu’en bas ou à la cave.
On était à 5,1 % de déficit, en 15 jours on dépasse les 6 % !
On nous raconte qu’on a 3.228,4 milliards de dette sur le dos, mais chacun sait que c’est faux : Ça change tout le temps Compteur de la dette publique française pour 2024 Dette publique par ménage de la France » Dettepublique.fr.
On s’attend à au moins 3.300 milliards de dette en fin d’année, pour un PIB de probablement de l’ordre de 2.850 milliards.
Spectacle pathétique de cette comédie humaine inépuisable.
Chacun dans son rôle.
Où vous verrez que ceux qui seront les plus critiques sont ceux qui ont déjà été à la manœuvre et n’ont jamais rien fait pour nos finances publiques, et ceux qui ne comprennent rien à l’économie et sont obsédés par leur élection.
Vous ferez le tri vous-mêmes.
Et puis les question débiles : Ce budget est-il « juste »
? Bien sûr que non.
Aucun budget de « crise », et nous sommes en crise, ne peut être juste.
Est-il parfait ? Évidemment que non et loin de là. Mais aucun budget de « crise » ne peut être parfait.
Sera-t-il efficace ? Oui et non, comme d’habitude. Mais peut-être que ça va permettre d’arrêter la course folle de nos dépenses publiques qui nous a menés dans le mur.
On peut confirmer ce que beaucoup anticipaient : Seront
préservés le crédit impôt retraite, le Dutreil, et la « flat tax » qui
ne seront probablement pas affectés.
Et le barème de l’impôt sera probablement indexé sur l’inflation (avec un petit décalage habituel) Mais pas forcément les pensions et retraites, pas plus que les traitements dans la fonction publique (ou seulement avec retard, c’est comme ça depuis toujours).
En revanche, il y aura un taux plancher de 20 % sur les très hauts revenus, une hausse des taxes sur l’électricité qui vient après le bouclier tarifaire, une hausse des taxes sur les billets d’avion, une baisse des avantages fiscaux de la location meublée et puis quelques autres mesures en sus.
On parle même du retour de la taxe d’habitation, comme de l’ISF ancienne formule, mais sous un autre forme, une autre dénomination : Là, ce n’est pas encore écrit, mais ne vous en faites pas… ils y songent à détricoter les innovations coûteuses de « Jupiter »…
Et pour les entreprises, une taxation des rachats d’actions
(avec de l’argent déjà taxé à l’IS, il ne faut pas oublier), une hausse des
cotisations sociales sur les bas salaires pour les employeurs, des cotisations
sociales sur les primes « Jupiter » et enfin une surtaxe sur les
bénéfices pour les grandes entreprises qui devraient rapporter 8 milliards d’euros.
Je suis comme d’autre : J’en doute, mais admettons.
Car l’État soutient toujours l’investissement dans les PME, avec une réduction de 18 % en contrepartie d’un blocage de 5 ans minimum et la réduction passe à 30 % avec les FIP Corses. Trop drôle : On n’a pas eu d’incendie, cette année, pourtant…
Et bien sûr, l’État continue et continuera donc à soutenir les épargnants qui capitalisent pour leur retraite, avec les versements sur le Plan d’Épargne Retraite déductibles de vos revenus imposables : C’est de l’argent gratuit qui fondra comme neige au soleil au fil du temps…
Et curieusement, on ne touche pas à deux vaches à lait dont l’utilité n’a jamais été formidable pour être largement détournées : La formation professionnelle financée par les entreprises (que vous retrouver dans votre assiette en bout de chaîne) et le crédit d’impôt recherche (où je n’ai jamais vu que des abus…)
Attention toutefois aux plafonds de déductions, et si
vous faites partie des « chanceux » qui gagnent plus de 500.000 € (pour un
couple), et au nouveau taux plancher de 20 %. Il s’agit du « revenu fiscal
de référence » qui n’est pas la base imposable à l’IR : Il faut
notamment rajouter les revenus exonérés d’impôt (par exemple, certains
pourboires perçus en 2023 ou 2024 ou la rémunération du salarié détaché à l’étranger),
certains revenus soumis à un prélèvement libératoire (par exemple, les revenus
des capitaux mobiliers), certains abattements et réductions forfaitaires ou
proportionnelles appliquées sur la base de calcul d’un impôt (revenus, valeur d’un
bien, etc.) déductibles (par exemple, abattement de 40 % sur les dividendes) et
certaines charges déductibles du revenu (par exemple, cotisations et primes d’épargne-retraite
déduites du revenu global) plus les plus-values immobilières taxables.
Ça élargit un peu la démographie des personnes visées, mais en réalité, de 65.000 annoncées, il semble qu’on se précipite plutôt vers 42.000 foyers impactés : Une nouvelle formule de l’ISF, quoi !
L’objectif est de ramener le déficit à 5 % du PIB l’an
prochain (alors que personne n’a encore imaginé qu’il fallait augmenter ledit
PIB en encourageant la performance) et de passer sous les 3 % en 2029.
Là encore, on nage en plein délire : L’important, ce n’est pas de « fabriquer » encore du déficit qui ne viendra que s’agréger aux dettes antérieurement accumulées, c’est de réduire l’endettement public.
Autrement dit, arrêter de financer à perte un modèle qui ne fonctionne même pas de façon satisfaisante…
Encore, s’endetter pour investir, comme à Monaco, je veux bien, mais faire de la dette « alimentaire » (les fins de mois), il y a un moment où ça n’est plus possible : Même le Coran l’interdit !
Ce n’est donc pas vraiment nouveau…
Dans le détail « Barre-niée » cherche 60
milliards d’euros en 2025.
Et on nous aura annoncé environ 20 milliards de hausse de la fiscalité et 40 milliards de dépenses publiques en moins, dont environ 20 milliards sur les budgets des ministères, 5 milliards sur les dotations de l’État aux collectivités locales et 15 milliards sur les dépenses sociales et de santé (prévues par le projet de loi de finances de la Sécurité sociale), dont des retraites ponctionnées et des cotisations sociales alourdies.
Va-t-on faire comme « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui avait baptiser « économies » ce qu’il se retenait de dépenser en votre nom, avec pourtant des budgets de dépenses en augmentation ?
Chez moi, « économie » c’est uniquement « pas de dépense » (en tout cas pas celle-là qui reste superflue), « non-essentielle »…
Mais je ne dois pas être né sur la bonne planète !
65.000 ménages les plus riches, sont donc visés pour
être déjà assujettis à la surtaxe d’impôt sur les plus fortunés, soit « 0,3 %
des foyers ». Sauf que finalement, comme on vient de le dire, ils seront
probablement moins nombreux et que pendant une période « temporaire » de trois
ans – au lieu de deux initialement évoqués –, l’impôt sur le revenu de ces
ménages sera relevé afin de garantir qu’ils sont imposés à un taux moyen
minimum de 20 %, ce qui éliminera donc pour eux le bénéfice de divers
abattements fiscaux.
Objectif : 2 milliards d’euros de recettes supplémentaires.
400 entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse 1
milliard d’euros seront soumises à une surtaxe d’impôt sur les bénéfices, qui
s’appliquera sur les années 2024 et 2025. La contribution correspond à 20,6 %
de l’impôt sur les sociétés 2024 pour les entreprises dont le chiffre
d’affaires est compris entre 1 et 3 milliards, et de 41,2 % pour celles qui
dépassent 3 milliards.
Une mesure qui devrait rapporter 8 milliards par an.
Là, franchement, je me marre : Les « hypermarchés » milliardaires (en chiffre d’affaires) avec les fermetures et la disparition d’enseigne, emporte plusieurs centaines d’emplois et se battent pour des « pouillèmes » de marge.
Je vous annonce qu’il va y avoir des morts avec cette mesure : Casino, c’est fait, les prochains sont « Au-champs » et « Carrouf’ » et c’est encore le consommateur qui finalement va payer plus cher son quart de boîte de ravioli…
Une surtaxe frappera aussi les bénéfices des gros
armateurs, qui devrait rapporter 500 millions en 2025 et 300 millions en 2026.
On n’en a pas beaucoup, ils envisagent déjà qu’on en aura 40 % de moins l’année suivante.
Et de toute façon, si ce sont ces entreprises qui décaissent ces nouveaux impôts, ne vous en faites pas, pour survivre, elles devront vous le faire payer jusque dans vos assiettes !
Même choses pour ces entreprises qui paieront
davantage de cotisations patronales. Cette mesure doit rapporter environ 5
milliards d’euros.
Autres aides dans le collimateur, celles pour l’embauche des apprentis, réduites de 1,2 milliard, avec notamment dans les tuyaux une possible diminution de la prime à l’embauche, qui pourrait passer de 6.000 euros actuellement à 4.500 euros.
Toujours côté entreprises, il est prévu d’annuler la baisse des impôts de production (CVAE), ce qui permettra de continuer à percevoir 1,1 milliard d’euros.
Probablement un impôt parmi les plus difficiles à exporter dans les ventes de nos entreprises confrontées à l’international : Elles fileront produire ailleurs…
Enfin, on l’a dit, le gouvernement veut taxer les rachats d’actions et ponctionner un dividende de 2 milliards d’EDF.
Ça c’est assez drôle : C’est lui l’actionnaire… Il pique dans la poche gôche ce qui devait lui revenir dans la poche droâte…
J’avoue que le mek qui a eu cette idée-là, il doit avoir une médaille olympique du délire fiscal…
C’est un peu comme si le prince de Monaco taxait les gains de ses propres casinos…
Mais il y a aussi des « perdants »… d’emblée
et avant même de rentrer dans l’assiette du pique-nique méridien : Les 17
millions de retraités, qui devront se serrer la ceinture six mois en raison du
décalage de la revalorisation des pensions de retraite, du 1er janvier
2025 au 1er juillet.
Ça c’est de la bonne dépense qui n’existera pas, une vraie économie pour tout le monde !
Gain attendu pour les comptes de la Sécu : 3,6 milliards d’euros !
Mais aussi la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité va également augmenter.
Ce qui pourrait entraîner une hausse des factures pour les 6 à 8 millions de ménages qui ne sont pas au tarif réglementé. Pour les autres, l’effet devrait être plus qu’amorti par la diminution du tarif réglementé, prévue le 1er février, avec une garantie de baisse de leur facture globale de 9 %.
Les passagers des avions et les acheteurs de voitures
vont devoir payer plus pour la même chose.
Moâ je m’en contre-cogne le coquillard (et les roubignoles dans le même geste : « Sœur-Âne » m’aura fait changer mon gros « tas-de-boue-à-roulettes » au gasoil contre un petite-chiotte polluante : Si je survis jusque-là, je passe à l’hydrogène blanc dès qu’il est distribué en Balagne (« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») parce que rouler au nucléaire, ils ne savent pas faire dans l’île de beauté : Ce sont des centrales au gaz ou au fioul lourd…
Le gouvernement compte prélever un milliard d’euros supplémentaire sur le transport aérien, soit le double de ce que rapporte actuellement la taxe sur les billets d’avion, dite « de solidarité », qui serait donc nettement augmentée d’autant.
Elle sera intégralement répercutée sur le tarif des billets (comme le reste), selon les compagnies, et frappera aussi bien les jets privés (ça, c’est moche pour les super-riches) que les vols courts et longs courriers.
Par ailleurs, les acquéreurs de voitures neuves les plus polluantes pourraient voir augmenter le bonus/malus automobile, dit écotaxe, qui est appliquée à l’achat des véhicules les plus émetteurs de CO2.
Côté dépense, parce que c’est un mixte, va y avoir comme
un grand coup de rabot pour certains ministères : Total de 21,5 milliards !
Parmi les plus fortes coupes, l’aide au développement (des pays en voie de
développement comme la Chine, par exemple ?), les crédits du plan de
relance ou encore la mission Travail et emploi.
Sans oublier l’Éducation, où près de 4.000 postes d’enseignants seront supprimés en 2025, dont 3.800 dans le primaire. En revanche 2.000 postes d’accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) seront créés.
C’est la faute à faire moins de gamin…
Les collectivités locales seront mises à
contribution : Le gouvernement va leur imposer une cure de vrai amaigrissements
à hauteur de 5 milliards d’euros, en réduisant leurs dotations, auquel s’ajoute
la baisse du « fonds vert » que déjà ils ne sont pas d’accord.
Le principal dispositif est un fonds d’épargne qui serait imposé aux 450 « plus grosses » collectivités, pour un coup de frein de 2,8 milliards d’euros sur la dépense.
Je sens que « Sœur-Âne », qui a l’habitude de nous faire payer pour tous les autres tout en râlant pour le principe, va finir par en perdre sa bonne humeur légendaire d’avoir organisé les JO à « Paris-Olympique » en faisant caguer ses électeurs.
Autre annonce, un gel de la revalorisation annuelle des recettes de TVA touchées par les collectivités pour une économie avoisinant 1,3 à 1,5 milliard d’euros. La troisième mesure proposée par l’État pèserait sur le fonds qui sert normalement à compenser la TVA acquittée par les collectivités (bé oui, elles ne sont pas assujetties, alors elles payent sans récupérer).
Ce qui devrait rapporter 800 millions d’euros.
Ah et puis l’écolologie. Parmi les coupes de dépenses,
d’un total de 1,9 milliard, figurent des baisses de l’enveloppe de MaPrimeRénov
(1 milliard en moins), de la prime à l’achat de voitures électriques (500
millions de moins) et du fonds vert pour les collectivités, qui doit accélérer
la transition écolologique dans les territoires, réduit de 1,5 milliard (par
rapport au projet de loi de finances 2024), ainsi qu’une hausse de la TVA sur
les chaudières à gaz.
Sera aussi alourdie l’éco-lolo-taxe (malus pour l’achat de voitures les plus polluantes) de 300 millions.
Où les recettes de la fiscalité punitive (tabac, pétrole, alcool…)
Bercy compte aussi freiner la trajectoire de dépenses
d’assurance maladie dont on sait déjà qu’elles vont progresser de 2,8 %, en
2025. Et ainsi économiser 3,8 milliards d’euros.
La modération des dépenses passera notamment par le relèvement du ticket modérateur (la partie non remboursée par la Sécu) sur les médecins et sage-femmes qui passerait de 30 à 40 %. Le gouvernement espère ainsi économiser 1,1 milliard d’euros.
Cette décision touchera directement les mutuelles qui remboursent le reste à charge… donc ils revoient leurs tarifs de cotisation, parce qu’au final, c’est toujours vous qui payez (soit directement, soit par puissance-publique interposée).
Si on ajoute à cela la revalorisation des
consultations (30 euros pour un généraliste, contre 26,50 actuellement),
effective à partir de décembre, ces évolutions pourraient coûter 1,2 milliard
d’euros aux assureurs. Sans compter que le projet de budget prévoit aussi la
baisse du plafond de prise en charge des indemnités journalières (600 millions
d’euros) de 1,8 à 1,4 smic.
Vient ensuite la maîtrise du prix des produits de santé, comme les prothèses ou les machines pour l’apnée du sommeil (1,2 milliard… Ma chère « machine à rêve »…).
Par ailleurs, le reste à charge des assurés lors des consultations médicales et les examens de radiologie et de biologie, qui avait déjà été doublé et passé à deux euros le 15 mai (hors de prix, n’est-ce pas), « continuera à monter en charge », précise Bercy, avec l’objectif d’encaisser 300 millions d’économies supplémentaires.
Attend, là : Tu vois le langage !
J’encaisse des économies…
Je ne sais pas, mais chez moâ, je ne décaisse justement pas ce que j’économise…
Passons.
Le barème de l’impôt sur le revenu sera une revalorisé
de 2 % alors que l’inflation prévue ne situera qu’autour de 1,8 %.
En conséquence, la revalorisation permet à chaque foyer redevable de l’impôt de bénéficier d’un microscopique allègement fiscal supplémentaire.
L’entrée dans la première tranche à 11 % se ferait désormais à partir de 11.520 euros par part fiscale au lieu de 11.497 euros. Au programme : une économie potentielle de dizaines, voire de centaines d’euros par ménage en fonction de leur niveau de revenu. Mais ça commence à 15 euros sur un an…
Et au total, sur les 18 millions de foyers fiscaux de « Gauloisie-olympique », cette mesure pourrait engendrer un manque à gagner de plusieurs centaines de millions d’euros pour les caisses de l’État.
Cependant, la situation pourrait évoluer rapidement. En effet, le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, présenté au Conseil des ministres, doit désormais être débattu au Parlement. Les députés et sénateurs ont la possibilité de corriger cette revalorisation jugée trop généreuse lors des discussions législatives à venir, et donc d’augmenter nos impôts.
Bref, ce n’est probablement pas comme ça qu’il
faudrait faire, mais ce n’est pas à tous ceux qui s’y ont essayé avant et qui n’ont
réussi qu’à faire empirer les choses et la situation de faire la leçon.
Pas plus que tous ceux qui étaient contre tout, y compris le « quoiqu’il en coûte » et qui s’en sont tout de même gavés…
Il faut savoir rester logique et cohérent avec soi-même pour avoir le droit de l’ouvrir.
Aussi, même si je dis que ce n’est probablement pas la meilleure façon de faire face, et que ça peut être améliorer, ça a tout de même le mérite d’exister et globalement, on ne peut guère faire mieux sans « tout casser »…
Alors, bonne chance à « Barre-niée » : Après tout, il doit être le seul qui n’a pas demandé à y aller et… à ne pas renoncer devant l’obstacle comme tous les autres durant des semaines et des semaines où ils se sont tous couverts de ridicule à des titres divers !
Eux continuent de me faire rire.
Mais à tôa, « Michou », bonne chance, garçon :
Prend soin de toâ et tiens bon le cap !
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Le truc préparé sans lui durant tout l’été où il n’y avait plus de « sinistre » de plein exercice, juste des meks et des nanas qui passaient par là pour profiter de la voiture de fonction (avec chauffeurs, s’il vous plait … On n’a que les petits plaisirs qu’on peut s’offrir…)
Il lui aura toute de même fallu une bonne quinzaine pour savoir à peu près ce qu’il y avait dedans, au moins assez pour une faire une présentation convaincante, même s’il a tout faux en répétant bêtement ce que son cabinet – qui n’en savait pas plus – a bien voulu lui en raconter…
Le temps est vraiment révolu où « Giscard-A-la-Barre » en faisait la présentation orale détaillée durant plusieurs heures et sans une note devant lui…
Mais ce n’est pas sujet…
Sans l’avoir lu, hein…
Moâ, ça, j’adore…
Déjà qu’en le lisant, il n’est pas évident de se faire une opinion éclairée, c’est vous dire si j’admire…
De toute façon, il aurait raconté n’importe quoi d’autre, il y aurait glissé sa recette des gnocchis-à-la-romaine (ou celle de ma grand-mère), les réactions auraient été les mêmes.
Par principe : Tout le monde aurait été contre !
Ils en pensent que c’est la seule façon de se faire élire pour user de la voiture avec chauffeur (il n’y a que les petits-plaisirs qu’on peut s’offrir qui comptent) en baratinant le chaland d’électeur… Le côté pervers de la démocratie élective !
Car, n’est-ce pas magnifique, si tout le monde est contre, personne jamais ne propose rien.
Et quand on les aura mis à la place de « Barre-niée » avant d’avoir recours à ce dernier, ils avaient les pleins pouvoirs pour faire et finalement ils ont si bien réussi à ruiner tout le monde qu’ils se sont faits salement virer alors que désormais ils ont la solution à tous les problèmes qu’ils auront généré !
Fabuleux vous dis-je !
Là, il s’agit d’un grand moment pour les politiques de tous bords pour se faire remarquer en « défendant » les « Gauloisiens-olympiques » mieux que quiconque justement en vue des prochaines élections.
Aucun débat de fond bien sûr et aucun sens du bien commun ni de l’intérêt général.
Des « politicards de m… » (étron), rien de plus…
Un effort global de 60 milliards que le Haut Conseil des finances publiques, qui n’a de Haut que le nom pour être perché en haut de l’escalier, conteste déjà avec un chiffre plutôt proche de 42 milliards d’euros.
De toute façon, personne ne sait compter dans ce pays, pas plus « en haut » qu’en bas ou à la cave.
On était à 5,1 % de déficit, en 15 jours on dépasse les 6 % !
On nous raconte qu’on a 3.228,4 milliards de dette sur le dos, mais chacun sait que c’est faux : Ça change tout le temps Compteur de la dette publique française pour 2024 Dette publique par ménage de la France » Dettepublique.fr.
On s’attend à au moins 3.300 milliards de dette en fin d’année, pour un PIB de probablement de l’ordre de 2.850 milliards.
Spectacle pathétique de cette comédie humaine inépuisable.
Chacun dans son rôle.
Où vous verrez que ceux qui seront les plus critiques sont ceux qui ont déjà été à la manœuvre et n’ont jamais rien fait pour nos finances publiques, et ceux qui ne comprennent rien à l’économie et sont obsédés par leur élection.
Vous ferez le tri vous-mêmes.
Aucun budget de « crise », et nous sommes en crise, ne peut être juste.
Est-il parfait ? Évidemment que non et loin de là. Mais aucun budget de « crise » ne peut être parfait.
Sera-t-il efficace ? Oui et non, comme d’habitude. Mais peut-être que ça va permettre d’arrêter la course folle de nos dépenses publiques qui nous a menés dans le mur.
Et le barème de l’impôt sera probablement indexé sur l’inflation (avec un petit décalage habituel) Mais pas forcément les pensions et retraites, pas plus que les traitements dans la fonction publique (ou seulement avec retard, c’est comme ça depuis toujours).
En revanche, il y aura un taux plancher de 20 % sur les très hauts revenus, une hausse des taxes sur l’électricité qui vient après le bouclier tarifaire, une hausse des taxes sur les billets d’avion, une baisse des avantages fiscaux de la location meublée et puis quelques autres mesures en sus.
On parle même du retour de la taxe d’habitation, comme de l’ISF ancienne formule, mais sous un autre forme, une autre dénomination : Là, ce n’est pas encore écrit, mais ne vous en faites pas… ils y songent à détricoter les innovations coûteuses de « Jupiter »…
Je suis comme d’autre : J’en doute, mais admettons.
Car l’État soutient toujours l’investissement dans les PME, avec une réduction de 18 % en contrepartie d’un blocage de 5 ans minimum et la réduction passe à 30 % avec les FIP Corses. Trop drôle : On n’a pas eu d’incendie, cette année, pourtant…
Et bien sûr, l’État continue et continuera donc à soutenir les épargnants qui capitalisent pour leur retraite, avec les versements sur le Plan d’Épargne Retraite déductibles de vos revenus imposables : C’est de l’argent gratuit qui fondra comme neige au soleil au fil du temps…
Et curieusement, on ne touche pas à deux vaches à lait dont l’utilité n’a jamais été formidable pour être largement détournées : La formation professionnelle financée par les entreprises (que vous retrouver dans votre assiette en bout de chaîne) et le crédit d’impôt recherche (où je n’ai jamais vu que des abus…)
Ça élargit un peu la démographie des personnes visées, mais en réalité, de 65.000 annoncées, il semble qu’on se précipite plutôt vers 42.000 foyers impactés : Une nouvelle formule de l’ISF, quoi !
Là encore, on nage en plein délire : L’important, ce n’est pas de « fabriquer » encore du déficit qui ne viendra que s’agréger aux dettes antérieurement accumulées, c’est de réduire l’endettement public.
Autrement dit, arrêter de financer à perte un modèle qui ne fonctionne même pas de façon satisfaisante…
Encore, s’endetter pour investir, comme à Monaco, je veux bien, mais faire de la dette « alimentaire » (les fins de mois), il y a un moment où ça n’est plus possible : Même le Coran l’interdit !
Ce n’est donc pas vraiment nouveau…
Et on nous aura annoncé environ 20 milliards de hausse de la fiscalité et 40 milliards de dépenses publiques en moins, dont environ 20 milliards sur les budgets des ministères, 5 milliards sur les dotations de l’État aux collectivités locales et 15 milliards sur les dépenses sociales et de santé (prévues par le projet de loi de finances de la Sécurité sociale), dont des retraites ponctionnées et des cotisations sociales alourdies.
Va-t-on faire comme « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui avait baptiser « économies » ce qu’il se retenait de dépenser en votre nom, avec pourtant des budgets de dépenses en augmentation ?
Chez moi, « économie » c’est uniquement « pas de dépense » (en tout cas pas celle-là qui reste superflue), « non-essentielle »…
Mais je ne dois pas être né sur la bonne planète !
Objectif : 2 milliards d’euros de recettes supplémentaires.
Une mesure qui devrait rapporter 8 milliards par an.
Là, franchement, je me marre : Les « hypermarchés » milliardaires (en chiffre d’affaires) avec les fermetures et la disparition d’enseigne, emporte plusieurs centaines d’emplois et se battent pour des « pouillèmes » de marge.
Je vous annonce qu’il va y avoir des morts avec cette mesure : Casino, c’est fait, les prochains sont « Au-champs » et « Carrouf’ » et c’est encore le consommateur qui finalement va payer plus cher son quart de boîte de ravioli…
On n’en a pas beaucoup, ils envisagent déjà qu’on en aura 40 % de moins l’année suivante.
Et de toute façon, si ce sont ces entreprises qui décaissent ces nouveaux impôts, ne vous en faites pas, pour survivre, elles devront vous le faire payer jusque dans vos assiettes !
Autres aides dans le collimateur, celles pour l’embauche des apprentis, réduites de 1,2 milliard, avec notamment dans les tuyaux une possible diminution de la prime à l’embauche, qui pourrait passer de 6.000 euros actuellement à 4.500 euros.
Toujours côté entreprises, il est prévu d’annuler la baisse des impôts de production (CVAE), ce qui permettra de continuer à percevoir 1,1 milliard d’euros.
Probablement un impôt parmi les plus difficiles à exporter dans les ventes de nos entreprises confrontées à l’international : Elles fileront produire ailleurs…
Enfin, on l’a dit, le gouvernement veut taxer les rachats d’actions et ponctionner un dividende de 2 milliards d’EDF.
Ça c’est assez drôle : C’est lui l’actionnaire… Il pique dans la poche gôche ce qui devait lui revenir dans la poche droâte…
J’avoue que le mek qui a eu cette idée-là, il doit avoir une médaille olympique du délire fiscal…
C’est un peu comme si le prince de Monaco taxait les gains de ses propres casinos…
Ça c’est de la bonne dépense qui n’existera pas, une vraie économie pour tout le monde !
Gain attendu pour les comptes de la Sécu : 3,6 milliards d’euros !
Mais aussi la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité va également augmenter.
Ce qui pourrait entraîner une hausse des factures pour les 6 à 8 millions de ménages qui ne sont pas au tarif réglementé. Pour les autres, l’effet devrait être plus qu’amorti par la diminution du tarif réglementé, prévue le 1er février, avec une garantie de baisse de leur facture globale de 9 %.
Moâ je m’en contre-cogne le coquillard (et les roubignoles dans le même geste : « Sœur-Âne » m’aura fait changer mon gros « tas-de-boue-à-roulettes » au gasoil contre un petite-chiotte polluante : Si je survis jusque-là, je passe à l’hydrogène blanc dès qu’il est distribué en Balagne (« Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») parce que rouler au nucléaire, ils ne savent pas faire dans l’île de beauté : Ce sont des centrales au gaz ou au fioul lourd…
Le gouvernement compte prélever un milliard d’euros supplémentaire sur le transport aérien, soit le double de ce que rapporte actuellement la taxe sur les billets d’avion, dite « de solidarité », qui serait donc nettement augmentée d’autant.
Elle sera intégralement répercutée sur le tarif des billets (comme le reste), selon les compagnies, et frappera aussi bien les jets privés (ça, c’est moche pour les super-riches) que les vols courts et longs courriers.
Par ailleurs, les acquéreurs de voitures neuves les plus polluantes pourraient voir augmenter le bonus/malus automobile, dit écotaxe, qui est appliquée à l’achat des véhicules les plus émetteurs de CO2.
Sans oublier l’Éducation, où près de 4.000 postes d’enseignants seront supprimés en 2025, dont 3.800 dans le primaire. En revanche 2.000 postes d’accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) seront créés.
C’est la faute à faire moins de gamin…
Le principal dispositif est un fonds d’épargne qui serait imposé aux 450 « plus grosses » collectivités, pour un coup de frein de 2,8 milliards d’euros sur la dépense.
Je sens que « Sœur-Âne », qui a l’habitude de nous faire payer pour tous les autres tout en râlant pour le principe, va finir par en perdre sa bonne humeur légendaire d’avoir organisé les JO à « Paris-Olympique » en faisant caguer ses électeurs.
Autre annonce, un gel de la revalorisation annuelle des recettes de TVA touchées par les collectivités pour une économie avoisinant 1,3 à 1,5 milliard d’euros. La troisième mesure proposée par l’État pèserait sur le fonds qui sert normalement à compenser la TVA acquittée par les collectivités (bé oui, elles ne sont pas assujetties, alors elles payent sans récupérer).
Ce qui devrait rapporter 800 millions d’euros.
Sera aussi alourdie l’éco-lolo-taxe (malus pour l’achat de voitures les plus polluantes) de 300 millions.
Où les recettes de la fiscalité punitive (tabac, pétrole, alcool…)
La modération des dépenses passera notamment par le relèvement du ticket modérateur (la partie non remboursée par la Sécu) sur les médecins et sage-femmes qui passerait de 30 à 40 %. Le gouvernement espère ainsi économiser 1,1 milliard d’euros.
Cette décision touchera directement les mutuelles qui remboursent le reste à charge… donc ils revoient leurs tarifs de cotisation, parce qu’au final, c’est toujours vous qui payez (soit directement, soit par puissance-publique interposée).
Vient ensuite la maîtrise du prix des produits de santé, comme les prothèses ou les machines pour l’apnée du sommeil (1,2 milliard… Ma chère « machine à rêve »…).
Par ailleurs, le reste à charge des assurés lors des consultations médicales et les examens de radiologie et de biologie, qui avait déjà été doublé et passé à deux euros le 15 mai (hors de prix, n’est-ce pas), « continuera à monter en charge », précise Bercy, avec l’objectif d’encaisser 300 millions d’économies supplémentaires.
Attend, là : Tu vois le langage !
J’encaisse des économies…
Je ne sais pas, mais chez moâ, je ne décaisse justement pas ce que j’économise…
Passons.
En conséquence, la revalorisation permet à chaque foyer redevable de l’impôt de bénéficier d’un microscopique allègement fiscal supplémentaire.
L’entrée dans la première tranche à 11 % se ferait désormais à partir de 11.520 euros par part fiscale au lieu de 11.497 euros. Au programme : une économie potentielle de dizaines, voire de centaines d’euros par ménage en fonction de leur niveau de revenu. Mais ça commence à 15 euros sur un an…
Et au total, sur les 18 millions de foyers fiscaux de « Gauloisie-olympique », cette mesure pourrait engendrer un manque à gagner de plusieurs centaines de millions d’euros pour les caisses de l’État.
Cependant, la situation pourrait évoluer rapidement. En effet, le projet de loi de finances (PLF) pour 2025, présenté au Conseil des ministres, doit désormais être débattu au Parlement. Les députés et sénateurs ont la possibilité de corriger cette revalorisation jugée trop généreuse lors des discussions législatives à venir, et donc d’augmenter nos impôts.
Pas plus que tous ceux qui étaient contre tout, y compris le « quoiqu’il en coûte » et qui s’en sont tout de même gavés…
Il faut savoir rester logique et cohérent avec soi-même pour avoir le droit de l’ouvrir.
Aussi, même si je dis que ce n’est probablement pas la meilleure façon de faire face, et que ça peut être améliorer, ça a tout de même le mérite d’exister et globalement, on ne peut guère faire mieux sans « tout casser »…
Alors, bonne chance à « Barre-niée » : Après tout, il doit être le seul qui n’a pas demandé à y aller et… à ne pas renoncer devant l’obstacle comme tous les autres durant des semaines et des semaines où ils se sont tous couverts de ridicule à des titres divers !
Eux continuent de me faire rire.
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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