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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 25 septembre 2024

Amères estives 2024 (1/5)

Elles auront finalement été contrariées…
 
Depuis que je ne suis plus un « esclave-salarié » aux ordres d’un patron qui se pense sorti tout droit de la cuisse de Jupiter, depuis que j’ai revendu ma boîte et que j’ai cessé toute activité professionnelle, depuis que je vis chichement de mes rentes sociales (sur le dos des d’jeunes qui persistent à cotiser aux assurances sociales !) je reste à la disposition de quelques anciens clients, ceux qui sont devenus des amis et que je rencontre avec joie, parfois pour leur rendre quelques « menus-services » qui finalement leur facilitent la vie.
 
Parfois ce sont aussi mes anciens étudiants sur lesquels tombent des missions qui ressortent du « rodéo casse-gueule » et dont ils ne savent pas comment aborder le problème à résoudre, mais qui se souviennent, dans ces moments d’angoisse existentielle, que je leur avais expliqué que ce qu’un cerveau peut faire, un autre peut le défaire, ou, en langage de tous les jours, il n’est rien d’impossible.
Traduction dans la vie d’un « free-lance » (ou d’un cadre supérieur d’entreprise, voire d’un dirigeant social), dans tous les cas, il faut dire oui, négocier des honoraires à un niveau dirimant et si le donneur d’ordre est d’accord en payant un acompte, y aller malgré tout.
C’est comme ça qu’on grandit soi-même…
Car s’il y a une solution, avec tout ce que je leur aurai appris, ils la trouveront ; s’il n’y en a pas, avec tout ce que je leur aurai appris, ils l’inventeront.
Et si c’est impossible malgré tout, il n’y a pas de honte à l’assumer en envoyant une facture « pour solde de bonne fin » et d’en faire un rapport circonstancié qui en justifie !
 
Donc, depuis quelques (assez peu d’) années, j’organise mon année d’abord en fonction de mon calendrier de vacations prévisibles… en Balagne (au pays d’une partie de mes ancêtres), à la recherche des lumières vives de l’été, des chaleurs d’antan et des fragrances inimitables du maquis en floraison, libre de toute obligation calendaire.
Hors les horaires des bateaux, des week-ends chargés par les transhumances estivales des familles scolarisées…
La Balagne, c’est une sorte de paradis désertique que personne ne fréquente, sauf les habitués et parfois quelques estivants.
À tel point que, hors saison touristique, il n’y a rien !
 
Et quand je dis rien, c’est rien : Étant situé sur la côte occidentale du département métropolitain le plus à l’Est du pays, si le soleil s’y lève plus tôt qu’ailleurs, les soirées commencent également plus tôt qu’ailleurs.
Non seulement, il fait nuit noire à 21 heures au solstice d’été, mais l’hiver et en demi-saison, il n’est pas rare qu’il faille sortir avec sa lampe de poche sur le coup des 16/17 heures, même si on connaît par cœur les pièges du chemin à emprunter.
C’est parfois plus tôt quand les nuages s’accrochent aux sommets des montagnes.
C’est fait pour ça les montagnes : L’humidité poussée par les vents marins grimpe le long des pentes, se refroidit, condense et finit par ruisseler jusque dans les plaines.
Mais ça obscurcit aussi la lumière diurne.
Alors celle des étoiles… je ne vous dis pas !
Toutefois, ça reste bon pour les tomates et ça alimente également vaillamment les nappes phréatiques, rendant la région habitable, verdoyante et fleurie…
(D’ailleurs, cet été, tout était vert et les incendies quasi-inexistants tellement la végétation était gorgée d’eau !)
 
Bref, vous voyez le tableau : Nuits noires, soirées lugubres, la Balagne c’est pire qu’une sous-préfecture de province de « la diagonale du vide ». Tout le monde vit chez soi en attendant le lever du jour suivant, laissant les rues et paysages aux chiens, aux chats divagants et aux oiseaux de nuit ainsi qu’à une jeunesse qui s’enquiquine et fait « tapage nocturne » pour exister.
Sauf l’été : L’afflux de touristes anime les rues et boutiques, les restaurants et boîtes de nuit jusqu’à tôt à mâtines. C’est qu’il y fait notoirement plus chaud qu’ailleurs chez les continentaux et que les « locaux » peuvent se démouler un peu pour offrir à tous ceux-là qui veulent leur part de paradis, de quoi dépenser en quelques jours toute une année de patientes économies pour mieux se distraire durant ces mois d’estives.
Évidemment, il vaut mieux éviter les villes où les petites racailles du continent ont des « cousins », c’est-à-dire les bassins d’emploi îliens, autrement dit les villes à HLM.
Or, ça tombe bien, en Balagne, les HLM, on en manque, justement !
 
Ceci dit, pour les locaux, les ressources ne sont pas si nombreuses que ça et il faut bien survivre le reste de l’année sans avoir à s’exiler avec ce qui aura été engrangé durant l’été…
Un travail de fourmi sur le dos de trop rares cigales…
D’autant qu’avec l’année « Conard-virus », bien des « professionnels du secteur » ont failli disparaître.
L’année suivante, ils ont eu du mal à boucler la saison à force de leur mettre sur le dos des obligations et réglementations supplémentaires, mais ils s’en sont sortis.
L’année 2022 aura été une année de rattrapage, mais ils n’avaient pas fait le plein.
Et puis à force de « se rattraper » sur les prix à toutes les étapes et étages, la destination est devenue de plus en plus onéreuse pour le touriste de passage, même s’il en a plein les yeux, ce qui raréfie les occasions de survivre.
 
En plus, cette année-là de 2022, le pays a été traversé par un ouragan qui aura massacré pas mal d’installation et surtout de végétation, avec des vents qui tutoyaient les 200 km/h et il y a eu des morts.
À Calvi, même la croix du souvenir du naufrage du Balkan aura été abattue, et la statue de « Notre Dame de la Serra » foudroyée lors d’un autre épisode tempêtueux…
Mauvais présage, même pour « Jean-Ba(ptiste) » qui ne croit pas à toutes ses bondieuseries et encore moins à toutes ces superstitions, mais, depuis qu’ils en auront perdu leur curé… il est certain que décidément, il n’y a pas de hasard !
Et du coup, « les vieux » à l’entendre, parfois ils savent mieux que les blancs-becs…
 
L’année dernière, j’ai d’ailleurs loupé l’arrivée de la nouvelle statue, mais j’ai pu noter que la croix souvenir du naufrage (plus de 500 noyés… des permissionnaires locaux à l’époque de la grande guerre) aura été lourdement haubanée sur tous les points cardinaux…
Pour une fois, cette année-là (2023 pour ceux qui suivent), j’avais pu partir en juin et programmer un retour en septembre…
D’excellentes vacances pour un « ressuscité » puisque l’année précédente (2022), j’étais rentré pour être pris en charge par les urgences cardiologiques de « Paris-olympique » qui m’auront équipé de « ballonnets » et de « Stents » pour aller au moins jusqu’au mariage de « ma Nichée ».
Alors qu’en 2023, en pleine forme, j’ai tout de même trouvé le moyen de me planter sur un grain de raisin au retour à « Paris-olympique » à m’en abîmer de façon durable, et surtout douloureuse, le nerf sciatique de la jambe gôche (la gôche, ce côté maudis chez moâ[1]…) durant toute l’année et pratiquement jusqu’en juin dernier.
Là, j’attends la prochaine « catastrophe »…
(Qui arrive : Avec le froid et l’humidité, la douleur a migré côté drôat… c’est infernal !)
 
Tout mon entourage m’aura jugé en assez mal en point pour m’imposer, en cette année 2024 (je précise pour ceux qui sont perdus), de faire la route avec mon autre « Nichée » en soutien moral et conductrice suppléante de « ma chiotte », qui prend du coup des vacances avec son « plus un » à elle…
Que franchement, j’avais revendu mon gros « veau diesel » aux 5,5 l aux 100 pour faire plaisir à « Sœur-Âne » qui envisageait tout bonnement de m’interdire de rejoindre mon domicile parigot-olympique intra-muros par mes propres moyens « d’auto-mobilité », pour acheter une « petite chiotte » à vignette « Crit’air One » mais à 6,7 l aux 100 (sur route, parce qu’en ville, le « stop & go » ne fonctionne que quand il veut bien, et ça bouffe du 9 litres à l’heure, peu importe le kilométrage parcouru), que je me voyais mal de faire le voyage à 4, plus 4 valises, plus 4 sacs, plus un ordinateur et un chat et sa litière…
Heureusement, c’était sans compter sur le divin « Jupiter » qui m’aura soulagé d’une partie de ce défi quasiment insurmontable…
 
Depuis le temps que je vous dis, à vous et à tout le monde, d’aller voter, d’aller voter en masse, de se déplacer pour ne pas laisser tous les « minoritaires agités » du bocal de ce pays décider à votre place de votre avenir et de celui de vos gamins, les européennes du mois de juin auront été le déclencheur d’une série impitoyable de déconvenues entrainant des bouleversements dans mon emploi du temps prévisionnel… et une confirmation de mes « constances ».
C’est d’ailleurs mathématique et assez simple à comprendre : Quand la moitié des électeurs ne prennent même pas le temps de glisser un bulletin dans une urne, droit – et devoir – qui aura été arraché de haute lutte dans le sang, la peur et la douleur par nos ancêtres à tous, eh bien, quand tu ne représentes qu’une personne sur 6, pas loin du négligeable, tout d’un coup tu es rendu aussi gros qu’un tiers : Une personne sur trois.
Et là, ça compte, ça se voit, c’est incontournable… puisqu’on ne compte que ceux qui se déplacent : Au lieu d’en avoir 5 d’un avis divergeant, tu n’en as plus que 2 !
Ce qui change tout…
 
Par conséquent, « Jupiter » avait parfaitement raison de dissoudre l’AN au soir de ce scrutin diabolique que sont les européennes, parce qu’à la proportionnelle et sur liste en plus, sans panachage à l’Irlandaise, qui collectionnent les seconds couteaux, plus mauvais les uns que les autres tels qu’on n’en veut même pas sur nos boulevards pour les exiler d’office à Strasbourg…
Passons : On les jette par la grande porte, ils sont contents, mais ils veulent revenir par la fenêtre dès le lendemain, les nains !
D’abord, « Jupiter » ne le savait peut-être pas, mais il n’avait pas de majorité absolue, ce qui a pourri la mandature de « Lili-Bête-Borgne » et éreinté « Gaby-le-magnifique » qui croit encore avoir un destin national… alors que son avenir est déjà derrière-lui.
Tu te vous rendez vous compte que déjà il demande des comptes à son successeur, non mais ?
 
Et que d’autres, devant l’éparpillement du vote citoyen, réclament le retour de la proportionnelle sur liste nationale… Les kons, n’ont-ils pas vu que ça favorise le « Air-haine » qui aura été incapable d’obtenir une majorité avec un scrutin uninominal à deux tours par circonscription (où si les circonscriptions sont affectées par le parti, l’électeur vote « pour » au premier tour et se réserve de voter « contre » au second quand le candidat proposé est manifestement trop nul !).
La proportionnelle sur liste, c’est une horreur : C’est le parti qui « nomme » ses élus, qu’ils soient kons ou non, sans prendre l’avis de l’électeur, prié d’approuver les yeux fermés !
Le peuple ne peut plus voter « contre »… Il est forcé de voter « pour »…
Pour des apparatchiks qui font carrière « au parti », même s’ils sont nuls… ou seulement parce que ce sont de « gros donateurs » ou « appuyés » par de gros « bienfaiteurs » ou qu’ils ont des talents cachés dans l’intimité des alcôves cachées aux yeux du public.
Passons, un jour on en finira avec des scrutins uninominaux à un seul tour par circonscription : Là au moins, on votera directement « contre » et on finira avec un bipartisme (qui n’est ni pire ni meilleur que les autres systèmes politiques devant soutenir un gouvernement chargé de gouverner un pays), comme dans les pays anglo-saxons…
 
En attendant, le « deux tours par circonscription » en 2024, ça aura donné un éparpillement comme jamais : On te vous dit que la « gôche » est la plus représentée… mais ce n’est même pas suffisant !
Et encore, ils se sont mis à 4 partis pour faire une alliance qui n’est même pas un programme commun, après moults négociations « aux couteaux » et les flingues armés, balle engagée, posés sur la table pour se répartir le gâteau en moins de 15 jours : Et tu appelles ça une union de gouvernement ?
Mais ils ne peuvent même pas se blairer entre eux, alors au sein d’un gouvernement, je ne te vous raconte même pas…
 
Ensuite, pour en revenir à la décision de dissoudre, si « Jupiter » ne l’avait pas prise, ça aurait été infernal : Les fameux « minoritaires » de « gôche » comme de « droâte » n’auraient pas arrêté de réclamer la dissolution et bloquer à tour de rôle le fonctionnement normal du Parlement…
Enfin, de deux choses l’une, soit le peuple rendait une majorité politique à « Jupiter », soit celui-ci pouvait jouer le pourrissement de la bête par la tête avec ses divisions parlementaires invraisemblables et au bout du bout, il pouvait espérer reprendre les pleins pouvoirs après avoir constaté le blocage des institutions, via un article 16 bien senti, sorti de derrière ses fagots….
Pour peu que la rue flambe, que l’armée soit appelée à la rescousse pour calmer les grandes villes, les ronds-points et les campagnes, c’était le coup de De Gaulle en juin 1968, ou carrément un coup d’État façon Louis-Napoléon Bonaparte (le neveu, ex-unique président de la seconde République) : Bref, un boulevard…
 
Le truc cousu de fil blanc, à condition de bien maîtriser le temps qui passe…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. I-Cube (l'exilé): Hommages à mon « Ange-gardien » (flibustier20260.blogspot.com)


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