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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 8 septembre 2024

55/63 – Implications internationales

Remise en perspective…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Sentant le vent tourner et craignant les désordres en fin d’année et lors de la remise des diplômes, certaines universités américaines, dans les semaines qui ont suivi, auront pris les devants et auront fait des concessions avant même qu’on ne leur demande des comptes.
C’est le cas de l’Union Theological Seminary de New-York, affilié à Columbia, qui s’est engagé à se désinvestir de « toute entreprise profitant de la guerre en Israël/Palestine ».
D’autres universités ont assez promptement trouvé un accord avec les étudiants mobilisés, comme à l’Université de Californie à Riverside, l’Université d’État de Californie à Sacramento qui, après 9 jours de mobilisation, a accepté le désinvestissement « de toute entreprise et fonds qui profitent du génocide, du nettoyage ethnique et d’activités violant les droits fondamentaux de l’homme », sans expressément nommer Israël.
L’Université du Minnesota à Minneapolis et Saint-Paul auront accepté de divulguer la destination de ses investissements, révélant une participation de $2,4 millions dans des entreprises israéliennes. L’université a également accepté de discuter avec les étudiants mobilisés de la question du désinvestissement. Ceux-ci étaient assez optimistes, la participation dans ces entreprises représentant seulement 1 % de leur fonds de dotation total.
 
Certaines universités, dont Brown à Providence (Rhode Island), membre de l’Ivy League, ou Rutgers dans le New-Jersey, accepteront de « discuter » de la question de leurs investissements avec leurs étudiants à moyen terme. À la Northwestern University de Chicago, un accord sera trouvé, quelques jours après avoir essayé de déloger les étudiants, réinstituant le « Comité consultatif sur la responsabilité des investissements », qui regroupera des étudiants, des membres du corps professoral et du personnel. Une manière de laisser la porte ouverte sur la poursuite de ses investissements dans les entreprises d’armement, moyennant chantages et pressions sur les membres du comité.
À Evergreen, dans l’État de Washington, un accord sera trouvé qui définit de la même manière la mise en place d’un groupe de travail sur la destination des investissements.
Mais une constante restera l’utilisation de la police pour déloger les étudiants, généralement avec violence rappelant l’année 1967 et le mouvement antiguerre au Vietnam.
Un autre moyen tout aussi violent est l’exclusion des étudiants mobilisés et leur éviction des campus, à coup d’accusations d’antisémitisme, grâce à la forte mobilisation d’étudiants juifs, ou en les accusant de violences, généralement sur des groupes sionistes venus les attaquer.
 
Les chiffres seront d’importance : plus de 2.600 étudiants qui ont été arrêtés aux USA !
Et on ne compte plus non plus le nombre de blessures infligées aux étudiants, que ce soit par la police ou par les groupes sionistes ayant attaqué les étudiants mobilisés avec la bénédiction de la police et de l’administration, comme à UCLA (Los Angeles).
À Barnard (New-York), de façon similaire à de nombreuses autres universités, 53 étudiants ont été expulsés et n’ont eu que 15 minutes pour rassembler leurs affaires.
L’ampleur de la répression sera telle que même le Conseil des droits de l’homme des Nations-Unies se fendra d’un communiqué mettant en garde contre une « érosion préoccupante de la liberté intellectuelle et des principes démocratiques au sein des établissements éducatifs ».
On en dira que le niveau de répression mis en œuvre par l’État rappelle celui du mouvement Black Lives Matter, quand la Garde Nationale avait été déployée à travers le pays et qui avait vu l’arrestation de 14.000 personnes… une autre dimension.
 
Ce degré de répression n’est pas surprenant, compte tenu de la radicalité des demandes des étudiants, qui remettent en cause directement les liens indéfectibles qui unissent leur pays à Israël.
Pièce maîtresse de la politique des États-Unis au Moyen-Orient, Israël est un atout essentiel de son impérialisme dans toute la région. Cela explique non seulement que Washington apporte un soutien longtemps sans faille à la politique génocidaire d’Israël à l’encontre des Gazaouis, mais aussi sa volonté de museler tout mouvement qui contesterait cet état de fait.
 
Pourtant et avant ça, dès les premiers jours au lendemain du 7 octobre, les réactions internationales se multiplient contre l’attaque du Hamas sur Israël.
La Russie et la Chine appellent les deux parties à la retenue et à un cessez-le-feu.
Une pluie de réactions, et une condamnation unanime suivent. En commençant par les États-Unis, puis les Européens et de nombreuses capitales dans le monde qui ont réprouvé avec vigueur les attaques du Hamas contre Israël.
Joe Biden, l’un des premiers à réagir, a martelé, dans une très courte et solennelle allocution, que le soutien des États-Unis à Israël était « gravé dans le marbre et inébranlable ».
« En ce moment tragique, je veux lui dire, ainsi qu’au monde et aux terroristes où qu’ils soient : les États-Unis sont aux côtés d’Israël. Jamais nous ne manquerons de les soutenir », a ajouté le président américain.
Sur le plan militaire, le Pentagone a affirmé qu’il allait s’assurer qu’Israël dispose de « ce dont il a besoin pour se défendre ».
Une « discussion approfondie » sur les besoins du pays serait déjà en cours à ce moment-là.
 
En Europe, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen va condamner des attaques relevant du « terrorisme dans sa forme la plus méprisable », et estimé qu’Israël avait « le droit de se défendre ».
Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, a dénoncé la prise en otage « effroyable » de civils et appelé à leur libération « immédiate ». Il a, en outre, fait part de la « solidarité » de l’UE avec Israël.
Le président du Conseil européen, Charles Michel, a lui aussi fustigé des « attaques aveugles contre Israël et son peuple (…), infligeant terreur et violence à des citoyens innocents ».
 
Le risque d’escalade inquiétait aussi dans les premiers jours et durant les mois qui ont suivi. Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a ainsi exhorté la communauté internationale à des « efforts diplomatiques pour éviter un élargissement de la conflagration » entre Israël et le Hamas.
L’émissaire de l’ONU pour le Proche-Orient, Tor Wennesland, avait appelé à l’arrêt « immédiat » des attaques, précisant être en contact avec toutes les parties pour leur demander notamment de « protéger les civils ».
La Chine s’est aussi dit « profondément préoccupée » par l’escalade de la violence. Elle appelle les parties concernées « à rester calmes et faire preuve de retenue, à cesser le feu immédiatement, à protéger les civils et à empêcher une nouvelle détérioration de la situation ».
Même le président turc Recep Tayyip Erdogan a lui aussi exhorté Israéliens et Palestiniens à « agir de manière raisonnable » et « à s’abstenir d’agir impulsivement, ce qui augmenterait les tensions ».
Moscou s’était, de son côté, inquiété d’une « brusque aggravation de la situation dans la zone du conflit israélo-palestinien ».
« La terreur est toujours un crime, pas seulement contre un pays ou des victimes spécifiques, mais contre l’humanité dans son ensemble », a avancé le président ukrainien Volodymyr Zelensky, dont le pays fait face à l’invasion de l’armée russe.
À rebours de la majorité des pays, l’Iran a salué l’offensive du Hamas, mais il était bien le seul.
« Nous soutenons cette fière opération « déluge d’Al-Aqsa » et nous sommes sûrs que le front de la résistance (mouvements proches de l’Iran opposés à Israël) la soutient également », aura annoncé le général des Gardiens de la révolution, Yahya Rahim-Safavi, cité par l’agence Isna.
 
En quelques semaines, l’opinion publique mondiale aura eu le temps de basculer après la violente et démesurée réaction d’Israël qui se croit encore soutenue et surtout dans le bon droit que lui confère sa très « légitime défense »… que personne ne songe à remettre en cause.
Jusqu’à se répandre sur les trottoirs parisins où environ 10.000 personnes manifestent régulièrement à Paris contre les bombardements sur Gaza et notamment à Rafah, dénonçant un génocide en cours.
Une foule compacte à quelques centaines de mètres de l’ambassade d’Israël se rassemble aux cris de « Nous sommes tous des enfants de Gaza », « Vive la lutte du peuple palestinien », « Free Gaza » (« libérez Gaza »), ou encore « Gaza, Paris est avec toi ».
Des drapeaux palestiniens seront brandis jusqu’au sein du Palais Bourbon, rappelant aux plus anciens les étendards nazis brandis sur les lieux du pouvoir de la République défaite, anéantie. Et dans les rues de la capitale, ce même drapeau est brandi par la foule, au milieu de laquelle des participants arboraient des keffiehs et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : « On ne tue pas un enfant, qu’il soit juif ou palestinien : Stop aux bombardements, free Palestine », « Stop au génocide ».
Plusieurs milliers de personnes se réuniront ainsi sur et aux abords de la place de République pour manifester contre les frappes israéliennes de représailles. Plus tard, 2.000 personnes investiront le boulevard périphérique à hauteur de la Porte de Saint-Ouen provoquant une cascade d’encombrements routiers !
Plusieurs groupes seront présents, comme l’Union juive française pour la paix (UJFP) : on est loin à ce moment-là de l’exclusion d’une étudiante juive des locaux de Sciences-Po, uniquement parce qu’elle était juive, où se tenait une réunion antisioniste en soutien à la Palestine au milieu de l’automne : il faut dire que ça faisait un peu trop « provoc’ »…
Des drapeaux LFI, du parti d’extrême-gauche NPA, du syndicat Force Ouvrière et de l’organisation Révolution Palestinienne flotteront également au milieu de ses manifestations.
 
Mais ces rassemblements vont s’évanouir au fil du temps : d’une part le « combat politique » et ses discours se déportent à travers la campagne électorale pour les européennes, ensuite les lieux de défilé sont parfois envahis par les chantiers de préparation des JO et la France doit accueillir des délégations de dirigeants alliés à l’occasion des commémorations des 80 ans du débarquement en Normandie…
L’opération « Overlord ».
 
D’ailleurs, ces JO, quelles merveilleuses couvertures médiatiques offertes pour quelques revendications de quelques attentats sous l’œil des caméras du monde entier accourues filmer une poignée de « superlatifs » en train suer à se surpasser sur les stades et dans les piscines !
« Septembre noir » l’avait bien compris après le détournement de 3 Boeings en Jordanie dans les années 70 : la stupéfaction retombée, il s’était alors attaqué au JO de Munich en 1972 pour refaire la Une de la presse mondiale !
De son côté, Israël veut rendre la bande de Gaza absolument inhabitable et s’y emploie avec ténacité.
325 km², trois fois la taille de « Paris capitale olympique » intra-muros, plusieurs mois d’opérations et de pilonnages quotidiens, et l’état Hébreu n’y est toujours pas !
Curieux conflit : la Palestine, ce n’est pas que Gaza. C’est aussi la Cisjordanie… dont les autorités locales demeureront bien silencieuses, en tout cas de ce qui en est rapporté.
C’est aussi une diaspora nombreuse et diverse, en Jordanie, Syrie, au Liban, en Égypte, au Qatar, à Bahreïn, dans toute la péninsule arabique et jusqu’au Yémen, plus de fervents soutiens politiques et diplomatiques un peu partout et jusqu’en Scandinavie et sur les trottoirs de « Paris-olympique » qui restent muets !
Si on rapporte que les manifestations occidentales dans quelques universités turbulentes, plus antisionistes qu’autre chose, les tirs des rebelles yéménites et un peu ceux du régime des ayatollahs iraniens qui se sont même payés un raid de drones sur Israël, juste en représailles contre l’attentat (gratuit…) de leur consulat en Syrie, le reste du monde musulman reste bien silencieux face au martyr des populations Gazaouies…
Pourquoi donc sont-ils traités comme des parias par la communauté arabe, et jusqu’au fin fond du Maghreb, chez des musulmans ?
Quels sont les musulmans d’Indonésie, d’Afrique ou du sous-continent Indien qui vocifèrent et manifestent bruyamment leur colère pour soutenir leurs coreligionnaires ailleurs qu’en Europe ou aux USA, au juste ?
Pourquoi n’y aura-t-il eu que Mélangeons, du mouvement de l’ultra-gauche française, pour envoyer un député brandir un drapeau palestinien dans le temple de la démocratie élective tricolore et hexagonale, comme d’un glorieux trophée, avant d’organiser un défilé vestimentaire de ses députés aux couleurs de la Palestine ?
 
Car justement, on devrait se rappeler que l’État hébreux, notamment après le récent attentat contre le consulat iranien en Syrie, avant de devenir un terroriste d’État, son terrorisme sioniste l’aura précédé, ce qui historiquement a fait naître, en riposte, le terrorisme palestinien qui n’en demandait pas tant.
Un terrorisme sioniste appliqué à plusieurs pays et, paradoxalement, à ceux qui soutiennent aujourd’hui l’action génocidaire, menée par Israël à l’encontre des Palestiniens, même si c’est parfois du bout des lèvres de peur d’être assimilé à des antisémites.
Comme quoi, l’anti-antisémitisme justifierait la destruction d’une entité Palestinienne… pourtant reconnue comme d’un État à part entière, avec siège d’observateur à l’ONU, par des dizaines d’autres nations…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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