Elles auront finalement été contrariées…
Or, pour un « maître des horloges » qui sait y faire, « Jupiter » doit aussi composer avec les JO et il lui fallait crever l’abcès le plus rapidement possible : Faire un coup d’État en pleine réception de milliers d’athlètes, leurs coachs, la presse sportive internationale qui ne connaît rien aux affaires politiques internes à inventer des balivernes, plus les menaces d’attentat qui planaient sur l’élite sportive mondiale, il n’était pas bien raisonnable de rajouter des émeutes de militants furax de ne pas être entendus : Et on pouvait craindre surtout des partisans du « Air-haine » parmi les plus durs, genre « Black-blocks » et autres « skinheads ».
Enfin, derrière dans l’hypothèse d’une dissolution tardive, disons post rentrée scolaire, il y avait aussi les échéances européennes et la formation de la Commission à assumer, qui restent toujours un jeu un peu compliqué où on ne sauve qu’à peine les meubles si on ne se montre pas assez fort et en ordre de bataille !
D’ailleurs, l’Histoire aura retenu que les « Teutons », derrière « Ursule-des-Lyres », probablement coachée par « Bail-dan » et ses sbires pro-britishs et anti-européens, auront fait le forcing pour virer celui qui fait des misères aux Gafam et leurs monopoles… « Breux-Thons » était de toute façon cuit avant de recommencer…
Mais c’est une autre histoire.
(Parce que « Groβ-baffe-tout-Schuss » s’est aussi évité de prendre une trop groβ claque avec ses propres résultats électoraux intermédiaires, mais ce n’était pas gagné, et qu’au Royaume-Uni de sa très gracieuse majesté Carlos III, il y avait eu comme un retournement de majorité entre-temps à envisager avant les échéances normatives… qui va d’ailleurs avoir d’innombrables conséquences qu’on ne va pas apercevoir tout de suite : Il Va nous falloir attendre que les « Ricains » désignent leur future présidente pour voir émerger ce « nouveau monde » qui arrive).
Bref, j’organise à l’arrache ma participation à ses législatives à lui : D’habitude, je suis sollicité pour recevoir des procurations (à une époque j’en avais deux, je votais donc trois fois, plus deux fois en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », une fois au village et une autre fois en Balagne, même si « ça », je ne savais pas…) et là, il faut que je sollicite le service inverse…
Quant à « coller des affiches », ça fait des lustres que je ne le fais plus.
Mais je pars toujours « à quatre » plus le chat dans « ma petite chiotte » aux dates précédemment arrêtées !
Bim, belote, ça ne loupe pas : Première défection, ma « plus un » (celle qui fait gendarme assis à la place du passager dans le civil), se fait un AVC pour le moins sévère.
Grave : Les urgences neurologiques lui interdisent de se déplacer et d’être de mauvaise humeur…
Re bim et rebelote, le « plus un » de ma nichée chope une mission et ne peut plus faire le quatrième d’appoint.
J’en avertis immédiatement mon chat qui est ravi : Ils ne se supportent pas mutuellement…
Et « dix de der », on me supplie de venir éclairer de « mes lumières » une équipe chargée d’étudier toutes les retombées économiques, politiques et sociales des futurs résultats de ces élections-là, alors que je termine la rédaction in extremis du roman de l’été que je fais parvenir à Alexis Dubois, la « raconteuse »…
Contrarié vous dis-je, et pas qu’un peu puisque me voilà à devoir reporter mon départ pour après le 14 juillet et avant l’ouverture des JO : Ma première nichée s’est débrouillée pour refiler mon appartement parigot à des potes à elle qui se relaient pour aller encombrer les stades éphémères de la « Kapitale-olympique ».
Et éventuellement de servir de chair à canon à des djihadistes, mais ce n’est qu’une option des réjouissances à envisager.
Je suis allé voir avant de partir : C’est impressionnant, sur les quais, sur la place de la Concorde, le champ de Mars, les Jardins du Trocadéro, si j’avais su, j’aurais monté une boutique qui fabrique, vend et loue (et stocke) des échafaudages en métal.
Entre ça et le chantier de Notre-Dame, ça en aura bouffé du tube en Inox « normés Afnor » !
Je n’y suis pas allé, mais ma Nichée si : Il paraît qu’au Grand Palais, c’était fabuleux, à la Porte de Versailles et à Versailles aussi.
Et je n’ai pas eu de retour sur les installations de la Porte de la Chapelle, ni en proche banlieue, mais on m’a dit que les appartements du village olympique restent à rénover, parce que bon, les lits en carton-pâte, ils auront souffert, et que les étudiants ont récupéré leur « cité U » : Tout va bien !
Aujourd’hui, il y a même de nouveau des bouquinistes sur les quais…
En fait, nos services de sécurité auront fait un travail magnifique et remarquable, puisque l’affaire commence par le piratage informatique de quelques serveurs de grandes entreprises, le vol de quelques câbles en cuivre qui auront engendré quelques pannes plus ou moins passées inaperçues, et surtout empêché 3 attentats plus graves, plus quelques-uns en province où les dispositifs de surveillance des masses étaient restés plus légers.
Ils n’ont seulement pas pensé à vérifier les boulons de la passerelle de Bir-Hakeim que ça aurait pu terminer en désastre avec le marathon pour tous.
En bref, la fête aura été formidable avec un seul bémol : Ils avaient invité « Tagada-à-la-fraise-des-bois » le soir du l’ouverture des jeux sans penser une seule seconde qu’avec lui, c’était le déluge assuré !
Il a failli tout gâcher, celui-là, et par sa seule présence…
Bien sûr, il y a eu plein de grincheux, notamment chez les parigots, dont moâ-même, qui râlaient de devoir justifier de ses quartiers de noblesse à chaque coin de rue pour rentrer chez soi, mais j’ai pris les devants et, avant le gros de l’effort, j’avais anticipé de me réfugier en Balagne…
Et en attendant, les trolls de « Poux-tine » se sont cassé les dents sur leurs fake-news, à l’exception notoire de « Naya-kamatchaka » qui aura chanté sur le pont des arts avec la garde républicaine (une artiste francophone qui ne sait pas chanter en « francilien-natif », mais aura bien assuré en langage de Molière, nonobstant les mauvaises langues) et les Drag-queens à poils déguisées en schtroumpf singeant, paraît-il, la cène !
Personnellement, je n’ai vu qu’un Bacchus délirant dans une cacophonie pas du meilleur goût, et j’ai été enchanté, émerveillé, bluffé par la diva-Dion (Céline pour les intimes) qui chante de très haut (pourtant, d’habitude je ne l’apprécie pas vraiment : Elle a parfois des textes « gnan-gnan » comme dirait « Sœur-Âne », un peu comme Johnny qui sait ce qu’il sait et ce qu’il sait il le sait durant trois minutes trente…) et déçu par « Lady-Gogo ».
Il faut dire que d’entrée, j’ai cru qu’ils avaient ressuscité Zizi-Jeanmaire, mais en fait il y avait surtout un décalage infinitésimal entre l’image (préenregistrée) et la bande-son (également prémâché) qui gâchait la prestation…
Un peu étonné également qu’il y ait eu tant de références aux épisodes sanguinolents de la ville-lumière qui auront fait émerger de grands moments d’histoire de l’humanité.
Pour le reste, bon, ce n’était pas si mal finalement…
En revanche je n’en dirai pas autant de la cérémonie de clôture, trop longue, trop complexe, pas assez spectaculaire.
Du coup, j’ai fermé le poste pour l’ouverture des para-olympiques et j’ai boycotté leur cérémonie de clôture.
En fait, en juillet, je me foutais bien de toutes les difficultés des parigots : Mon problème c’était d’assurer la ventilation minimale nocturne pour pouvoir dormir par 30 degrés. J’étais chez moâ sur place, avec une nouvelle télé et des glaçons express, mais toujours pas de climatisation : Ma « nichée » n’en veut pas trouvant la démarche pas très « écolologiste » !
Parce que bouffer de l’électricité pour ventiler et faire des glaçons, générée au fioul lourd à Bastia ou à Ajaccio, c’est sans doute plus « écololo »…
Enfin passons.
La seule chose à retenir, c’est qu’il faisait chaud et parfois très chaud.
Les « neiges éternelles » sur le massif du Cinto n’auront tenu que jusque fin juillet.
Le vent aura fait quelques tentatives d’existence, mais pas assez pour faire progresser des incendies de maquis.
La mer était chaude, presque trop (27°) durant la majeure partie du séjour à en redouter un épisode d’ouragan méditerranéen (qui aura provoqué des inondations du côté de la Côte d’Azur et à Avignon).
Il n’aura plu qu’en fin de séjour et à aucun moment je n’ai eu à me désoler du massacre d’insecte sur mon parebrise…
Bref, en attendant et durant ces trois semaines de « rallonge » début juillet, j’ai donc participé à quelques réunions de travail d’un « think-tank » financé par des meks bourrés de thunes et inquiets pour leurs avoirs et leur avenir de SDF (Sans Difficulté Financière) qui faisaient turbiner des « stagiaires » et autres « neurones de demain » autour des thématiques politiques : Et si…
Le smic, les impôts, les taxes, les charges patronales, l’Europe, etc.
Le mariage pour tous et même les lapins pour réduire la signature carbone d’une humanité trop nombreuse à leurs yeux, l’euthanasie comme moyen de réduire les déficits sociaux, retraite, assurance-maladie, dépendance, les services publiques à privatiser comme les transports, les « mobilités », les parts de marché des poulets mexicains qui bouffent du maïs-ricain qu’ils ne savent plus quoi en faire, la place des OGM et des vaccins à ARM messager, le puçage numérique des populations et la place des libertés d’expression (et des libertés publiques) sans oublier la régulation des fakes-news « officielles », etc…
Les sujets étaient nombreux, je peux vous le dire.
Et encore, je n’ai pas tout vu…
Souvenez-vous qu’à l’époque, on en était tous sûrs et certains que le « petit-J’ordonne » le « Bordel-là » était déjà premier sinistre et que même les « barons » du « Air-haine » se partageaient en avance d’hoirie les ministères entre eux.
Vous rappelez-vous de Serge Reggiani chantant « Les loups sont dans Paris », bé c’était l’ambiance, à La Défense, mais également dans toutes les capitales européennes, semble-t-il…
La « Gauloisie-olympique » allait basculer du « côté obscure » des « Lumières », verser dans les démons du passé. On en voulait à « Jupiter » de précipiter les échéances (alors qu’il ne faisait que tenter d’administrer un vaccin dont on ne sait pas encore s’il a fait ou non son office), là où certains en rêvaient après avoir réussi à tuer l’idée même de Liberté inventée par les philosophes grecs, jusqu’en Grèce, justement.
Oui, mais quelles conséquences financières au juste ?
C’était comme une sorte de grand frémissement le long de l’échine de l’intelligentsia du monde occidental, là où chez les Russes, à Pékin, à Pyongyang on n’ose pas encore jubiler ouvertement…
Et si le phare de l’humanité était finalement si fragile ?
Et donc, quelles conséquences d’un programme économique, social, fiscal et financier délirant sur le sort de chacun ?
Je n’étais pas nombreux à ne pas y croire…
Pour moâ, contrarié par tant de cécité, je leur ai dit d’emblée : « Jupiter » joue avec le feu et avec un agenda personnel. Il vise les pleins pouvoirs et pour ça, il a besoin d’émeutes et d’un grand bordel qui va tout bloquer.
Ce qui n’est pas bon pour les « affaires »… et c’est ça qu’il faut anticiper par nos « donneurs d’ordre » inquiets.
D’ailleurs, comme ça n’a pas vraiment fonctionné comme il le pensait – devoir nommer « Bordel-là » à Matignon, ou « Mes-Luches » – pour justifier de son coup d’État, à la sortie des urnes, il a tergiversé jusqu’en septembre pour trouver un « premier sinistre » qui fasse illusion et qui ne serait pas censuré dès le premier octobre, avec la présentation du budget 2025… la priorité préparée par les hauts fonctionnaires restés en poste dans l’intervalle sans l’aide ou les directives d’absolument aucun « politique »…
Un budget qui va passer à coup de 49-3 : On sait qu’avec une absence de majorité, la stratégie fonctionne très bien (cf. les réformes de « Lili-Bête-borgne »).
Si ça ne passe pas, là, mi-décembre 2024, il prend tous les pouvoirs au titre de l’article 16 pour promulguer via des ordonnances ladite loi de finances et personne ne pourra dire qu’il n’est pas légitime au nom de la continuité de l’État, pas même le Conseil constitutionnel…
Et là, il tient six mois comme ça, fait monter la sauce et la mayonnaise, et envoie la troupe arrêter tous ses opposants…
Le truc cousu de fil blanc, à condition de bien maîtriser le temps qui passe…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Or, pour un « maître des horloges » qui sait y faire, « Jupiter » doit aussi composer avec les JO et il lui fallait crever l’abcès le plus rapidement possible : Faire un coup d’État en pleine réception de milliers d’athlètes, leurs coachs, la presse sportive internationale qui ne connaît rien aux affaires politiques internes à inventer des balivernes, plus les menaces d’attentat qui planaient sur l’élite sportive mondiale, il n’était pas bien raisonnable de rajouter des émeutes de militants furax de ne pas être entendus : Et on pouvait craindre surtout des partisans du « Air-haine » parmi les plus durs, genre « Black-blocks » et autres « skinheads ».
Enfin, derrière dans l’hypothèse d’une dissolution tardive, disons post rentrée scolaire, il y avait aussi les échéances européennes et la formation de la Commission à assumer, qui restent toujours un jeu un peu compliqué où on ne sauve qu’à peine les meubles si on ne se montre pas assez fort et en ordre de bataille !
D’ailleurs, l’Histoire aura retenu que les « Teutons », derrière « Ursule-des-Lyres », probablement coachée par « Bail-dan » et ses sbires pro-britishs et anti-européens, auront fait le forcing pour virer celui qui fait des misères aux Gafam et leurs monopoles… « Breux-Thons » était de toute façon cuit avant de recommencer…
Mais c’est une autre histoire.
(Parce que « Groβ-baffe-tout-Schuss » s’est aussi évité de prendre une trop groβ claque avec ses propres résultats électoraux intermédiaires, mais ce n’était pas gagné, et qu’au Royaume-Uni de sa très gracieuse majesté Carlos III, il y avait eu comme un retournement de majorité entre-temps à envisager avant les échéances normatives… qui va d’ailleurs avoir d’innombrables conséquences qu’on ne va pas apercevoir tout de suite : Il Va nous falloir attendre que les « Ricains » désignent leur future présidente pour voir émerger ce « nouveau monde » qui arrive).
Bref, j’organise à l’arrache ma participation à ses législatives à lui : D’habitude, je suis sollicité pour recevoir des procurations (à une époque j’en avais deux, je votais donc trois fois, plus deux fois en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », une fois au village et une autre fois en Balagne, même si « ça », je ne savais pas…) et là, il faut que je sollicite le service inverse…
Quant à « coller des affiches », ça fait des lustres que je ne le fais plus.
Mais je pars toujours « à quatre » plus le chat dans « ma petite chiotte » aux dates précédemment arrêtées !
Bim, belote, ça ne loupe pas : Première défection, ma « plus un » (celle qui fait gendarme assis à la place du passager dans le civil), se fait un AVC pour le moins sévère.
Grave : Les urgences neurologiques lui interdisent de se déplacer et d’être de mauvaise humeur…
Re bim et rebelote, le « plus un » de ma nichée chope une mission et ne peut plus faire le quatrième d’appoint.
J’en avertis immédiatement mon chat qui est ravi : Ils ne se supportent pas mutuellement…
Et « dix de der », on me supplie de venir éclairer de « mes lumières » une équipe chargée d’étudier toutes les retombées économiques, politiques et sociales des futurs résultats de ces élections-là, alors que je termine la rédaction in extremis du roman de l’été que je fais parvenir à Alexis Dubois, la « raconteuse »…
Contrarié vous dis-je, et pas qu’un peu puisque me voilà à devoir reporter mon départ pour après le 14 juillet et avant l’ouverture des JO : Ma première nichée s’est débrouillée pour refiler mon appartement parigot à des potes à elle qui se relaient pour aller encombrer les stades éphémères de la « Kapitale-olympique ».
Et éventuellement de servir de chair à canon à des djihadistes, mais ce n’est qu’une option des réjouissances à envisager.
Je suis allé voir avant de partir : C’est impressionnant, sur les quais, sur la place de la Concorde, le champ de Mars, les Jardins du Trocadéro, si j’avais su, j’aurais monté une boutique qui fabrique, vend et loue (et stocke) des échafaudages en métal.
Entre ça et le chantier de Notre-Dame, ça en aura bouffé du tube en Inox « normés Afnor » !
Je n’y suis pas allé, mais ma Nichée si : Il paraît qu’au Grand Palais, c’était fabuleux, à la Porte de Versailles et à Versailles aussi.
Et je n’ai pas eu de retour sur les installations de la Porte de la Chapelle, ni en proche banlieue, mais on m’a dit que les appartements du village olympique restent à rénover, parce que bon, les lits en carton-pâte, ils auront souffert, et que les étudiants ont récupéré leur « cité U » : Tout va bien !
Aujourd’hui, il y a même de nouveau des bouquinistes sur les quais…
En fait, nos services de sécurité auront fait un travail magnifique et remarquable, puisque l’affaire commence par le piratage informatique de quelques serveurs de grandes entreprises, le vol de quelques câbles en cuivre qui auront engendré quelques pannes plus ou moins passées inaperçues, et surtout empêché 3 attentats plus graves, plus quelques-uns en province où les dispositifs de surveillance des masses étaient restés plus légers.
Ils n’ont seulement pas pensé à vérifier les boulons de la passerelle de Bir-Hakeim que ça aurait pu terminer en désastre avec le marathon pour tous.
En bref, la fête aura été formidable avec un seul bémol : Ils avaient invité « Tagada-à-la-fraise-des-bois » le soir du l’ouverture des jeux sans penser une seule seconde qu’avec lui, c’était le déluge assuré !
Il a failli tout gâcher, celui-là, et par sa seule présence…
Bien sûr, il y a eu plein de grincheux, notamment chez les parigots, dont moâ-même, qui râlaient de devoir justifier de ses quartiers de noblesse à chaque coin de rue pour rentrer chez soi, mais j’ai pris les devants et, avant le gros de l’effort, j’avais anticipé de me réfugier en Balagne…
Et en attendant, les trolls de « Poux-tine » se sont cassé les dents sur leurs fake-news, à l’exception notoire de « Naya-kamatchaka » qui aura chanté sur le pont des arts avec la garde républicaine (une artiste francophone qui ne sait pas chanter en « francilien-natif », mais aura bien assuré en langage de Molière, nonobstant les mauvaises langues) et les Drag-queens à poils déguisées en schtroumpf singeant, paraît-il, la cène !
Personnellement, je n’ai vu qu’un Bacchus délirant dans une cacophonie pas du meilleur goût, et j’ai été enchanté, émerveillé, bluffé par la diva-Dion (Céline pour les intimes) qui chante de très haut (pourtant, d’habitude je ne l’apprécie pas vraiment : Elle a parfois des textes « gnan-gnan » comme dirait « Sœur-Âne », un peu comme Johnny qui sait ce qu’il sait et ce qu’il sait il le sait durant trois minutes trente…) et déçu par « Lady-Gogo ».
Il faut dire que d’entrée, j’ai cru qu’ils avaient ressuscité Zizi-Jeanmaire, mais en fait il y avait surtout un décalage infinitésimal entre l’image (préenregistrée) et la bande-son (également prémâché) qui gâchait la prestation…
Un peu étonné également qu’il y ait eu tant de références aux épisodes sanguinolents de la ville-lumière qui auront fait émerger de grands moments d’histoire de l’humanité.
Pour le reste, bon, ce n’était pas si mal finalement…
En revanche je n’en dirai pas autant de la cérémonie de clôture, trop longue, trop complexe, pas assez spectaculaire.
Du coup, j’ai fermé le poste pour l’ouverture des para-olympiques et j’ai boycotté leur cérémonie de clôture.
En fait, en juillet, je me foutais bien de toutes les difficultés des parigots : Mon problème c’était d’assurer la ventilation minimale nocturne pour pouvoir dormir par 30 degrés. J’étais chez moâ sur place, avec une nouvelle télé et des glaçons express, mais toujours pas de climatisation : Ma « nichée » n’en veut pas trouvant la démarche pas très « écolologiste » !
Parce que bouffer de l’électricité pour ventiler et faire des glaçons, générée au fioul lourd à Bastia ou à Ajaccio, c’est sans doute plus « écololo »…
Enfin passons.
La seule chose à retenir, c’est qu’il faisait chaud et parfois très chaud.
Les « neiges éternelles » sur le massif du Cinto n’auront tenu que jusque fin juillet.
Le vent aura fait quelques tentatives d’existence, mais pas assez pour faire progresser des incendies de maquis.
La mer était chaude, presque trop (27°) durant la majeure partie du séjour à en redouter un épisode d’ouragan méditerranéen (qui aura provoqué des inondations du côté de la Côte d’Azur et à Avignon).
Il n’aura plu qu’en fin de séjour et à aucun moment je n’ai eu à me désoler du massacre d’insecte sur mon parebrise…
Bref, en attendant et durant ces trois semaines de « rallonge » début juillet, j’ai donc participé à quelques réunions de travail d’un « think-tank » financé par des meks bourrés de thunes et inquiets pour leurs avoirs et leur avenir de SDF (Sans Difficulté Financière) qui faisaient turbiner des « stagiaires » et autres « neurones de demain » autour des thématiques politiques : Et si…
Le smic, les impôts, les taxes, les charges patronales, l’Europe, etc.
Le mariage pour tous et même les lapins pour réduire la signature carbone d’une humanité trop nombreuse à leurs yeux, l’euthanasie comme moyen de réduire les déficits sociaux, retraite, assurance-maladie, dépendance, les services publiques à privatiser comme les transports, les « mobilités », les parts de marché des poulets mexicains qui bouffent du maïs-ricain qu’ils ne savent plus quoi en faire, la place des OGM et des vaccins à ARM messager, le puçage numérique des populations et la place des libertés d’expression (et des libertés publiques) sans oublier la régulation des fakes-news « officielles », etc…
Les sujets étaient nombreux, je peux vous le dire.
Et encore, je n’ai pas tout vu…
Souvenez-vous qu’à l’époque, on en était tous sûrs et certains que le « petit-J’ordonne » le « Bordel-là » était déjà premier sinistre et que même les « barons » du « Air-haine » se partageaient en avance d’hoirie les ministères entre eux.
Vous rappelez-vous de Serge Reggiani chantant « Les loups sont dans Paris », bé c’était l’ambiance, à La Défense, mais également dans toutes les capitales européennes, semble-t-il…
La « Gauloisie-olympique » allait basculer du « côté obscure » des « Lumières », verser dans les démons du passé. On en voulait à « Jupiter » de précipiter les échéances (alors qu’il ne faisait que tenter d’administrer un vaccin dont on ne sait pas encore s’il a fait ou non son office), là où certains en rêvaient après avoir réussi à tuer l’idée même de Liberté inventée par les philosophes grecs, jusqu’en Grèce, justement.
Oui, mais quelles conséquences financières au juste ?
C’était comme une sorte de grand frémissement le long de l’échine de l’intelligentsia du monde occidental, là où chez les Russes, à Pékin, à Pyongyang on n’ose pas encore jubiler ouvertement…
Et si le phare de l’humanité était finalement si fragile ?
Et donc, quelles conséquences d’un programme économique, social, fiscal et financier délirant sur le sort de chacun ?
Je n’étais pas nombreux à ne pas y croire…
Pour moâ, contrarié par tant de cécité, je leur ai dit d’emblée : « Jupiter » joue avec le feu et avec un agenda personnel. Il vise les pleins pouvoirs et pour ça, il a besoin d’émeutes et d’un grand bordel qui va tout bloquer.
Ce qui n’est pas bon pour les « affaires »… et c’est ça qu’il faut anticiper par nos « donneurs d’ordre » inquiets.
D’ailleurs, comme ça n’a pas vraiment fonctionné comme il le pensait – devoir nommer « Bordel-là » à Matignon, ou « Mes-Luches » – pour justifier de son coup d’État, à la sortie des urnes, il a tergiversé jusqu’en septembre pour trouver un « premier sinistre » qui fasse illusion et qui ne serait pas censuré dès le premier octobre, avec la présentation du budget 2025… la priorité préparée par les hauts fonctionnaires restés en poste dans l’intervalle sans l’aide ou les directives d’absolument aucun « politique »…
Un budget qui va passer à coup de 49-3 : On sait qu’avec une absence de majorité, la stratégie fonctionne très bien (cf. les réformes de « Lili-Bête-borgne »).
Si ça ne passe pas, là, mi-décembre 2024, il prend tous les pouvoirs au titre de l’article 16 pour promulguer via des ordonnances ladite loi de finances et personne ne pourra dire qu’il n’est pas légitime au nom de la continuité de l’État, pas même le Conseil constitutionnel…
Et là, il tient six mois comme ça, fait monter la sauce et la mayonnaise, et envoie la troupe arrêter tous ses opposants…
Le truc cousu de fil blanc, à condition de bien maîtriser le temps qui passe…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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