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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 20 septembre 2024

Jean-Marc est de retour d’estives…

Depuis un moment, même, et c’est moâ qui tarde !
 
Et il commence par une « vieille revenue » :
Une fois leurs études finies, trois frères quittent leur province natale pour la capitale et entament de brillantes carrières.
Les années filent et ils deviennent tous très riches.
À l’approche des 80 ans de leur mère adorée, ils décident de lui faire de très beaux cadeaux.
Ils se retrouvent dans un grand restaurant parisien.
L’aîné commence :
« J’ai offert une belle Jaguar à maman et je paye à l’année un chauffeur personnel. »
Le cadet, sourire aux lèvres, déclare :
« C’est pas mal mais j’ai encore mieux. Je lui ai acheté une très belle villa dans un parc arboré. »
Enfin le benjamin conclut avec malice :
« Eh bien moi j’ai réfléchi. Depuis que maman a la vue qui baisse, elle ne peut plus lire la Bible ce qui est catastrophique car elle est très pieuse.
Alors je lui ai acheté un perroquet qui connaît la Bible par cœur.
Il a fallu plusieurs années à des moines pour lui apprendre un si gros livre.
Je l’ai acheté deux millions d’euros. »
Les frères se séparent.
Chacun est convaincu que son cadeau est le meilleur.
Les semaines passent et ils reçoivent un courrier de leur maman.
L’aîné : « Merci pour la voiture mon grand mais je suis maintenant trop âgée pour sortir ce qui fait que je ne m’en sers jamais. »
Le cadet : « Merci pour la maison. Je reconnais là ton sens de la démesure. Elle est trop grande pour moi et c’est un vrai calvaire que de m’en occuper. Ne te vexe pas si je te la rends et que je retourne dans mon appartement. »
Le benjamin : « Mon petit bébé chéri. Tu es décidément le seul dans cette famille qui comprenne ta maman. Je te remercie du fond du cœur pour le poulet que tu m’as envoyé. Il était succulent. »
 
Encore une, peut-être plus ancienne encore :
Cinq amis partent en week-end à bord d’une Audi Quattro.
Il se font arrêter lors d’un contrôle routier.
Après avoir vérifié les papiers du véhicule, le gendarme dit au conducteur :
« Vous êtes cinq dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas continuer, ou alors l’un d’entre vous doit sortir du véhicule. »
Le conducteur (étonné et légèrement moqueur) :
« — Écoutez, le nom de la voiture n’a rien à voir avec le nombre d’occupants, nous avons le droit d’être à cinq.
— Pas question, vous êtes dans une Audi QUATTRO, vous devez être quatre occupants maxi.
Si aucun de vous ne descend, je ne vous laisse pas passer. »
Le conducteur (qui commence à s’énerver) :
« Je vous dis que le terme QUATTRO a un rapport avec la traction sur les 4 roues, ça n’a rien à voir avec le nombre d’occupants. »
Le gendarme (toujours imperturbable) :
« Pas question ! Je ne vous laisse pas passer tant que l’un de vous ne descend pas de l’Audi Quattro. »
Le conducteur (excédé) :
« — Fini la plaisanterie !! Faites venir votre chef que je puisse régler le problème avec lui ! Vous êtes un incapable !!!
— C’est pas possible. Il est occupé avec deux récalcitrants dans une Fiat UNO ! »
 
Un jeune policier débutant fait sa première ronde avec un collègue expérimenté.
« Nous allons aller dans une cité sensible, » dit l’autre. « Alors dès que tu vois un attroupement, tu les disperses pour éviter que ça dégénère. D’accord ? »
Cinq minutes plus tard, le jeune policier s’écrie :
« Arrête la voiture ! »
Il descend en coup de vent, et fonce vers un groupe.
« Allez, allez, on ne reste pas là, on rentre chacun chez soi ! »
Les autres ne bougent pas.
« J’ai dit : On rentre chez soi ! Vous préférez qu’on vous embarque ? »
Tout le monde s’en va.
Fier de lui, le jeune flic remonte dans la voiture et dit à son collègue :
« — Tu as vu comment je les ai dispersés, vite fait bien fait ?
— Oui, oui. Et toi, tu as vu que c’était un arrêt d’autobus ? »
 
C’est l’histoire d’une entreprise qui décide de changer le style de gestion et engage un nouveau directeur général.
Ce dernier est déterminé à procéder à des changements pour rendre l’entreprise plus productive.
Le premier jour, il fait une inspection de l’entreprise, accompagné de ses principaux collaborateurs.
Il constate que tout le monde est en train de travailler sauf un jeune homme qui est appuyé contre le mur, les mains dans les poches.
Le directeur voit là une opportunité pour faire comprendre aux travailleurs sa philosophie du travail. Il demande au jeune homme :
« — Combien gagnez-vous par mois ?
— 600 euros, Monsieur, pourquoi ? » répond le jeune homme sans comprendre.
Le directeur lui remet 600 euros en main et lui dit :
« Voilà votre salaire pour ce mois. Maintenant disparaissez et ne remettez plus jamais les pieds dans cette entreprise. »
Le jeune homme met l’argent en poche et exécute l’ordre du directeur.
Le directeur, fier de lui, demande à un groupe de travailleurs :
« — Quelqu’un peut me dire ce que faisait ce jeune homme ?
— Oui, Monsieur le directeur », répond surpris l’un d’eux. « Il est venu livrer une pizza… »
 
Une autre « revenues » :
Lors du premier jour des soldes, Jean-Marc tente d’accéder aux portes d’un magasin.
Malgré une file d’attente très importante, il parvient à se faufiler jusque devant l’entrée non sans entendre quelques jurons des personnes présentes dans la queue.
Alors qu’il passe devant une vieille dame pratiquement collée contre la porte d’entrée, elle l’arrête net, le gifle et refuse qu’il lui passe devant.
Voyant le courage de la vieille dame, toutes les autres personnes firent de même et Jean-Marc est bousculé en tous sens et se retrouve à la fin de la file d’attente.
C’est alors que pris de colère il s’écrie en levant un trousseau de clés au-dessus de sa tête :
« Eh bien si c’est comme ça… j’ouvre pas le magasin !! »
 
Parmi les revenues du moment :
Germaine et Jean-Marc sont réveillés tous les matins par le radio-réveil à 7 heures qui présente la météo :
« Chers auditeurs nous vous signalons qu’une forte chute de neige de 10 cm est prévue aujourd’hui… Nous vous demandons de garer votre véhicule côté pair pour faciliter le passage du chasse-neige. »
Germaine se lève d’un bond et court déplacer son véhicule côté pair !
Le lendemain matin, 7 heures, le radio-réveil se met en marche :
« Chers auditeurs nous vous signalons qu’une forte chute de neige de 20 cm est prévue aujourd’hui… Nous vous demandons de garer votre véhicule côté impair pour faciliter le passage du chasse-neige. »
Germaine se lève d’un bond et court déplacer son véhicule côté impair !
3ème jour, 7 heures du matin, le radio-réveil se met en marche :
« Chers auditeurs nous vous signalons qu’une forte chute de neige de 30 cm est prévue aujourd’hui… Nous vous demandons de garer votre véhicule côté pair pour faciliter le passage du chasse-neige. »
De nouveau, Germaine se lève d’un bond et court déplacer son véhicule côté pair !
4ème jour, 7 heures du matin, le radio-réveil se met en marche :
« Chers auditeurs nous vous signalons qu’une forte chute de neige de 40 cm est prévue aujourd’hui… Nous vous demandons… »
Mais une subite coupure de courant empêche la suite de l’émission !!!
Germaine, affolée demande à Jean-Marc comment elle va faire pour savoir de quel côté il va falloir garer la voiture !
Son mari se tourne vers elle en la regardant avec beaucoup de compassion : « Chérie, et si ce matin tu laissais la voiture au garage… »
 
C’est un gendarme qui arrête Jean-Marc sur la route des vacances… et pose la question qui tue :
« — Vous avez bu quoi ?
— Rien que des jus de fruit, ce matin… 3 cassis, 1 poire et une liqueur d’orange…
— Eh bien laissez-moi vous offrir une petite prune ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, tôt le matin, devant leur « café-rhum » matinal, commentant la réubrique des faits-divers :
« Les mecs, ça dépose des plaintes pour le chant des coqs, les odeurs d’étable, mais ce sont les mêmes qui payent pour aller au salon de l’agriculture…
Je ne comprends pas ! »
 
Plus tard, après la première bière de la journée :
« Une légende urbaine sympathique circule et raconte que quand tu fais une queue de poisson à une voiture de flic, tu vas entendre le chant des sirènes… »
 
Texto de Germaine à Jean-Marc :
« Mon amour, la voiture ne veut pas démarrer…
Je crois que de l’eau est tombée dans le carburateur… »
Réponse : « Elle est bien bonne, celle-là : Comme si tu savais où se trouve le carburateur ! »
« Dans la voiture ! »
« Et la voiture ? »
« Dans la rivière ! »
 
Lu pour vous :
« Pour être heureux, il n’est pas nécessaire d’être con, mais ça aide… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Ça me fait toujours rire tous ces mecs qui disent que c’est leur femme qui décide de tout…
 Ah bon ! Et pourquoi ?
— Moi perso, tant que Germaine est d’accord, bé je fais ce que je veux ! »
 
Les mêmes…
« — Les soirs de match et de réveillon, il s’agit de conduire prudemment…
— Oui je sais…
— Parce les hommes ivres laissent conduire leurs femmes… »
 
Jean-Marc dans un restaurant chinois :
« — Est-ce que vous servez des nouilles ici ?
— Oui, assurément monsieur ! Nous servons tout le monde ! »
 
Les mêmes :
« — J’ai remplacé tous mes mots de passe par le mot « incorrect » !
— Et pourquoi ça ?
— Parce qu’à chaque fois que j’oublierai mon mot de passe, on me dira, « mot de passe incorrect »…
— Ok ! C’est du génie, ça… »
 
Encore une très vieille :
Le corps humain se demande qui est le chef.
« C’est moi ! » s’écrit le cœur. « Je fais circuler le sang et apporte la vie à vous tous ! »
« Non, c’est moi ! » annonce le cerveau. « Car je contrôle tout ! »
« Pas du tout ! » proteste le foie. « C’est moi et mes collègues qui nourrissent tout le monde ! »
Et quand l’anus dit que c’est lui, tout le monde rigole !
Vexé, l’anus se bloque et refuse de s’ouvrir durant 7 jours.
Le foie explose, le cerveau est en compote, le cœur menace de s’arrêter…
Comme quoi, même un « trou du cul » peut être chef !
 
Réflexion pleine de bon sens de Germaine dans une barque sur le lac du bois de Vincennes s’adressant à Jean-Marc
« — C’est fou comme cette balade en barque ressemble à notre vie…
— Comment ça ?
— Tu rames et je m’emmerde ! »
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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