Paul se « reprogramme »
Avertissement : Vous l’aviez
compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle
», du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire
de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Du roman ? Mais absolument… au moins pour
l’auteur et son blog !
Mais ni pour la narratrice qu’elle est, ni pour Paul, le sujet central desdits récits…
« Pour nous qui sommes « dans le dur » et au quotidien, n’est-ce pas que du roman, après tout ? » veut conclure Gustave qui reste rationnel jusqu’au bout des ongles…
Et ce serait quoi alors ? Un monde
parallèle peut-être ?
« Paul vous dirait que les mondes parallèles, c’est de la science-fiction ! »
Argument très drôle quand on nage déjà en
pleine élucubration scientifique avec ces voyages sur la flèche du temps
absolument délirants…
Gustave connaissait l’argumentation : c’est un artifice mathématique qui met en jeu un signe égal entre deux propositions. Si l’une est juste, l’autre l’est également puisque pas définition elles sont égales : style, 1013,25 millibars = 76 centimètres de mercure.
Donc, inversement, si l’une est fausse, l’autre ne peut pas être correcte. Sauf à entrer dans un jeu de miroirs et de symétries dont les grands principes de la physique ont le secret.
« Mais ça ne marche pas pour le fonctionnement de la flèche du temps… Paul peut en dire ce qu’il veut, c’est comme ça, point-barre ! »
Gustave en devenait presqu’agressif.
Il faut dire qu’imaginer un monde où les
conséquences précèdent les causes, c’est un peu compliqué pour un être
« normal » qui vit après être né et avant de mourir. Et qu’une fois
mort, il ne peut jamais plus renaître à l’identique.
Un peu comme un verre qui se casse en mille morceaux sur un carrelage après avoir été renversé de dessus une table…
« Essayez donc de le rafistoler en collant les morceaux : pas sûr qu’il retienne son contenu liquide ! »
« Écoutez, amiral, peu importe comment
Paul aura fait, ni que vous le croyez ou non, que vous faites fi de ce que je
vous ai rapporté avoir vécu[1] ou
non, tout cela, ce n’est pas bien grave.
Ce qui reste important c’est ce que
nous avons à faire. Ou plutôt de ce que nous savons que nous avons à
faire ! »
Et il s’agit de quoi ?
« C’est d’encadrer et d’assister Paul dans la récupération de ses moyens et de ses souvenirs.
C’est l’encadrer et l’assister dans la
mise au point du « 3.0 » qui doit devenir le support technique que
tout le monde vous réclame.
C’est aussi se préparer à l’arrivée d’espions russes ou bélarusses dans notre entourage direct… »
C’est quoi cette histoire, là ?
« Il nous en avait touché un mot sur son
voilier en début d’été dernier en baie de Calvi[2]. »
Ah oui, c’est vrai, Gustave
se remémore cet épisode-là…
« Le mari de Julie… Mais je ne vois pas l’intérêt pour eux de venir nous espionner… »
D’autant qu’elle n’est pas encore mariée, pourtant…
« N’avez-vous jamais été patron d’un service de renseignement, Amiral ? »
Si !
De la direction du renseignement militaire, même…
« Donc vous savez comment on procède pour recouper ses sources et valider une information confidentielle… » fait Alexis d’une manière sournoise.
« Je sais surtout comment celui-là sera
enfumé : Paul nous avait dit qu’on s’en servirait pour manipuler les
services concurrents… »
Ok ! fait Alexis…
« Il s’agit de le repérer et de le cadrer. »
Ok ! lui répond Gustave en levant les deux
pouces à son intention…
Ils auront ensuite fait leurs voyages avec
Paul, à Londres sans Gustave, puis aux Chagos avec l’amiral et Julie. Rien de
particulier à signaler.
Aux Chagos, les chantiers de la ville et du tunnel de la fronde spatiale avancent. Pas assez rapidement pour Paul, parce que parfois, il est bloqué par le manque de main-d’œuvre, parfois par la pénurie de matière-première, parfois par des pannes de matériel…
Les imprévus, genre les tempêtes tropicales ou les orages du « pot-au-noir » qui empêchent l’entrée dans le lagon des navires de fort tirant d’eau ou les avions gros porteurs d’atterrir sur une piste trop courte pour décoller en toute sécurité, ne sont pas toujours anticipés et participent aux retards enregistrés.
Alors se créent des points de rupture et des arrêts intempestifs de fabrication des voussoirs du tunnel.
Et puis il y a eu une épidémie de gastro-entérite qui aura rendu inapte au travail les Sri-Lankais débarqués jusque-là pour venir bosser sur les chantiers…
À Londres, la lady Joan est toujours aussi délicieuse,
même si elle a du mal à accepter la présence… omniprésente d’Alexis.
Elle rencontre des difficultés à accepter qu’une tierce personne soit témoin des « petits-secrets » de sa boutique de courtage des Lloyd’s au cœur de la City et se retient d’en dire trop.
Peut-être qu’elle aimerait également renouer des liens plus étroits… plus intimes, avec Paul, pour être peut-être encore une amoureuse contrariée, alors que ce dernier se fait systématiquement accompagner par sa « biographe » qui ne cesse de prendre des notes de leurs entretiens. Lui voir « tenir la chandelle » semble la perturber et la contrarier…
C’est que Paul a des projets… Il a certes besoin d’argent, de beaucoup d’argent et de continuer à faire croître sa fortune personnelle : les chantiers des Chagos pèsent presqu’un milliard d’euros par an en termes de décaissement…
Ce qui paraît énorme à Alexis, mais ce n’est que le dixième de ce qui est budgété…
C’est lourd, et même si les compagnies aériennes et de croisière équilibrent désormais leurs financements et commencent à dégager quelques bénéfices, ce n’est pas encore suffisant.
De plus, les marchés et les fournisseurs comptent en dollars… La lady compte en livres et la fondation luxembourgeoise de Paul qui reste le support juridique de tous ces mouvements financiers compte en euros.
Et tout passe par le cabinet de la Lady qui gère cette fondation patrimoniale de Paul dont la siège est au Luxembourg, avec du personnel détaché de la britannique posé sur place et payé en pound.
« Rien ne doit passer par la
France ! »
aura plusieurs fois indiqué Paul.
Et, pour expliquer cette injonction, il aura
avancé à Alexis, et à de nombreuses occasions, des raisons fiscales :
« Je ne veux pas mêler Florence avec ces histoires de finances
parce qu’elle et nos gamins sont domiciliés à Paris. Et que la direction locale
des impôts du Vème arrondissement de la rue Geoffroy Saint-Hilaire
sont des abrutis syndicalisés à donf… Un vrai panier de crabes qui voient
passer des déclarations « hors-normes » et s’imaginent pouvoir faire
carrière en soulevant quelques lièvres.
Ce qui est inutilement chronophage.
Ils ont ainsi eu quelques ministres et même un Président, Thierimant, ce qui historiquement les a excités depuis toujours…
Le Vème c’est juste la marche avant le VIIème plus juteux et avant les directions du XVIème ou du VIIIème qui sont le jackpot et le passage obligé avant d’intégrer une direction nationale par le tour interne…
Bref, je ne veux pas d’histoire : elle a déjà sa maison en Balagne en pleine propriété où elle peut se réfugier, l’appart’ parisien et un local au Kremlin-Bicêtre mais en location. Si en plus on lui met sur le dos mes SCI d’hôtels, Kotor, la Normandie, le Château sur Cher de Mylène, le Kremlin-Bicêtre, l’entrepôt de catering de Roissy qui fait à bouffer pour tout le monde et les installations des Chagos, la pauvre, elle n’aura même plus les moyens de donner à becqueter à nos gamins : il lui faudra faire la queue au secours populaire ! »
Ou aux restaus du cœur…
Qu’il est drôle parfois : en tout cas il retrouve peu à peu ses moyens, ses raccourcis, sa vision cynique de l’humanité ou tout simplement son bon sens…
Car lui en matière fiscale… il a les moyens : il peut assumer !
« Ce que vous ne voulez pas comprendre,
Alexis, c’est que le fisc français est mondial et établi sans vergogne des
responsabilités solidaires dans un couple dès lors qu’ils sont domiciliés au
même endroit. Peu importe que ce soit au même étage, qu’ils soient mariés,
pacsés, concubinés, cuqués ou non ! »
Cuqué ?
« De CUC… Cérémonie d’Union Civile… C’est pour cette raison que j’évite de passer plus de 6 mois en France. D’où les quelques mois aux Chagos, les quelques autres sur Eurydice le voilier, hors des eaux territoriales, et le reste entre Londres, les USA ou encore ailleurs.
Tant qu’on n’apparaît pas dans leurs
fichiers, ils ne vous emmerdent pas… »
Mais elle croyait que les biens situés en
France restaient imposés en France…
« Les biens, oui, même quand ils appartiennent à une fondation luxembourgeoise. Les biens et les revenus qu’ils génèrent, seulement s’ils sont logés en France…
Mais pas les personnes qui vivent hors
de France : je ne paye des impôts que sur mes revenus d’origine française,
via des retenues à la source diverses, mais je ne suis pas mondialisé quand ces
revenus sont perçus depuis le Luxembourg, par exemple. »
Ou depuis Londres et demain peut-être des
Chagos qui est une zone franche, hors un forfait payé directement à la famille
Mountbatten, le lord local…
C’est bien compliqué tout ça.
« Pensez bien que si je devais assumer
toutes ces charges fiscales sans retour aucun, je ne pourrais même pas financer
mes projets, pas plus aux Chagos qu’à Aubenas ou que sur les mers et les airs
avec les compagnies aériennes et maritimes »,
« Paradise-Airway » et « Paradise-Cruise », ni même les
financements de la Cisa : « il n’y aurait tout simplement jamais eu
de BBR 2.0 !
Et c’est pareil si Washington se met à considérer que je suis imposable aux USA, parce que chez eux aussi, l’IR est mondial et peu importe votre nationalité…
Avec leur IRS, même sans habiter au pays, ils n’hésitent pas à vous taxer si vous avez le malheur de faire semblant d’y avoir habité à un moment quelconque de votre vie… »
Quand on est « natif », c’est
pire : il faut pouvoir prouver qu’on paye ses impôts dans un autre pays
qui a une convention fiscale avec les USA.
Admettons, en conclue Alexis qui ne veut pas non plus devenir une experte en matière de fiscalité mondiale et préfère aborder d’autres sujets.
Pour l’heure, Paul demande justement à la Lady
d’user de ses relations pour relancer Elon Musk : il a besoin de ses
lanceurs pour mettre en orbite une « station-service », kérosène/oxygène
liquide, pour refaire les pleins à l’occasion du prochain vol de son
démonstrateur « Nivelle 3.1 » pour Noël 2024. Et ils devaient se
croiser au salon du Bourget, ce qui n’a pas été possible…
Or, le vol est toujours prévu avec Florence comme équipière…
Son fantasme du moment… qui ne l’emballe pas vraiment, elle…
Que justement, Lady Joan se fait mettre au courant des détails et, après avoir écouté son exposé, elle lui demande si ce n’est pas dangereux…
« Si, bien évidemment. Mais, d’une part tu connais le fonctionnement des statuts de ma fondation luxembourgeoise qui survivra à un accident, et d’autre part, j’aurai déjà affirmé qu’on en reviendrait… »
« So! If you’re looking for a volunteer
who isn’t afraid, I’m one, darling![3] », fait-elle avec un
sourire en coin qui en dit long sur ses intentions.
Comme si Alexis n’avait pas compris… Elle n’est
pas bilingue, mais tout de même…
En fait, Paul n’a aucun souvenir des épisodes
passés avec cette femme-là, mais rien que l’idée d’en avoir de nouveau dans le
futur, ça lui génère des effets aphrodisiaques qui en deviennent
« visibles »…
Et puis la réaction de la lady en rajoute avec son ton suave de menthe religieuse…
Même que lui a ensuite un peu de mal à déplacer sa grande carcasse souplement !
Quant à elle, rien ne dit « qu’elle mouille », sauf ses yeux…
Car elle minaude telle une chatte en chaleur, finalement un peu contrariée de ne pouvoir exciper de lien direct avec le fantasque milliardaire né afrikaner, le plus riche du monde en alternance avec le patron du luxe français, pour satisfaire son « french stalion[4] ».
Pourquoi ces deux-là sont sexuellement attirés l’un vers l’autre et ne sont-ils pas « amoureux » l’un de l’autre ?
« Alexis, à votre âge… vous confondez encore attraction sexuelle et sentiment amoureux…
Mais l’amour, c’est autre chose que
deux sexes qui s’emboîtent… »
Certes, certes ! Il a probablement raison
et c’est ce qui explique ainsi toutes les formes d’amour, sexuées ou non
d’ailleurs, mais d’habitude l’un ne va pas sans l’autre et les deux formes
d’attirance se complètent en générale harmonieusement…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. « Alex recherche Charlotte »
[2] Cf. « Menaces de chaos »
[3] Aussi ! Si tu cherches une bénévole qui n’a pas peur, j’en suis une, chéri !
[4] Cf. épisode « Opération Juliette-Séria » ou « Seconde édition ».
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Mais ni pour la narratrice qu’elle est, ni pour Paul, le sujet central desdits récits…
« Pour nous qui sommes « dans le dur » et au quotidien, n’est-ce pas que du roman, après tout ? » veut conclure Gustave qui reste rationnel jusqu’au bout des ongles…
« Paul vous dirait que les mondes parallèles, c’est de la science-fiction ! »
Gustave connaissait l’argumentation : c’est un artifice mathématique qui met en jeu un signe égal entre deux propositions. Si l’une est juste, l’autre l’est également puisque pas définition elles sont égales : style, 1013,25 millibars = 76 centimètres de mercure.
Donc, inversement, si l’une est fausse, l’autre ne peut pas être correcte. Sauf à entrer dans un jeu de miroirs et de symétries dont les grands principes de la physique ont le secret.
« Mais ça ne marche pas pour le fonctionnement de la flèche du temps… Paul peut en dire ce qu’il veut, c’est comme ça, point-barre ! »
Un peu comme un verre qui se casse en mille morceaux sur un carrelage après avoir été renversé de dessus une table…
« Essayez donc de le rafistoler en collant les morceaux : pas sûr qu’il retienne son contenu liquide ! »
« C’est d’encadrer et d’assister Paul dans la récupération de ses moyens et de ses souvenirs.
C’est aussi se préparer à l’arrivée d’espions russes ou bélarusses dans notre entourage direct… »
« Le mari de Julie… Mais je ne vois pas l’intérêt pour eux de venir nous espionner… »
« N’avez-vous jamais été patron d’un service de renseignement, Amiral ? »
De la direction du renseignement militaire, même…
« Donc vous savez comment on procède pour recouper ses sources et valider une information confidentielle… » fait Alexis d’une manière sournoise.
« Il s’agit de le repérer et de le cadrer. »
Aux Chagos, les chantiers de la ville et du tunnel de la fronde spatiale avancent. Pas assez rapidement pour Paul, parce que parfois, il est bloqué par le manque de main-d’œuvre, parfois par la pénurie de matière-première, parfois par des pannes de matériel…
Les imprévus, genre les tempêtes tropicales ou les orages du « pot-au-noir » qui empêchent l’entrée dans le lagon des navires de fort tirant d’eau ou les avions gros porteurs d’atterrir sur une piste trop courte pour décoller en toute sécurité, ne sont pas toujours anticipés et participent aux retards enregistrés.
Alors se créent des points de rupture et des arrêts intempestifs de fabrication des voussoirs du tunnel.
Et puis il y a eu une épidémie de gastro-entérite qui aura rendu inapte au travail les Sri-Lankais débarqués jusque-là pour venir bosser sur les chantiers…
Elle rencontre des difficultés à accepter qu’une tierce personne soit témoin des « petits-secrets » de sa boutique de courtage des Lloyd’s au cœur de la City et se retient d’en dire trop.
Peut-être qu’elle aimerait également renouer des liens plus étroits… plus intimes, avec Paul, pour être peut-être encore une amoureuse contrariée, alors que ce dernier se fait systématiquement accompagner par sa « biographe » qui ne cesse de prendre des notes de leurs entretiens. Lui voir « tenir la chandelle » semble la perturber et la contrarier…
C’est que Paul a des projets… Il a certes besoin d’argent, de beaucoup d’argent et de continuer à faire croître sa fortune personnelle : les chantiers des Chagos pèsent presqu’un milliard d’euros par an en termes de décaissement…
Ce qui paraît énorme à Alexis, mais ce n’est que le dixième de ce qui est budgété…
C’est lourd, et même si les compagnies aériennes et de croisière équilibrent désormais leurs financements et commencent à dégager quelques bénéfices, ce n’est pas encore suffisant.
De plus, les marchés et les fournisseurs comptent en dollars… La lady compte en livres et la fondation luxembourgeoise de Paul qui reste le support juridique de tous ces mouvements financiers compte en euros.
Et tout passe par le cabinet de la Lady qui gère cette fondation patrimoniale de Paul dont la siège est au Luxembourg, avec du personnel détaché de la britannique posé sur place et payé en pound.
Ils ont ainsi eu quelques ministres et même un Président, Thierimant, ce qui historiquement les a excités depuis toujours…
Le Vème c’est juste la marche avant le VIIème plus juteux et avant les directions du XVIème ou du VIIIème qui sont le jackpot et le passage obligé avant d’intégrer une direction nationale par le tour interne…
Bref, je ne veux pas d’histoire : elle a déjà sa maison en Balagne en pleine propriété où elle peut se réfugier, l’appart’ parisien et un local au Kremlin-Bicêtre mais en location. Si en plus on lui met sur le dos mes SCI d’hôtels, Kotor, la Normandie, le Château sur Cher de Mylène, le Kremlin-Bicêtre, l’entrepôt de catering de Roissy qui fait à bouffer pour tout le monde et les installations des Chagos, la pauvre, elle n’aura même plus les moyens de donner à becqueter à nos gamins : il lui faudra faire la queue au secours populaire ! »
Qu’il est drôle parfois : en tout cas il retrouve peu à peu ses moyens, ses raccourcis, sa vision cynique de l’humanité ou tout simplement son bon sens…
Car lui en matière fiscale… il a les moyens : il peut assumer !
« De CUC… Cérémonie d’Union Civile… C’est pour cette raison que j’évite de passer plus de 6 mois en France. D’où les quelques mois aux Chagos, les quelques autres sur Eurydice le voilier, hors des eaux territoriales, et le reste entre Londres, les USA ou encore ailleurs.
« Les biens, oui, même quand ils appartiennent à une fondation luxembourgeoise. Les biens et les revenus qu’ils génèrent, seulement s’ils sont logés en France…
C’est bien compliqué tout ça.
Et c’est pareil si Washington se met à considérer que je suis imposable aux USA, parce que chez eux aussi, l’IR est mondial et peu importe votre nationalité…
Avec leur IRS, même sans habiter au pays, ils n’hésitent pas à vous taxer si vous avez le malheur de faire semblant d’y avoir habité à un moment quelconque de votre vie… »
Admettons, en conclue Alexis qui ne veut pas non plus devenir une experte en matière de fiscalité mondiale et préfère aborder d’autres sujets.
Or, le vol est toujours prévu avec Florence comme équipière…
Son fantasme du moment… qui ne l’emballe pas vraiment, elle…
Que justement, Lady Joan se fait mettre au courant des détails et, après avoir écouté son exposé, elle lui demande si ce n’est pas dangereux…
« Si, bien évidemment. Mais, d’une part tu connais le fonctionnement des statuts de ma fondation luxembourgeoise qui survivra à un accident, et d’autre part, j’aurai déjà affirmé qu’on en reviendrait… »
Et puis la réaction de la lady en rajoute avec son ton suave de menthe religieuse…
Même que lui a ensuite un peu de mal à déplacer sa grande carcasse souplement !
Quant à elle, rien ne dit « qu’elle mouille », sauf ses yeux…
Car elle minaude telle une chatte en chaleur, finalement un peu contrariée de ne pouvoir exciper de lien direct avec le fantasque milliardaire né afrikaner, le plus riche du monde en alternance avec le patron du luxe français, pour satisfaire son « french stalion[4] ».
Pourquoi ces deux-là sont sexuellement attirés l’un vers l’autre et ne sont-ils pas « amoureux » l’un de l’autre ?
« Alexis, à votre âge… vous confondez encore attraction sexuelle et sentiment amoureux…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Cf. « Alex recherche Charlotte »
[2] Cf. « Menaces de chaos »
[3] Aussi ! Si tu cherches une bénévole qui n’a pas peur, j’en suis une, chéri !
[4] Cf. épisode « Opération Juliette-Séria » ou « Seconde édition ».
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