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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 4 septembre 2024

51/63 – Le bug du 7 octobre

La guerre contre le Hamas
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Le 17 octobre 2023, l’annonce d’une explosion dans la cour extérieure de l’hôpital Al-Ahli Arabi à Gaza et qui aurait fait entre 50 et 500 morts voire 800, provoque l’ire de nombreux manifestants dans le monde.
Les deux parties, Israël et Hamas, s’accusent mutuellement de cette frappe mais selon Human Rights Watch, s’appuyant sur les analyses des vidéos, il paraît peu probable que cette explosion soit due à un bombardement israélien mais plutôt à une roquette palestinienne…
Ou quand le Hamas palestinien participe activement à des fins de propagande au génocide Palestinien en cours…
 
Différentes enquêtes d’Associated Press, Libération, Le Monde, CNN ou Wall Street Journal relaient la confirmation d’un tir palestinien.
Après avoir accusé Israël de cette frappe, la BBC admet qu’il était « erroné de spéculer » qu’Israël était à l’origine de l’explosion de l’hôpital gazaoui.
De la même façon, le New-York Times admet qu’il s’est « trop fortement appuyé » sur les allégations du Hamas dans son rapport initial sur l’explosion de l’hôpital de Gaza.
La France par la voix de sa Direction du renseignement militaire (DRM) tente également de corriger l’« emballement médiatique » avec une dépêche à l’AFP affirmant que « rien ne permet de désigner une frappe israélienne ».
Le bilan humain catastrophiste de cette frappe dans le parking de l’hôpital, qui n’a causé aucun dommage structurel aux bâtiments, mais qui a été transmis par des organes ou médias affiliés au Hamas puis repris dans le monde, passe de plusieurs centaines de morts à 100 à 300 selon l’agence Reuters et de quelques dizaines, selon l’AFP.
Guerre de communiqués sur fond de terreur… tout est bon pour aveugler et rallier les médias et ainsi gagner la guerre des communiqués…
 
Devant l’émotion des pays arabes, le président américain, qui devait initialement se rendre en Jordanie, après son passage à Tel-Aviv, pour y rencontrer le roi Abdallah II, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, est contraint d’annuler ces rencontres.
Dans une interview donnée le 24 octobre sur une chaîne libanaise, le vice-ministre des Affaires étrangères et porte-parole du Hamas, Ghazi Hamad, déclare que « le déluge d’Al-Aqsa (du 7 octobre) n’est que la première fois, et il y en aura une deuxième, une troisième, une quatrième... Nous sommes appelés une nation de martyrs (chahid), et nous sommes fiers de sacrifier des chahids ».
Il ajoute qu’Israël est un pays qui n’a pas sa place sur terre : « Nous devons éliminer ce pays, car il constitue une catastrophe sécuritaire, militaire et politique pour la nation arabe et islamique. »
Tout est dit…
 
Comme demandé par le président américain, des convois d’aide humanitaire venus d’Égypte commencent alors à pénétrer le 21 octobre 2023 dans la bande de Gaza par le poste-frontière de Rafah. À la suite d’une conversation entre Joe Biden et Benyamin Netanyahou, la bande de Gaza, assiégée par l’armée israélienne, peut bénéficier d’un « flux continu » d’aide humanitaire, alors qu’un troisième convoi pénètre le 23 octobre dans la bande de Gaza.
Au 29 octobre, ce sont 117 camions d’aide qui sont entrés dans l’enclave. Les jours suivants, l’aide humanitaire internationale augmente : le 13 novembre, 756 camions sont passés depuis le 21 octobre.
 
Entre le 10 et le 31 octobre, l’armée israélienne tue une trentaine de figures (dirigeants politiques, cadres du parti, chefs de la branche armée...) parmi les hauts responsables du Hamas qu’elle cible aux fins d’anéantir l’organisation terroriste à l’origine des massacres du 7 octobre et de précédentes agressions sur son sol.
Le 31 octobre, l’armée israélienne tue 106 civils, dont 54 enfants, en bombardant un immeuble d’habitation à Gaza.
Human Rights Watch indique n’avoir « trouvé aucune preuve qu’une cible militaire se trouvait à proximité du bâtiment au moment de l’attaque, ce qui signifie qu’il s’agissait d’une frappe (arbitraire) et illégale en vertu des lois de la guerre. »
 
Le 27 octobre, l’armée israélienne annonce entrer dans la « deuxième phase de sa guerre contre le Hamas ». Dans la nuit menant au 28 octobre, elle intensifie « de manière significative » ses attaques sur Gaza avec une offensive terrestre frappant « 150 cibles souterraines » et accuse le Hamas d’utiliser les hôpitaux civils de Gaza et particulièrement celui d’Al-Shifa comme quartier général militaire, d’où il pomperait ses provisions, fuel, oxygène, eau et électricité, « destinées à l’hôpital pour mener ses opérations terroristes ».
Le Hamas, ainsi que plusieurs médias arabes récusent ces affirmations mais quinze jours plus tard, Israël maintient ses mêmes accusations et, bien plus tard, le 2 janvier 2024, des documents déclassifiés des services secrets américains confirmeront que l’hôpital a été utilisé comme un centre de commandement et pour y retenir quelques otages.
Le mensonge des terroristes palestiniens reste alors évident…
 
Le lendemain 29 octobre, après avoir reçu les familles des otages, Benyamin Netanyahou aux côtés de Yoav Gallant et Benny Gantz, membres du gouvernement d’union nationale, s’adresse à la nation lors d’une conférence de presse et confirme que les opérations terrestres en cours constituent la seconde phase d’une « guerre longue et difficile » et que vaincre le Hamas constitue un « défi existentiel ».
« Bibi », poursuivi par la justice de son pays pour diverses affaires de corruption se voit bien un destin historique…
En l’occurrence, il est servi par les meilleurs ennemis d’Israël !
Il appelle à nouveau les civils de Gaza « à continuer à évacuer vers le Sud » de l’enclave et il promet « que toutes les possibilités seront explorées pour ramener à la maison (les otages). Leur captivité est un crime contre l’humanité ».
Le 30 octobre, Netanyahou répète son refus d’un éventuel cessez-le-feu qui serait « une reddition face au Hamas » et sa position est soutenue par la Maison Blanche.
 
C’est alors que des chars israéliens sont aperçus momentanément pour la première fois en lisière de la ville de Gaza. Le Hamas confirme des « combats intenses » au Nord de la ville.
L’évacuation lente de blessés palestiniens et civils binationaux s’effectue par le poste-frontière de Rafah vers l’Égypte mais pour cela, Israël doit approuver la liste de blessés qui est transmise par les autorités du Hamas à celles d’Égypte.
Le 30 octobre, 24ème jour de la guerre, Benyamin Netanyahou annonce que la riposte israélienne est entrée dans sa « troisième phase ».
Elle étend son incursion terrestre précédente dans la bande de Gaza par étapes méthodiques, par un positionnement des troupes de Tsahal « équipées de véhicules lourdement blindés, de chars, de bulldozers et de véhicules blindés de combat... dans différentes parties du Nord de la bande de Gaza... qui est le centre de gravité du Hamas », pour y traquer ses « commandants » et en continuant à frapper « leurs infrastructures et chaque fois qu’il y a une cible importante », précise un lieutenant-colonel israélien.
 
Netanyahu réitère et justifie son refus d’un quelconque cessez-le-feu : « Tout comme les États-Unis n’auraient pas accepté un cessez-le-feu après Pearl Harbor ou le 11 septembre, Israël n’acceptera pas une cessation des hostilités après l’horrible attaque du 7 octobre... Ceci est le temps de la guerre ».
Le même raisonnement que tient Kiev en réponse aux offres de cessez-le-feu de Moscou qui tarde à « défoncer » le front ukrainien avant que la dernière tranche, décisive, de l’aide occidentale ne soit effective.
Or, celle-ci sera adroitement mêlée à celle que concocte l’administration Démocrate pour n’en faire qu’un ensemble indivisible, avec l’aide que les Républicains ne peuvent pas refuser à leurs électeurs de la diaspora juive à Israël !
 
L’armée israélienne confirme parallèlement l’aggravation de la situation humanitaire à Gaza mais estime que cette situation « n’est pas de (son) fait ».
Le 31 octobre 2023, par la voix d’Abou Obaïda, le Hamas aura le culot de menacer encore directement Israël et Benyamin Netanyahou : « Gaza sera un cimetière et un bourbier pour l’ennemi, ses soldats et sa direction politique et militaire » et promet au Premier ministre une « cuisante défaite » sonnant la fin de sa carrière politique.
« Celui-là, il devrait arrêter de fumer la moquette enroulée dans son keffieh », réagira Gustave…
Le même jour, l’armée israélienne bombarde le camp de réfugiés de Jabaliya situé au Nord de la bande de Gaza faisant au moins 126 morts civils selon l’organisation indépendante AirWars, dont 69 enfants et 22 femmes, et 280 blessés.
Tirer sur des civils désarmés, c’est assez facile, même pour le « peuple élu ».
Toutefois, 12 à 24 « combattants » auraient par ailleurs été tués selon cette organisation, tandis que Tsahal parle de « douzaines » de combattants.
 
Tsahal revendique y avoir tué Ibrahim Biari, un haut commandant du Hamas parmi les responsables de l’attaque lancée en Israël le 7 octobre, et indique que son objectif était « les infrastructures terroristes » et le « bataillon central de Jabaliya, qui avait pris le contrôle de bâtiments civils dans la bande de Gaza ».
Plus de 20 bâtiments ont été détruits à cette occasion.
Les brigades Ezzedine al-Qassam du Hamas annoncent également la mort de sept otages dont trois étrangers dans ces bombardements…
Pas au bon endroit, pas au bon moment…
 
Parallèlement, les autorisations d’exportations sont délivrées pour 303 millions d’euros d’équipements militaires allemands vers Israël, soit près de dix fois plus que les autorisations accordées il y a un an.
Ce qui mécontentera naturellement le Hamas qui menacera Berlin de représailles avec des attentats sur le sol allemand, visant également des bases américaines établies sur son territoire, des ambassades et autres missions diplomatiques…
On ne sait jamais, ça pourrait changer le cours de l’histoire !
 
Plus tard, le 2 novembre 2023, la ville de Gaza – « centre de l’organisation terroriste Hamas », selon le porte-parole de l’armée israélienne – est totalement encerclée par l’armée israélienne et le Nord de la bande de Gaza est coupé du Sud.
Ce même jour, le cabinet de sécurité israélien décide que seront renvoyés à Gaza tous les travailleurs palestiniens travaillant en Israël le jour du début de la guerre, parmi les 18.500 bénéficiant d’un permis de travail, afin de couper tout lien avec cette ville.
Malgré les nombreux appels dont celui de la France et du Vatican à une véritable trêve humanitaire et ceux de cessez-le-feu après un mois de conflit à ce moment-là, Israël refuse d’entendre ces voix tant que les otages aux mains du Hamas ne sont pas libérés, et aux fins de poursuivre sans relâche la recherche de Yahya Sinouar, le chef du groupe islamiste palestinien à Gaza et de mener à bien son projet d’anéantissement du Hamas dans son ensemble.
Benjamin Netanyahu déclare alors : « Qu’ils suppriment complètement ce terme (il vise la locution « cessez-le-feu ») du vocabulaire... Nous le disons à nos ennemis comme à nos amis. Nous continuerons jusqu’à ce que nous les battions ; nous n’avons pas d’autre choix ! »
À ce moment-là, c’est hélas vrai.
 
Le 4 novembre, l’armée israélienne dit avoir intercepté une roquette tirée par le Hamas vers la ville d’Eilat où se trouve un grand nombre de réfugiés israéliens, à l’aide de son système antibalistique à longue portée Arrow.
Après l’encerclement de Gaza, la bande de Gaza sera factuellement coupée en deux le 5 novembre, avec l’ambition pour Israël d’y « détruire le centre de commandement du Hamas ».
Les forces de Tsahal indiqueront avoir pris le contrôle d’un avant-poste du Hamas où se trouvaient des postes d’observation, des complexes d’entraînement ainsi que des tunnels utilisés par les terroristes.
Selon un chercheur de l’Université Columbia, l’objectif de de cette scission de la bande littorale palestinienne serait pour Tsahal d’empêcher l’approvisionnement et le transfert de combattants du Hamas d’une partie vers l’autre, afin de les vaincre « pas à pas ».
 
L’armée de l’air israélienne indiquera que ses avions de combat ont attaqué environ 450 cibles du Hamas, dont des complexes militaires, des postes d’observation, des postes antichars..., tandis que la marine israélienne aura attaqué le quartier général, les positions de lancement de missiles antichars et d’autres postes d’observation du Hamas.
Alors que le 6 novembre, les frappes s’intensifieront sur Gaza et que les brigades Ezzedine al-Qassam du Hamas palestinien annonceront avoir tiré des roquettes en visant la ville de Haïfa, à partir du Liban, des frappes aériennes israéliennes seront menées contre des centres terroristes dans les tunnels du Hamas, selon Tsahal, et à Jabaliya et Beit Hanoun, où les forces du Hamas subissent de lourds dégâts.
La Jordanie de son côté, avec le soutien d’Israël et des États-Unis, largue une aide médicale d’urgence à Gaza destinée à son hôpital de campagne sur le point de manquer de fournitures, pour « aider (ses) frères et sœurs blessés dans la guerre contre Gaza ».
 
Ce même jour, les informations israéliennes selon lesquelles le commandement central du Hamas à Gaza est situé sous l’hôpital Shifa, le plus grand hôpital de la bande de Gaza, seront confirmées par un commentateur de la chaîne saoudienne Al-Arabiya, vite accusé de mensonge par les sites internet affiliés au Hamas.
Les porte-paroles de Tsahal et du Shin Bet indiquent que le commandant du bataillon Deir al-Balah du Hamas, qui a participé aux massacres du 7 octobre et planifiant d’autres attaques après cette date, a été éliminé par un avion de chasse israélien.
Pour contredire les propos du ministère de la Santé de Gaza qui accuse les « couloirs de sécurité » d’être des « couloirs de mort », Tsahal répète demander aux Gazaouis du Nord d’évacuer les zones qu’il bombarde et diffuse les images d’un itinéraire dit « sécurisé » avec l’ouverture d’un couloir d’évacuation de civils palestiniens se dirigeant vers le Sud.
Pourtant, l’armée israélienne attaque à plusieurs reprises les Palestiniens qui fuient la ville de Gaza…
 
L’armée israélienne affirmera ensuite, le 8 novembre, que le Hamas a perdu le contrôle du Nord de la bande de Gaza. Ce même jour, les sirènes retentissent au kibboutz Kissufim qui avait été l’une des cibles de l’attaque terroriste du Hamas, le 7 octobre dernier.
Le président philippin Ferdinand Marcos Junior annonce alors le 8 novembre que 40 ressortissants philippins (sur 135) sont passés en toute sécurité de Gaza vers l’Égypte.
Le ministère canadien des Affaires étrangères informe également que « 59 Canadiens, résidents permanents et membres de leur famille ont traversé la frontière de Gaza en Égypte au poste frontalier de Rafah », sur les 400 Canadiens ayant demandé à quitter la bande de Gaza.
Les premières estimations du ministère israélien des Finances évaluent de son côté le coût global de la guerre contre le Hamas au minimum à 50 milliards de dollars.
Le 9 novembre, Israël accepte d’officialiser et d’élargir les pauses localisées de quatre heures annoncées, trois heures à l’avance dans les combats de Tsahal à Gaza pour la première fois depuis le déclenchement de la guerre.
 
Ainsi, le 14 novembre, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale des États-Unis, déclarera que les renseignements américains confirment les affirmations israéliennes selon lesquelles le Hamas dispose de centres de commandement et de dépôts de munitions dans les hôpitaux gazaouis, y compris l’hôpital al-Shifa, ce qui constitue un crime de guerre.
Dans ces hôpitaux et dans les tunnels situés en dessous, le Hamas mène des opérations militaires et cachent bien des otages !
Dans un rapport publié en 2015, l’ONG Amnesty International avait déjà accusé le Hamas d’avoir torturé et exécuté des Palestiniens dans l’enceinte de l’hôpital al-Shifa, durant l’offensive militaire israélienne contre Gaza de 2014.
Quand on vous assure qu’il s’agit bien de terroristes… même à l’égard des populations au nom desquelles ils massacrent notamment des juifs… mais pas seulement !
 
Le lendemain matin 15 novembre, des soldats israéliens pénètreront à l’intérieur du complexe de l’hôpital al-Shifa, pour mener une opération « ciblée (...) contre le Hamas dans un secteur spécifique de l’hôpital ».
Israël affirmera alors que l’armée y est entrée « sur la base de renseignements exploitables » et avoir trouvé dans la zone d’imagerie médicale IRM des armes, des équipements militaires et de combat et des équipements technologiques.
Toujours d’après les forces israéliennes, dans un autre service, les soldats trouvent un centre de commandement opérationnel et des équipements technologiques du Hamas – allégations que le Hamas dément immédiatement, ainsi que la direction du centre hospitalier, par la voix de son directeur général Mohammed Abou Salmiya.
En effet, pour France 24 et d’autres experts spécialistes du terrorisme, les trouvailles que l’armée israélienne a montrées dans ses vidéos ne sont « pas à la hauteur d’un centre de commandement, mais au mieux celui de la sécurité de l’hôpital ou d’un poste de police du Hamas ».
De plus, une des images publiées par l’armée israélienne montrerait un sac près d’un IRM contenant un AK-47 du Hamas. Plus tard, ils inviteront des photojournalistes de BBC et de Fox News filmer cette même salle, où deux AK-47 sont filmés au lieu d’un seul : des soupçons de manipulation émergent et des doutes apparaissent quant au discours israélien.
C’est finalement un épisode contre-productif.
 
Comme aucun tunnel n’est encore mis au jour par l’armée israélienne sous l’hôpital, sur les 500 kilomètres de souterrains et de tunnels construits par le Hamas, surnommé le « métro de Gaza », les experts en stratégie militaire estiment qu’il faut « un certain temps » pour découvrir ces tunnels et vérifier si leurs entrées ne sont pas piégées.
Dans la soirée, les chars israéliens se retirent de l’hôpital pour se repositionner autour du complexe hospitalier.
Le CICR et l’OMS se diront de leur côté « horrifiés » puis « extrêmement inquiets » de la situation pour le personnel médical, les patients et les nombreux civils réfugiés dans l’enceinte hospitalière.
 
Ce même jour, une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU, préparée par Malte sera adoptée par 12 voix pour et 3 abstentions (États-Unis, Royaume-Uni, Russie). Elle insiste sur la situation des enfants, appelle à des « pauses et des couloirs humanitaires étendus et urgents pendant un nombre de jours suffisants » dans la bande de Gaza.
Pour l’ambassadeur d’Israël auprès des Nations unies, cette résolution est « détachée de la réalité... il est regrettable que le Conseil continue d’ignorer et refuse de condamner ou même de mentionner le massacre perpétré par le Hamas ».
Ou l’impuissance de la diplomatie qui n’est décidément pas une autorité…
 
Dans la soirée, 27 malades du cancer et 13 accompagnateurs quittent Gaza via l’Égypte pour atterrir en Turquie afin d’y être soignés.
Quelques heures auparavant, le président turc avait qualifié Israël d’« État terroriste » et avait maudit son gouvernement qui perpétrait un « génocide », sans oublier les autres États qui soutiennent Israël.
Le dirigeant israélien Benyamin Nétanyahou a répliqué qu’Erdogan « soutient en réalité l’État terroriste du Hamas. Il a lui-même bombardé des villages turcs, à l’intérieur même des frontières turques » et qu’ainsi, les remarques de sa part ne peuvent être acceptées.
Entre terroristes et États-terroristes, peut-on se comprendre ?
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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