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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 7 septembre 2024

54/63 – Implications internationales

Jusqu’en France…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Le drame en Israël aurait dû être l’occasion d’une unité nationale en France, mais tout espoir s’est très vite évanoui. En cause, la condamnation jugée inexistante ou trop tiède de la part de représentants de la France Insoumise (ces « Français Inutiles »…), après l’attaque coordonnée du Hamas contre l’État hébreu, celle qui a fait plusieurs centaines de morts côté israélien.
Ainsi, le député Louis Boyard aura publié un message sur X (anciennement Twitter) pour dénoncer « l’horreur » mais aussi regretter que depuis « trop longtemps », « la France renvoie dos à dos la violence de l’État israélien et celle de groupes armés palestiniens », dénonçant « des années d’inaction et toujours les civils qui en paient le prix ».
Le groupe parlementaire LFI a publié un communiqué où il évoque « un contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem Est ».
« Nous déplorons les morts israéliens et palestiniens. Nos pensées vont à toutes les victimes. »
Quant à Jean-Luc Mélangeons, son leader, il a lui aussi choisi d’évoquer l’attaque en rappelant la situation complexe de longue date au Proche-Orient.
Il estime également que « toute la violence déchaînée contre Israël et à Gaza ne prouve qu’une chose : la violence ne produit et ne reproduit qu’elle-même ».
Un texte que d’autres responsables politiques, de gauche comme de droite, ont vu comme une manière de minimiser la violence de l’attaque terroriste lancée par le Hamas, en la mettant dos-à-dos avec celle d’Israël envers Gaza.
 
Jérôme Guedj, notamment, s’est emporté contre les « idiots utiles des terroristes du Hamas, qui les exonèrent en relativisant au nom de l’impasse politique du conflit israélo-palestinien, de la poursuite de la colonisation, de Netanyahu ».
« Vous me dégoûtez », assène le député socialiste et vice-président du groupe d’amitié France-Israël à l’Assemblée.
Mêmes attaques de la part de l’ancien Premier ministre socialiste Emmanuel Valse, qui dénonce « le soutien, la complaisance d’une partie de la gauche » envers le Hamas.
« Cette gauche qui se dit antisioniste, au fond, cache son antisémitisme », assure-t-il.
Éric Chiotti, le Républicain, va plus loin : pour lui, « les amis de M. Mélangeons sont définitivement sortis de l’arc républicain en légitimant le massacre de civils ».
Le patron de LR avait dénoncé la veille le terrorisme le plus abject, appelant à sanctionner lourdement l’autorité palestinienne.
Mais de quelles sanctions sommes-nous capables, se demandera Gustave Morthe de l’Argentière, tout haut, à l’occasion d’une réunion de travail avec Paul autour du logiciel « BBR 3.0 » à laquelle assiste Alexis ?
Et de rajouter : « Déjà, Israël reste bien incapable, malgré ses considérables moyens militaires de neutraliser définitivement ces bandes de terroristes… »
Pas très optimiste, l’amiral, dans le fond.
 
La tête de liste aux élections européenne du RN, Jordan Barre-Della avait de son côté amorcé la critique des réactions à gauche avant même qu’elles n’arrivent, en disant espérer, « pour l’honneur de la France, que certains s’abstienne de justifier le pire ».
« Ambiguïtés révoltante » et « antisémitisme masqué », tacle de son côté Babeth Brown.
En déplacement à Bordeaux, où elle participait au campus de rentrée de Renaissance, le nouveau nom du parti présidentiel anciennement celui des « Marcheurs », la Première ministre n’a pas non plus mâché ses mots pour dénoncer ce qui constitue, selon elle, « des ambiguïtés révoltantes face au drame de ces dernières heures ». Elle-même avait rapidement réagi, au nom du pays et es-qualités de chef du gouvernement, par une « condamnation la plus ferme des attaques terroristes contre Israël et sa population ».
« L’offensive armée de forces palestiniennes menée par le Hamas intervient dans un contexte d’intensification de la politique d’occupation israélienne à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem Est », a ainsi affirmé dans un communiqué le groupe parlementaire du parti de la gauche radicale.
Ces déclarations ont suscité la colère d’élus socialistes, alliés du parti de Jean-Luc Mélangeons au sein de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes), qui semble ne pas vouloir aller aux prochaines élections européennes dans une démarche unitaire, anticipant peut-être un éclatement prochain.
 
Estimant que LFI faisait une erreur en dénonçant simultanément le mouvement islamiste et la colonisation israélienne, Babeth-Brown juge ces propos « totalement choquants et totalement déplacés ».
« On ne peut pas dans le contexte actuel renvoyer dos à dos le Hamas – dont je rappelle que c’est une organisation reconnue comme terroriste par l’Union européenne – et un État démocratique victime d’attaques terroristes », lance-t-elle sur BFMTV. Elle accuse même le parti de gauche de « parfois masquer une forme d’antisémitisme » à travers son « antisionisme », une attaque récurrente contre les représentants de la France insoumise.
Le leader de la France insoumise a rapidement répondu à ces accusations de « complaisance » envers le Hamas, estimant que « Madame Brown profite de la guerre au Moyen-Orient pour mener sa guerre contre LFI ». Dans un nouveau message sur X, Jean-Luc Mélangeons considère avoir simplement « exprimé la position constante de notre pays depuis De Gaulle » sur le conflit israélo-palestinien.
Il renvoie d’ailleurs directement à son message d’origine, mettant au défi la Première ministre de lui signaler « où est l’expression « déplacée » dans (ses) mots ».
« L’approbation du massacre en cours déshonore madame Brown. La France ne parle pas comme ça ! », contre-attaque-t-il.
Son acolyte LFI, le député Éric Coquerel dénonce quant à lui aussi une récupération politique de Babeth Brown : « Tout ça est totalement déplacé et décalé par rapport à la gravité de la situation », regrette-t-il sur France-info. « On attend de la Première ministre de la France une autre voie que de récupérer ce qui est en train de se passer du côté d’Israël et de la Palestine à des fins de politique intérieure, de façon à diaboliser son opposition. »
Il estime également quant à lui que le Hamas « est un mouvement qui pratique une forme de terreur tout comme l’armée israélienne pratique une forme de terrorisme d’État, dans une situation où elle est contre les résolutions de l’Onu, parce qu’elle continue à coloniser, annexer et occuper un peuple ».
 
Cette controverse sur le Proche-Orient ajoute donc un nouveau sujet de division à la gauche française. « La question » de rester membre de l’alliance Nupes « se pose » désormais, estime rapidement et en conséquence de son côté Jérôme Guedj. « L’urgence, c’est d’abord de condamner l’agression, l’acte terroriste », considère de son côté le leader du PCF Fabien Roussel.
Le Parti socialiste a également publié un communiqué, assurant « condamner sans réserve l’attaque terroriste du Hamas », tout en précisant que cela n’empêchait pas que « la politique du gouvernement peut et doit être critiquée (...) mais ne saurait être mise en avant pour relativiser l’agression terroriste dont est aujourd’hui la cible de la population israélienne. »
Un parti-pris rejoint par d’autres personnalités de la gauche, y compris chez LFI, comme François Ruffin qui a exprimé sa « condamnation totale de l’attaque du Hamas », tout en déplorant (sans la condamner) que la réponse militaire à venir soit « dans les mains du gouvernement israélien le plus brutal depuis trente ans ».
Des réactions qu’on a également retrouvées chez EELV, où Marine Tondelier qui a assumé son « immense effroi devant l’horreur des attaques en cours sur le territoire israélien », avant de s’inquiéter elle aussi d’une possible escalade. « C’est le droit indiscutable des Israéliens de vivre en sécurité. Mais les horribles attaques terroristes menées par le Hamas ne doivent pas justifier une réaction indiscriminée sur les civils de Gaza. »
Quant à Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, elle a regretté que les polémiques soient si vite revenues au sein de la classe politique française.
Invitée de « Questions Politiques » sur France Inter, elle « condamne clairement les attaques (du Hamas) », tout en répondant sèchement à Babeth Brown : « Au lieu de générer des polémiques assez décalées avec la gravité du moment, la Première ministre devrait mettre toute son énergie à demander à ce que l’ONU demande un cessez-le-feu immédiat. »
Le Président Manuel Makarond, de son côté « condamne fermement les attaques terroristes qui frappent actuellement Israël » et a exprimé sa « pleine solidarité » avec les victimes. Paris a aussi « réaffirmé son rejet absolu du terrorisme et son attachement à la sécurité d’Israël ».
 
Alors que les partis politiques s’écharpent sur le sujet dans l’hexagone – et ailleurs dans le monde – le mouvement étudiant de solidarité avec les Palestiniens et de dénonciation de leur génocide par Israël s’intensifiera aux États-Unis et s’étendra alors à toute la planète…
Certes, ce mouvement, qui s’est étendu à plus de 120 universités et collèges américains, a comme toute première priorité le soutien au peuple palestinien.
Cependant, il constitue aussi d’ores et déjà – et de l’avis commun – un facteur majeur des développements cataclysmiques qui vont suivre les élections présidentielles de novembre prochain aux USA, et cela quel que soit le vainqueur de ces élections-là.
Plus concrètement, l’émergence du mouvement de masse des jeunes en tant que troisième force indépendante, combative et radicale face aux deux grands partis traditionnels états-uniens remodèlera la carte politique et sociale des États-Unis, renforçant la gauche, les syndicats ouvriers, les mouvements sociaux et les autres forces déjà existantes dans leur conflit civil avec le trumpisme fascisant et ses milices, qui se profile à l’horizon : un probable conflit civil se dessinerait déjà au cœur même du capitalisme mondial, de l’issue duquel dépendra en grande partie l’avenir voire le sort du reste de l’humanité…
 
Entre-temps, la prolifération de ce mouvement des jeunes américains dans au moins 40 pays constitue un événement d’une ampleur historique qui manifestement inquiètera et même terrifiera les chancelleries.
La preuve en est que presque partout, des États-Unis, de l’Allemagne et de la France au Maroc et au Nigeria, et de la Corée du Sud et de l’Inde aux Pays-Bas et au Kenya, la répression de ce mouvement non seulement dépassera en brutalité tous ce qu’on avait connu précédemment, comme par exemple la répression en Mai 68 et foulera aux pieds cyniquement les droits démocratiques les plus élémentaires, mais elle sera aussi combinée avec une campagne médiatique hystérique de dénigrement, visant à accoutumer les citoyens à ce que leurs libertés démocratiques ne soient plus qu’un lointain souvenir…
 
Le mouvement étudiant de soutien aux Palestiniens s’est répandu des USA à la Grande-Bretagne, la France, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, le Danemark, la Suisse, l’Inde, l’Australie, le Bangladesh, l’Indonésie, le Japon, la Nouvelle-Zélande, la Finlande, le Mexique, le Costa Rica, la Jordanie, le Liban, l’Irak, la Turquie, la Tunisie, le Canada, l’Argentine, l’Irlande, les Pays-Bas, l’Autriche, le Brésil, la Corée du Sud, la Thaïlande, le Portugal, la Suède, l’Afrique du Sud, le Maroc, l’Algérie, le Nigeria, le Kenya, la Bosnie, la Serbie… mais ni en Chine, ni en Corée du Nord, ni en Iran, ni surtout en Russie ou encore en Biélorussie… dont les se frottent déjà les mains : plus il y a de division, plus cela affaiblit l’impérialisme occidental, plus ça le rend « à portée » des dictatures « néo-populistes ».
En France, où la mobilisation étudiante à la Sorbonne et son occupation, et d’abord à Sciences Po, contre le génocide des Palestiniens sera activement rejointe par le mouvement Youth for Climate, fondé par Greta Thunberg et des jeunes des banlieues défavorisées, tandis que dans le même temps la mobilisation commence à s’étendre aussi aux lycées de tout le pays.
Tout cela fera finalement « pschitt », faute de relai médiatique…
 
De New-York à Paris, les étudiants auront exigé, la fin du génocide à Gaza et le désinvestissement des entreprises liées à la guerre israélienne.
Une vague d’occupations d’universités en soutien à la Palestine a débuté dans le sillon de l’occupation fortement réprimée à Columbia (New-York). Et le mouvement s’est propagé à l’Europe, touchant des institutions telles que Sciences-Po Paris et La Sorbonne en France, Oxford et Cambridge au Royaume-Uni, ou encore le Trinity College du Dublin en Irlande.
Au-delà du soutien formel aux Palestiniens, la plupart des étudiants demandent par ailleurs des mesures concrètes de leur université, essentiellement le désinvestissement, c’est-à-dire la rupture de tout lien financier avec la machine de guerre israélienne.
Si Columbia a été à l’avant-garde des mobilisations étudiantes, le mouvement s’est étendu ensuite à des centaines d’établissements aux États-Unis, contraignant l’exécutif à en tenir compte dans sa collaboration avec « l’entreprise génocidaire israélienne ».
Biden sera même contraint de suspendre une partie des livraisons d’armes, alors que l’offensive israélienne sur Rafah battait son plein, tout comme dans le Nord de la bande de Gaza, sur le camp de Jabalia.
 
Les appels au désinvestissement, l’un des piliers de la campagne BDS (Boycott, Désinvestissement et Sanctions), revêtent une importance capitale aux États-Unis, où le système universitaire est étroitement entrelacé avec le complexe militaro-industriel.
Une part significative de la recherche dans le secteur de l’armement s’y fait au sein des universités, ce qui explique les nombreux accords avec des entreprises d’armement privées ou publiques, et donc in fine une participation active dans l’armement de Tsahal.
Cette manne financière explique aussi les réticences de certaines universités à se détacher de ces partenariats.
De plus, les universités anglo-saxonnes dépendent également de dons directs, souvent par des grands capitalistes, qui peuvent être conditionnés à la poursuite de leur collaboration avec certaines entreprises ou fonds d’investissement et à leur intransigeance face aux étudiants mobilisés, comme en témoignent les pressions exercées par des donateurs influents tels que Leon Cooperman et Robert Kraft sur Columbia pour qu’elle utilise la force policière afin de réprimer ses étudiants.
 
Dans une bien moindre mesure, c’est aussi le cas des grandes écoles françaises à travers les contributions des entreprises à la formation professionnelle et à l’apprentissage : le corps enseignant est de toute façon payé par le ministère de l’éducation nationale et les recherches par celui de l’enseignement supérieur et de la recherche…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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