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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 3 septembre 2024

50/63 – Le bug du 7 octobre

Les opérations du Hamas
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Ces tirs qui font plusieurs victimes, notamment dans les villages bédouins du Néguev, permettent à environ 200 paramilitaires motorisés de la force Nuhba, division d’élite des brigades al-Qassam, de se ruer sur la barrière entre la bande de Gaza et Israël.
Équipés d’armes légères et lourdes, de roquettes antichars et de grenades, les soldats israéliens sont informés seulement à ce moment-là qu’il ne s’agit pas d’un exercice, et les agresseurs font exploser, en plus de vingt points de passage les barrières, pendant que des drones de combat font éclater les caméras de surveillance sur la clôture, et que des dizaines de paramoteurs palestiniens traversent la frontière par voie des airs.
 
La barrière est défoncée au bulldozer, des centaines de miliciens pénètrent par escouades de quinze dans huit avant-postes de Tsahal, qui sont rapidement conquis tandis que les soldats israéliens sont exécutés sommairement ou pris en otages.
Les membres de la force Nuhba, un commando de marine des forces spéciales des Brigades Izz al-Din al-Qassam, l’aile militaire du Hamas, désactivent aussitôt les lignes électriques et les générateurs près de la clôture, privant Tsahal de tout moyen de communication et d’observation.
Dès lors une autre vague d’environ 500 terroristes motorisés – dont certains vêtus d’uniformes de l’armée ou de la police israéliennes pour parfaire la confusion –, se rend alors vers des cibles pré-désignées pour se livrer au massacre de civils, aux incendies et au pillages d’habitations, suivie par des civils gazaouis qui participent à l’agression.
 
Bénéficiant de renseignements de qualité, de radios et de cartes, les assaillants envahissent plus de vingt localités de l’enveloppe de Gaza par voie de terre à l’aide de tracteurs, camions, fourgonnettes et motos, de mer et par les airs, dont les villes de Sdérot et d’Ofakim.
À Zikim, se trouve un kibboutz et la base militaire Bahad, qui sert à l’entraînement des nouvelles recrues de Tsahal pour constituer des bataillons de sauvetage, qui est déclarée infiltrée et perdue par Tsahal à 7 h 36 tandis que des civils armés dont un officier en congé, repoussent l’assaut du Hamas sur le kibboutz.
À Sdérot, les assaillants conquièrent le commissariat mais se heurtent à la résistance farouche des policiers, qui limitera relativement le nombre de pertes civiles.
Les troupes du Hamas se rendent en revanche maîtres de plusieurs villes et kibboutz frontaliers, et l’attaque soigneusement planifiée contre Israël se transforme en un déchaînement de violence et de pillage, où plus de mille civils, Israéliens et étrangers, juifs et non-juifs, hommes et femmes, jeunes et vieux sont massacrés à Nir Oz, à Holit, à Be’eri, à Nahal Oz, à Nir Itzhak, à Ein Hashlosha, à Netiv HaAssara, à Kfar Aza, à Nirim, à Kissoufim et au festival de musique de Réïm, où se trouvait Rachel, l’informaticienne qui allait être détachée auprès de Paul de Bréveuil pour travailler sur le logiciel prédictif « BBR 3.0 », là où le nombre de victimes semble avoir été le plus important.
 
Quelques heures plus tard, dix fourgons armés de Palestiniens attaquent la division Réïm et éliminent les soldats mais ils ne parviennent pas à s’emparer du QG souterrain, d’où le commandement de la division de Gaza tente d’organiser une riposte.
Pour rajouter à l’horreur, les assaillants sont équipés de caméras d’action ou de portables, et ils filment leurs actes et leurs atrocités, qu’ils n’hésitent pas à déverser sur les réseaux sociaux, tant dans le cadre d’une guerre de communication et de recrutement des Arabes israéliens que d’une guerre psychologique contre le reste de la population israélienne.
À 10 heures, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou s’adresse à la nation pour déclarer le pays en guerre. Il appelle les chefs des partis d’opposition de la Knesset à former un gouvernement d’union nationale d’urgence et un cabinet de guerre pour la durée de celle-ci.
 
À 10 h 34 du matin, heure locale, la contre-attaque militaire nommée opération « Épées de fer » est lancée, avec des bombardements sur la bande de Gaza et une reprise du contrôle du territoire israélien.
Aux équipes de réserve locales qui tentent de contenir les terroristes qui déferlent en vagues sur leurs localités, se joignent les unités d’élite de Tsahal, dont la Sayeret Matkal, la Shayetet, l’unité Shaldag et la brigade Oz, ainsi que la police, les gardes-frontières et le Shin Bet.
Cependant, débordée par le nombre de fronts et d’embuscades où ses forces sont décimées, cette aide « s’effondre sous (les) yeux » du Hamas et arrive souvent trop tard sur les lieux pour empêcher les exactions que des assaillants palestiniens auraient perpétrés sur les civils : l’armée israélienne et des organisations paramédicales, dont ZAKA, auraient ainsi retrouvé des corps d’hommes, femmes, enfants, bébés et vieillards, décapités, énucléés, démembrés, émasculés, calcinés ou carbonisés.
Un déferlement de haine inaccoutumée et de sauvagerie inhabituelle !
 
Les autorités israéliennes auraient récolté des témoignages de viols de guerre. En outre, plus de 200 civils, en particulier des enfants et des personnes âgées, sont enlevés, plus que prévu, selon Ali Barakeh, car une récompense de 10.000 dollars et d’un appartement a été promise pour qui ramènerait un otage dans la bande de Gaza.
Une aubaine pour bien des terroristes d’un jour…
Dans la soirée, une autre salve d’environ 150 roquettes est lancée depuis Gaza vers le centre d’Israël, avec des explosions signalées à Yavné, Givatayim, Bat Yam, Beit Dagan, Tel Aviv et Rishon LeZion.
Le ministre israélien de l’Énergie, Israël Katz, signe au même moment un décret ordonnant à Israel Electric Corporation de « cesser (sa) fourniture d’électricité à Gaza ».
C’est le début d’un long calvaire de la population gazaouie…
 
Le 7 octobre 2023, au terme de la contre-offensive israélienne qui a permis de reconquérir la base de Réïm, celui-ci et ses alliés contrôlent sept communautés ainsi que le poste-frontière d’Erez par lequel d’autres terroristes continuent d’entrer en Israël, en ayant emprunté un vaste tunnel qui sera trouvé trois mois plus tard par l’armée israélienne.
Pendant qu’Ismaël Haniyeh, grande figure du Hamas, s’agenouille avec gratitude depuis Doha au Qatar lorsque la télévision qatarie diffuse les images de l’offensive perpétrée par son mouvement, l’État hébreu peine à se remettre du choc qu’il vient de subir, et qui bouleversera jusqu’à son langage : ce qui avait commencé comme un jour de fête s’est terminé par la journée la plus meurtrière en Israël depuis la fondation de l’État, 75 ans plus tôt, avec un bilan qui ne cesse de gonfler – de 250 lors des premières estimations, on passe à 1.400 morts au bout d’une semaine, dont plusieurs centaines de militaires, plusieurs dizaines de policiers et dix agents du Shin Bet.
Il sera tout de même établi en novembre que quelque 200 corps sont ceux de miliciens palestiniens, ramenant le nombre de victimes israéliennes ou étrangères aux environs de 1.140 – et un nombre d’otages et de prisonniers tout aussi inédit dans les annales du pays, dont certains se sont barricadés dans les zones envahies tandis que d’autres ont déjà été transférés dans les tunnels du Hamas et serviront, vraisemblablement, de boucliers humains ou de monnaie d’échange.
 
Tandis que les blessés israéliens et étrangers sont transportés entre les hôpitaux Soroka à Beer Sheva, Kaplan à Rehovot, Shamir à Be’er Ya’akov, Sheba à Ramat Gan et Barzilaï à Ashkelon, un long travail d’acheminement des corps et de leur identification commence dans les morgues israéliennes et se poursuit encore plus d’un mois après les évènements.
Pour identifier les corps des victimes devenus méconnaissables et les rendre à leurs familles, on a recours à un système de reconnaissance faciale, à la génétique et à diverses techniques de médecine légale : par exemple, le 29 octobre, les tests ADN effectués sur un reste de la partie pétreuse de l’os temporal permettent de l’attribuer à Shani Louk, et de déterminer ainsi que l’Israélo-allemande de 22 ans était déjà morte lorsque le Hamas la parade à Gaza quasiment nue et ensanglantée, tandis que la foule la hue et crache sur son corps…
Par exemple, le 15 novembre, des restes prélevés dans une maison brûlée jusqu’aux fondations sont identifiés comme ceux de l’activiste pour la paix entre Israël et la Palestine Viviane Silver, dont l’enlèvement était présumé.
De même, le 19 novembre, l’analyse de cendres localisées par des archéologues, démontre que Liel Hetsroni, douze ans et également portée disparue, est morte en même temps que son frère, sa tante et son grand-père…
 
À ce moment-là, Israël appréhende par ailleurs l’ouverture d’un front supplémentaire au Nord et à l’Est voire d’un front intérieur dans les villes mixtes, comme en 2021.
Il existe en effet des parallèles entre l’attaque du 7 octobre et celles de la guerre de Kippour cinquante ans plus tôt : attaque-surprise, faillite du renseignement, demande de comptes et limogeage des responsables, visant en particulier la personne déjà controversée de Benyamin Netanyahou.
Alors que ce dernier appelle à une « seconde guerre d’indépendance ».
Lui et les membres de son « cabinet de guerre », iront, malgré la pression internationale grandissante, jusqu’à organiser un génocide des gazaouis, tant que les otages ne sont pas récupérés : l’objectif est de rendre invivable la bande de gaza, de la transformer en un champ de ruines.
Ce qui, dès le début de l’opération de nettoyage, d’épuration peut-on dire, va probablement demander du temps et des moyens…
 
Ainsi, le 8 octobre, tandis qu’une roquette Qassam frappe le centre médical Barzilaï à Ashkelon malgré la protection du Dôme de fer, et que cent autres sont lancées sur Sdéro, l’armée israélienne bombarde la bande de Gaza, visant selon les autorités palestiniennes de nombreuses infrastructures dont des écoles, mosquées, hôpitaux ainsi que des quartiers résidentiels, identifiées par Israël comme des « cibles terroristes ».
Le Hamas, qui détient 240 otages dont des enfants, des personnes âgées et des jeunes capturés lors du festival Nova de musique de Réïm, menace de commencer à les tuer à chaque attaque israélienne non précédée d’un avertissement sur des civils dans la bande de Gaza.
C’est le début d’une longue campagne de destruction…
 
Dès le 9 octobre 2023, Yoav Gallant, ministre de la Défense d’Israël, annonce un « siège complet » de la bande de Gaza où vivent 2,3 millions de Palestiniens, avec la suppression de l’approvisionnement, de l’eau potable, du gaz et de l’électricité.
Yoav Gallant justifie ce blocage en indiquant : « Nous combattons des animaux et nous agissons en conséquence. »
Le ministère de la Défense annonce la mobilisation de 300.000 réservistes de l’armée, ce qui va mettre l’économie israélienne en difficulté.
L’Organisation des Nations Unies considère que le « siège complet » de la bande de Gaza est prohibé par le droit international humanitaire et s’y oppose, tout comme l’Union Européenne, mais sans effet.
Parallèlement, une quinzaine de villes et villages israéliens sis dans l’enveloppe de Gaza sont évacués en 24 heures de leurs quelque 200.000 résidents, selon un plan appelé « Safe Distance », pour « garantir la sécurité en éliminant toute présence terroriste en Israël ».
 
Le 12 octobre 2023, le chargé d’affaires israélien en France annonce sur France Inter que le lancement d’une offensive terrestre dans la bande de Gaza est imminent.
Le même jour, Israël avertit qu’il n’y aura pas d’exception humanitaire à son blocus de la bande de Gaza tant que tous les otages n’auront pas été libérés.
Le lendemain, 13 octobre 2023, Tsahal demande à 1,1 million de civils gazaouis vivant au Nord du Wadi Gaza, d’évacuer la zone pour le Sud de la bande de Gaza, sous 24 heures.
Le porte-parole du secrétaire général des Nations Unies, Stéphane Dujarric, estime « impossible qu’un tel déplacement de population ait lieu sans provoquer des conséquences humanitaires dévastatrices ».
Le Hamas demande à la population de rester sur place pour éviter une seconde Nakba.
 
Le Croissant-Rouge palestinien rejette également l’ultimatum, ses volontaires ne se résignant pas à « abandonner les plus nécessiteux ».
Ce 13 octobre, un convoi humanitaire de civils gazaouis suivant l’ordre d’évacuation est touché par une explosion sur l’itinéraire d’évacuation tracé par Tsahal, cela à 17 h 30 locales selon la BBC alors que le couloir n’était ouvert qu’entre 10 h et 16 h locales. Au moins 70 personnes sont tuées et 200 autres blessées sans que la responsabilité de l’un des deux belligérants soit clairement établie, entre la possibilité d’une frappe de l’aviation israélienne d’une part ou d’une explosion d’une voiture piégée par le Hamas voire d’une roquette palestinienne défaillante.
Parallèlement, les routes d’évacuation des Palestiniens « sont bloquées par le Hamas, qui cherche à empêcher les habitants de s’en aller et à les utiliser comme boucliers humains ».
 
Un total de 6.000 bombes sont larguées par Israël pendant les six premiers jours de guerre, plus que celles utilisées par les États-Unis en un an en Afghanistan et le double de celle employées par la coalition contre l’État islamique sur un mois !
Un document d’orientation du Shin Bet, datant du 13 octobre 2023, partagé par WikiLeaks le 30 octobre, préconise le déplacement des habitants de Gaza vers le Sinaï, en établissant d’abord des villes de campements dans cette région, suivi de la construction de villes dans le Nord du Sinaï.
Le document suggère que l’Égypte devrait accepter les déplacés en vertu du droit international humanitaire, et Israël devrait promouvoir une initiative diplomatique pour obtenir le soutien d’autres pays pour accueillir les personnes évacuées.
Le ministère envisage également des campagnes de communication pour convaincre la population de Gaza de l’absence de perspectives de retour dans un avenir proche.
Mais plus personne ne veut plus accueillir les Palestiniens de Gaza, gangrénés, vérolés, infiltrés par les terroristes du Hamas…
Ils sont lâchés par le monde arabe, ils sont devenus des parias planétaires !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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