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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 avril 2024

Retenues pour vous par Jean-Marc…

Une semaine quelconque…
 
Ce sont des dizaines de personnes qui se bousculent au coin d’une rue.
Et plus le temps passe, plus l’attroupement prend de l’ampleur.
Un policier approche, fend la foule et voit deux gars couchés par terre, l’oreille collée au sol.
« — Alors ? » demande le policier. « Vous entendez quelque chose ?
— Non », répond Jean-Marc.
« — Et c’est justement ce qui nous embête » ajoute Jean-Paul. « Ça fait une heure qu’on est ici et on n’entend rien.
— Mais vous pensez entendre quoi au juste ?
— Nous ? Ben on ne le sait pas, justement. »
Ça rappelle la fois où Jean-Marc regardait obstinément le ciel au milieu d’une rue passante dans la ville, en restant immobile… Une puis deux, puis trois personnes et bientôt un attroupement s’étaient arrêtés et regardaient dans la même direction.
Jean-Marc a repris son chemin quand il a constaté qu’il ne saignait plus du nez…
 
Il y a quelques dizaines d’années, les partis politiques achetaient les votes en donnant des frigidaires, des emplois, des places en crèches, des livres aux écoles.
Aujourd’hui, au Nigeria ils font mieux : Des hommes politiques auraient acheté des votes aux élections avec du … viagra !
Pas beaucoup. À petites doses !
« Votez pour moi et vous banderez toujours ! »
Notez que ça vaut Daech qui fournit les candidats aux attentats suicides en Captagon, la pilule d’Allah l’unique et promet 70 vierges en son paradis.
 
« — Comme ça tu as pris une maîtresse », lance Germaine en hurlant sur Jean-Marc qui vient d’entrer aux petites heures du matin. « Comme ça tu en as assez de moi ?
— Non. Justement, je n’en ai pas assez ! »
 
Une revenue de plus :
Jean-Marc et Jean-Jacques, deux vieux potes, complètement saouls, se racontent des histoires depuis des heures.
Soudain, Jean-Jacques éclate en sanglots…
« — Je dois t’avouer une chose terrible. Il faut que je te le dise. Je l’ai sur le cœur depuis des années.
— Bof. Vas-y, on est des amis.
— Ben, ta femme…
— Quoi, ma femme…
— Ta femme, je couchais avec elle quand tu travaillais à Amiens.
— Ah ? Mon pov’-vieux… Moi, encore, mais toi, t’étais pourtant pas obligé…
— C’est tout ce que ça te fait.
— Ben oui. On est quitte : Moi je couchais avec la tienne la veille de ton mariage. »
 
Jean-Marc rencontre Jean-Régis qui lui rapporte la conversation qu’il a eu récemment avec son petit-fils. La conversation roulait sur le prix de la vie, l’inflation et pour bien expliquer, Jean-Régis lui disait que :
« — Quand j'étais un enfant, comme tu l’es maintenant, ma maman m’envoyait à l’épicerie du coin avec 5 francs, ce qui représente aujourd’hui 76 centimes d’euro, pour faire les courses.
Je revenais à la maison avec une plaquette de beurre, un litre de lait, un sac de patates, un morceau de fromage, un paquet de sucre, une baguette et une douzaine d’œufs !
— Papy… à ton époque il n’y avait pas de caméras de surveillance partout ! »
 
C’est deux ados qui fument un joint assis près d’une fontaine.
La police les arrête.
Les policiers leur donnent le droit de faire un appel, sur leur cellulaire, puis on les embarque.
Au bout d’une demi-heure, au poste de police, un gars arrive.
« — Vous, vous êtes sans doute l’avocat des p’tits-gars ?
— Non, j’apporte leur pizza toute garnie. »
 
C’est l’histoire authentique d’un couple qui faisait l’amour dans un abribus, en attendant le tramway, dans la banlieue Sud de Londres, en Angleterre.
Ils ont passé la nuit en cellule après que la femme, âgée de 29 ans, et le garçon, âgé de 17 ans, eurent refusé de cesser leurs ébats.
Capturé sur le vif par les caméras de surveillance, le couple a refusé d’obéir aux demandes des agents de sécurité.
Il a fallu l’intervention de la police de Londres.
À l’arrivée des policiers, la femme qui administrait une fellation, ne voulait pas arrêter…
 
Jean-Marc trouve un mot sur la desserte de l’entrée de chez lui :
« Mon chéri, je t’ai préparé ton diner qui est sur la cuisinière.
Tu n’as plus qu’à allumer car j’ai déjà ouvert le gaz en partant ce matin.
Je t’aime.
Germaine »
 
« — On a tous un cordonnier parmi nos voisins ou nos cousins.
— Ah bon ! Tu crois… Pas moi » répond Jean-Marc à son ami Jean-Paul
« Mais si… tu sais celui qui semelle de tout ! »
 
On se rappelle, à cette occasion qu’un :
Mathématicien, c’est un aveugle dans une chambre noire qui cherche un chat noir qui n’est même pas là.
 
Psy, c’est quand une jolie fille entre dans une pièce, eh bien il est le seul qui regarde tout le monde sauf la fille.
 
Institutrice, c’est une femme qui pensait aimer les enfants, et qui a perdu ses illusions.
 
Consultant, c’est une personne qui vous donne l’heure à partir de la montre sur votre poignet et vous le fais payer cher.
 
Diplomate, c’est quelqu’un capable de vous dire d’aller vous faire voir chez Lucifer d’une telle manière que vous aurez hâte de faire le voyage.
 
Psychanalyste, c’est une personne qui vous pose beaucoup de questions en vous demandant beaucoup d’argent. Votre femme fait ça mais pour rien.
 
C’est l’histoire d’un toubib qui vient de procéder à toute une batterie de tests et examens sur un de ses patients.
Il invite le malade à entrer dans son bureau pour lui rendre son diagnostic.
« — J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous.
Je vous dis la mauvaise nouvelle d’abord : Vous avez une maladie extrêmement grave.
En moyenne, seule une personne sur dix peut y survivre !
— Oh mais c’est terrible, ça docteur.
Mais dites-moi, quelle est la bonne nouvelle alors ?
— Mes 9 derniers patients en sont morts… »
 
Encore une revenue… de très loin :
C’est l’histoire du gars sur son lit de mort.
Toute la famille est à son chevet, sa femme et ses quatre enfants.
Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième tout rachitique et moche comme un pou.
Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
« Chérie, avant que je meure, jure-moi que notre quatrième fils est bien de moi.
Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir.
Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir ! »
Sa femme lui pose l’index sur les lèvres et le rassure :
« Chhhut. Bien sûr mon chéri qu’il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère ! »
Et l’homme s’éteint, apaisé et heureux…
Alors sa femme murmure entre ses dents :
« Heureusement qu’il ne m’a pas demandé s’il était le père des trois autres… »
 
C’est l’histoire des deux chasseurs qui sont à la chasse. Vous le savez sans doute, le bon chasseur, il chasse…
Là, tous les deux, le bon chasseur et le mauvais chasseur, voient passer un deltaplane.
L’un d’eux épaule, vise et tire.
« — Bah, tu l’as raté !!!
Oui, mais il a lâché sa proie. »
 
C’est l’histoire de mon cousin, celui qui fait fachot dans le civil.
Plus jeune, il avait volé des broutilles dans un commerce de proximité afin de passer la nuit du Jour de l’An en prison.
Eh bien il n’a même pas réussi…
Il a pourtant patrouillé dans les couloirs de la station des Halles à « Paris-olympique », mais sans plus de succès…
« Ils cherchent un terroriste… Pas un supplétif de ratonneur ! »
 
Jean-Jacques se plaint à Jean-Marc :
« Ma femme est un monstre sexuel », lui a-t-il dit. « Elle ne me laisse pas tranquille, et je n’en peux plus. Elle avait plein de nouveaux gadgets. »
 
Jean-Marc lui apprend en réponse qu’un jour, il est rentré chez lui furax.
Germaine l’accueille alors et lui demande :
« — Qu’est-ce qui ne va pas mon chou ?
— Je me suis battu avec le concierge !
— Et pourquoi as-tu fait ça mon chéri ?
— Parce qu’il m’a dit qu’il avait couché avec toutes les femmes de l’immeuble sauf une !
— Hmmm… Je parie que c’est cette mijaurée de sainte-ni-touche de Mme Durand du troisième ! »
 
Résultat d’un sondage authentique sur les greens…
Selon les résultats d’une enquête publiée dans Golf Magazine, 8 % des golfeurs américains avouent avoir fait l’amour au moins une fois sur le parcours.
Ce pourcentage grimpe à 18 % chez les joueurs qui possèdent un faible handicap.
16 % avouent avoir brisé un bâton après avoir raté un coup et 43 % disent l’avoir déjà lancé au moins une fois.
59 % avouent tricher à l’occasion.
À la question où on leur demandait ce qu’ils interdiraient du jeu, si c’était possible, 37 % ont répondu qu’ils élimineraient les joueurs lents.
34 % souhaiteraient interdire les téléphones cellulaires et 13 % le langage grossier.
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière soliloquent en duo :
« La preuve irréfutable qu’il existe de l’intelligence sur les autres planètes, c’est qu’ils n’ont JAMAIS cherché à entrer en contact avec nous ! »
 
Encore une « revenue » de loin …
Trois petites chattes parlent de leurs portées.
La première évoque ses futurs chatons :
« — Moi, ce seront de superbes siamois, comme leur papa.
— Et moi », dit la seconde, « ça sera des jolis petits persans ».
Et s’adressant à la troisième : 
« — Et toi, qu’est-ce que ce sera ?
— Oh, j’sais pas, j’avais la tête dans une poubelle ! »
 
Petite collection de perles qui auront marqué l’histoire du journalisme, pour l’occasion :
 
« Après l’autopsie du cadavre de Jean-F… on reste un peu sur sa faim. » (Anciennement France-Soir)
 
« Le rapport de la gendarmerie révèle que Alain P… se serait suicidé lui-même. » (Nord Éclair)
 
« Le grand inventeur Louis Lumière s’est éteint. » (L’Aurore)
 
« Le mystère de la femme coupée en morceaux reste entier. » (Est-Éclair)
 
« Quand Honoré Gall s’est-il suicidé ? S’est-il donné la mort avant de se jeter à l’eau ? » (Le Progrès)
 
« Très gravement brûlée, elle s’est éteinte pendant son transport à l’hôpital. » (Dauphiné Actualité)
 
« Il lui bottait le derrière à tour de bras. »
 
« Il abusait de la puissance de son sexe pour frapper son ex-épouse. »
 
« C’est avant votre crime qu’il fallait éprouver des remords. »
 
« À la lumière du doute qui obscurcit cette affaire, nous trancherons. »
 
« C’est l’immobilisme qui conduit notre région au gouffre. »
 
« Un tas de briques avait amorti sa chute. »
 
« Des trous dans sa culotte laissaient entrevoir une famille pauvre. »
 
« En raison de la chaleur, les musiciens ne porteront que la casquette de l’uniforme. »
 
« L’individu n’était pas à prendre avec du pain sec. »
 
« Les pieds de Damoclès… »
 
« Son érection est confiée à la plus grosse grue du département. »
 
Marie-Chantal et Germaine, au salon de thé, devant leurs gourmandises :
« — Sais-tu seulement pourquoi les hommes donnent-ils un nom à leur pénis ?
— Oh c’est probablement parce qu’ils n’accepteraient pas qu’un étranger prenne 90 % de leurs décisions, je suppose… ».
 
Aveu de Jean-Marc :
« Ma femme et moi avons vécu heureux pendant 20 ans…
Puis nous nous sommes rencontrés… »
 
Une histoire authentique :
Si vous cherchez du sexe protégé, mieux vaut fréquenter le gym que l’église a conclu une recherche menée par Susan Moore de la Swinburne University of Technology de Melbourne, en Australie.
Le sport fait évoluer les jeunes rapidement.
Contrairement à l’église où le sexe est interdit, il ne fait pas l’objet de tabou chez les sportifs et les clubs font la promotion systématique de l’utilisation des préservatifs.
Elle a aussi découvert que les jeunes actifs sexuellement sont plus équilibrés que ceux qui pratiquent l’abstinence.
Les jeunes qui ont été interrogés se répartissent en trois groupes à peu près égaux : vierges, actifs avec condoms, actifs sans condoms.
La plupart des actifs sans condoms fréquente l’église !
Dans un sens, c’est normal puisque l’église ne fait pas la promotion du condom. Morale de cette étude : Mieux vaut donc le trempoline que le bénitier !
 
Conversation entre Jean-Marc et Jean-Paul…
« — Nous avons finalement réussi à habituer notre chien à faire ses besoins sur le journal.
— Ah ça, c’est très bien, ça…
— Oui, sauf que nous aimerions qu’il attende que nous ayons fini de le lire… »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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