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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 15 avril 2024

Poutine répond à Tucker Carlson (5/8)

Le texte promis de l’interview
 
Je suis encore en déplacement en « zone blanche », sans accès à Internet, ou en tout cas pas suffisamment longtemps pour vous fournir un « billet d’actualité » tous les jours : Veuillez m’en excusez…
C’est l’occasion de tenir ma promesse de vous proposer le texte du journaliste américain qui est allé faire faire son show à « Poux-tine » au mois de février dernier.
Il se suffit à lui-même, mais si j’ai des commentaires à faire, ils seront en italique…
Bonne lecture… instructive !
 
T. Carlson : Qu’est-ce que la dénazification ? Qu’est-ce que cela signifie ?
Vladimir Poutine : Je veux juste en parler maintenant. C’est une question très importante.
Dénazification. Après avoir accédé à l’indépendance, l’Ukraine a commencé à rechercher son identité, comme le disent certains analystes occidentaux. Et je ne pouvais pas penser à quelque chose de mieux que de mettre les faux héros qui ont collaboré avec Hitler au premier plan de cette identité.
J’ai déjà dit qu’au début du XIXème siècle, lorsque sont apparus les théoriciens de l’indépendance et de la souveraineté de l’Ukraine, ils partaient du principe qu’une Ukraine indépendante devait entretenir de très bonnes et bonnes relations avec la Russie. Mais en raison du développement historique, du fait que lorsque ces territoires faisaient partie du Commonwealth polono-lituanien, la Pologne, les Ukrainiens ont été assez brutalement persécutés, confisqués, ils ont essayé de détruire cette identité, ils se sont comportés très cruellement, tout cela est resté dans le mémoire du peuple. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclata, une partie de cette élite extrêmement nationaliste commença à collaborer avec Hitler, croyant que Hitler leur apporterait la liberté. Les troupes allemandes, même les troupes SS, ont confié le travail le plus sale, celui d’exterminer la population polonaise, la population juive, aux collaborateurs qui ont collaboré avec Hitler. D’où ce massacre brutal de la population polonaise, juive et russe aussi. À sa tête se trouvaient des personnages bien connus : Bandera, Shukhevych. Ce sont ces gens qui sont devenus des héros nationaux. C’est le problème. Et on nous le dit tout le temps : le nationalisme et le néonazisme existent dans d’autres pays. Oui, il y a des pousses, mais nous les écrasons, et dans d’autres pays, ils les écrasent. Mais en Ukraine, non, en Ukraine, ils sont devenus des héros nationaux, des monuments leur sont érigés, ils figurent sur des drapeaux, leurs noms sont criés par des foules qui marchent avec des torches, comme dans l’Allemagne nazie. Ce sont eux qui ont détruit les Polonais, les Juifs et les Russes.
(Parfaitement exact, hélas ! Je l’ai toujours dit : Bien des Ukrainiens sont des vaux-rien !)
Cette pratique et cette théorie doivent cesser.
Bien sûr, toute nation qui s’est développée considère une partie du peuple là-bas… Je dis que cela fait partie du peuple russe commun, ils disent : non, nous sommes un peuple séparé. OK OK. Si quelqu’un se considère comme un peuple distinct, il en a le droit. Mais pas sur la base du nazisme, de l’idéologie nazie.
 
T. Carlson : Serez-vous satisfait du territoire que vous possédez déjà ?
Vladimir Poutine : Je vais terminer maintenant. Vous avez posé une question sur le néonazisme et la dénazification.
Le président ukrainien est venu au Canada – c’est bien connu, mais c’est passé sous silence en Occident (Pas du tout : On a suivi ça nous aussi ! Enfin quelques-uns !) – et a été présenté au Parlement canadien à un homme qui, comme l’a dit le président du Parlement, a combattu contre les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale. Eh bien, qui a combattu contre les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale ? Hitler et ses acolytes. Il s’est avéré que cet homme a servi dans les troupes SS et qu’il a personnellement tué des Russes, des Polonais et des Juifs. Ce sont les troupes SS, constituées de nationalistes ukrainiens, qui ont fait ce sale boulot. Le président de l’Ukraine s’est levé avec l’ensemble du Parlement canadien et a applaudi cet homme. Comment pouvez-vous imaginer cela ? À propos, le président ukrainien lui-même est juif de nationalité.
(Ce n’est pas une nationalité mais une religion : Jésus Christ, celui des chrétiens et notamment orthodoxes russes (et grecs) était de confession juive…
Ça peut surprendre, mais c’est comme ça : Il a été présenté au temple…)
 
T. Carlson : Que ferez-vous à ce sujet ? Cela fait 80 ans que Hitler est mort, l’Allemagne nazie n’existe plus, c’est vrai. Vous dites vouloir éteindre ce feu du nationalisme ukrainien. Comment faire ?
Vladimir Poutine : Écoutez-moi. Votre question est très subtile… Et puis-je vous dire ce que j’en pense ? Ne serez-vous pas offensé ?
 
T. Carlson : Bien sûr que je ne le ferai pas.
V. Poutine : Cette question semble subtile, très méchante.
Vous dites : Hitler est parti depuis tant d’années, 80 ans. Mais son œuvre perdure. Ceux qui ont détruit les juifs, les Russes et les Polonais sont vivants. Et le président, l’actuel président de l’Ukraine d’aujourd’hui, l’applaudit au Parlement canadien, lui fait une standing ovation ! Comment pouvons-nous dire que nous avons complètement déraciné cette idéologie si ce que nous voyons se produit aujourd’hui ? C’est ce qu’est la dénazification selon notre compréhension. Nous devons nous débarrasser de ceux qui abandonnent cette théorie et cette pratique dans la vie et tentent de les préserver – c’est ça la dénazification. C’est ce que nous entendons par là.
(Il est fort drôle : C’est qui qui a financé un parti politique ouvertement nazifiant à l’époque en « Gauloisie-olympique », au juste ?)
 
T. Carlson : D’accord. Bien entendu, je ne défends pas le nazisme ou le néonazisme. Mais ma question est d’ordre pratique : vous ne contrôlez pas tout le pays, et il me semble que vous voulez tout contrôler. Mais comment peut-on alors déraciner l’idéologie, la culture, certains sentiments, l’histoire dans un pays que l’on ne contrôle pas ? Comment y parvenir ?
V. Poutine : Et vous savez, aussi étrange que cela puisse vous paraître, lors des négociations à Istanbul, nous avons néanmoins convenu que – tout est là sous forme écrite – le néonazisme ne sera pas cultivé en Ukraine, y compris qu’il le sera interdit au niveau législatif.
Monsieur Carlson, nous étions d’accord là-dessus. Il s’avère que cela peut être fait pendant le processus de négociation. Et il n’y a rien d’humiliant ici pour l’Ukraine en tant qu’État civilisé moderne. Quel État est-il autorisé à promouvoir la propagande nazie ? Pas vraiment ? C’est tout.
(Bé la Russie de « Poux-tine » en la finançant en occident, non ?)
 
T. Carlson : Y aura-t-il des négociations ? Et pourquoi n’y a-t-il pas eu jusqu’à présent de telles négociations – des négociations de paix – concernant la résolution du conflit en Ukraine ?
Vladimir Poutine : Ils l’ont fait, ils ont atteint un stade très élevé d’accord sur les positions d’un processus complexe, mais ils étaient néanmoins presque terminés. Mais après le retrait des troupes de Kiev, comme je l’ai déjà dit, l’autre partie, l’Ukraine, a rejeté tous ces accords et a tenu compte des instructions des pays occidentaux – européens, américains – de se battre jusqu’au bout avec la Russie.
Et plus encore : le président ukrainien a légalement interdit les négociations avec la Russie. Il a signé un décret interdisant à quiconque de négocier avec la Russie. Mais comment négocierons-nous s’il s’interdit à lui-même et interdit à tout le monde ? Nous savons qu’il avance quelques idées concernant ce règlement. Mais pour se mettre d’accord sur quelque chose, il faut dialoguer, n’est-ce pas ?
(Il interdit de négocier avec « Poux-tine », [pris comme d’un criminel de guerre] mais pas avec un autre… Et demain il peut signer un décret l’autorisant…)
 
T. Carlson : Oui, mais vous ne parlerez pas au président ukrainien, vous parlerez au président américain. À quand remonte la dernière fois que vous avez parlé avec Joe Biden ?
Vladimir Poutine : Je ne me souviens pas quand je lui ai parlé. Je ne m’en souviens pas, vous pouvez le rechercher.
(Amnésique ? C’était le 12 février 2022 à 11 h 04 [16 h 04 GMT]. Mais ils s’étaient longuement entretenus en juin 2021 à Genève…)
 
T. Carlson : Vous ne vous en souvenez pas ?
V. Poutine : Non, quoi, je dois me souvenir de tout, ou quoi ? J’ai beaucoup de choses à faire. Nous avons des affaires politiques internes.
(Oui, manifestement c’est ce qui compte pour sa « campagne électorale » : Faire savoir, à travers ce long entretien, à ses électeurs qu’il a toujours une stature internationale jusque dans la presse des USA !)
 
T. Carlson : Mais il finance la guerre que vous menez.
V. Poutine : Oui, il finance, mais quand je lui ai parlé, c’était bien sûr avant le début d’une opération militaire spéciale, et d’ailleurs, je lui ai dit alors – je n’entrerai pas dans les détails, je ne l’ai jamais fait – mais je lui ai alors dit : je crois que vous commettez une énorme erreur aux proportions historiques, en soutenant tout ce qui se passe là-bas, en Ukraine, en repoussant la Russie. Je lui en ai parlé – je lui ai dit plus d’une fois, d’ailleurs. Je pense que ce sera correct – ici, je me limiterai à cela.
(Pas la peine d’en dire plus : On imagine même la réponse, la même qu’aura pu faire « Jupiter », imagine-je quand il s’est déplacé sur place…)
 
T. Carlson : Qu’a-t-il dit ?
Vladimir Poutine : Demandez-lui, s’il vous plaît. C’est simple pour vous : vous êtes citoyen des États-Unis, allez lui demander. Il est inapproprié de ma part de commenter notre conversation.
 
T. Carlson : Mais vous ne lui avez plus parlé depuis – après février 2022 ?
Vladimir Poutine : Non, nous n’avons pas parlé. Mais nous avons certains contacts. Au fait, vous vous souvenez quand je vous ai parlé de ma proposition de travailler ensemble sur un système de défense antimissile ?
 
T. Carlson : Oui.
Vladimir Poutine : Vous pouvez demander à tout le monde : Dieu merci, ils sont tous bien vivants. L’ancien président et Condoleezza (Rice) sont bien vivants et, à mon avis, M. Gates et l’actuel directeur de la Central Intelligence Agency, M. Burns – il était alors ambassadeur en Russie, à mon avis, un ambassadeur très réussi. Ils sont tous témoins de ces conversations. Leur demander.
La même chose est vraie ici : si vous êtes intéressé par ce que m’a répondu M. le président Biden, demandez-lui. En tout cas, lui et moi avons parlé de ce sujet.
 
T. Carlson : Je comprends parfaitement cela, mais de l’extérieur, pour un observateur extérieur, il peut sembler que tout cela pourrait aboutir à une situation où le monde entier serait au bord de la guerre, peut-être même que des frappes nucléaires seraient menées. Pourquoi n’appelez-vous pas Biden et dites-lui : résolvons ce problème d’une manière ou d’une autre.
V. Poutine : Que devons-nous décider ? Tout est très simple. Nous avons, je le répète, des contacts à travers différents départements. Je vais vous dire ce que nous disons à ce sujet et ce que nous transmettons aux dirigeants américains : si vous voulez vraiment arrêter les hostilités, vous devez arrêter la fourniture d’armes – tout se terminera dans quelques semaines, c’est tout, et puis vous pouvez vous mettre d’accord sur certains, puis, avant de le faire, arrêtez-vous.
(Clairement, rendez-les armes et les combats s’arrêtent : Une reddition sans condition en somme !
Il ne manque pas d’humour…)
Quoi de plus simple ? Pourquoi devrais-je l’appeler ? De quoi parler ou de quoi mendier ? « Allez-vous fournir telles ou telles armes à l’Ukraine ? Oh, j’ai peur, j’ai peur, s’il te plaît, ne livre pas. » De quoi parle-t-il ?
 
T. Carlson : Pensez-vous que l’OTAN craint que cela ne dégénère en une guerre mondiale ou même en un conflit nucléaire ?
V. Poutine : En tout cas, ils en parlent et tentent d’intimider leur population avec une menace russe imaginaire. C’est une évidence. Et les gens réfléchis – pas les gens ordinaires, mais les gens réfléchis, les analystes, ceux qui sont impliqués dans la vraie politique, juste les gens intelligents – comprennent parfaitement qu’il s’agit d’un faux. La menace russe est en train de s’aggraver.
(Exact…)
 
T. Carlson : Voulez-vous parler de la menace d’une invasion russe, par exemple en Pologne ou en Lettonie ? Pouvez-vous imaginer un scénario dans lequel vous enverriez des troupes russes en Pologne ?
V. Poutine : Seulement dans un cas : s’il y a une attaque contre la Russie depuis la Pologne. Pourquoi ? Parce que nous n’avons aucun intérêt ni en Pologne ni en Lettonie – nulle part. Pourquoi avons-nous besoin de ça ? Nous n’avons tout simplement aucun intérêt. Juste des menaces.
(Encore exact…
D’ailleurs, c’est exactement comme en Ukraine : Rien à battre…)
 
T. Carlson : L’argument – je pense que vous le savez bien – est le suivant : oui, il a envahi l’Ukraine, il a des revendications territoriales sur l’ensemble du continent. Êtes-vous en train de dire sans ambiguïté que vous n’avez pas de telles revendications territoriales ?
Vladimir Poutine : Ceci est absolument exclu (Tiens donc !). Il n’est pas nécessaire d’être un analyste : il est contraire au bon sens de se laisser entraîner dans une sorte de guerre mondiale. Et une guerre mondiale amènerait l’humanité toute entière au bord de la destruction. Il est évident.
(La destruction mutuelle assurée… Tout-à-fait exact !)
Il existe bien sûr des moyens de dissuasion. Nous n’avons cessé de faire peur à tout le monde : demain la Russie utilisera des armes nucléaires tactiques, demain elle utilisera celle-ci – non, après-demain. Et alors ? Ce ne sont que des histoires d’horreur pour les gens ordinaires, afin d’extorquer de l’argent supplémentaire aux contribuables américains et européens lors de la confrontation avec la Russie sur le théâtre d’opérations militaires ukrainien.
L’objectif est d’affaiblir la Russie autant que possible (Parfaitement exact et ça fonctionne assez bien… avec des hauts et des bas !).
 
T. Carlson : L’un des sénateurs les plus expérimentés, Chuck Schumer, a déclaré hier, je crois : nous devons continuer à financer l’Ukraine, sinon les soldats américains devront finalement combattre en Ukraine. Comment évaluez-vous une telle affirmation ?
Vladimir Poutine : C’est une provocation, et une provocation bon marché en plus. Je ne comprends pas pourquoi les soldats américains doivent combattre en Ukraine. Il y a des mercenaires américains là-bas. La plupart des mercenaires viennent de Pologne, en deuxième position les mercenaires des États-Unis et en troisième position ceux de Géorgie.
(Tiens, il n’y a plus de « Gauloisiens-olympiques ? Curieux : Le contingent se résumait-il à la quarantaine de morts précédemment décédés à coup de missile à Kharkiv ?)
Si quelqu’un souhaite envoyer des troupes régulières, cela mettra certainement l’humanité au bord d’un conflit mondial très grave. C’est évident.
(« Jupiter » aura été prévenu avant même d’assurer que rien n’était exclu en la matière : Une manière – un peu brutale mais diplomatique – de répondre à « Poux-tine »…)
Vladimir Poutine : Les États-Unis en ont-ils besoin ? Pour quoi ? À des milliers de kilomètres du territoire national ! Vous n’avez rien à faire ? Vous avez beaucoup de problèmes à la frontière, des problèmes de migration, des problèmes de dette nationale – plus de 33.000 milliards de dollars. Il n’y a rien à faire – vous devez vous battre en Ukraine ?
Ne vaudrait-il pas mieux parvenir à un accord avec la Russie ? Parvenir à un accord, en comprenant déjà la situation qui se développe aujourd’hui, en comprenant que la Russie se battra jusqu’au bout pour ses intérêts et, en comprenant cela, en fait, revenons au bon sens, commençons à respecter notre pays, ses intérêts et regardons pour quoi – quelles solutions ? Il me semble que c’est beaucoup plus intelligent et rationnel.
Et on change de sujet…
Mais nous verrons ça demain et les jours suivants…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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