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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 3 avril 2024

Lui, il ne va pas faire de vieux os…

Franck Élong Abé entendu vendredi prochain
 
Vous vous demandez qui est cet illustre olibrius ?
C’est l’assassin d’Yvan Colonna !
Et alors que l’élimination de l’autonomiste, celui qui a été condamné par la justice de mon pays (celui que j’aime tant et qui commence seulement à me le rendre à la marge…) pour l’ignoble assassinat, absolument inutile et totalement contre-productif, du Préfet Érignac dans les rues d’Ajaccio (« Corsica-Bella-Tchi-tchi »), cette audition fait suite au récent courrier adressé par ce détenu fiché S à la magistrate.
Une lettre dans laquelle il disait avoir été « manipulé ».
Diantre !
 
C’est que dans un courrier daté du 14 février 2024, il avait changé sa version initiale, expliquant avoir été « manipulé » tout en pointant notamment le rôle de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) et de l’État.
Noooon… pas possible !!!!
Même que dans un communiqué commun, les avocats des proches d’Yvan Colonna avaient alors demandé à la « juge d’instruction d’entendre Monsieur Élong Abé en présence des avocats de la partie civile afin qu’il éclaire la famille sur les propos tenus dans cette correspondance » inquiétante et inopinée.
 
Rappelons que l’ancien combattant du Djihad en Afghanistan, qui a roué de coups et étranglé Yvan Colonna jusqu’à ce que mort s’en suive, affiche un lourd curriculum vitæ, plus un parcours carcéral assez chaotique.
Le mardi 2 juin 2015, aux abords du palais de justice de Rouen, le déploiement de forces était inhabituel. Et spectaculaire. Des hommes de la brigade anticriminalité, cagoulés, gantés, casqués, et des policiers eux-mêmes casqués, grimés et armés jusqu’aux dents de fusils-mitrailleurs quadrillaient le terrain.
À l’intérieur de la salle d’audience du tribunal correctionnel, chemise immaculée, barbe fournie, crâne rasé et regard sombre, Franck Élong Abé. L’homme est alors âgé de 28 ans. Et il considéré comme présentant un degré élevé de dangerosité.
Alors les autorités locales n’ont pas voulu prendre de risques.
Le prévenu, qui comparaît pour tentative d’évasion à l'hôpital-prison de Seclin, dans le Nord, ne dira pas un mot au tribunal.
Personne ne connaîtra sa version de cette tentative d’évasion, qualifiée à l’époque par le parquet de « bizarre mais violente », au cours de laquelle il prend en otage une interne en psychiatrie, qu’il menace à l’aide d’une pointe taillée dans un dévidoir de papier hygiénique.
Au sortir de l’audience, il est condamné à quatre ans de prison.
Une condamnation de plus. 
 
Celui qui a roué de coups et étranglé Yvan Colonna, peu après 10 heures du matin, mercredi 2 mars, en raison d’un supposé « blasphème », a un CV qui fait frémir. Et cette tentative d’évasion, bien que considérée, à raison, comme « d’une extrême gravité » par le procureur de Rouen, est noyée au milieu des 16 mentions au casier judiciaire de Franck, aujourd'hui âgé de 36 ans.
L’homme est né au Cameroun et a passé une partie de sa jeunesse en Normandie.
En 2011, alors qu’il a une vingtaine d’années, il rejoint l’Afghanistan, où il embrasse la cause djihadiste et combat au côté des talibans.
 
En 2014 il est livré à la « Gauloisie-olympique », priée de prendre en charge ses détritus de l’humanité, où il est condamné à 9 années de prison pour association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste. Il sera incarcéré dans plusieurs prisons, jusqu’Arles où il arrive en 2019, précédé par une réputation de détenu pour le moins difficile.
L’été précédent, alors qu’il est enfermé au sein de la très sécuritaire prison de Condé-sur-Sarthe, il a été à l’origine de pas moins de 14 incidents, détruisant du matériel ou mettant le feu à sa cellule !
Et on peut se demander, au vu de ce profil radicalisé, et de son parcours carcéral, comment, alors qu’il était soumis au statut de DPS, il n’avait pas également transité par l’un des quartiers d’évaluation de la radicalisation, comme c’est le cas habituellement pour ce genre de détenus.
Mais pas seulement…
 
Quoi qu’il en soit, le bonhomme semblait s’être calmé depuis son arrivée dans les Bouches-du-Rhône, il y a trois ans. Renfermé sur lui-même, taiseux, sans visites ni contacts avec l’extérieur, il n’était pas vraiment un détenu modèle, mais il n’avait plus été à l’origine d’aucun débordement notable.
Au point de s’être vu confié des tâches d’entretien, habituellement interdites aux DPS.  
Un emploi qui lui a permis, ce matin du 2 mars 2022, de se retrouver seul à seul avec Yvan Colonna dans la salle de musculation de la maison centrale d’Arles où il aura commis son crime…
 
Désormais, il dit avoir été manipulé et pointe notamment le rôle de la DGSI et de l’État. Et sa lettre oscille entre propos structurés et d’autres plus confus.
La juge d'instruction antiterroriste en charge de l’enquête a décidé de verser cette lettre au dossier dix jours après sa rédaction.
Dans ce courrier de quatre pages adressé à la magistrate, il dit « avoir été victime de manipulations » (le pov’ chéri !!!) et affirme avoir agi contre la promesse « d’une grosse somme d’argent ».
Selon ses dires, « 100.000 euros par année de prison » lui auraient été proposés pour agir. Une somme d’argent qu’il dit ne pas avoir perçue (il ne manquerait plus que ça !)
Si Franck Élong Abé ne nomme pas expressément des commanditaires qui lui auraient demandé d’agir, il pointe cependant dans le texte la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) ainsi que l’État.
« Ils se sont servis de moi comme d’un abruti » (qu’il est probablement), écrit-il. Il évoque « des manipulateurs », et « des stratèges de la DGSI ».
 
Évidemment, contacté par téléphone par « Transe-télévisions », le ministère de l’Intérieur (& des cultes), via son « porte-la-parole » indique que : « Ces allégations sont totalement fausses et sont sans fondement. Les services du ministère de l’Intérieur ne commanditent pas d’assassinat ni d’agression contre qui que ce soit. Ce ne sont pas des pratiques qui existent. Une procédure judiciaire est actuellement en cours sur ce sujet » (autrement dit il botte « en la touche »)…
Ce qui prouve au moins une chose : C’est que soit c’est vrai soit, au ministère, ils ne savent pas tout, en tout cas surtout pas son « porte-la-parole » !
Quant au Parquet national antiterroriste (Pnat), en charge de l’enquête sur la mort d’Yvan Colonna, il ne dément pas l’envoi de cette lettre mais « ne souhaite pas réagir » sur le sujet, faisant valoir « le secret de l’information judiciaire » (qui a bon dos, même si c’est logique et juridiquement « bien-fondé ».
 
Si l’incarcéré de la prison de la Santé (parigote-olympique), n’a plus d’avocat du côté de la famille Colonna, les leurs auront réagi rapidement.
Maîtres « Dumè-Pao-lini » (qui représente le frère et les parents d’Yvan Colonna) et « Âna-Maria-Sol-à-carreaux »[1] (conseil de la sœur d’Yvan Colonna) « confirment avoir appris l’existence de cette pièce ». Ils ajoutent : « Même s’il convient de la prendre avec prudence (les « pincettes-sanitaires » d’usage), elle constitue un nouvel élément majeur puisqu’il a été choisi de la verser au dossier. »
« Nous avons fait le choix de demander à Madame le Juge d’Instruction d’entendre Monsieur Élong Abé en présence des avocats de la partie civile que nous représentons, afin qu’il éclaire la famille sur les propos tenus dans cette correspondance », indiquent alors les deux avocats dans un communiqué commun.
Pour Maître « Maison-haute », qui défend la veuve d’Yvan Colonna, ce courrier « constitue un élément important et un fait nouveau dans le dossier qui nécessite de pousser plus loin les investigations dans ce sens ».
 
On rappelle que le Parquet national antiterroriste s’était déjà saisi du dossier. Lors d’une conférence de presse, le procureur antiterroriste avait évoqué la piste d’un acte à caractère terroriste « résultant d’une conception religieuse extrémiste » et perpétré par un homme ayant « un parcours djihadiste ». Et cette hypothèse serait corroborée par l’analyse des faits, selon le PNAT.
Sauf que, plusieurs questions se posent désormais : Ces déclarations tardives de sont-elles crédibles et fondées ?
Sont-elles motivées par la volonté de faire éclater la vérité ou relèvent-elles d’une stratégie de défense visant à amoindrir la responsabilité de son auteur ?
Sont-elles celles d’un homme qui tente de s’en sortir, de minorer son rôle et donc sa peine ?
Ou alors de ne pas être jugé comme un terroriste en affirmant avoir agi, désormais, sur ordres et en reprenant des accusations que l’on a pu entendre très tôt dans le débat public et en marge de la commission d’enquête parlementaire depuis le début de l’affaire, à savoir celles d’un assassinat qui aurait été commandité par les services de l'État ?
Il faut dire qu’enfermé, mais toujours vivant et susceptible de bénéficier un jour ou l’autre d’une libération conditionnelle, Yvan Colonna pouvait se décider à parler enfin, libéré de toute pression…
Bref, un citoyen qui pouvait devenir dangereux vivant pour des « comploteurs », ceux supposés par les complotistes…
 
 
Mais ces nouvelles accusations sont aussi celles d’un homme dont le discernement a été jugé altéré par les expertises psychologiques mais pas aboli.
Y a-t-il une volonté de se mettre en lumière et de semer le trouble ?
Enfin, la rédaction de cette lettre a-t-elle été effectuée par l’accusé lui-même et de sa propre initiative ou lui a-t-elle été suggérée ?
Et dans ce cas, par qui, lui qui n’a plus ni avocat ni « contact » avec l’extérieur ?
Par ailleurs, comment Yvan Colonna a-t-il pu être agressé, violemment, par un codétenu, alors qu’il était DPS, détenu particulièrement signalé, et que ce statut en fait par définition quelqu’un soumis à une surveillance très accrue ?
Où étaient les gardiens dont le rôle était précisément d’empêcher ce type d’agression ?
Pourquoi un islamiste radical s’en est-il pris à lui particulièrement ?
L’État est juridiquement responsable de la sécurité d’Yvan Colonna : Ira-t-il en prison pour complicité ?
Si l’agresseur décède à son tour, l’administration pénitentiaire et l’ensemble de la hiérarchie politique dont elle dépend pourra-t-elle en rendre des comptes ?
 
Selon la Chancellerie, le statut de DSP « est donné aux détenus appelant une surveillance particulière en raison de leur niveau de dangerosité élevé ou du risque d’évasion qu'ils présentent, en raison notamment des réseaux qu’ils sont susceptibles de mobiliser ». Sont concernés les détenus de la criminalité organisée locale ou interrégionale, nationale ou internationale, les personnes ayant réussi à s’évader auparavant ou ayant initié l’exécution d’une évasion.
Et les détenus appartenant à une mouvance terroriste.
Celui-là cumulait…
Mais à quoi cela sert-il de les « surveiller particulièrement » si de toute les façons ils font bien que ce qu’ils veulent ?
 
Ces détenus DSP, au nombre de 350 environ en « Gauloisie-olympique », sont répartis dans des maisons centrales et dans des établissements de niveau de sécurité élevé : « La surveillance est accrue, et ils sont sous le coup de mesures spécifiques », explique un fonctionnaire de cette administration pénitentiaire-là.
« Mais elle est surtout liée à leurs rapports à l’extérieur. Les collègues surveillent de plus près les appels, les opérations de fouille sont plus minutieuses, les visites, les correspondances sont scrupuleusement contrôlées, et lorsqu’ils sont emmenés à l’hôpital, par exemple, l’escorte est renforcée par rapport aux autres détenus, elle est en niveau 4 ».
Ouh-là ! « Niveau 4 », j’en tremble encore…
 
Le cousin « Juanito-Castel-la » a passé plus de sept ans en cellule, à la suite l’assassinat du préfet Claude Érignac, avant d’être acquitté en 2006. Il a vu tout cela de près, et il confirme : « Ce sont des mesures qui sont dures à supporter, mais ce ne sont en rien des mesures d’isolement. C’est un statut de pression sur le prisonnier, mais absolument pas de protection. Aucune mesure de protection personnelle n’est appliquée ».
Voilà l’explication de la forfaiture…
 
Et c’est vrai qu’à la prison d’Arles, les DPS ne sont pas interdits de promenade, ou d’activités. « Les activités sportives sont primordiales pour l’évasion cérébrale, on sait que les détenus ont besoin de voir la lumière du jour. Et il y a des zones où les activités sont communes. C’est le cas de la zone où s’est déroulée l’agression d’Yvan Colonna » en dit un maton.
Abé est peut-être passé sous les radars de surveillance en termes d’agressivité.
Mais « les DPS, normalement, sont répartis de façon bien ordonnée. Imaginez que la prison d’Arles, c’est cinq immeubles. On mettrait un grand DPS par immeuble. De manière théorique, ça devrait être comme ça. Mais y a toujours des zones de mélange… » en dit un habitué des lieux.
Confirmation d’un ex-taulard : « Dans les espaces qui sont fréquentés par les détenus, nous ne sommes pas plus surveillés que les autres. Et ce sont, potentiellement, des lieux de grande violence, et d’agression permanente. On est amenés à y fréquenter des personnes au profil très particulier. Moi, à l’époque, dans la cour, tous les jours, je croisais l’islamiste qui avait mis une bombe dans le métro parisien… »
Copain-copain ?
 
Celui-là, dans son souvenir, « des agressions se déroulaient très souvent, et les surveillants, qui ne sont pas au milieu des détenus, n’intervenaient que très tard. En général, plusieurs minutes après les faits ».
Dans le cas d’Yvan Colonna, selon le procureur de Tarascon, le délai aurait été de « moins de trois minutes après l’alerte ». Or l’alerte a été donné par l’agresseur lui-même, une fois son forfait achevé…
Mais certains DPS, particulièrement difficiles, peuvent faire l’objet d’un régime à part. Et là, de toute évidence, ce n’était pas le cas, malgré le lourd CV de Frank.
« L’agresseur a été reconnu, apparemment, comme une personne qui pouvait avoir des activités communes… Il était catalogué comme djihadiste, mais peut-être qu’il était passé sous les radars de surveillance en termes d’agressivité ».
Et c’est à tel point que Franck Élong Abé effectuait un travail d’auxiliaire d’entretien affecté aux activités sportives, en charge de l’entretien et de l’organisation de la salle de sport de la maison centrale d’Arles.
C’est par ce biais qu’il aurait eu accès à la salle de musculation où se trouvait Yvan Colonna.
Le problème, rappelle de son côté l’Observatoire International des Prisons, c’est que les DPS sont normalement « écartés de ces postes sur recommandation de la Direction de l’administration pénitentiaire ». Bref, de quoi alimenter un peu plus les nombreuses interrogations que soulèvent les circonstances de l’agression…
 
Très vite, en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » après l’agression d’Yvan, personne ne s’étonnait : On avait plutôt la rage ! Si les « barbouzes » de l’État exécutent des peines capitales sans autorisation et sous couvert de faux-nez, il y a bien lieu de se méfier de « ces-gens-là » qui n’ont pas leur place sous le soleil Corse.
Si en plus, demain, l’exécuteur des basses œuvres devait subir le même sort, chacun saurait qu’en réalité, comme il l’avait déjà été dit d’emblée, l’assassinat du Préfet n’était qu’une mise en scène devant être porté par le commando de Cargèse, piégé qu’ils ont été par, probablement, les réseaux « Passe-quoi »…
Ce sera un econfirmation…
Mais Frank n’est pas encore mort : En revanche il ne touchera pas 100 K€/an de prison, il bave trop !
Lui aussi, c’est un cocu qui n’avait aucun motif d’en vouloir à titre personnel ou au nom de son djihad à Colonna : Ça tombe sous le sens !
 
Et ça reste donc « à suivre » !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Vous vous souvenez de maître « Sol-à-Carreaux » assassiné le 16 octobre 2012 à Ajaccio (Corsica-Bella-Tchi-tchi-du-Sud) alors qu'il faisait le plein de sa Mercédès ?
Militant de la Ligue des droits de l'homme (LDH) il fut également militant de la cause nationaliste Corse sous les couleurs du Mouvement pour l’autodétermination (MPA) dans les années 1990 avec son ami Alain Orsoni, ancien nationaliste et président du club de football de l’AC Ajaccio (qui vient de se faire battre par Auxerre en ligue 2, 0-1).
Il était considéré comme l’avocat historique du FLNC et justement il a défendu notamment Yvan Colonna. Son assassinat avait pour toile de fond l’affrontement entre deux groupes : d’une part « le clan Orsoni » (MPA) reconvertis dans les affaires et le « Gang du Petit Bar », impliqué dans des affaires de trafic de stupéfiants et d’extorsion de fonds.
Le 31 août 2018, le juge d'instruction renvoie aux assises Jacques Santoni et André Bacchiolelli pour la tentative d'assassinat de Charles Cervoni et l’assassinat d’Antoine « Sol-à-Carreaux », plus le délit connexe d’association de malfaiteurs.

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