La démocrature en marche

Un peu de « politique-fiction »…
 
La semaine sainte aura été rude cette année, d’autant qu’elle aura clôturé un mois plus long que les autres, sans coupure. Mais la suivante est pire : Il faut faire en 4 jours ce qu’on fait habituellement en 5…
Aussi, j’ai profité du long week-end Pascal pour me poser un peu, avancer sur le roman de l’été (qui part dans des directions improbables : Comme d’habitude, ce n’est pas moâ qui invente ce roman, il se façonne tout seul en m’échappant, je ne suis jamais que celui qui retranscrit). Et faire un peu de prospective (une déformation ex-professionnelle… mais les vilains défauts persistent à être résilients…).
Et je vous en livre ce matin la quintessence : La situation est compliquée, ne serait-ce que sur le plan de la politique intérieure de mon pays…
Alors quand on franchit les frontières, dans ce monde qui se veut « globalisé », je ne vous raconte même pas…
Mais on y reviendra tout de même… plus tard.
 
Si les « gamins » qui ont pris le pouvoir – presque par défaut – continuent à gouverner le pays comme ils le font depuis un peu plus de deux ans, c’est une évidence, aux prochaines échéances démocratiques, le « national-populisme » qui gangrène lentement l’Europe et ses z’élites arrivera alors au pouvoir, presque comme d’une nécessité et en tout cas les doigts dans le nez (et une b… dans le k…l) !
Les « ceux-ce » qui font actuellement « gouvernement de mignons & de copains », tous (ou presque) issus des mêmes quartiers, ékoles, formations, milieux sociaux, sont tellement déconnectés des aspirations profondes du pays, de ceux qui triment et font tourner la machine malgré tout, qu’on va directement vers une disruption de première classe qui va laisser pas mal de victimes sur le pavé.
Et au mieux, renversera « par les urnes » tous ces « autistes-trisomiques » qui nous pourrissent la vie sans même s’en rendre compte !
 
Seulement s’ils continuent comme ça, à imposer leurs rêves qui ne font plus rêver personne, sauf les addicts à diverses perversions sournoises… Ils pourraient, même si ça reste improbable, se ressaisir, ce qui changerait le destin du pays.
Je ne juge pas, je constate et anticipe…
 
C’est d’ailleurs ce que disent les sondages, les études d’opinion, vos éditorialistes ou tout simplement votre entourage, dans les bureaux, les ateliers, sur les marchés, au café du commerce….
En 2027, se dit-on, le « Air-haine » prendra l’Élysée et l’Assemblée nationale dans la foulée, par la voix démocratique (le rêve inachevé de « Tonton Georges » (Marché, du PCF, sauf que ce n’est pas sa formation qui y parviendra), pour finir de la pourrir, parce que gangrénée par des « ultras » regroupés autour de « Mes-Luches » qui fossilise la gôche radicale.
Et les bonnes âmes (de centre-droât, de centre-gôche et de centre-mou) de se rassurer : Ce ne serait qu’une courte parenthèse !
Le pays ne peut pas supporter ça, qu’ils en sont sûrs.
Moâ, je veux bien, je me suis même « exilé » un long moment quand j’ai vu venir, vu naître, la dynamique, il y a un peu plus de 10 ans de ça, qui va porter au pouvoir les « nationaux-populistes »…
Il se trouve que j’ai dû revenir, pour des raisons familiales, et que je n’ai plus ni les moyens ni l’âge de repartir : Au pire, je me réfugie sur les terres où mes ancêtres ont déjà leurs tombeaux, à attendre qu’ils me libèrent une petite place pour que je puisse les rejoindre !
Là, ça reste dans mes moyens et mes ambitions…
 
Car il faut bien se rendre compte que ce qui était invraisemblable ou terrifiant en avril 2002 se voudrait, se réduirait aujourd’hui à une parenthèse quasi indolore ! Notons simplement que la respectabilité du « Air-Haine » voulue par « Marinella-tchi-tchi », qui a fait le ménage dans ses troupes pour en extraire les individus les plus infréquentables, favorise enfin l’hypothèse de son accession au pouvoir.
Tranquillement, son parti des « excommuniés », des fachots, néo-nazis, antisémites, sectaires et racistes est devenu le premier parti de « Gauloisie-olympique » !
Il faut le faire, tout de même au pays de la Liberté, de l’égalité et de la fraternité…
 
Un beau 180° pour une autoroute qui s’ouvre vers les instances du pouvoir : On glosera encore pendant des années autour des raisons, fort multiples, qui ont construit ce succès.
Pour ma part, les connaissant un peu, je suis certain que cette conquête de la respectabilité ne changera pas son électorat de base et qu’ils jubilent déjà au futures victoires annoncées… qui les font se tenir à carreau pour ne pas effrayer l’électeur à séduire : Mais chassez le naturel, il reviendra au galop !
Il y a même des listes de têtes à couper qui circulent déjà, un peu comme le PCF avait les siennes au lendemain de l’Union de la gôche qui aura porté « Mythe-errant » dans le fauteuil de De Gaulle…
 
Il convient de noter que d’une élection à une autre, la progression est presque constante.
Se souvient-on que le « Borgne de San-Cloud » totalisait faiblement 190.921 voix et 0,75 % des suffrages au premier tour de l’élection présidentielle de 1974 ?
Et que l’électorat frontiste (devenu « Air-haine ») est passé de quelque 4 millions de voix dans les années 1990-2000 à plus de 13,2 millions au second tour de l’élection présidentielle 2022 ?
Et ce décompte est « en volume », or, avec l’abstention qui s’envole d’un scrutin à un autre, le seuil des 50 % des votants s’atrophie de scrutin en scrutin…
La « majorité » (relative) est donc devenue « à portée de main » au fil du temps !
 
Avec un système de vote à la proportionnelle pour l’élection des députés, voulu par « Mythe-errant » pour ruiner la possibilité d’une assemblée fortement majoritaire contre lui, on a vu accéder trente-cinq de leurs députés à l’Assemblée nationale en 1986 : Ce qui n’a pas empêché « dieu » de devoir assumer une cohabitation qu’il aura su par la suite tourner à son avantage.
En comparaison et au scrutin majoritaire à deux tours et par circonscription de juin 2022, on en compte… quatre-vingt-huit !
 
Le succès appelant le succès, les prochaines échéances s’annoncent triomphales. D’autant que rien n’est fait pour contrer la pousse des mauvaises herbes, au contraire : On croirait que « Jupiter » se complait à pousser son adversaire préféré sous les feux de la rampe, en éternel Poulidor.
Sauf que, si ça lui a permis par deux fois d’entrer au palais de l’Élysée, il n’y aura pas de troisième fois (sauf réforme de la constitution) et qu’aux élections européennes, sans adversaire dogmatique et politique à la hauteur pour inverser la situation (faute d’envergure : Ce n’est pas « Chiotti », ni « Mes-Luches », ni « Bébé-roux », ni « Rousse-eau », ni « Veau-qui-est », ni « Yoda », ni « Rousse-aile », ni « Haut-Teint » qui n’en ont pas l’étoffe) la liste de « J’ordonne-le-Bordel-là » caracole en tête des sondages, qui lui accordent régulièrement entre 27 et 30 % des intentions de vote.
 
Pas mal pour des parlementaires paradoxalement antieuropéens et souvent absents !
Et en 2027 ?
Bé impossible à prédire évidemment, mais un sondage commandé par « Les Républicains-démocrates » en décembre dernier donne déjà le ton : Ses résultats « donnent pour la première fois la majorité à l’extrême droite à l’Assemblée nationale (…) avec une projection inédite (…) entre 243 et 305 députés », soit la possibilité bien réelle d’une majorité absolue (289 sièges) !
Qui seront probablement apportés par quelques « dissidents » à qui on aura promis un portefeuille ministériel…
Et puis qu’importe d’ailleurs : « Le gamin », « Gaby-le-magnifique » gouverne le pays sans majorité et même « Lili-Bête-Borgne » aura imposé des réformettes qui faisaient la quasi-unanimité contre elles (au point qu’on revient déjà sur celle de l’assurance-chômage) à coup de 49.3, donc sans majorité !
On est entré en « démocrature » : Qui a besoin d’une majorité au juste, si tout se décide rue du faubourg Saint-Honoré ?
 
Rien ne nous dit qu’il y aura des législatives anticipées et bien des événements auront lieu d’ici à 2027. Mais l’hypothèse d’une majorité « Air-Haine » à l’Assemblée nationale et à l’Élysée est désormais crédible, sinon probable.
Et curieusement, dans une sorte d’indifférence générale, qui contraste fortement avec l’effroi et l’indignation d’autrefois, au millénaire dépassé, c’est-à-dire il y a une éternité.
À la peur des années 1990, au choc de 2002, a succédé une manière de résignation plus ou moins angoissée. Comme d’une résignation anticipée : Oui, il faudra bien en passer par là entend-on dire…
 
Percevoir cette accession au pouvoir comme un mauvais moment à subir, une « purge » nécessaire avant le retour à la « normalité », un simple passage en somme, comme d’un dépucelage pour accéder à l’âge adulte, est vraisemblablement d’une naïveté éhontée. L’électeur a probablement besoin de tester la capacité des troupes marinistes à exercer le pouvoir.
Et certains parient déjà qu’en confrontant les promesses à une réalité forcément décevante, il comprendra son erreur.
Bien vite, sa déception nous ramènera au cours normal de la vie politique, ils en en sont sûrs et certains, à les entendre.
 
Or, contrairement à la « Ritalie » (et encore…), en Hongrie, en Pologne, en Autriche et encore ailleurs, si le « Air-haine » accède au pouvoir, il pourrait le garder plus longtemps que prévu.
Et cela n’a strictement rien à voir avec notre capacité à brandir à tout instant les « heures les plus sombres » en agitant le spectre de milices nazies et les chemises brunes dans nos faubourgs, ni même (et peut-être surtout) la menace d’un pays à l’arrêt paralysé par des cortèges de manifestants contestataires dans les rues.
Le « Air-haine » n’aurait nullement besoin d’un régime autoritaire, et encore moins militaire, pour exercer et garder le pouvoir : Tout simplement parce que le pouvoir appelle le pouvoir.
 
Il suffit de regarder autour de nous en Europe : Les mouvements « nationaux-populistes » se généralisent et s’enracinent, encouragés même par leurs homologues « popovs » et « ricains ».
Cela n’a rien de feux de paille : En Pologne, le parti Droit et justice (PiS, Prawo i Sprawiedliwość, PiS) a exercé le pouvoir durant de nombreuses années.
En Hongrie, « Viktor Or-bahn » est aux manettes depuis près de quatorze ans.
En « Ritalie » avec « Georgina-Mélodie », aux Pays-Bas avec le Parti pour la liberté (PVV) de « Geek-Will-ders », en Slovaquie avec le Smer-SD de « Roberto-Flico », le « national-populisme » d’extrême droâte prend les commandes ou s’en approche.
 
Je ne vous parle même pas des mêmes qui se réveillent en UK et font régner la terreur dans leurs « no-go-zones » de temps-à-autres, d’autres qui en rêvent encore aux USA et sortent leurs flingues contre « tout ce qui est peu bronzé », ni même de « Poux-tine » qui se déchaîne contre tous ses opposants, ou « Kim-tout-fou » qui n’a plus d’opposant tout comme « Xi-Ping-pong » qui purge régulièrement ses camps de « rééducation », ou du continent Sud-américain tiraillé par ses vieux démons, voire de l’Asie du Sud-est qui massacre gentiment et en silence ses minorités ethniques ou qui sont mahométanes…
Quand on y est, on y reste : « Jupiter » vous en aura fait une remarquable démonstration.
Plus personne ne pouvait le supporter au bout de 5 ans, il n’empêche il y est retourné et gouverne même sans être majoritaire à l’AN !
(Vous me direz, chez les « Teutons », ils ont l’habitude des… coalitions de partis minoritaires entre eux, alors hein, pourquoi pas chez nous aussi ?…)
 
Partout en Europe, l’extrême droite gagne du terrain, et ce mouvement touche jusqu’à la paisible « Lusitanie » qui vit encore dans le souvenir d’une dictature qui aura duré trop longtemps et où le parti Chega est devenu « la troisième force politique » depuis les élections législatives du 10 mars 2024.
Les exemples « polak » ou « Magyar » montrent que ces partis répondent suffisamment aux attentes de leur électorat pour s’implanter et se maintenir au pouvoir : Vive la démocratie, en quelle que sorte qui ouvre ses portes à ceux qui veulent l’étouffer !
 
En « Gauloisie-olympique », notre champ politique y est misérable : Le chamboule-tout de 2017 n’a pas fini son travail de décomposition-recomposition de la vie politique nationale. L’agonie du « Parti des soces » et ce celui des « Républicains-démocrates », partis qu’on croyait jusque-là insubmersibles, ne peut que pousser cadres et militants qui sont animés par un peu d’ambition, à chercher des partis plus attractifs.
Faute de majorité et de projet, le « Jupitérisme » s’enlise de son côté, cherche en paroles l’autorité qu’il n’a plus à l’Assemblée nationale et mire avec une certaine jubilation « Gaby-le-magnifique » se débattre comme un gamin (qu’il est) pour exister.
 
La bordélisation institutionnelle de LFI organisée par « Mes-Luches » soi-même, son fondateur, condamne aujourd’hui la gôche à faire durablement de la figuration, bruyante aussi bien qu’inutile.
À moyen terme, il paraît peu probable qu’émerge un autre mouvement qui modifierait ce rapport de force.
Sagement, costumés, encravatés et muets, aux pompes bien cirées, les parlementaires du « Air-haine » attendent que leur cheffe leur ouvre les portes des ministères.
Et ils supputent à juste titre que c’est pour bientôt : Ils ne commettent pas beaucoup de faute « politique », se tiennent bien sagement dans les rangs et n’expriment même pas leur impatience.
 
Si la dislocation des « partis de gouvernement » – et il faut y inclure « René-sens », parti tout neuf et déjà momifié de par sa propre constitution, puisque pour l’essentiel, il s’agit de godillots sans envergure – se poursuit, elle se fera à l’avantage du « Air-haine ».
Car la promesse du pouvoir attire, ici hier, ailleurs demain.
 
Plus le « Air-haine » s’en approchera, plus il semblera désirable.
Au moins pour ceux qui se rêvent « d’un destin »…
Les ralliements seront nombreux, à droâte mais même à gôche.
Nul doute qu’il y aura des surprises (et pourquoi pas jusqu’à « Rachi-Dada-minimi » comme elle sait si bien le faire !), au-delà du seul monde politique.
Déjà, outre les thématiques de l’immigration, de l’islam, des racines chrétiennes (et non plus « judéo-chrétiennes » comme désignées depuis toujours) et de la « Gauloisie-éternelle-&-olympique », on peut soupçonner que la passion des dictateurs et les positions prorusses, sous couvert de pacifisme, sont de bons indicateurs de proximité idéologique.
Ce qui me navre et que je regrette profondément de la part de ceux qui se prétendent aussi souverainistes, patriotes et je ne sais quoi encore… « national-populiste », cela va sans dire.
Pour moâ, ce sont des faux-derches qui braderont le pays pour un plat de lentille…
 
L'opportunisme aussi jouera son rôle. Comment résister à l’appel d’un maroquin ministériel ou d’un poste en vue et bien rémunéré ?
Les « brebis égarées » de « Re-con-quéquette » viendront vite manger la soupe de la gamelle proposée.
Chez « Les Républicains-démocrates », à « René-sens » et à « gôche » aussi, la vanité des voitures avec gyrophares escortées de motards fera taire bien des convictions.
Je m’attends à des ralliements plus ou moins inattendus, qui feront grincer bien des dents.
 
Ces « trahisons » des « socio-traîtres » qui en font métier (« dans le civil », parce qu’ils ne savent rien faire d’autres) feront le bonheur des « faiseurs d’opinion » et d’une certaine presse qui ne cache pas ses éditorialistes parfois sulfureux.
Surtout, elles conforteront la majorité.
Une victoire du « Air-haine » en 2027 sera d’ailleurs suivie d’une logique d’« ouverture » (on l’a déjà vu) pour élargir et normaliser encore une majorité nouvelle.
En général, ça ne fonctionne pas trop, mais c’est révélateur du sectarisme existant, de celui de ces sectes qui ne se dévoilent pas aux « profanes »…
 
La bataille de l’opinion se jouera alors autant sur la « respectabilité » des troupes de « Marinella-tchi-tchi » que dans la bataille des idées.
D’ailleurs au « Air-haine », ils n’ont pas trop d’idée, seulement des dogmes et il suffirait à mon avis, de reprendre leur programme de 2002 pour en savoir autant que de l’époque de l’heure de gloire du « menhir » (tout heureux de se faire démonter au second tour pour la première fois de sa vie : Une consécration dans l’échec, j’en suis resté « tout chose » pour lui, le pôv’ !).
 
C’est que désormais, le « Air-Haine » bénéficie déjà de relais médiatiques puissants. L’empire des médias que construit « Vingt-cent-Beau-L’Orée » capte déjà une audience non négligeable. Mais, amplifiée par les réseaux sociaux et la culture du conflit, elle devient hégémonique.
Cette bataille culturelle-là prépare l’élection présidentielle de 2027. Et, à chaque fois que nous réagissons à un propos excessif, provocateur ou honteux, nous participons à cette dynamique.
Pourquoi faiblirait-elle après 2027 ?
Même si cette façon de faire me rappelle Jacques Borel, l’empereur des restauroutes à son époque de gloire : « Plus on parle de moi, même pour me critiquer, plus ça me convient ! »
Il a fini par vaciller et disparaître du paysage des sociétés cotées en bourse…
 
Enfin, les institutions et le financement de la vie politique joueront leur rôle. Car le pouvoir amène de l’argent et l’argent achète le pouvoir.
En progressant, d’élection en élection, le « Air-haine » s’enrichit. Mécaniquement…
Si, dans la foulée de l’élection présidentielle, il gagne les législatives en 2027, il deviendra le parti le plus riche de « Gauloisie-olympique », ce qui me fera bien caguer, parce que c’est tout de même mon pognon….
Et cet argent lui permettra à la fois de rémunérer des talents ou des fidèles, d’acheter des locaux, de faire de la publicité, d’accroître l’implantation locale, de financer des campagnes électorales, etc.
Bref, de faire de la politique et de durer.
 
Le « Air-haine » a patiemment attendu et construit son accession au pouvoir. S’imaginer qu’il n’y resterait que quelque temps est assez naïf : Nul besoin d’être pronostiqueur politique pour pressentir que la « purge » pourrait être plus longue que prévue.
Et que le seul moyen de lui échapper, à part l’exil – qui n’est finalement pas une solution – c’est de l’empêcher, là, tout de suite, maintenant, de dénoncer ses liens d’avec les « nationaux-populistes » extérieurs, de l’internationale-populiste, qui le soutiennent.
Mais qui se sent vraiment de taille ?
 
Pas moâ : J’y ai renoncé, abîmé par la vie, navré de les avoir vu « grandir » alors qu’ils auraient pu être écrasés dans l’œuf… quand il était encore temps !
Mais ils étaient « protégés » par « Jupiter » qui y a vu l’opportunité de les choisir comme seul adversaire « honorable », incapable de réunir autour de lui plus que sa propre petite envergure, sa clique personnelle, et la cohorte de ses « potes & mignons », de ses réseaux et « amis »…
Désolé : On avait prévenu au moins depuis 40 ans, mais personne n’écoutait, sauf « Jupiter » qui a su en tirer profit et nous aura bien eu, jusque dans les grandes profondeurs !
Il y avait peut-être plus urgent ailleurs, effectivement : Question d’opportunisme bien réglé et orchestré…
Mais, peut-être n’est-il pas encore trop tard.
À suivre…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)