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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 24 avril 2024

À surveiller lors des prochaines européennes

La roue tourne ou le grand déclin des « écolologistes ».
 
Ceux-là me font rire… J’ai bien collé les affiches de René Dumont, le scientifique, notre premier « écololo » candidat à une présidentielle, il y a… quelques années à la mort de « Pompon-Pie-doux », mais c’était pour suivre une « minette des beaux quartiers » rive-gôche un peu allumée mais qui m’avait séduit par ses charmes, rondeurs et beautés : Il n’empêche, il nous avait secoués en affirmant qu’il buvait son verre d’eau à la télé à notre santé, car de l’eau potable, « il n’y en aura plus dans 50 ans »…
Le demi-siècle est largement dépassé, je me douche toujours à l’eau potable, même si je n’en bois plus, mais ça aura fait la fortune du « Das Groβ kapital » (Suez, Générale des eaux, Veolia et Cie) et les kapitaux auront déferlé en rangs serrés, durant des décennies sur le mouvement venant des USA, juste histoire de couler notre filière nucléaire !
D’ailleurs, ils ont fini par avoir la peau de « Superphénix » l’ex-premier surgénérateur, un vrai saut qualitatif…
 
Figurez-vous que c’est la même technique qu’emploient nos « réchauffistes » pour faire reculer nos innovations technologiques : Avec plein de pognon, on peut espérer faire peur au « bon peuple » et exiger que ses « sachants » fassent un autodafé de nos fleurons industriels, de ceux qui gênent la concurrence internationale.
Sauf que les priorités ont changé : La « peur du Popov » modifie la donne et si chez lui, tout comme chez « Xi-Ping-pong », le « totalitaire-en-poste » à Pékin, « l’écolologie », ça n’existe même pas, chez nous, ça va probablement disparaître…
Décidément, on ne remerciera jamais assez « Poux-Tine », d’avoir rendu le souffle de la vie à l’Otan, de l’avoir élargi alors qu’on n’y comptait même plus, de rendre même l’UE attractive telle qu’ils font tous la queue pour y entrer, même bientôt les britanniques qui regrettent amèrement leur Brexit.
 
Je dis ça… mais souvenez-vous seulement, qu’il y a cinq ans, « Europe Écolologie-Les Verts » réalisait une percée aux européennes, suivie un an plus tard d’une vague verdoyante aux municipales.
« C’est un magnifique message d’avenir » qu’il en disait le 26 mai 2019, dans la foulée des résultats de ces élections, notre « Yan-nique-Yoda » national, le gourou. Sa liste venait de s’emparer de la troisième place au nez et à la barbe de ses concurrents de gôche, largement distancés, les « insoumis » (6,31 %) et le « Parti-Soce » (6,19 %), mais aussi de « Les Républicains-démocrates » (8,48 %). Avec 13,48 %, les « écololos » avait dupé ce jour-là tous les sondages qui lui attribuaient plutôt entre 7 % et 9 % des intentions de vote.
 
Toutefois, ils gardent notamment en mémoire, eux, leur resplendissant succès de 2009 (16,28 %, troisième, à environ 35.000 voix du « Parti-Soce »), resté lettre morte trois ans plus tard à l’élection présidentielle : Passer de 16 à 13 %, dans un pays où l’abstentionnisme reste le premier parti en nombre d’électeur, ce n’est pas vraiment un succès… puisqu’à force d’érosion, on ne mobilise plus que les « militants acharnés » et quelques « fidèles-autistes »…
Or, la donne semble malgré tout avoir encore changé. En 2020, la fièvre verte s’empare de mon pays : Lugdunum, Burdigala (Bordeaux), Argentorate (Strasbourg) et Massilia, quatre des plus grandes villes du pays, voient des maires écolologistes être élus.
Et même à « Paris-olympique », « Sœur-Âne » ne doit sa réélection qu’au soutien et aux accords avec les « écololos ».
À cela, il faut ajouter la réélection de « Riton-Tête-de-Pioche » à Cularo (Grenoble) et les victoires dans d’autres grandes villes comme Boutæ (Annecy) ou Chrysopolis (Besançon).
 
Reste donc à convertir l’essai lors du scrutin présidentiel, lequel a toujours résisté à EELV. Pendant l’année 2021, « Yan-nique-Yoda » est régulièrement donné aux alentours de 10 % par les instituts de sondage, dans un chassé-croisé constant avec « Mes-Luches » pour le leadership à gôche.
Mais petit à petit, l’insoumis lui dame le pion, grignotant des voix chez la « soce » « Sœur-Âne », mais aussi chez EELV.
La perspective d’une union de la gôche (sous-entendu d’un retrait en faveur de « Mes-Luches ») fait même son chemin, gonflée par les prises de position de la concurrente déchue de « Yoda » à la primaire écologiste, « Cendrine-Rousse-eau », la khmer-verte (qu’on aurait dû marier à un légionnaire, comme « Art-Lettre-La-Guilliée », selon feu le général Bigeard)…
Mais déjà, cette petite musique joue en défaveur des « écolologistes », qui sombrent peu à peu dans les sondages, tandis que le vote utile profite au candidat LFI.
Au soir du premier tour, avec 4,63 % des voix, « Yan-Nique » n’obtient même pas le remboursement de ses frais de campagne par mon impôt (Et Dieu sait pourtant combien j’en paye depuis que je ne fous plus rien…)
 
C’est le second coup de frein et le premier coup d’arrêt pour les « écololos ».
« Dès janvier 2022, on a vu les électeurs se déclarant proches des écologistes se détourner du vote Jadot vers celui de Mélenchon. C’est un vote de précaution pour ces électeurs qui conscientisent qu’avec l’insoumis au second tour, l’écologie serait présente », explique un directeur de recherche au Centre de recherches politiques de Sciences Pô (et qui n’a pas trouvé grand-chose).
J’en dirai que c’est plutôt un « vote-prédation »…
 
Dès lors, la sempiternelle question revient : Le parti doit-il faire l’union de la gôche (la fameuse « Nupes »), notamment avec les « insoumis » ?
Si pour le scrutin législatif, la réponse était clairement positive, c’est pour la suite et notamment l’élection européenne que le parti s’est fracturé sur un coin de table.
L’aile gôche, représentée par la « khmer-verte » (Cendrine-Rousse-Eau) ou encore « Riton-Tête-de-Pioche », pense que oui, tandis que « Yan-Nique » s’y refuse, pointant des divergences profondes avec les insoumis.
Et là encore, Dieu sait qu’il y en a…
 
La décision est finalement prise de partir tout seul. Et c’est « Marie-Tous-saints » qui est désignée volontaire pour conduire la liste écolologiste « autonome », opposée à tous les autres alliés de la « Nupes » !
Une étape casse-gueule ?
Car les sondages semblent faire payer ces tergiversations : EELV, rebaptisé entre-temps « Les Écolologistes », est annoncé à 6 % par le sondage BVA du 27-28 mars 2024, derrière les « soces » et les « insoumis ».
Cela représente finalement près de deux fois moins d’électeurs qu’il y a cinq ans !
Une paille…
 
Depuis 2020, EELV, qui était jusque-là une force d’appoint ou d’opposition, découvre tout simplement le difficile exercice du pouvoir au niveau local. Jusqu’à cette date, le parti n’avait dirigé que Montreuil et la région Nord-Pas-de-Calais entre 1992 et 1998.
Et à chaque fois pour avoir viré les « cocos » trop usés sur place pour insister.
Avec quatre des dix plus grandes villes de « Gauloisie-olympique » dans leur escarcelle, les « écololos » doivent désormais s’atteler à administrer de vraies métropoles : Une autre paire de manches !
Et les premiers pas se révèlent pour le moins compliqués, avec de nombreuses polémiques médiatiques. Parmi ces dernières, on peut citer la sortie de « Grégoire-riz-Poucet » (le premier magistrat de Lugdunum) qui commence son mandat par qualifier le « Tour de Gauloisie » (olympique) de « machiste et polluant » là où on ne lui demandait rien.
Et puis celle de « Léonore-Mon-conduit » (à Limonum, Poitiers) qui annonce vouloir retirer « l’aérien des rêves des enfants » (quelle konne… au 3ème millénaire de notre ère !).
Ou encore le choix de « Pierrot-Hurémique » (celui de « Burdigala-la-négrière-assoiffée ») d’ôter le sapin de Noël de la ville pour le remplacer par un conifère en verre et en acier (que je ne dis même pas la signature carbone du bidule !)
« Ces polémiques ont été grossies par la presse. Elles ne disent rien de la capacité des écologistes à diriger des grandes villes » défendent encore quelques-uns.
Il n’empêche, une telle densité d’âneries, en principe il n’y a qu’à « Paris-olympique » qu’on peut en trouver autant, pas chez les « écololos »…
 
D’ailleurs les opposants aux « Écolologistes » leur reprochent une posture trop éloignée de la réalité du terrain. Une sorte « d’immaturité politique », pour un parti jusqu’alors cantonné à un rôle d’opposition. Autrement dit, sans le dire, des erreurs de jeunesse sans conséquences ?
Pas du tout : Des positions et des propos clivants donc, à l’image de ceux, aussi, « Riton-Tête-de-Pioche » : Déjà élu en 2014, le représentant de l’aile gôche du parti qui avait réussi le tour de force de se faire réélire six ans plus tard.
Mais depuis, l’édile se retrouve lui aussi empêtré dans des polémiques : La plus retentissante concerne sans doute le burkini ! En 2022, l’ancien candidat battu à la primaire « écolologiste » choisit de faire voter un règlement intérieur autorisant le port de ce vêtement religieux, recouvrant le corps, dans les piscines municipales. Tollé politique local immédiat : Une partie du groupe « écolologiste » se fracture, la région dirigée par « Laure-rang-Veau-qui-est » (LRd) gèle temporairement les subventions et, malgré la fermeté de « Riton », le Conseil d’État annule ce règlement.
Pour ma part, je ne comprends toujours pas pour quelle raison : Les horreurs, il vaut mieux les voiler intégralement plutôt que de risquer des arrêts cardiaques inopinés, à mon sens…
Mais bon…
 
Les questions liées à la sécurité sont aussi une épine dans le pied des « écolologistes », pour qui vous le savez, tout le monde il est bon et il est gentil sauf avec les « petites-fleurs et zoziaux » qu’il faut protéger (parce que sans eux, pas de vie humaine, n’est-ce pas…).
Les oppositions se sont déchaînées.
Grenoble est ainsi « devenue la première ville de France pour les agressions violentes et les vols à la tire pour 1.000 habitants », assure le conseiller municipal d’opposition « Al-Anus-Carillon » auprès de CNews. Le mec, il ne va pas souvent dans les gares parigotes (et olympiques)…  
À Bordeaux, les agressions physiques ont augmenté de 32 % en 2023. « Ce sujet de la sécurité, ça ne les intéresse pas. Ils ne veulent pas s’en saisir et c’est un vrai problème, parce que les Bordelais vivent dans une ville où l’insécurité est grandissante », dénonce un élu d’opposition. « Il y a un manque de compétence et un manque d’intérêt sur ces questions de sécurité, mais c’est un problème inhérent à l’ensemble de la gauche. »
En effet : Un délinquant, ce n’est jamais qu’une victime du système qui est né pervers et qu’il faut réformer de fond en comble, au moins depuis « JJR » (Jean-Jacques-Rousseau).
« Les écologistes en France sont très à gauche et sont issus d’un courant de pensée qui n’a qu’un refrain sur les questions de sécurité : la police de proximité. »
Ça, c’est « un détail »…
 
S’il n’y avait que ça, mais même sur leur sujet de prédilection, les maires « écolologistes » sont régulièrement tancés.
L’un des débats les plus épineux reste la question de la place de la voiture, très populaire chez les « Gauloisiens-olympiques » mais source de pollution et ennemie toute désignée chez les dirigeants « écolologistes ». L’exemple le plus parlant reste peut-être celui de « Bord-Eaux » justement, où « Pierrot-Hurémique » joue la carte de la piétonnisation : De 40 hectares piétons en début de mandat à un objectif de 100 en 2026 !
« Ce genre de changements se font dans la douleur. Comment fait-on quand on doit recevoir des proches ? Quand on doit déménager ? », expliquait ainsi un habitant victime…
Tu déménages avant de ne plus pouvoir passer…
 
C’est que l’opposition ne provient plus uniquement des autres partis. Elle existe également au sein même d’EELV, où deux courants majeurs s’opposent, entre une aile plus… « réaliste » et une autre davantage inscrite dans… la « radicalité ».
Ce dualisme a pu être observé lors de la primaire du parti en 2021 où, lors du second tour, la première sensibilité était représentée par « Yoda » et la seconde par « Cendrine », la Khmer-verte.
Si les programmes des deux candidats à l’investiture étaient assez proches dans leurs propositions, la ligne « Rousse-Eau » proposait toujours un ancrage « plus à gôche » que celle de son adversaire (par exemple, sur le revenu universel d’existence proposé à 660 euros par « Yoda » et à 850 euros pour la députée parigote, très loin de ce que Michelin considère comme un « revenu décent »).
 
Ces deux lignes s’écharpent aussi sur des sujets comme les violences faites aux femmes : Preuve en est avec l’affaire « Juju-Bay-you ».
Le député « écolologiste » est accusé de « violences psychologiques », « harcèlement » et « abus de faiblesse ». Il faut dire (à charge ou à décharge, comme vous le sentez), qu’il y avait de la matière…
Sauf que ces accusations avaient été rendues publiques par… « Cendrinette-Rousse-eau » sur le plateau de « C à vous », rien de moins pour celle qui ne supporte pas les barbecues…
À l’époque, en septembre 2022, « Juju » avait sérieusement tancé sa collègue, l’accusant d’être « allée trop loin » et appelant à ne « pas confondre féminisme et maccarthysme ».
Personnellement, je ne savais pas que le maccarthysme pouvait être assimilé à un mouvement de libération des femmes : J’ai appris quelque chose, ce jour-là !
 
« Bay-you » a finalement démissionné deux ans plus tard, le 2 avril 2024, après le dépôt de plainte de son ex-compagne. Mais le traitement de cette affaire aurait ulcéré une partie des militants, qui compare le sort réservé à « Juju » à une forme d’hallali.
Tout cela respire finalement le frelaté, l’ignominie et l’indignité…
 
Au congrès de 2022, remporté largement par « Marinella-Thon-de-lier », qui n’était soutenue ni par « Yoda » ni par « Cendrine », chacune des deux têtes d’affiche ayant fait le choix d’un autre candidat aura calmé un peu les esprits : « Le fait qu’il y ait des courants marqués n’est pas l'apanage d’EELV exclusivement. La dualité entre écoféminisme et éco-réalisme n’a d’ailleurs pas empêché le congrès de bien se dérouler. »
Décidément, le label « éco »… ce n’est même jamais l’économie, de celle qui donne à manger aux gens !
 
Le choix de « Marie-Tous-saints » comme tête de liste aux européennes, est, à ce titre, de bon augure, puisque cette dernière est plus reconnue pour ses qualités de juriste que pour son appartenance à une ligne politique.
Une manière comme une autre de faire « la synthèse » entre les deux pans du parti.
(L’autre étant de faire appel à « Tagada-à-la-fraise-des-bois », du temps avant de faire « capitaine de pédalo » dans le civil : C’était le spécialiste de « la synthèse » au « P. Soce », tellement bon qu’ils l’ont gardé 10 ans d’affilée à ce poste…).
 
Mais si « Europe Écolologie-Les Verts » a si bien réussi au scrutin européen jusqu’ici, c’est grâce à la prédominance du sujet « écolologique » lors des campagnes, pas des conflits de « courant », ni de solutions de « juriste ».
En 2009, la diffusion du documentaire « Home » de Yann Arthus-Bertrand, sur l’état de la Terre vue du ciel, quelques jours avant le vote, aurait eu un impact significatif sur le scrutin selon plusieurs observateurs : Avec 8 millions de téléspectateurs, le film a réalisé un carton d’audience. Données à 11 % avant la diffusion, les listes vertes sont passées à 16,28 % le jour du vote.
Magique, la téléréalité des manipulations des foules…
 
Souvenez-vous, en 2019, la campagne électorale avait laissé une forte place à « l’écolologie », dans le sillage des manifestations dites de « l’Affaire du siècle » où des fondations (financées par des intérêts sonnants et trébuchants « exogènes ») ont poursuivi mon pays en justice pour inaction climatique, avec notamment la représentation de la très médiatique militante suédoise « Gratte-la-Thune-Berg ».
Même le président de la République d’alors (« Jupiter », déjà lui…) avait marqué sa volonté d’une politique « écolologique » plus volontariste avec sa célèbre saillie « make our planet great again » en singeant « McDo-Trompe ».
Au cœur des préoccupations, la protection de l’environnement s’était donc retraduite dans les urnes.
La percée verte n’a d'ailleurs pas eu lieu qu’en « Gauloisie-olympique » : Avec 9,3 % sur l’ensemble de l’Europe, ce scrutin représentait un record, symbolisé par les 20,53 % des Grünen Teutons ou les 16 % en Finlande pour Vihreä liitto.
Depuis, de l’eau aura coulé sous les ponts et en 2024, « l’écolologie » n’est plus au premier rang des préoccupations.
 
Les Teutons courent après leur gaz performant et les Finlandais se claquemurent derrière des barbelés et des tranchées.
« C’est paradoxal, car les désordres climatiques ont été beaucoup plus nombreux ces dernières années qu’en 2019 » en dit un expert qui s’étonne.
J’opine : J’ai tout de même vécu deux tempêtes tropicales jamais vues et coup sur coup en Balagne entre-temps !!!
« Je pense qu’il y a une sorte de paralysie dans les esprits face à ces inquiétudes », note un analyste. « D’autres sujets comme la sécurité, la guerre en Ukraine ou le pouvoir d’achat sont davantage mis en avant. Des problématiques sur lesquelles la différence entre les propositions des écologistes et celles de leurs concurrents est moins palpable. »
 
Alors, pour pallier ce manque d’entrain pour « l’écolologie » post-moderne qui n’est jamais qu’un problème de nantis-parvenus, « Les Verts » ont choisi de miser sur le féminisme (un problème universel). « Il y a trois figures centrales et médiatiques chez les écologistes aujourd’hui que sont mesdames Tondelier, Rousseau et Toussaint. Elles ont un discours unifié, très féministe mais qui semble au regard des intentions de vote ne toucher qu’un segment de la population, les jeunes femmes. Or, pour obtenir un bon score, cela ne suffira pas ».
Et pour cause : Au 11 avril, la liste de « Marie-Tous-Saints » séduisait seulement 10 % des 18-24 ans et… 3 % des plus de 65 ans !
Il faut dire que ceux-là ne sont pas très sensibles au « féminisme-des-nombrils » : Le féminisme, ce doit être universel, en commençant par ces théocraties, les despotes et les dictatures qui font du corps des femmes une prison vivante, une prison de suppliées…
Mais bon, ça va encore fâcher « Mes-Luches »…
 
Alors, c’est un parti à surveiller : On va compter les points et ça va faire drôle à tous ces « idolâtres-écololos » qui ne savent même plus vendre leur soupe aux crétins qui passent…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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