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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 22 avril 2024

Qu’ils sont compliqués ces feujs-ultra-orthodoxes

J’ai à peine le dos tourné que…
 
Sans solliciter la moindre permission de ma part, ils tuent des Iraniens réfugiés dans leur consulat en Syrie. Bon d’accord, il paraît que c’étaient des criminels de guerre. Et que s’ils ne l’étaient pas encore, ils allaient le devenir…
Il n’empêche, ce n’est pas une raison pour des « civilisés » !
Ou alors, il faut convenir que dans ce cas-là, tout serait permis au « peuple qui se croit élu », n’est-ce pas…
 
Évidemment, riposte des Iraniens, au demeurant très mesurée, malgré le nombre de munitions tirées, et surtout se débrouillant pour avertir tout le monde, qu’on puisse limiter les dégâts attendus.
Bref, une belle opération d’essai de matériels innovants qui indique quoi… qui indique qu’il y a encore des progrès à faire…
Trois ogives sur 100 fois plus qui dépassent par hasard les défenses anti-aériennes, c’est du sportif.
Je prends mon ticket que la prochaine fois, il y en aura nettement plus…
Mais bon, ce n’est pas encore la guerre entre les deux puissances régionales.
 
Pas encore : Les « popovs » de « Poux-tine » balisent en se disant qu’ils risquent de perdre un fournisseur d’armes bon marché et pas regardant sur qu’ils en font en Ukraine et ailleurs, et les « ricains » ont déjà du mal à financer Kiev, alors Jérusalem en plus, c’est sûr que ça ne va pas le faire…
 
Il faut juste retenir deux choses : Les Israéliens ont promis une riposte… qui a eu lieu, même si ce nest pas revendiqué (histoire de ne pas déclencher une contre riposte et une escalade incontrôlable), puisqu’il y a plusieurs raisons pour ça et notamment cette stratégie du « bunker-barbelé », cette doctrine de l’inviolabilité du territoire israélien qui aura été mise à mal le 7 octobre dernier, plus une fois encore avec les missiles iraniens…
Je me souviens encore de mon voyage en Terre Sainte, où nos guides, armés cela va sans dire, nous faisaient visiter leur mémorial de la Shoa et longer la frontière de la Jordanie en nous expliquant que deux fois par jour une jeep patrouille sur un chemin de sable : Quand elle détectait des traces de pas, ils canonnaient déjà sans retenue les camps de réfugiés palestiniens de l’autre côté du Jourdain…
Ils n’ont pas beaucoup grandi dans leur tête, depuis…
 
La seconde c’est que les otages des terroristes du « Ramasse » ne sont toujours pas libérés !!!
Et Tsahal persiste à les rechercher en pilonnant à tort et à travers.
Que ça doit être une sacrée corvée de les déplacer régulièrement pour ces terroristes là…
Ils ne savent même plus où ils sont : Ils devaient en rendre quarante contre une rame de RER entière de « prisonniers politiques », ils n’ont même pas été foutus de les réunir à temps…
La guerre, finalement, ça a du bon quand on est du bon côté du fusil…
Et c’est là où je voulais en venir…
 
Être juif n’aura jamais été de tout repos et c’est devenu une discipline olympique où, pour triompher, il faut faire montre d’une patience et d’une endurance hors du commun.
Mes potes « feujs » en disent que le juif ne peut jamais se reposer sur ses acquis (sauf les « nantis » qui font banquiers dans le civil… quoique…). Il lui faut sans cesse se battre pour tenter d’exister et prouver que ses intentions sont louables.
Louables, louables… enfin passons, occire autrui, ce n’est pas non plus dans le manuel des lois de Moïse, à ce que je sache !
 
Rares sont les moments dans l’Histoire où, bien avant la destruction du temple, ils ont eu le temps de souffler. Rester fidèle aux commandements de la loi mosaïque entraine d’être pourchassé, humilié, vilipendé, exilé, déporté, gazé, et malgré ce déferlement de haine, persister à être « feuj ».
Comment voudriez-vous faire comprendre à une personne saine d’esprit cet entêtement d’individus qui tantôt remettent leur existence entre les mains de Dieu, d’autre fois s’en méfie comme de la peste (et du « conard-virus ») au point de le renier, voire refusent de lui accorder tout crédit, attitude qui ne les empêchent jamais de se sentir pourtant pleinement « feuj » ?
D’avoir survécu à toutes les catastrophes humanitaires possibles et imaginables confère au « feuj » un caractère inoxydable qui peut effrayer tout comme susciter l’admiration ou le rejet.
Voire les trois en même temps : On le sent bien chez nos antisémites patentés…
 
Les « feujs » sont finalement à l’image de leurs livres sacrés, limpides mais en même temps d’une complexité démentielle, apparente contradiction qui donne naissance à une litanie de commentaires auxquels, pour les comprendre, il faut adjoindre une couche de nouveaux commentaires, eux-mêmes si obscurs qu’ils nécessitent l’apport de commentaires supplémentaires, et ainsi de suite, dans une surenchère interprétative qui jamais ne prend fin.
C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles je n’en parle jamais.
La seconde raison, c’est que je n’ai pas qualité pour le faire et la troisième c’est que comme mes « rebeux », c’est un sujet tellement explosif et polémique que je suis encore trop jeune pour en « payer le prix »… à la Salman Rushdie.
Mais en vieillissant, en vieillissant…
 
Le conflit israélo-palestinien, est donc une tragédie universelle. Les « feujs » la subissent au moins autant que les Palestiniens, sans pouvoir s’en défaire. Ils sont tous les spectateurs et les acteurs d’un drame où on leur fait jouer les premiers rôles alors qu’au regard de leur nombre et de leur importance, ils ne devraient être qu’au mieux des seconds couteaux. Moins de 10 millions, c’est moins que « l’Île-de-gauloisie-olympique ».
Et on attend des uns et des autres mille merveilles, mais s’ils les accomplissent, aussitôt on les leur reproche.
Qui aurait pu penser que ce minuscule pays construit sur du sable et habité en partie de survivants ayant échappé au pire des génocides puisse devenir un jour un pays moderne capable de résister à toutes les agressions possibles de ses voisins ?
On exige l’impossible. De subir des assauts mais de ne pas y répondre. De se défendre mais dans des limites qui de facto amèneraient ses nombreux ennemis à le frapper encore. D’exister mais de ne jamais triompher de ses adversaires. D’incarner encore et toujours ce peuple voué à disparaître mais dont la disparition serait vécue comme l’annonce de l’Apocalypse (non au sens de la « Révélation », mais de la fin des temps…).
 
C’est qu’ils sont moins de 10 millions, mais on ne peut pas dire qu’ils soient homogènes…
Il y a les ashkénazes et les sépharades, qui déjà ne peuvent pas trop se blairer entre eux. Il y a les laïcs, voire agnostiques et puis il y a les orthodoxes, voire les ultra-orthodoxes…
Et là, on plonge en plein délire qui touche au démentiel !
Car ceux-là sont splendides !  
 
Savez-vous que les « haredim » (ou « craignant-Dieu »), souvent appelés juifs ultra-orthodoxes ou simplement ultra-orthodoxes, sont des juifs orthodoxes ayant une pratique religieuse particulièrement vigoureuse ?
Je sais, j’en connais : Ils sont au moins aussi pénibles que mes « potes-végans » quand il s’agit de les recevoir…
De plus, ils ne constituent pas un ensemble uniforme et comprennent en leur sein des hassidim, des mitnagdim, des séfaradim, des mizrahim, etc.
Les communautés haredi respectent les mêmes principes, chacune y apportant ses quelques variantes.
Ce qui est curieux, c’est que depuis la fin du XIXème siècle, ils rejettent partiellement la modernité, que ce soit dans le domaine des mœurs ou des idéologies.
Du fait de leur méfiance vis-à-vis des innovations sociales, les haredim vivent généralement en marge des sociétés laïques environnantes, même juives, dans leurs quartiers (je sais : Ils sont interdits aux touristes sous peine de lapidation et de crachats à la tronche) et vivent ainsi sous la direction de leurs rabbins, seule source de pouvoir pleinement légitime à leurs yeux.
Hélas, c’est aussi le plus important groupe juif actuel affichant ses réticences face au sionisme, et même parfois son hostilité.
C’est comme nos souverainistes, les « nationalpopulistes » qui se présentent aux élections européennes pour mieux s’enrichir personnellement et cracher sur les institutions de l’Union : Eux, ils vivent en Terre promise, assez grassement d’ailleurs, mais estime qu’il s’agit d’une hérésie !
 
Ils sont aujourd’hui fortement implantés en Israël, où ils ont leurs quartiers (et même leurs villes), leurs partis politiques, leurs magasins et leurs écoles.
Ils sont également présents dans beaucoup de communautés juives de la diaspora, en particulier en Amérique du Nord et en Europe occidentale qui les financent.
 
Les sociologues israéliens font souvent une distinction entre les laïcs (peu intéressés par la religion, mais pas forcément anti-religieux), les traditionalistes (pratique religieuse partielle), les orthodoxes (pratique religieuse stricte, mais immersion dans le monde moderne) et les ultra-orthodoxes, ou « haredim » (pratique religieuse stricte, refus de certaines formes de la modernité, volonté de séparatisme social fort : Vêtements spécifiques, quartiers spécifiques, institutions religieuses spécifiques, etc… des « modèles d’intégration », quoi !).
Ils ne sont que dix millions en tout, mais c’est comme en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » où tu mets deux Corsi ensemble et au bout d’un quart d’heure tu as trois avis politiques différents…
 
Les haredim ne se définissent pas eux-mêmes comme des ultra-orthodoxes, mais seulement comme « terrifiés » à l’idée de violer une des 613 « mitzvot » (les commandements).
Et il y en a des comiques (il faudrait que j’y revienne, un jour…).
Rappelons que dès la seconde moitié du XIXème siècle, le courant dit de la « néo-orthodoxie teutonne », derrière le rabbin Samson Raphael Hirsch (1808-1888), théorise une approche prudemment ouverte à la modernité technique et sociale (Il faut dire, en pleine première révolution industrielle, ç’aurait été kon de laisser passer et faire la fine bouche…).
Les Juifs doivent rester proches de leurs valeurs, mais ils peuvent participer à la vie sociale de la société dans laquelle ils évoluent.
Contrairement aux réformés (et autres « assimilationnistes »), qui considèrent que le fait religieux juif doit rester purement privé, la néo-orthodoxie considère que les Juifs doivent aussi exister en tant que collectivité organisée.
Et ils doivent seulement refuser les aspects du monde moderne contraires aux 613 mitzvot recensées par la tradition (comme prendre le risque de bouffer du nerf sciatique dans un cuissot de viande…).
 
Un autre courant a en revanche rejeté en bloc l’entrée dans les sociétés occidentales, considérées comme antinomiques dans leurs valeurs avec la tradition juive, et à ce titre « exige une stricte séparation du monde moderne ».
Ce courant s’est surtout exprimé en Europe centrale et orientale. Il accepte certains aspects de la modernité technique, mais refuse presque tous les aspects de la « modernité » sociale ou politique : Nationalisme, démocratie, sortie du Ghetto, etc.…
Dans un premier temps, les orthodoxes sont restés assez unis. Et ils rejettent ensemble le sionisme, l’assimilation, le socialisme, l’athéisme, etc.… Mais dans l’entre-deux-guerres, les divergences entre orthodoxes « modernes », plus ou moins influencés par les thèses du rabbin Samson Raphael Hirsch, et conservateurs se sont accentuées. On peut alors parler de l’existence pleinement assumée d’une branche spécifique : L’ultra-orthodoxie.
Les orthodoxes « modernes » ont d’ailleurs quitté l’Agoudat Israël (leur parti politique fondé en 1912) à cette époque.
 
Par conséquent, les « haredim » rejettent originellement assez largement le sionisme, encore que ce rejet ait connu des évolutions. Selon une thèse historiquement dominante (mais pas exclusive) chez les religieux, Dieu a détruit le royaume d’Israël pour punir les Juifs, et seul son Messie peut le recréer.
La vie en Terre Sainte est possible, mais toute tentative autonome de créer un État est une révolte contre Dieu !
Cette vision, connue sous le nom des « trois serments, […] a joué un rôle considérable dans la pensée religieuse antisioniste, et […] est encore évoquée aujourd’hui par […] les Netourei Karta et les hassidim de Satmar ».
Or, Massekhet Ketoubot indique que Dieu promet que les nations n’essaieront pas de détruire le peuple d’Israël. Sauf que la Shoah étant passé par là, elle a donc été interprétée par certains « haredim » comme la conséquence inévitable de la violation par les sionistes des deux premières promesses.
Logique, quoi…
 
Avec le temps, les haredim ont fini (majoritairement du moins) par accepter l’État d’Israël. Les partis qui les représentent ont même des ministres.
Mais le « culte » de l’État propre aux sionistes (même aux sionistes religieux) leur semble être une idolâtrie condamnée par la Bible. D’où une attitude actuelle très ambiguë, faite d’acceptation et de réticence.
(Je vous avais dit d’emblée que c’était compliqué d’être « né-feuj »…)
Ainsi lors du retrait des colonies israéliennes de la bande de Gaza, en 2005, certains haredim sont restés neutres, certains ont approuvé, d’autres s’y sont opposés, mais l’attitude majoritaire fut cependant très réservée.
Le parti Shass a annoncé en 2010 sa volonté d’adhérer à l’Organisation sioniste mondiale en tant que « Juifs pratiquants qui aiment Israël ».
Mais inversement certains groupes sont toujours très fortement antisionistes : « Nous sommes des Juifs orthodoxes antisionistes. Et nous sommes opposés au sionisme pour plusieurs raisons. Tout d’abord, l’établissement d’un État en Palestine est une chose qui viole la Torah, la loi religieuse juive. Il contredit les dispositions s’agissant des punitions et de l’exil décrétés par le deutéronome 28 à l’époque du Temple. L’établissement de l’État sioniste contredit la volonté de Dieu en cherchant un remède matériel à une condition spirituelle. En plus, le mouvement sioniste depuis des décennies se dévoue à extirper la foi traditionnelle de la Torah ».
Pour les Haredim, le Talmud détient seule la vérité et ne saurait être contredit par une autre source de connaissance.
On a d’ailleurs les même chez les Musulmans…
Les sciences sont ainsi souvent considérées par les Haredim comme des menaces envers la foi orthodoxe, rien de moins…
 
Leur refus du sionisme, donc de l’armée (Tsahal), du travail productif, sont cependant considérés comme excessifs par la population qui considère aussi que les haredim sont les gardiens de la tradition et s’ils appellent à des représailles contre le « Ramasse » et ses alliés au nom de la loi du Talion, ils ne vont surtout pas se mettre derrière un fusil, tiens donc !
Eux, ils prient, ils étudient les écritures du matin au soir et du soir au matin, sont nourris, logés, chauffés, soignés par leurs « généreux donateurs » (la plupart du temps « ricains », à moins qu’ils enseignent le Talmud dans des ékoles subventionnées par les « sionistes »)…
De toute façon, ils ne connaissent pas grand-chose du monde qui les entoure, genre, cosmos et peuples barbares, puisque tout est dans la loi de Moïse et surtout ils glandent à Shabbat (et tous les autres jours, finalement…)
Moâ, j’adore quand tu hurles à tailler méchamment des croupières aux Gazaouis, hommes, femmes, enfants, vieillards tout mélangés, mais que surtout tu ne participes pas à la curée : Trop indigne pour des rabbins haredim…
 
Probablement le pire, c’est que les haredim sont perçus d’une façon assez proche de la perception orthodoxe, avec en général plus de réserves par les laïcs israéliens. On note cependant que beaucoup de traditionalistes séfarades votent aujourd’hui Shass, le parti séfarade haredi.
D’un côté, ils représentent une tradition à laquelle beaucoup de Juifs, même non pratiquants, restent attachés. Mais d’un autre côté, leur croissance démographique fait peur : Eh oui, ils ont des loisirs pour procréer…
Leur volonté de renforcer la coercition religieuse (en Israël au moins) est rejetée.
Leur refus de faire leur service militaire est considéré comme un danger pour Israël.
Leur assez large refus du travail, et leur demande de fonds étatiques (toujours en Israël) pour compenser ce refus, sont souvent très mal perçus.
On lit parfois des mots comme « parasitisme » ou « racket » dans la presse locale.
Le parti Shinouï a ainsi basé son succès électoral de 2003 (15 sièges) sur une forte dénonciation des lois religieuses contraignantes et des aides financières aux haredim.
 
Il n’empêche, aujourd’hui, les haredim sont un groupe en expansion au sein du judaïsme mondial. Les raisons en sont leur très forte natalité (sauf cas médicaux, toutes les familles sont très nombreuses) et leur capacité à attirer certains orthodoxes, voire des laïcs.
En bref, ils ne prennent pas les armes pour défendre leur patrie nourricière, puisque de toute façon, c’est une hérésie biblique, mais ils votent et poussent « Net-à-Yahoo », qui ne se fait pas trop prier non plus, à éradiquer du gazaoui…
Logique : Eux sont élus par leur Dieu (qui est le même que le mien d’ailleurs… et que celui des mahométans)
On n’est décidément plus à paradoxe près…
C’est pourquoi je préfère ne rien en dire, en tout cas rien de plus…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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