Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 29 avril 2024

Don’t Cry for Me Argentina

Ne pleure pas pour moi, Argentine…
 
Certes, mais peut-on ou doit-on pleurer pour l’Argentine ?
La thérapie de choc de « Janvier-Mil-&-i », son nouveau président de rupture, porte-t-elle réellement ses fruits ?
 
Car les manifestations se multiplient dans ce pays qui entre en hiver, pour dénoncer la politique d’austérité du gouvernement, ce qui était prévu, alors même que son président, « ultra-libéral » (l’horreur pour nos « bien-pensants ») enregistre ses premiers résultats économiques visibles comme un excédent budgétaire, un rêve inaccessible depuis des décennies pour mon pays et ses « sachants-trisomiques », réalisé au premier trimestre ou encore la décélération de l’inflation.
Reste à voir si cette politique qualifiée d’« inhumaine, brutale et inutile » par l’ancien président argentin, « Al-Berto-Faire-nan-dez » qui aura participé à la faillite de son  pays et facilité ainsi l’arrivée de « Janvier-Mil-&-i », tient sur le long terme.
 
Cette fois, c’est le monde étudiant qui est descendu battre le pavé à Buenos Aires pour défendre l’université publique face à la politique d’austérité du gouvernement. Avec plusieurs centaines de milliers d’Argentins dans les rues, cette mobilisation était l’une des plus importantes depuis le début de la présidence, alors que la population souffre objectivement de plus en plus de la pauvreté envahissante, nous fait-on savoir.
Pourtant, au regard de la situation économique délétère de la troisième plus grande économie d’Amérique Latine, son président avait prévenu du choc, arguant « qu’il n'y a pas de plan B » à l’austérité pour redresser les finances.
Notre devenir de plus en plus certain, si « Pruneau-le-Mère » et ses sachants à lui ne se ressaisissent pas…
Mais chez nous, le redressement n’en passera pas par une dérégulation généralisée, mais par un « front du refus » qui encorsètera encore plus le pays, ses habitants et son économie dans un régime « illibéral » à vocation « Nationalpopuliste »…
 
En effet, le pays a subi en 2023 sa pire crise économique depuis 2001, entre récession et inflation démesurée. D’après les chiffres du Fonds monétaire international (FMI), la croissance de l’Argentine s’est contractée de 1,6 % en 2023, minée par une sécheresse sévère (pas de chance…) alors que l’économie du pays repose principalement sur son secteur agricole.
De son côté, l’inflation a avoisiné les 211 % en glissement annuel, d’après l'institut de statistique officiel argentin (et on se plaint avec seulement 100 fois moins…).
 
Dans ce contexte, « Mil-&-i », qui avait annoncé la couleur durant sa campagne électorale, n’y est pas allé par quatre chemins : Dès son arrivée, il a réduit de moitié les ministères, licencié 50.000 fonctionnaires, stoppé ou annulé définitivement les chantiers publics, supprimé les subventions liées aux transports publics et à l’énergie.
« Déficit zéro non négociable » a soutenu le président qui se définit lui-même comme un « anarcho-capitaliste », alors que le déficit avait atteint 5,2 % du PIB l’année dernière.
Comme la « Gauloisie-olympique » au meilleur de sa forme… olympique !
 
« Les déficits à répétition sont un des gros problèmes du pays, qui fait tourner la planche à billet pour combler les trous, et crée donc de l’inflation », explique un économiste.
Comme si chez nous, qui avons tout de même plus 40 ans de savoir-faire en la matière, c’était tout-à-fait normal…
On a aussi une planche à billet, mais l’inflation est gommée par l’Europe (vive l’UE !) et l’Euro : Une façon d’endormir les « bon peuple des électeurs ».
On en serait resté, ou revenu au « franc-Pinay », on existait même plus en « Ritalie » et on paierait nos importations (notre pétrole et nos puces informatiques, plus tout le reste…) la peau du kul !
De quoi plomber durablement nos productions et donc nos salaires, nos recettes fiscales et donc nos régimes sociaux et de « solidarité »… en plus de ne plus pouvoir poser ses fesses nulle part pour être écorchées à vif !
 
Chez eux également, leur gouvernement mise également sur l’augmentation des recettes pour redresser la barre : « Le gouvernement avait prévu une hausse d’impôts qui n’a finalement pas eu lieu. Il compte désormais sur la hausse des taxes sur les importations et les exportations (une façon comme une autre de sauvegarder sa souveraineté économique), d’autant que cette année, les récoltes se présentent sous un meilleur jour », indique une « responsable-risque pays » chez BPI « Gauloisie-olympique ».
Mais pour le moment, la cure d’austérité des dépenses a l’air de faire effet.
Le pays a même enregistré au premier trimestre 2024 un excédent financier de près de 275 milliards de pesos, soit 309 millions de dollars…
Un rêve inaccessible, vous dis-je, en « Gauloisie-olympique », comme partout ailleurs en Europe, faut-il préciser.
Une première depuis 2008 : « Un fait historique en Argentine », véritablement historique, commente une autre spécialiste.
« Des surplus qui s’expliquent bien par la réduction des dépenses », ajoute-t-elle.
À rapprocher de l’opinion de notre « Pruneau-le-Mère » pour qui la dérive de nos finances publiques ne tient pas au niveau des dépenses (jamais, bien entendu !), mais à celui des recettes inférieures aux prévisions…
Drame !
 
Mais la cure argentine ne s’arrête pas là. Outre les dépenses publiques, le président a aussi dévalué de 54 % le peso argentin face au dollar dès son arrivée en décembre, puis de 2 % chaque mois : « Cela a permis de réévaluer le peso à sa juste valeur et de rassurer les investisseurs, même si pour le moment, on ne sait pas quand le gouvernement compte arrêter cette politique de dépréciation de la monnaie », note-t-on.
Car une telle dévaluation a, dans un premier temps, accéléré fortement l’inflation.
Et l’important reste la visibilité de la mesure, afin de permettre des prévisions viables pour les investisseurs à longs ou moyens termes.
Or les chiffres de mars sont plutôt encourageants et montrent déjà une décélération de la hausse des prix, qui ont même atteint 11 % en mars, après avoir augmenté de 25 % en décembre.
Et nous nous plaignons avec nos « un peu plus de 2 % l’an », vous dis-je…
« C’est un début d’année prometteur pour l’Argentine. Les marchés financiers sont plutôt contents, les comptes publics sont mieux tenus et l’inflation a même ralenti », renchérissent quelques économistes.
Il n’en faut pas beaucoup, pour ceux-là…
Mais on ne sait pas leur servir la pareille, la faute au courage politique d’un « Jupiter » et de ses grognards qui n’ont pourtant plus aucun objectif électoral à défendre, puisque même le prochain scrutin, l’européen, semble déjà plié…
 
De l’amélioration donc, certes sur le court terme, mais sur le long-terme rien n’est encore certain en assurent les esprits-critiques.
Car si l’inflation a décéléré le mois dernier, en glissement annuel elle atteint plus de 287 % en mars par rapport au même mois de l’année dernière. L’OCDE table ainsi sur une inflation de… 250 % pour 2024 dans le pays. De quoi pénaliser encore fortement le pouvoir d’achat des ménages alors que près de la moitié des Argentins, bien que pétant au-dessus de leur kul, vivent paradoxalement dans la pauvreté.
« L’inflation a ralenti mais c’est aussi lié au fait que la consommation est en chute libre, les gens ne peuvent plus rien acheter », pointent également les analystes.
Bien évidemment, puisque c’est un des effets recherchés : Un assainissement général des circuits de production et de distribution !
Une remise à plat d’une économie gangrénée par les coups de hache que portent les subventions et les prélèvements obligatoires qui désorganisent l’économie sans résoudre le problème des déséquilibres des finances du pays… 
 
Force est d’en conclure que l’austérité budgétaire n’arrange forcément rien, puisque ce sont les conséquences des effets recherchés : « L’Argentine avait besoin d’une politique d’austérité, mais c’est encore plus brutal que ce que recommandait le FMI », estime, quant à lui, un autre « spécialiste » tricolore.
D’ici à ce qu’on vous avance bientôt que les gars du FMI sont d’affreux gôchistes irresponsables encore plus laxistes que nos « sachants » de la « presse-politique » aux ordres de notre pays à nous, il n’y a pas loin…
Avec des coupes dans des dépenses stratégiques comme en R&D ou dans les universités, « c’est le serpent qui se mord la queue », précise-t-on justement car « une économie qui n’innove plus, ne génère plus de recettes ».
Pas plus que de nourrir des chercheurs qui ne trouvent jamais rien…
 
Le FMI projette ainsi que le pays va de nouveau connaître une récession cette année de — 2,8 %.
Évidemment, puisque que les subventions se tarissent, c’est autant de moins qui viennent cour dans les tuyaux du compteur du PIB…
Jusque-là, personne ne semble s’interroger, sur ce qui fait la « sainte-croissance » dans des pays comme les nôtres : Quand tu mets 5 % d’argent qui n’existe pas dans l’économie (les déficits publics) et que tu ne ressors que 2 % de croissance, n’y-a-t-il pas un mystérieux « trou noir » qui avale une partie de tout au passage ?
100 + 5 = 102, ça ne préoccupe personne chez nos « sachants »…
Ne pas le voir, ne pas le concevoir, c’est comme de l’autisme-appliqué.
Au moins, en Argentine, ils apprennent à compter et ouvrir les yeux : Il n’y a rien d’inquiétant…  
 
Pour tenter d’aider les Argentins à boucler les fins de mois, le gouvernement a tout de même promis en début d’année une hausse du salaire d’au moins 30 %.
Je ne sais pas qui va pouvoir les payer.
Mais c’est déjà une augmentation jugée « insuffisante » face à l’inflation. Qui va venir l’alimenter par effet de ricochet…
D’autant que les baisses de dépenses concernent aussi, et c’est nettement plus embêtant, les prestations sociales : Le gouvernement a par exemple versé cette année les retraites sans prendre en compte l’inflation.
C’est le côté « failliteux » des systèmes sociaux basés sur le mécanisme des pyramides de Ponzi (une escroquerie, m’avait expliqué mon prof’ de droit commercial : Il est interdit de faire de la cavalerie sur tes comptes tout comme le Code civil interdit les convention sur « succession future »…).
Mais bon, dans « sa très grande sagesse », le législateur de la Libération n’avait pas d’autres moyens de financer la retraite des vieux travailleurs dans les années 45/46.
Et puis chez nous, la première chose qu’à su faire « Tonton-Yoyo » quand il est arrivé au pouvoir par hasard, suite à la troisième cohabitation (et la dissolution ratée du « Chi/Ville-Pain/Jupette », c’est d’abolir la Loi Thomas qui venait tout juste d’être votée pour créer un volet supplémentaire d’épargne retraite, qui sera revenu plus tard par la bande…).
 
Dans ce contexte, outre les universités argentines, les travailleurs du secteur des transports publics ou encore les organismes d’aide sociale descendent également dans la rue.
Pourtant, eux ils n’ont pas les JO à Paris-olympique.
Chez nous, ils n’ont pas encore tous ces problèmes sociaux, mais les cheminots, les contrôleurs du ciel hier, demain les traminots, les taxis, les personnels de sécurité, ont tout de même réussi à tirer la couverture à eux en attendant mieux, pour que ces fameux JO qui devaient même rapporter plein de pognons au pays coûtent finalement plus chers que ce qu’on peut espérer de retombées positives pour le pays et ses habitants : À force de se servir aux dépens de tous, on finira comme l’Argentine et tout le monde se mordra les doigts d’avoir pioché tant et plus.
C’est ça de jouer les trisomiques…
 
Parce qu’en Argentine, nous préviennent nos « sachants », « le risque est de créer une crise sociale et politique ». Il faut dire que ce serait kon que la potion fonctionne comme au Portugal ou en Grèce…
« Le pays navigue entre l’ultra-libéralisme et la gauche péroniste, deux visions radicalement opposées », nous précise-t-on. Résultat, il n’y a pas de continuité dans les politiques économiques menées, créant de l’instabilité et repoussant les investisseurs.
Le contraire de ce qui vient d’être constaté ci-avant…
Et puis c’est fort drôle, n’est-ce pas : Pour le bonheur d’une économie ruinée, il aurait fallu persister dans la ruine et le désastre pour satisfaire les investisseurs…
Un comble !
 
Ce n’est pas tout : Par ailleurs, en dépit des bons résultats économiques à court terme, le président se retrouve aussi en minorité au Parlement, nous assure-t-on, ce qui l’oblige à fonctionner par décrets et à revoir sa politique de dérégulation.
Comme s’il était le premier à gouverner sans majorité : Avant « Gaby-le-magnifique », Miss « Lili-Bête-Borgne » a même su faire passer plusieurs réformes dont personne ne voulait !
Par conséquent, la fameuse loi « omnibus » avec plus de 300 dispositions a pour le moment été (partiellement) suspendue : Elle va poursuivre ses avancées avec un peu de retard.
Même sort pour le « Méga-décret », partiellement entré en vigueur au début de sa présidence.
Et chose étonnante qui étonnera encore nos « sachants », c’est que malgré tout, la cote de popularité de « Janvier-Mil-&-i » ne faiblit toujours pas… comme d’un regret pour nos « journaleux & chercheurs » qui sachent tout de tout.
Minute, mais le mek a été élu pour ça, alors il fait ce qu’il a promis, lui !
 
Du coup, notez bien jusqu’où nos « journaleux » en sont arrivés : Puisque ça fonctionne malgré les manifestations, ils se sentent obligés de mettre en avant, pour le dénigrer, la « relation fusionnelle » du président argentin avec ses chiens, ses « enfants à quatre pattes » comme il les appelle, qui serait devenue l’objet de plaisanteries, sarcasmes d’opposants, voire de questions journalistiques, qui ont le don d’irriter la présidence !
Attaque ad hominem… quand on n’a plus d’argument !
Mais si : Voilà où ils en sont réduits…
 
Et de rapporter que par deux fois la semaine dernière le porte-la-parole présidentiel s’est emporté quand des journalistes lui ont demandé, lors du point presse quotidien, si « Janvier-Mil-&-i » a quatre ou cinq chiens, ou s’« il en a quatre et en voit cinq », ce qui ferait de lui quelqu’un « qui voit quelque chose qui ne correspond pas à la réalité »…
Fort, non ?
Car on nous assure alors que la question n’est pas innocente : Elle fait référence à l’un des chiens, « Conan », qui serait décédé en 2017, bien avant que l’économiste ultralibéral n’entre en politique. Un Conan avec lequel « Mil-&-i » « communique », comme l’affirmait une biographie non autorisée publiée en 2023 !
Magnifique, non ?
Une « communication » jamais confirmée par leur président, même si une médium spécialiste de « télépathie animale » avoua lui avoir apporté une « aide au travail de deuil ».
Ils en sont là, les « experts » en sciences économiques et monétaires, en politique publique, pour douter des argentins…
 
« Ce que tu suggères me parait un manque de respect, décrire le président comme une personne qui parle avec des choses qui n’existent pas. C’est une question totalement irrespectueuse, et c’est s’immiscer dans sa famille », aura grondé le porte-la-parole jeudi en réponse au journaliste.
La question faisait en fait suite à un échange mordant entre « Mil-&-i » et son prédécesseur battu qui n’en revient toujours pas du désaveu populaire sorti des urnes, qui dans un « twist » de la veille avait dénoncé la politique d’austérité « inhumaine, brutale et inutile » de son adversaire.
En ajoutant : « Moi, mon chien, qui est vivant, ne me conseille pas, et les ‘‘Forces du ciel’’ (une expression fétiche de « Mil-&-i ») ne m’envoient pas des signes ».
Quels krétins…
 
Il faut bien dire que « Mil-&-i » sait bien jouer le personnage excentrique, à la vie sociale secrète, hyperactif sur les réseaux sociaux, afin de détourner l’attention : Il a parlé à plusieurs reprises avec émotion de ses chiens, énormes mastiffs anglais de 100 kg chacun, avec lesquels il vivait seul jusqu’à la campagne présidentielle 2023. La version officielle connue est qu’ils ont été clonés à partir du « Conan » défunt.
Ces chiens, nommés d’après des économistes libéraux Milton (pour Friedman), Murray (pour Rothbard), Robert, Lucas (Robert Lucas), des clins d’œil « insupportables » pour tous les tenants keynésiens du monde, vivent dans des chenils aménagés dans la résidence présidentielle d’Olivos, selon le président.
Il a révélé début avril à CNN que sa routine matinale est de passer un moment avec ces « cinq » chiens avant d’aller travailler.
Mais comme ils n’ont pas été vus depuis des années – la dernière photo remonte à il y a 4-5 ans – le doute savamment entretenu taraude la presse argentine : Sont-ils bien cinq ou quatre ?
Conan est-il vivant, ou virtuel ?
J’avoue que la blague a de quoi séduire pour prendre les cuistres dans un piège qui les détournent de « leurs vérités à eux » !
 
« Si le président dit qu’ils sont cinq, ils sont cinq et point final », s’est donc agacé le porte-la-parole, en réponse déjà à une autre question sur les chiens. « Je ne comprends pas bien quelle différence cela fait que le président ait quatre, cinq chiens, ou 43 lapins ».
Pan dans les dents !
Quand on parle que de ça et que c’est repris jusqu’à « Paris-olympique », il y a de quoi douter de la qualité des informations qu’on veut nous cacher, comme un début de réussite du plan « ultra-libéral » de redressement des comptes publics argentins.
 
« On dirait que c’est pour rire. Mais ici, il y a un sujet qui est la santé mentale du président », a commenté à l’AFP Juan Luis Gonzalez, l’auteur de la biographie de 2023, intitulée « El Loco » (le fou).
« On peut comprendre beaucoup de choses que fait le gouvernement à travers l’instabilité de Milei ».
Naturellement, je n’en doute pas une seule seconde…
Interrogé fin 2023 lors d’un talk-show sur sa relation avec ses chiens, les rumeurs de communication avec un au-delà canin, « Mil-&-i » avait pourtant haussé les épaules en souriant : « Qu’ils racontent ce qu’ils veulent. À chacun son avis ».
Réponse logique pour un libéral…
En attendant, réseaux sociaux, opposants, s’en donnent à cœur joie sur les chiens, et sur Conan.
Tout comme les étudiants, qui mardi manifestaient en masse pour la défense de l’université : « Sans science, pas de Conan ! ».
« L’université publique existe, Conan non ! », disaient quelques pancartes dans les cortèges, où une chanson hilare réclamait « une minute de silence pour Conan ». Quand d’autres « promenaient Conan »… au bout d’une laisse vide.
 
« Ne pleure pas pour moi, Argentine… »
C’est décidément tellement vrai que même la chanson prévenait dès la première phrase : « Ce ne sera pas facile… »
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire