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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 7 avril 2024

Les nouveautés de la semaine !

Invention de l’œuf sans poule…
 
Les quatre « informations scientifiques » qui auront bouleversé ma vie cette semaine :
 
1 – Je ne sais pas s’il faut manger végan ou seulement végétarien, mais utiliser des œufs « chimiques », non biologiques, même s’ils sont « naturels », pour cuisiner, voilà qui personnellement me rebuterait… jusqu’à un prochain essai que la science avancée me promet.
Déjà, manger de la viande qui n’est pas de la viande, du poisson qui n’a jamais connu la mer ou la rivière et devoir ingurgiter des insectes ou boire du jus d’orange sans orange (les sachets Tang, pour les plus anciens de mes lecteurs) ou du sucre sans glucose… Mais alors, des œufs sans œuf… je ne vous raconte pas !
Et pourtant, c’est tout nouveau et c’est à destination, heureusement non exclusive, des végans (un marché d’avenir, comme a su le prévoir nos « intelligences-naturelles ») !
 
Car il faut demander à une personne végétarienne (j’en ai deux dans mon entourage) pourquoi elle n’est pas totalement végan. Vous savez cette hantise phobique de manger des cadavres…
(Comme si la salade ne hurlait pas quand elle est arrachée à ses racines et un fruit à l’arbre qui le nourrit… Ce n’est pas parce qu’on ne les entend pas qu’ils ne regorgent pas de vie qui ne demande qu’à perdurer le plus longtemps possible à la lumière du soleil et des étoiles !)
Et vous entendrez principalement des réponses commençant par : « Je ne peux pas me passer de… » fromage, beurre, miel, œufs, etc. au choix.
Moâ, c’est du pain, de la Tequila, de la vodka et du tabac, et pourtant je parviens à m’en passer royalement depuis des années…
(Pas touché une clope depuis bientôt 20 mois, ni tartiné le moindre quignon de pain depuis au moins 10 ans, même pour saucer mon assiette…)
Or, il se trouve que certains aliments sont plus difficiles à remplacer que d’autres, soit parce que leurs substituts ne sont pas aussi satisfaisants (en matière de saveur ou de texture), soit parce que leur rôle est absolument unique.
 
Et justement, comme par malheur pour mes végétaliens, les œufs font partie de cette deuxième catégorie !
Dans la cuisine classique, ils semblent tout simplement incontournables, notamment par leur composition atypique (de la mousse jusqu’à de la mayonnaise) et leur aptitude à être transformés de mille façons.
Mais les scientifiques (pas les chercheurs, mais des « trouveurs ») sont des petits malins. Après des années de « cherchages » et d’expérimentations diverses et variées, ils ont enfin trouvé l’œuf végan qui est désormais sur le point de faire sa grande entrée dans notre système de consommation et de distribution alimentaire (c’est-à-dire « hors pharmacie »).
 
Faire des œufs sans poule, ni aucun autre volatile ovipare ne date pas tout-à-fait d’hier : Çà et là, dans les magasins spécialisés ou dans certains restaurants, il existe d’ores et déjà des alternatives relativement satisfaisantes, comme celle de la start-up « Gauloisienne-olympique » la « Papondu ».
Mais à 9 euros les six « œufs », cela reste un luxe quasiment inabordable pour le commun des mortels.
On aura toutefois noté que le média américain « TechCrunch » s’est récemment intéressé au projet d’une entreprise finlandaise « Onego Bio », qui a travaillé sur des principes de fermentation et se base sur un champignon bien précis, le Trichoderma reesei, pour être précis, afin de créer le « Bioalbumen ».
Et qu’est-ce donc que ce « Bio-albumen » ? Ce n’est qu’un œuf ne nécessitant pas de faire appel à animal bestial.
Lancée en 2022, la start-up de la patrie de Sibelius est désormais en train d’atteindre un niveau de compétitivité qui impressionne les « journaleux » qui répandent la bonne nouvelle à travers le monde, telle que l’entreprise devrait bientôt vendre ses faux œufs à de vrais tarifs concurrentiels.
 
Chez « Onego Bio », on affirme que la composition du « Bioalbumen » est « biologiquement identique » à celle d’un œuf classique et qu’il singe idéalement la « bio-albumine », cette protéine qui est la plus présente dans les œufs de poule.
Et ses arguments de vente sont nombreux : Non seulement, on fiche totalement la paix aux poules (et on ruine les élevages de ponte), mais en plus, l’impact environnemental de cette invention est divisé par dix par rapport aux œufs z’ordinaires…
La cofondatrice de « Onego Bio » se félicite ainsi d’avoir trouvé (une « trouveuse » ?) un procédé de fabrication qui permet d’atteindre des seuils de productivité « bien, bien plus élevés » que ceux jusque-là visés par les concurrents.
En outre, ajoute-t-elle, « le produit est simple en ce qu’il ne nécessite pas d’équipement particulier », d’où le fait qu’il est capable de rivaliser avec n’importe quel concurrent non-végan.
Après la viande sans viande, les poulets sans chair, les œufs sans poules : On n’arrête décidément pas le progrès en marche, d’autant qu’il paraît que c’est l’affaire du siècle sur le plan de la transition écolologique.
Moâ, ce que je vois d’avoir des œufs sans élevage de poules, ça va soulager mes délicates cellules olfactives (déjà débarrassées des odeurs de tabac, goudrons et nicotine depuis que je survis…)
 
2025 devrait donc être l’année au cours de laquelle les « œufs végétaux » vont commencer à remplacer sérieusement les œufs de poule.
Et c’est par l’Amérique du Nord que « Onego Bio » entend entamer son invasion.
Mais le « Bioalbumen » n’a pas encore reçu les agréments de rigueur, dont le statut GRAS (« Generally Recognized as Safe » comme on dit en Auvergne, autrement dit littéralement en Francilien-natif « généralement reconnu comme sans danger »), mais cela ne saurait tarder.
Une fois cette formalité accomplie, il pourra s’installer sur le territoire « ricain » et ensuite envahir l’Europe, l’Amérique du Sud et l’Asie.
(Personne ne parle d’Afrique et ses œufs… d’autruche !).
J’avoue que j’ai hâte de me faire une omelette sublimement baveuse avec ça.
Juste pour ne pas mourir trop kon…
 
2 – Pour coloniser Mars, il faudra des humains génétiquement modifiés, tout le monde en est à peu-près certain (même « Élan-Must » qui veut y creuser sa tombe après avoir envoyé sa voiture en éclaireuse…).
Oui, certes, mais comment « up-grader » notre espèce ?
Et à que si on intégrait des protéines de tardigrade, cet animal fabuleux, gros comme une micro-puce, avec huit pattes griffues, aveugle et un trou du kul qui lui sert aussi de bouche, jusque dans des cellules humaines, se sont demandé des futurs « trouveurs » (qui n’avait rien d’autre à foutre ce jour-là !)
 
Jaloux des super-pouvoirs de ces créatures capables de survivre dans des environnements particulièrement hostiles, ils ont jugé que ce serait une bonne idée d’incorporer un peu de tardigrade dans des cellules humaines. Et c’est ainsi qu’une équipe de scientifiques de l’université du Wyoming (« Ricaine ») menée par des biologistes moléculaires, travaille à introduire dans les cellules humaines des protéines de tardigrade en espérant en transférer les vertus.
Et les résultats de ce travail ont été publiés le 19 mars dans la revue Protein Science, toujours à la pointe de l’actualité sur les protéines.
 
Les tardigrades sont des animaux microscopiques qui se sont taillés une solide réputation depuis quelques années pour leur apparence étonnante, mais surtout pour leur capacité à survivre à à peu près tout. Ces créatures sont dites « extrêmophiles » et continuent tranquillement leur existence à des températures de – 272 à + 150°C.
Elles peuvent également se mettre en état de stase pendant trente ans en cas de pénurie de ressources, et attendre des jours meilleurs pour revenir à leurs petites affaires quotidiennes.
C’est en fait cette propriété-là qui intéresse particulièrement les chercheurs : Cette capacité de ces organismes à se prémunir contre la privation létale d’humidité, la dessiccation.
Les tardigrades peuvent utiliser une protéine pour produire à l’intérieur de leur corps un gel qui leur permet de vivre des années, même privés d’eau. Forcément, ce genre de pouvoir fait envie.
Et pour acquérir ce « super-pouvoir » animal, la méthode plus communément utilisée par les scientifiques est l’introduction des protéines responsables de ce phénomène, ici les CAHS-D (protéines cytoplasmiques abondantes thermosolubles), dans les cellules humaines.
 
« Étonnamment, lorsque nous introduisons ces protéines dans des cellules humaines, elles se gélifient et ralentissent le métabolisme, comme pour les tardigrades.
De plus, de même que chez les tardigrades, lorsque vous mettez en état de biostase des cellules humaines qui contiennent ces protéines, elles deviennent plus résistantes au stress, conférant certaines des capacités des tardigrades aux cellules humaines », révèle la responsable de cette étude.
 
Cette propriété permettra peut-être un jour d’approcher notre objectif ultime qui est, rappelons-le, la vie éternelle…
(Les povs’ : Ils ne savent pas l’enfer que c’est… !)
Mais avant, elle pourra surtout aider les tissus humains à mieux supporter les biostases dans des conditions de « stress environnemental », comme peut l’être le froid imposé avant une greffe d’organe, par exemple.
Ce qui peut aussi être un avantage pour les voyages interplanétaires (voire interstellaires), car parmi les super-pouvoirs du tardigrade, on peut citer la survie dans le vide spatial comme sous des pressions atmosphériques intenses, la résistance aux radiations plus de mille fois supérieure à celle des humains, la survie malgré le manque d’oxygène ou les températures extrêmes…
Bref, on ne va pas peut-être pas sauver la planète, mais avec un peu de tardigrade en nous, on sera prêt à en subir les conséquences sans broncher.
Reste à isoler toutes les autres protéines qui lui fournissent toutes ces qualités enviées là…
 
3 – Enfin, revenons à un de mes sujets favoris dans cette rubrique : L’orgasme !
Depuis peu, on se questionne : Contribuerait-il à renforcer les défenses immunitaires ?
On supposait qu’en libérant de multiples hormones, en diminuant le stress et en favorisant le sommeil, la jouissance aiderait le corps humain à mieux lutter contre les agressions extérieures.
Désormais, on a pu le vérifier.
 
Une sexualité épanouie, ce n’est pas seulement bon pour le moral, le cœur ou contre la douleur. Ce serait aussi un moyen plutôt agréable d’activer ses défenses immunitaires. Et peu importe la manière dont on atteint l’orgasme : Cela se vérifierait aussi bien après la masturbation qu’une relation sexuelle « normale » (voire même « déviante »…)
C’est en effet ce qu’ont montré des chercheurs Teutons en 2004, dans une étude portant sur un petit échantillon, hélas, exclusivement masculin.
Ces scientifiques-là avaient demandé à 11 jeunes hommes en bonne santé de se masturber jusqu’à l’orgasme (une occupation comme une autre), afin d’en mesurer les effets sur la circulation des lymphocytes et la production de cytokines, des cellules et protéines impliquées dans la réponse immunitaire.
L’expérience a montré que l’excitation sexuelle et l’orgasme avaient bien activé les composants du système immunitaire inné chez ces hommes-là.
L’histoire ne dit pas si l’opération s’est terminée ou non en partouze, mais les résultats scientifiques sont restés dans l’histoire de « l’Histoire naturelle » des bêtes humaines…
 
Depuis, une autre étude menée par des chercheurs « ricains » cette fois-ci, s’est-elle intéressée aux niveaux d’anticorps IgA retrouvés dans la salive de 112 étudiants.
Ces derniers ont été classés en quatre groupes, en fonction de la fréquence de leur activité sexuelle : Aucune, peu fréquente (moins d’une fois par semaine), fréquente (une à deux fois) et très fréquente (trois fois ou plus).
Eh bien, chez les étudiants dont l’activité sexuelle était au moins « fréquente », les taux d’IgA étaient significativement plus élevés !
 
Dès lors, sur la seule base de ces études anciennes et aux faibles échantillons, pouvait-on conclure formellement aux effets bénéfiques de l’orgasme sur les défenses immunitaires ?
Oui, si l’on tient également compte du fait que l’orgasme déclenche la libération d’un cocktail d'hormones (dopamine, endorphines, sérotonine, ocytocine…), et qu’une partie de ces dernières contribuent à lutter contre le stress.
Qui lui, et ça c’est bien établi, réduit l’efficacité du système de défense immunitaire.
Enfin, le sexe, bien ou mal fait, améliorerait la qualité du sommeil (je peux en témoigner…) : Or, une mauvaise qualité de sommeil augmenterait également la vulnérabilité aux infections.
Et inversement, oserai-je avancer…
A contrario, bien dormir aiderait le système immunitaire à fonctionner et à se reconstituer.
Logique, non ?
CQFD
 
4 – Comment ne pas perdre l’équilibre en tournoyant sur soi ? Moâ, j’use de mes yeux qui cherchent l’horizon. Si je les ferme et même si je ne virevolte pas, j’ai toutes les chances de m’étaler si je n’ai pas un troisième point d’appui (pour faire triangulation spatiale en 3D).
Bref, voilà bien une question parfaitement inutile, mais qui intéresse tout de même quelques « trouveurs » qui vivent de subventions financées par votre pognon prélevé de force et contre votre gré sous forme d’impôts, taxes et cotisations…
Et les coachs en patinage…
 
Oui, parce qu’il se trouve que le patinage est l’exemple typique d’un sport casse-gueule où le cerveau est tout aussi entraîné que les autres muscles.
Ce n’est pas qu’il apprend par cœur le bottin téléphonique, ou qu’il est entrainé comme une calculette Windows (de celle qui connait tous les résultats de toutes les opérations possibles avec tous les nombres imaginables), mais chez un individu non aguerri, la sensation de glissade enclenchée lorsqu’on est debout sur une patinoire provoque le réflexe de se pencher en avant afin d’éviter la chute !
Essayez, et vous verrez…
Or, avec l’entraînement, les patineurs professionnels arrivent à faire taire ce réflexe et à accepter cette sensation.
 
En réalité, quand on parle de leur cerveau, à ces gens-là, il ne faut pas se monter du col : On parle surtout du cervelet, là où tout se passe.
C’est une région de la matière grise du cerveau qui est située à l’arrière du crâne, et est en charge (entre autres) de l’équilibre : Tu tapes dessus assez fort, le gars tombe aussitôt dans les pommes !
Et il se trouve que l’entraînement des professionnels participe à son remodelage.
Par exemple, le cervelet des patineurs de vitesse a des parties plus développées que celui d’un individu normal, notamment à droâte.
(Moâ, j’aime bien la droâte : Désormais je sais pourquoi. Pour ne pas perdre l’équilibre !)
Une raison pour l’expliquer pourrait être que ces sportifs-là doivent se pencher vers la gôche en s’appuyant sur leur pied droât lorsqu’ils prennent un virage.
(Ça c’est bien une konnerie : Et si je prends un virage dans l’autre sens, ça fonctionne pareil où je vais systématiquement me vautrer ?
En fait, comme cerveau de compétition, on en aura conclu que celui patineurs de vitesse ne sait tourner que contrarotatif aux aiguilles d’une montre : Tu parles d’une performance !!!)
 
Ainsi donc, l’entraînement permet aussi de se débarrasser de la sensation de tête qui tourne, provoquée par le ballotement du fluide contenu dans l’oreille interne. Lorsque l’on s'arrête, le ballotement continue et fait croire au cerveau que la rotation n’est pas terminée.
Je fais ça avec mon chat, c’est rigolo comme tout…
Mais le cerveau des patineurs professionnel voltigeurs n’est pas si kon que ça : Avec l'habitude, celui de ces patineurs est plus apte à reconnaître la fin du tour, ce qui minimise le tournis.
Mais tout ne serait pas qu’une question de vertige : Le succès de chorégraphies complexes sur patins à glace, repose aussi sur la répétition.
Cette dernière aide le cerveau à mieux visualiser les séquences nécessaires, améliorant ainsi la vitesse de rappel en cas de chute et la mémoire musculaire.
C’est pour cela que les patineurs artistiques sont capables de continuer leur chorégraphie même s’ils sont tombés après un saut.
 
Je ne sais pas vous, mais en découvrant toutes ces trouvailles, je me suis senti fier de mon espèce dominatrice d’un univers qu’elle maîtrise de mieux en mieux…
Pas vous ?
Aussi, je partage volontiers et,
Vous souhaite une excellente fin de week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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