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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 avril 2024

Dans la série des « revenues » de Jean-Marc…

Il a parfois des difficultés à se renouveler.
 
Il était temps pour le vieux Père Joseph de prendre son bain du samedi soir et la jeune sœur, Sœur Nathalie, avait préparé l’eau du bain, les serviettes et tout le reste, suivant exactement les instructions données par la vieille sœur, Sœur Berthe.
Sœur Berthe avait également recommandé à Sœur Nathalie de ne pas regarder la nudité du Père Joseph autant que possible, de faire tout ce qu’il lui demanderait et de prier.
Le matin suivant, Sœur Berthe demande à Sœur Nathalie comment le bain de la veille s’était déroulé.
« — Oh, ma Sœur ! » répond sœur Nathalie les yeux rêveurs, « j’ai été sauvée !
— Sauvée ? Et comment est-ce que ce beau miracle s’est produit ? » demande la vieille sœur incrédule qui savait que le vieux Père Joseph avait plus d’un tour dans son sac.
« — Bien, lorsque le Père Joseph était dans son bain, il m’a demandé de le laver, et pendant que je le lavais, il a guidé ma main entre ses jambes, à l’endroit où le Seigneur garde la Clé du Paradis. C’est ce qu’il m’a dit.
— Ah bon ! Il a fait ça ? » répliqua la vieille sœur, le regard froid et direct.
Sœur Nathalie continua :
« — Oui, et le Père Joseph m’a dit que si la Clé du Paradis fonctionnait avec ma serrure, les portes des Cieux seraient ouvertes pour moi et je serais assurée d’être sauvée et j’aurais la paix éternelle.
Et ensuite le Père Joseph a guidé sa Clé du Paradis dans ma serrure.
— Ah oui… », dit la vieille sœur encore plus froidement.
« Au début, c’était très douloureux, mais le Père Joseph a dit que le chemin de la rédemption était souvent rempli de douleur, mais que la Gloire de Dieu remplirait bientôt mon cœur avec extase.
Et c’est arrivé !
C’était si bon d’être sauvée ! »
Sur ce, la vieille sœur était outrée.
« Ce vieil escroc ! Il m’avait dit que c’était la Trompette de l’Ange Gabriel et il m’a fait souffler dedans durant les 40 dernières années ! »
 
Dans un cinéma où l’on joue un suspense policier, un spectateur entre au moment où le film vient de commencer.
Sa lampe torche à la main, l’ouvreuse le guide, éclaire chaque marche pour qu’il ne trébuche pas, et l’amène jusqu’à un fauteuil de libre.
« C’est trop près, vous n’auriez pas une autre place ? »
Elle repart dans l’autre sens et le guide jusqu’à un nouveau siège.
« Là c’est vraiment trop de côté. Il n’y a rien de plus central »
Elle parcourt toute l’allée, repère enfin une place en plein milieu, et elle y conduit le type, qui lui donne royalement une pièce de dix centimes.
Alors elle se penche et lui dit à l’oreille :
« C’est le juge l’assassin… »
 
C’est l’histoire d’un vieillard qui monte dans un wagon où il n’y a plus une seule place de libre.
Juste devant lui, une mère de famille et ses cinq enfants occupent six places, mais aucun des gosses ne se lève.
Pour attirer l’attention, le vieux monsieur frappe à plusieurs reprises sur le sol avec sa canne, espérant que la dame finisse par demander à l’un de ses enfants de céder sa place.
Mais elle se contente de dire :
« Monsieur vous pourriez mettre un caoutchouc au bout de votre canne ! »
Et le vieux monsieur répond :
« Madame, si vous en aviez mis un au bout ce celle de votre mari, je serais assis ! »
 
C’est l’histoire d’un Espagnol insatisfait de la performance d’une prostituée qui a demandé l’intervention de la police.
Insatisfait, il ne voulait pas la payer et, en plus, il voulait même déposer une porter plainte contre elle.
Les policiers de Benidorm, sur la côte Méditerranéenne, ont expliqué les choses de la vie à l’homme en question.
« Oui, vous ne pouvez pas payer et porter plainte, mais vous devrez vous expliquer devant la Cour, révéler votre identité, votre adresse, votre histoire, les journaux… Ou vous pouvez payer tout simplement. »
N’écoutant que sa sagesse, l’homme a finalement payé.
 
C’est l’histoire de Germaine, très fière qui aura réussi un jeu de patience en cinq mois !
Elle invite Marie-Chantale pour contempler son œuvre.
« — Et tu l’as réussi en 5 mois que tu m’assures ?
— Ben oui ! C’est fort hein ? Sur la boîte, on lit : Jeu pour 3 à 5 ans ! »
 
Jean-Claude rencontre Jean-Marc. Et il papote…
« — Depuis six mois, je mange du poisson pour fortifier ma mémoire.
— Ah ? C’est bien… Et ça marche ?
— Formidable !
— Tu en manges combien par jour ?
— Heu… quatre… ou non… deux… ou peut-être trois, je ne m’en souviens plus. »
 
C’est un magasin qui vend de nouveaux maris et qui vient juste d’ouvrir à New York.
C’est un endroit où les femmes peuvent se rendre pour choisir un mari.
A l'entrée du magasin, on y découvre une brève description de la manière dont il fonctionne :
« Vous n'avez le droit qu'à une seule visite. Il y a 6 étages. À chaque fois que vous montez d’un étage, les qualités des hommes exposés augmentent.
Mais attention :
Vous pouvez choisir un homme sur l’étage où vous vous trouvez, ou vous pouvez monter d’un étage, mais en aucun cas, vous ne pouvez redescendre d’un étage sauf pour quitter le magasin. »
Une femme entre donc dans le magasin pour trouver un mari.
Au premier étage, il y a un panneau sur la porte qui dit :
« Ces hommes ont un travail. »
Au deuxième étage, il y un panneau sur la porte qui dit :
« Ces hommes ont un travail et aiment les enfants. »
Au troisième étage, il y a un panneau sur la porte qui dit :
« Ces hommes ont un travail, aiment les enfants et ont particulièrement belle allure. »
La femme se dit « woah ! ».
Mais elle sent instinctivement qu’elle doit continuer.
Elle arrive au quatrième étage et le panneau sur la porte dit :
« Ces hommes ont un travail, aiment les enfants, ont particulièrement belle allure et aident aux travaux ménagers. »
« Oh mon Dieu », s'exclame-t-elle. « Je peux à peine y croire ».
Malgré tout, elle continue jusqu’au 5ème étage.
Le panneau dit :
« Ces hommes ont un travail, aiment les enfants, ont particulièrement belle allure, aident aux travaux ménagers et sont très romantiques. »
Elle hésite à rester… mais monte quand même jusqu’au sixième étage.
Le panneau dit :
« Vous êtes la 3.145.601ème visiteuse de cet étage. Il n’y a pas d’homme à cet étage.
Cet étage n’existe que pour vous prouver que les femmes sont impossibles à contenter.
Merci de votre passage au Magasin des Maris… »
Et puis …
 
Un nouveau magasin qui vend des femmes vient d’ouvrir juste en face, dans la même rue, avec le même nombre d’étages ...
Le premier étage propose des femmes qui aiment le sexe.
Le second étage propose des femmes qui aiment le sexe et font la cuisine.
Les étages 3 à 6 n'ont jamais été visité…
 
À propos de femmes, c’est l’histoire recuite du jeune Roi Arthur qui, dans une bataille, se fait capturer par le monarque d’un royaume voisin.
« J’aurais pu te tuer, mais comme tu es jeune, je te propose un marché. Je te laisse la vie sauve si tu réussis à trouver la réponse à une question très difficile. »
Arthur aurait un an pour trouver la réponse. Si au bout d’un an, il revenait avec la réponse, alors il serait libre, sinon, le monarque le tuerait.
La question ?
Que veulent réellement les femmes ?
Une telle question rendrait perplexe n’importe quel homme d’expérience, mais pour le jeune roi, la réponse paraissait impossible à trouver.
Arthur accepte malgré tout la proposition et promet de revenir dans un an avec la réponse à cette difficile question.
Il retourne dans son royaume et interroge tous ses sujets : La princesse, les prostituées, les prêtres, les sages, les courtisans, les soldats.
Personne ne peut lui répondre.
On lui conseille de consulter une vieille sorcière qui, seule, pourrait connaître la réponse, mais le prix est élevé : La sorcière connaît sa valeur et exige beaucoup d’argent.
Le temps passe, Arthur n’a plus le choix et il consulte la sorcière.
Elle accepte de répondre à sa question, à la condition qu’il lui accorde d’épouser Gawain, le plus noble des chevaliers de la Table Ronde, et son ami le plus cher.
Arthur est horrifié : La sorcière est bossue et hideuse, elle n’a plus qu’une dent, sent l’eau croupie et émet des bruits obscènes. C’est la créature la plus répugnante qu’il ait jamais rencontrée.
Il refuse d’imposer une telle ignominie à son ami.
Gawain, en apprenant le prix proposé par la sorcière affirme à Arthur qu’aucun sacrifice n’est trop grand pour préserver la vie de son roi et l’existence de la Table Ronde.
La sorcière approche de l’oreille d’Arthur…
« Ce qu’une femme veut réellement, c’est de pouvoir être maîtresse de sa destinée. »
Tout le monde sut alors que la sorcière venait de dévoiler une profonde vérité et que la vie d’Arthur était sauve.
Et ainsi en fut-il.
Le monarque voisin épargna la vie d’Arthur et lui redonna sa liberté.
Au mariage, Arthur est déchiré entre le soulagement et le désespoir.
Autant Gawain est parfait, gentil et courtois, autant la vieille sorcière est dégueulasse.
La nuit de noce approche : Gawain, prêt pour une nuit d’horreur entre dans la chambre.
Surprise ! Allongée sur le lit, c’est la plus belle femme du monde qui l’attend.
« — Qu’est-ce qui se passe ? Qui es-tu ?
— Comme tu as été gentil et généreux avec moi quand j’étais la vieille sorcière, je serai tantôt répugnante, tantôt créature de rêve. À toi de choisir comment tu me veux le jour et la nuit.
Gawain réfléchit… Durant le jour, une femme ravissante à montrer à ses amis mais la nuit, dans l’intimité de sa maison, l’enfer.
Ou bien l’inverse, un monstre le jour et un pétard la nuit.
Le noble Gawain répond qu’il lui laisse le choix.
À ces mots, elle lui annonce qu’elle sera toujours une ravissante jeune femme car il l’avait respectée et laissée prendre en main son propre destin.
« Quelle est la morale de cette histoire ? » demande Jean-Marc
La morale de cette histoire ?
« PEUT IMPORTE QUE VOTRE FEMME SOIT JOLIE OU LAIDE, À L’INTÉRIEUR, C’EST TOUJOURS UNE SORCIÈRE ! »
 
C’est l’histoire de l’homme qui s’endort plusieurs heures sur le dos à la plage et se réveille avec un terrible coup de soleil sur tout le corps.
Ouille, ouille !!!
Il est immédiatement transporté à son réveil à l’hôpital et il est promptement admis pour brûlures au second degré.
Il commence déjà à avoir des cloques sur la peau et il est en quasi agonie.
Le médecin lui prescrit immédiatement un traitement, Biafine en couche épaisse, un puissant sédatif, et une pilule de viagra à prendre toutes les quatre heures.
L’infirmière, surprise demande au médecin :
« Quel bienfait va donc lui apporter le viagra dans son cas ? »
Le médecin réplique :
« Ça va lui permettre de garder les draps éloignés de ses jambes. »
 
Questionnaire de la semaine de Jean-Marc :
Q : Quelle est la différence entre une copine et une épouse ?
R : 20 kilos.
 
Q : Différence entre un amant et un mari ?
R : 45 minutes.
 
Q : Qu’est-ce que ça donne quand un homme parle cochon à une femme ?
R : C’est un harcèlement sexuel
 
Q : Qu’est-ce que ça donne quand une femme parle cochon à un homme ?
R : C’est 3,99 € la minute.
 
Q : Pourquoi les hommes veulent marier des vierges ?
R : Ils ne supportent pas ni la critique ni les comparaisons.
 
Q : Pourquoi les femmes simulent-elles souvent l’orgasme ?
R : Parce que les hommes sautent souvent les préliminaires.
 
Q : Différence entre un nouveau mari et un nouveau chien ?
Q : Après un an, le chien est encore excité de vous voir.
 
Q : La sanction pour la bigamie ?
R : Deux belles-mères !
 
« — Maman, aujourd’hui j’ai été le seul à répondre à une question du professeur !
— Bravo ! Et quelle était cette question ?
— Qui a brisé la vitre pendant la récréation ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, au café du coin, chacun devant une bière, en fin de journée…
« — Tiens, la nuit tombe.
— Bien fait pour elle ! »
 
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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