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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 23 avril 2019

Elle en a dans la culotte !

Je veux parler d’Ingrid Lavavasseur,
 
Et revenir sur cette semaine de « ouf » qui a vu cramer la toiture de Notre-Dame de Paris, bouleverser le calendrier de « Jupiter », le « maître des horloges », une semaine décidément exceptionnelle !
Décidément, ma vie, aussi pénible qu’elle ait pu être, me permet l’inattendu à force de perdurer : Entre les « Britishs » qui se préparent désormais à aller voter le 23 mai prochain pour des eurodéputés qui ne siègeront a priori que jusqu’à Halloween prochain et Notre-Dame de Paris qui sauve ces « saintes-reliques » contre toute attente, il y a de quoi rester pantois.
Je serai normalement mort il y a belle lurette comme il était écrit, je n’aurai pas vécu tout ça.
Et là, la « rouquine » pour qui j’aurai voté si elle avait constitué une liste, elle te donne une leçon de civisme qui dépasse tout ce que j’ai pu entendre depuis Charles de Gaulle.
C’est dire.
 
Reprenons les choses comme elles sont venues : Le désastre qui a frappé Notre-Dame de Paris a ému le pays et, au-delà, le monde occidental.
Les mahométans et shintoïstes, je ne sais pas (et je m’en fous) : Ils ont eu exactement au même moment un incendie provoqué par des « gamins qui jouaient » à la mosquée Al-Aqsa, celle située au-dessus du mur des lamentations à Jérusalem. Mais eux sont moins kons : Ils ne l’ont pas laissé ravager le troisième lieu saint de l’Islam !
La réaction immédiate de grands groupes comme Pinault, Total, LVMH ou l’Oréal et les centaines de millions d’euros promis s’inscrivent dans une tradition déjà ancienne : Plus de 750 millions d’euros en une poignée de journées pour dépasser tantôt le milliard et « reconstruire ».
Pas étonnant : D’autres monuments emblématiques de notre Histoire ont subi de graves outrages par le passé, ainsi la cathédrale de Reims et le château de Versailles. À chaque fois, l’appel au mécénat privé s’est révélé un pari gagnant.
 
Je vous rappelle, Versailles, ce titanesque chantier resté inachevé à la mort de Louis XIV est poursuivi, tant bien que mal, par Louis XV et Louis XVI, pour n’avoir cessé d’être abandonné et réoccupé depuis 230 ans. La période de la Révolution vit la dispersion du mobilier mais le château ne fut pas rasé en dépit des souhaits de certains révolutionnaires. Cette carcasse vide commence dès lors à servir de musée. Jamais vandalisé ni incendié, Versailles a néanmoins profondément souffert d’une très longue période d’abandon qui va de la Révolution à la seconde moitié du XXème siècle en dépit de tentatives diverses mais insuffisantes pour lui redonner vie.
Mon « cousin Napoléon » préférait, pour sa part, résider au Grand Trianon et les Bourbons restaurés n’osèrent pas s’y réinstaller, même pour l’été. Louis-Philippe sauva un château menacé de ruines en le vouant « à toutes les gloires de la France » avec une gigantesque galerie des batailles.
La restauration est menée sur la cassette personnelle du roi, c’est-à-dire déjà d’une certaine façon avec de l’argent privé. Encore que…
Sous les républiques, le château abrite les Congrès parlementaires, notamment l’élection du président de la République sous la IIIème et la IVème.
Il n’accueille désormais plus que le Congrès… par intermittence et seulement selon le « bon vouloir » du prince élu par ailleurs.
 
Avec Pierre de Nolhac, en 1892, la restauration scientifique commence. Ce dernier comprend la nécessité d’organiser des événements et de faire venir des visiteurs prestigieux pour susciter des dons privés. La « Société des Amis de Versailles » voit le jour en 1907 relayée par des société sœurs à Chicago et Bruxelles.
Mais cela reste insuffisant et la situation de l’édifice reste piteuse au lendemain de la Grande guerre. John D. Rockfeller va financer dans les années 20 une première réhabilitation. C’est cette initiative du privé qui va inciter l’État à allouer un budget de restauration du château.
Mais de nouveau, après la Seconde Guerre mondiale, le château offre le triste spectacle d’une galerie des glaces endommagée par les eaux pluviales. C’est pour sauver une nouvelle fois Versailles que Sacha Guitry réalise en 1954 « Si Versailles m’était conté », luxueux album d’images qui voit défiler toutes les stars du cinéma gauloisien de l’époque. Là encore, une initiative privée d’un amoureux de mon pays et de son Histoire vise à encourager la recherche de fonds.
 
Aujourd’hui, le mécénat privé joue un rôle moteur. Par exemple, la chapelle royale bénéficie du concours financier de la fondation suisse « Philanthropia » et de « Saint-Gobain », la Galerie des Glaces a été restaurée grâce à « Vinci » (celui des aéroports et des parkings), le « Salon de la Paix » par Renault, le « Petit Trianon » par les montres Breguet et plus modestement les bancs anciens des jardins ont bénéficié du soutien de divers mécènes, entreprises et associations.
Les Américains (American Friends of Versailles) ont permis la restitution du Bosquet des trois fontaines et du Pavillon frais au Petit Trianon.
 
Victime de la Grande Guerre, pilonnée d’obus, la cathédrale de Reims, alors transformée en hôpital, est associée au sacre des rois de France était en ruines en 1918. Sans vouloir jouer les rabat-joie, notons que la restauration de cette magnifique cathédrale, chef-d’œuvre d’inspiration gothique, a pris au final un bon siècle. Et c’est seulement près de vingt ans après la fin du conflit que la reconsécration put être faite par le cardinal Suhard en présence du président Albert Lebrun.
Là encore les Américains étaient présents avec les fondations « Carnegie et Rockfeller ». La restauration de la façade, avec ses 2.400 sculptures, n’a été achevée que tout récemment. Ce dernier chantier a été financé en partie par l’association des « Amis de la cathédrale ».
 
Les « riches », si souvent conspués dans ce pays, ont parfois du bon. Et au-delà des très grandes fortunes, la foule des donateurs anonymes, tous ceux qui selon leurs moyens, parfois modestes, contribuent ainsi à marquer leur attachement à ces monuments de notre histoire nationale.
C’est très généreux.
Quoique, dois-je rappeler, quand une entreprise « donne » un peu de sa trésorerie pour laisser sa marque sur le patrimoine de l’humanité, c’est vous qui payez à hauteur de 60 % (dans la limite de 5 pour 1.000 du CA de la boutique), que vous soyez « sans dents » ou né pour péter dans de la soie avec votre cuillère en argent dans le bec…
On appelle ça le « crédit d’impôt mécénat »…
Il faut donc relativiser les enjeux, notamment financiers…
 
N’y-a-t-il pas plus urgent dans ce pays qui se meurt de ses multiples fractures ?
« Ma rouquine » aura très justement appelé mercredi dernier à « revenir à la réalité », fustigeant à la fois des grands groupes inertes face à la « misère sociale » (même si elles ont raqué jusqu’à 1.000 euros par tête de pipe à un moment donné), mais mobilisés pour la cathédrale, et l’« insuffisance » des mesures envisagées par « Jupiter » à l’issue du grand débat (cf. mon post de jeudi dernier qui s’est retrouvé « en avance » quand je l’ai écrit, mais « en retard » quand il est apparu en ligne : http://flibustier20260.blogspot.com/2019/04/trans-intox-fait-le-boulot-de-jupiter.html).
 
C’est « une colère naissante qui monte sur les réseaux sociaux » avertit-elle avec un certain bon sens et beaucoup d’aplomb. Elle dit naturellement « compatir énormément à cette douleur » provoquée par l’incendie de la cathédrale de Paris. « Mais j’aimerais qu’on revienne à la réalité » évoquant cette colère qui monte encore, dénonçant « l’inertie des grands groupes face à la misère sociale alors qu’ils prouvent leur capacité à mobiliser en une seule nuit ‘‘un pognon de dingue’’ pour Notre-Dame ».
Et elle n’a pas tort.
On a du mal à comprendre qu’en un claquement de doigt, même compte tenu de la déductibilité de la dépense « à fond perdu » et du crédit d’impôt qui va avec, le modèle économique de ces géants créés de toutes pièces par quelques « génies » du « CACa 40 » en une ou deux générations de labeur, puissent oublier que ce sont leurs « esclaves-prolos » qui les ont rendus richissimes à en devenir « mécènes »…
Je vois, de loin, par exemple, les négociations dans l’industrie agroalimentaire : Vos prix d’achat ont augmenté avec la loi alimentation, mais pas trop et de façon supportable (même si c’est vous qui payez de force).
Ce que vous ne voyez pas encore, c’est que ce sont les industriels qui font l’effort et le répercute en partie sur leurs fournisseurs… les paysans qui triment pour leur vendent la matière première sans lesquelles ça n’existerait pas.
Autant de cocus…
 
Dans cette affaire et bien d’autres, tout le monde est perdant, pour cause d’incurie répétitives, tout le monde, sauf les « grands-patrons » : Ils ont réinventé un modèle économique et social – probablement pour survivre, comme tout le monde – qui vous échappe totalement et que n’éclaire faiblement et que pour partie « ma rouquine »…
Je le lui ai écrit : « Dommage que vous ne présentiez pas de liste, j’aurai voté deux fois plutôt qu’une pour vous… et en tant que Corsu, je sais y faire ! »
 
Il faut dire que parallèlement elle a appelé « Jupiter » à « approfondir les choses », après la divulgation par la presse des mesures que le chef de l’État devait annoncer lundi soir à l’issue du grand débat national, avant que son allocution ne soit annulée en raison de l’incendie : « Est-ce que la suppression de l’ENA va nous apporter quelque chose au niveau du pouvoir d’achat ? »
Pas grand-chose, chérie, pas grand-chose…
« Qu’on nous explique comment ils vont pouvoir mettre en place ces réformes. Sont-elles réelles ? » a-t-elle demandé, estimant, à juste titre que « pour énormément de Français rien ne va changer ».
Rien : Né pour trimer et payer toujours plus les délires des « sachants-tout ».
C’est ça d’être né du mauvais côté du manche. Mais c’est déjà mieux que d’être né « chair à canon » en 1914 : Ceux-là n’avaient même pas d’avenir, même pas celui de devenir de force « vache-à-lait », et ils ne le savaient pas…
 
Sur la pérennisation de la prime de fin d’année défiscalisée, « est-ce que beaucoup en ont bénéficié ? ».
Sur les fermetures d’écoles et d’hôpitaux gelées jusqu’à la fin du quinquennat, « est-ce qu’on parle de la remise en place des 35 maternités qui ont dû fermer ou vont fermer ? Est-ce qu’on parle de fermetures de services, (…) de fermetures de classes ou des écoles ? »
Quant à la garantie des pensions alimentaires pour les mères célibataires, elle a souligné « les grosses difficultés » déjà existantes à l’obtenir.
C’est pourtant une mesure concoctée sur mesure que pour elle…
Étendue à toute autre : Une loi ne peut pas être à vocation unipersonnelle (un décret si), elle concerne tout le monde.
Dans le temps, mon prof’ de fiscalité (mon « pape-à-moâ », Maurice Cozian) nous expliquait que si un ministre décidait que les rousses devaient bénéficier d’un avantage fiscal « hors du commun » en compensation de leur handicap naturel, ça s’appliquait à toutes les rousses, y compris « Cléclé-Haute-Teint », jusqu’à ce que « la doctrine » soit rapportée.
« Cléclé-Haute-Teint », une ex-PCF devenue « insoumise », elle se fait mangé la vedette dans mon cœur par Ingrid et son bon sens en barre…
 
Au passage, il est à remarquer que ces dons et cagnottes donnent aussi quelques informations frappantes.
D’une part, cela montre que beaucoup de Gauloisiens sont effectivement prêts à payer pour la restauration de ce chef-d’œuvre, sans qu’on les force : Tant pis pour le « Sidaction » et les maladies « orphelines ».
Ça compense les carences et l’inanité du ministère de la Culture et du Patrimoine, incapable avec son budget pourtant colossal de répondre à sa mission de base, à savoir conserver notre patrimoine qu’il a récupéré absolument intact, alors qu’il se montre si compétent à défigurer les grands monuments de leurs Plugs verts et autres Vagins de la Reine hideux plutôt qu’à prévenir ce genre d’incendies tragiques.
De façon diamétralement opposée, ces dons font ressortir aussi tout ce que le pays compte de petits jaloux, de frustrés et autres aigris qui ont un mal viscéral à supporter la réussite et la richesse des autres : Les dons des milliardaires permettent ainsi de s’exprimer à la pire lie communiste et envieuse que la Gauloisie a trop généreusement nourrie, ceux dont la commissure des lèvres se charge de bile à l’idée qu’on se passera très bien d’eux et de leurs frustrations de jaloux maladifs pour relever l’édifice !
 
D’autre part, cela prouve amplement que pour les événements, les monuments et les réalisations exceptionnelles, on sait trouver des moyens financiers, a contrario des lubies et autres stupidités poussées par nos élus.
Quelque part, ceci est plutôt rassurant sur le bon sens moyen de mes compatriotes.
Ça l’est nettement moins sur la lucidité de ces élus qui poussent, insistent et se battent pour avoir leur gare et leur TGV sans passagers, leurs transports en commun vides, leur sortie d’autoroute sans automobiliste, leurs zones d’activités sans activité, leur aéroport-bis, et demain une extension du port de Bastia, etc.
 
Enfin, difficile de ne pas noter que plusieurs centaines de millions proviendront donc directement de capitalistes richissimes. Comme quoi l’État ferait nettement mieux de les laisser tranquilles plutôt que « faire payer les riches » qui, finalement, savent bien où et quand mettre leur argent, y compris pour le « bien commun », et en tout cas nettement mieux que l’État qui, dans tout cela, a encore une fois démontré toute la nullité de sa gestion : Des armées de fonctionnaires au ministère et pas un seul pour aller pisser et éteindre les flammes, des années à repousser à plus tard les réparations nécessaires, les faire au dernier moment, et réussir le pari incongru de provoquer le chaos total.
La belle illustration de ses capacités réelles de nuisance que voilà !
 
« En 2024, Paris accueillera le monde à l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques. Il nous faut tout faire pour que la cathédrale Notre-Dame ait retrouvé toute sa splendeur à cette occasion », avait anticipé la maire de Paris « Sœur-Âne ».
A-t-elle les moyens de cette ambition ?
Naturellement, puisque c’est vous qui payez pour son seul « bon plaisir » !
Et pour couronner le tout, l’ancien ministre de la Culture « J’y-Pet-Aile-à-lagon », père de la loi sur le mécénat de 2003 mais aussi directeur général de la collection Pinault, a proposé mardi de classer Notre-Dame comme « Trésor national » afin que les dons puissent bénéficier d’une réduction d’impôts de 90 % !
La députée « Républicaine-démocrate » de Paris « Bibi-Cutter » a suivi cette recommandation en déposant une proposition de loi.
Bé oui, à l’heure actuelle, les particuliers peuvent seulement bénéficier d’une réduction d’impôt de 66 % du montant de leur don dans la limite de 20 % de leur revenu imposable.
Au-delà des niches fiscales existantes, l’avantage peut être porté à 90 % de la dépense lorsqu’un bien est classé « Trésor national », sachant que la réduction d’impôt ne peut être supérieure à 50 % de l’impôt dû par une entreprise.
C’est justement la proposition de l’ex-sinistre : « Il faudrait ouvrir ce dispositif exceptionnel, de manière solennelle, à Notre-Dame de Paris. Il suffirait que le gouvernement dépose un projet de loi et que cela soit soumis en urgence à l’Assemblée nationale et au Sénat, je doute qu’il n’y ait pas une unanimité nationale sur le sujet ».
Voilà qui ne coûtera plus grand-chose à son boss, « Pine-Haut »…
Et puis ils s’en foutent : Ce n’est pas eux qui payent leurs incuries, c’est vous puisque les « niches » de quelques-uns sont supportées finalement par tous les autres !
 
Justement, le crédit d’impôt ne fait pas l’unanimité pour autant, en particulier pour le rapporteur général du budget et son prédécesseur « Gilou-Carré ». Les deux détracteurs des effets fiscaux du mécénat ont rappelé que « les 300 millions de dons annoncés par de grandes familles à la tête d’importantes fondations vont se traduire par 180 millions d’euros de réductions d’impôts à prélever sur les contribuables ».
C’est autant de moins que n’auront pas les « ultra-pôvres » dans leur assiette des « restaus-du-cœur » l’hiver prochain.
 
« Non mais, allo quoi ? »
Entre Ingrid, « Jupiter » et tous ces fats qui constatent les dégâts, il n’y en a pas un pour faire son mea culpa ?
Toutes ces carences, ces dénis de réalité de « sachants », ces aveuglements accumulés au fil des années qui aboutissent très normalement aux catastrophes annoncées par quelques spécialistes budgétivores, ça n’émeut plus personne dans ce pays ?
Tout juste Ingrid… et pour combien de temps avant qu’elle ne lâche ?
Ah, elle a déjà renoncé, c’est vrai…
Le plus urgent serait-il d’accueillir les JO avec un cathédrale rénovée (et on se dit « soce & populaire ») et laisser pour compte et à leur impitoyable sort de « laisser pour compte » sur les bords des trottoirs tous les « sans-dents » de mon pays ?
 
Une semaine décidément exceptionnelle qui me laisse « pantois ».
Je ne sais pas si je dois me réjouir de l’avoir vécue : J’ai honte de laisser à « ma nichée » un tel héritage d’hérésies tous azimuts.

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