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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 21 janvier 2019

Réponses – I

Ne faisons pas la « fine-bouche ».
 
« Jupiter » pose des questions. C’est qu’il ne sait même plus comment il s’appelle et encore moins ce qu’il a à faire…
Il faut dire qu’en faisant un inventaire des sujets abordés (sans même ne rien dire de ceux qui ne sont pas abordés…) on se prend de vertige : Le gars est complètement perdu.
Normal qu’il eût été « lâché » il y a encore peu.
 
Et le moins qu’on puisse faire, pour nous-mêmes, c’est de l’aider, lui et ses « sachants », à reprendre le contrôle de la route à tracer pour améliorer le sort de leurs « manants »…
Je vais tenter d’apporter quelques réponses, qui devraient tomber sous le sens.
 
« Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l’action publique. L’impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C’est lui qui finance nos services publics. »
Voilà une lapalissade bienvenue : Sans l’impôt, il n’y aurait autorité publique. C’est le citoyen qui y consent pour se décharger de la tâche de défendre l’ordre-public (et ses intérêts particuliers bien compris).
 
– Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ?
Une question difficile : L’efficacité, c’est de réduire le nombre de redevables et de bien les cerner. Pour ça, il faudrait augmenter la fiscalité indirecte là où les Services sont « efficaces » et « performants » à ramasser le « pognons des autres ».
Puisque chaque « redevables » se fait, de fait, receveur/percepteur. Globalement, ils ne sont qu’une poignée de millions, plus faciles à contrôler que l’immense majorité éparse des contribuables.
« Juste », c’est l’impôt direct. Tout simplement parce que c’est « à la source » que l’on peut taxer les futures dépenses du contribuable, celles qui supportent la fiscalité indirecte.
Déjà que ça revient à taxer deux fois la même chose…
 
Le prélèvement à la source (la CSG, la CRDS, les prélèvements sociaux et les charges sociales) est une bonne solution « technique ». Sauf que celui mis en place récemment est une « usine à gaz » (chacun son taux) qui retombe en « pluie fine » sur les dos des « parties versantes » (employeurs, notaires, caisses de retraite, banquiers, etc.).
Reste le délicat problème de l’IR : C’est un des rares impôts à être progressif au nom de la « justice fiscale ».
Erreur ! Plus de la moitié des citoyens ne le paye pas et seulement 20 % de ceux qui le payent supportent 80 % des encaissements du Trésor à ce titre…
Une aberration !
Mais si calme les foules envieuses, pourquoi pas, sauf à prendre son baluchon et à se « tirer ailleurs »…
 
Je note pour ma part que l’IS (et les CSG, CRDS, prélèvements sociaux, TVA et « indirects ») sont des « flat-tax », à taux unique (ou presque).
Et contrairement à ce que l’on croit d’habitude, les charges sociales sont en fait à taux dégressif, sauf pour une part des retraites (où est retaxée la part dépassant 3 % de 19 % des cotisations, notamment sur les salaires dépassant 8 fois le plafond de la SS). En effet, si les taux apparaissent « fixes », ce n’est vrai que pour l’assurance-maladie. Les autres sont « plafonnées » : Les plafonds de la SS !
Au-delà de 8 fois ledit plafond, il n’y a plus de cotisation que « maladie »…
 
Par ailleurs, un tout récent sondage montre bien que 84 % de la population estime que le barème progressif est absurde : 53 % d’entre eux, à la réponse posée de savoir quel impôt devrait être dû par une personne qui gagne trois fois plus, répondent « trois fois plus » et 31 % répondent « deux fois plus »…
Autrement dit, ils optent de facto et sans qu’on leur demande rien, pour un régime « dégressif » pour presqu’un tiers et plus de la moitié pour une « flat-tax » !
Voilà où on est à force d’accumuler les turpitudes fiscales, année après année…
 
Ma proposition (simple et de bon sens), si jamais elle devait être retenue, tiendrait dans la facilité d’un « bouclier fiscal », sans pour autant remettre en cause le délicat équilibre (à améliorer, bien évidement) entre « directs & indirects » : N’importe quoi, en commençant par les « indirects », ne doit pas dépasser 50 % du prix payé par l’utilisateur final (le consommateur, celui qui va détruire le produit ou le service acheté), quitte par la suite à abaisser ce plafond : Mais on n’en est pas encore là, loin s’en faut !
Et l’évolution souhaitable est de basculer tous les impôts et taxes, directs et indirects, dans ce bouclier au fil du temps.
 
Quant à la retenue à la source, elle devrait être étendue et revue « à la simplicité » : Elle existe déjà à la fois pour les salaires payés par des non-redevables à la TVA et pour les versements fait à l’étranger : Celui-là, on n’y touche pas, parce que ce serait remettre en cause les traités fiscaux internationaux, sous réserve de réciprocité (aujourd’hui acquise).
Dans la « taxe sur les salaires », le taux de base est unique à démultiplicateur, car l’assiette augmente au fil du salaire versé : Les taux doublent, puis triplent, voir quadruplent au fil des niveaux d’assiette, ce qui revient assez aisément à rendre progressive cette taxe (si les « gôchistes » estiment encore qu’il s’agit de « justice fiscale »).
Et pour amener tranquillement ces deux mesures de simplicité à se rejoindre, il suffirait de décider que l’un (la retenue à la source) devient « libératoire » de tout autre impôt direct, et le second (le « bouclier fiscal ») serait « remboursé » sur les excès des indirects qui n’auraient pas été « rabotés », sur justificatif de « tout », même les prélèvements parafiscaux (et les tickets de caisse sur les farines et alcools… et tous les autres en faisant foi) : Ca apprendra tout le monde à compter et à mesurer « l’effort fiscal » qu’on demande au pays.
Au contribuable de s’en saisir ou non…
 
– Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?
Simple (et de bon sens) : Les droits et taxes sur tous les produits indispensables !
C’est l’alimentation, les boissons en tout genre (j’insiste pour les sodas – ces poisons pour diabétiques pathétiques comme moâ – et les alcools, vins, poirées cidres, etc.), les médicaments, analyses médicales, prothèses et orthèses (ça tombe là aussi sous le sens…), mais tout autant le « minimum vital » : Énergie (électricité, gasoil, chauffage urbain, gaz, etc.), frais de compte bancaire, téléphone et réseaux qui sont devenus « indispensables », puisque même les taxes et impôts sont obligatoirement déclarables et payables en ligne…
Sans ça, si tu veux payer, tu payes pour payer : Absurde s’il en est !
 
– Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ?
Tout aussi simple (et de bon sens) : Tous les comités Théodule que finance bêtement l’impôt (en commençant par les 2 millions/an d’euros versés pour le comité sur les débats publics qui a démontré sa parfaite inutilité…).
Mais pas seulement : Il me semble assez aisé de mesurer l’efficacité de telle ou telle disposition (je pense notamment à quantité de « niches-fiscales » qui ne servent qu’à une poignée de contribuables sans impact véritable sur l’économie du pays en général : On sait faire !) et toutes les dépenses qui ne sont pas indispensables.
 
L’indispensable, ce sont les domaines régaliens : Sécurité (intérieure et extérieure, même si on peut discuter des Opérations en territoire étranger), Justice, Diplomatie, Représentation nationale et locale (même si on peut discuter de l’impact inflationniste du « mille-feuille » administratif que ça engendre) et « les postes et télécommunications » (pour cause de principe d’égalité des territoires).
 
Probablement que tout ce qui touche à l’éducation nationale, les formations supérieures et à la formation professionnelle font partie de ce domaine régalien afin de permettre une équitable répartition des moyens, même dans « les territoires » isolés et favoriser sinon garantir un accès gratuit au savoir.
Pour l’heure, c’est Wikipédia et quelques Mooc qui remplissent ce rôle, c’est dire qu’il y a du boulot à fournir.
Que tous les enseignants soient payés par la puissance publique me convient très bien…
Il n’empêche qu’on doit pouvoir améliorer le fonctionnement en mesurant là encore, les « performances » : S’il me paraît utile de former des pâtissiers, des plombiers, des infirmières, des « pisseurs de ligne » et je ne sais pas quoi d’autres encore, les « formations Windows » ou pour les Masters qui ne réunissent qu’une poignée d’étudiants, on doit pouvoir les regrouper et faire des économies sans pour autant réduire le niveau de transmission des savoirs…
 
Les principales économies à faire restent tout de même et très probablement dans les dépenses d’investissement avec une forte proportion dans l’aménagement du territoire.
Si je comprends bien que le « Das Groβ Paris » coûtera un « pognon de dingue » pour accueillir décemment les JO de 2024, je ne vois pas très bien l’utilité de continuer à faire des ronds-points (le plus grand nombre de la planète) à chaque carrefour…
Cela fait 64 ans qu’on « reconstruit » le pays dévasté par la seconde-guerre mondiale : Il y a forcément un moment où on devrait « Stop ! »…
D’autant qu’il faut entretenir tout ça, ce qui coûte cher.
Je ne donne qu’un seul exemple : Le réseau ferré ! Le tout TGV (qui est probablement une bonne chose) a été fait au détriment de l’entretien des réseaux primaires et secondaires : Rappelez-vous seulement du drame de Brétigny…
Et encore, je suppose que ce n’est pas de la responsabilité de l’État, mais celle de l’exploitant.
 
Enfin, il est un autre gisement indécent : L’État prend en charge, pour se mêler de tout avec tant d’incompétence avérée, de ce qui relève de « l’assurance » (hors lui-même : Il est son « auto-assureur »). Notamment sociale, de l’emploi et j’en passe.
Soit les partenaires sociaux sont assez grands et responsables pour équilibrer les comptes (comme en Alsace), soit on fait comme les Portugais (et encore ailleurs) : On les déleste de leurs prérogatives et on organise une « solidarité » nationale (en attendant qu’elle soit européenne…).
Pour l’heure, on garde des doublons coûteux de plusieurs administrations qui se marchent sur les pieds de façon parfaitement inutile…
 
Mais il y a probablement d’autres pistes à explorer, notamment, autour des « doublons » de compétences partagées entre État et démembrements de l’État en régions et territoires…
Je ne prends qu’un exemple (auquel il va être mis fin incessamment sous peu) : À quoi sert-il, en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », d’avoir deux départements, avec deux administrations locales (préfecture, sous-préfecture et services rattachés) et un préfet de région pour 300.000 habitants ?
Et autant d’assemblées d’élus à indemniser tout en finançant leurs secrétariats…
Expliquez-moi, SVP.
 
– Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ?
Naturellement !
Sauf si ceux qui en bénéficient directement se cotisent dans une cagnotte spéciale et dédiée pour les conserver : C’est leur liberté, tu diou !
Je ne vois pas l’intérêt d’avoir une maternité, un scanner, ou une pharmacie dans chaque canton quand on choisit volontairement d’y faire des bébés exilés loin des centres urbains…
C’est un choix à respecter, à condition que ce ne soit pas un choix imposé par quelques minorités qui veulent garder leur bureau de poste à l’immense majorité du reste de la population…
Et il en va de même pour les ékoles communales : Les chères « têtes-blondes » sont habituées, en milieu rural, à attendre le car de ramassage scolaire à « pas d’heure » aux aurores et de rentrer de la même façon à la maison, partout dans le monde…
Question de bon sens là encore.
Et la liste doit être longue si « l’étude-terrain » est correctement bien faite. Et pour ça, il ne sert strictement à rien de s’appuyer sur les élus locaux – c’est même contre-productif –, qui en voudront toujours plus pour rester attractifs : Il suffit de prendre sa bagnole et de faire un tour dans les campagnes et de se demander pourquoi telle agence bancaire a fermé subrepticement (faute de client) ou que tel bâtiment reste en jachère en centre-ville.
Le déclin, il faut y penser avant qu’il ne vous rattrape, après, c’est comme la « pôvreté », on a toujours du mal à s’en sortir…
 
– À l'inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?
Personnellement, je n’en vois pas, sauf à améliorer les réseaux…
On en a déjà assez comme ça et qui coûtent un bras (quand ce n’est pas aussi une jambe…).
Même si je verrais bien de soutenir les réseaux de soins à domicile – pour éviter de mobiliser la fonction hospitalière – pour les vieux seniors, les ménages en difficultés et les handicapés.
Mais c’est aussi une question de « vivre ensemble » et ça peut s’organiser autour du bénévolat.
 
– Comment mieux organiser notre pacte social ?
De quoi parle-t-on ? Du « vivre ensemble » ou de la « solidarité sociale » ?
Pour l’un, c’est simple : Tu respectes la loi commune ou tu dégages. Prison, exil, au choix. Les « nuisibles » n’ont pas de place dans « mon » univers !
La solidarité ? Mais elle est organisée autour des « assurances sociales ». Et on peut l’améliorer à coûts constants.
Si les gens en veulent plus, eh bien ils payent plus et sans râler.
 
– Quels objectifs définir en priorité ?
« Ma » priorité, c’est de rendre les gens heureux de vivre en « Gauloisie-magnifique » : C’est le plus beau pays du monde et c’est justement le mien, celui que j’aime tant (… et qui me le rend si mal !).
Que les enfants puissent jouer, se chamailler, rire, apprendre, préparer leur avenir : Ils sont l’avenir et c’est leur liberté (qu’il nous faut préserver et entretenir) !
C’est un exilé qui vous le dit, parti « loin » pour éviter la situation de « démocrature » qui existe dans ce pays-laà.
Bon, je me suis trompé : Je pensais que la « peste-blonde » aurait eu le fauteuil de « Jupiter » en ses lieux et places.
Voire un autre extrémiste comme « Mes-Luches » et « Cléclé-haute-teint ».
Pas de bol, on a eu un « agent des puissances financières » au pouvoir.
Ce n’est guère mieux, mais au moins, après presque deux ans de « diktats » et d’oukases tous azimuts, il se reconnaît enfin « limité » et en appelle à formuler des propositions.
C’est mieux que d’embastiller tout le monde avec un régime « autoritaire ».
D’ailleurs, je fais l’effort de lui répondre, « sans haine ni violence ».
 
C’est un « premier jet », à l’improviste.
On verra la suite dans un billet futur !

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