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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 juillet 2017

Quelques vérités incontournables


Et rigolatoires !

« – L’alcool tue lentement.
– Et alors ? Ça tombe bien, je ne suis pas pressé ! »

« – Toi, tu changes d’idée comme de chemise.
– Mais oui, c’est une question de propreté ! »

« – Papa, combien ça coûte pour se marier ?
– Je ne le sais pas. Ça fait vingt ans et je paie encore ! »

Deux copines au resto.
« – Mais ta bague de mariage n’est pas dans le bon doigt ?
– Oui. C’est parce que ce n’est pas le bon mari. »

Jean-Marc et Jean-Paul dans un bar.
« – Le mariage, ce n’est pas la mer à boire…
– Non. C’est la belle-mère à avaler ! »

Définitions de la femme d’après Jean-Marc :

Définition philosophique : « La femme est un sujet sur lequel l’homme aime s’étendre. »

Définition zoologique : « La femme est un animal sans poil dont la peau est très recherchée. »

Définition géométrique : « La femme est un ensemble de courbes qui fait lever une ligne droite. »

Définition géographique : « La femme est comme le globe terrestre ! Entre 15 et 25 ans elle est comme l’Afrique, chaude, à moitié vierge et à moitié inexplorée.
Entre 25 et 35 ans elle est comme l’Asie, exotique et mystérieuse.
Entre 35 et 45 ans elle est comme l’Amérique : Déjà bien connue, mais encore belle et pleine de ressources.
Entre 45 et 55 ans elle est comme l’Europe, traversée de long en large, et fatiguée, mais vous pouvez encore trouver des endroits intéressants.
Entre 55 et 65 ans elle est comme l’Australie. Tout le monde sait où elle se trouve, mais personne ne pense réellement à y aller.

« – Quelle est la différence entre les seins d’une femme et un train électrique ?
– Aucune. Les deux sont faits pour les enfants et c’est papa qui joue avec. »

« – Pourquoi les femmes n’ont pas de pénis ?
– Parce qu’elles réfléchissent avec leur tête… »

La scène se passe dans un restaurant du quartier des banques.
Soudain, un client se lève, et dit :
« – J’ai perdu mon porte-monnaie, j’offre 10 € à celui qui le trouve !
– J’en offre 15 € ! » dit un banquier.

Un missionnaire est capturé par les cannibales.
Il est déjà dans un immense chaudron quand le chef arrive et s’adresse à lui dans un français impeccable.
Étonné, l’homme de foi entame une discussion dans la langue de Voltaire (Molière, Prévert, Racine et quelques autres…)
« – J’ai fait mes études au lycée en France.
– Tu as été au Lycée, et tu manges encore tes semblables ?
– Oui, mais maintenant on utilise des couteaux et fourchettes ! »

Un prêtre rentre chez lui, tard le soir.
Il se fait aborder par une putain.
« – Alors coco, tu viens avec moi. Je suis très cochonne.
– Pauvre petite, j’ai trois bonnes raisons pour refuser. La première c’est que je n’ai pas d’argent, la seconde c’est que Dieu…
– Hé ! Ho ! Te fatigues pas le vieux, la première raison suffit. »

Le même prêchant pendant la semaine de Pâques.
Il brandit un gros crucifix et, tout en le frappant sur le rebord de sa chaire, il accuse ses fidèles d’être responsables des troubles de Jésus.
« C’est vous qui l’avez couronné d’épines ! »
Et vlan ! Un coup de crucifix sur rebord !
« C’est vous qui l’avez flagellé ! »
Et vlan, avec le crucifix !
« C’est vous qui l’avez cloué sur la croix ! »
Et re-vlan, un grand coup avec le crucifix…
Jean-Marc, un peu bourré en a assez : Tous ces bruits de choc résonnent sous ses cheveux…
« C’est ça, casses-lui la gueule, et tu diras que c’est notre faute ! »

Jean-Marc va faire du parachutisme pour la première fois.
Après avoir écouté l’instructeur, il est prêt à y aller et, enthousiasmé, il saute de l’avion.
Approximativement cinq secondes plus tard, il tire la poignée d’ouverture.
Rien ne se passe. Il essaye encore. Encore. RIEN !
La panique monte mais il pense à son parachute de secours.
Il tire le cordon.
RIEN !
Il commence à tirer les deux cordons frénétiquement, d’un coup sec mais encore sans effet.
Soudainement, il regarde en bas et ne peut pas en croire ses yeux.
Un autre homme était dans les airs avec lui, mais le type montait !
Juste au moment où l’autre type passe, Jean-Marc lui hurle :
« Hé, est-ce que vous connaissez quelque chose au parachutisme ? »
L’autre type lui crie en réponse :
« Non ! Et vous, est-ce que vous connaissez quelque chose au sujet des poêles au gaz ? »

C’est Jean-Marc qui donne des conseils à son fils.
« – Mon gars, il ne faut jamais épouser une standardiste !
– Ah bon ? Et pourquoi pas ? » demande le fils.
« – Car une standardiste te dira sans cesse que tes trois minutes sont terminées et qu’elle va te couper.
– Ah, je comprends !
– Et puis, mon gars, il ne faut jamais épouser une infirmière !
– Pourquoi, ça ?
– Car elle te dira sans cesse, « Il faudra te stériliser ! Il faudra te stériliser ! »
– Ah oui, je comprends ! Mais, dis, Papa, avec qui pourrais-je bien me marier ?
– Il faudra que tu te trouves une institutrice !
– Pourquoi ?
– Car elle te dira sans cesse « Tu me referas ça, jeune homme, jusqu’à ce que ça soit parfait ! » »

C’est une fille très bien roulée qui tire le diable par la queue.
Elle se confie à une copine qui lui répond :
« Oui. Je comprends. Mais pourquoi « juste » le diable ? »

Jean-Marc passe son examen de sociologie à l’Université.
Il est terrifié par il a fêté toute l’année avec les sous de papa.
En plus, il paraît que le prof examinateur est un spécialiste des colles.
« – Alors, jeune homme, est-ce que la criminalité augmente ou diminue depuis la nouvelle politique sociale du gouvernement ?
– Heu… (Chaleurs) Elle diminue. Oui, oui, c’est ça. Elle diminue car du temps d’Abel et de Caïn, il y avait 50 % d’assassins. »

Deux frères toxicomanes, des vraies pestes, emmerdent tout le village avec leurs folies.
Par contre, ils assistent à la messe tous les dimanches, et donnent généreusement à la quête en espérant se racheter ainsi.
Un beau jour, un des deux meurt.
La veille des funérailles, le survivant visite le curé.
« – Je vais vous faire un chèque d’un beau montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher, mais à une condition…
– Laquelle ?
– Il faudra dire, pendant l’office, que mon frère était un saint. »
Après réflexion : « Hummmm… D’accord. »
Et le curé encaisse le chèque.
Le lendemain, au cours de la cérémonie, le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
« Cet homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »
Le curé parle comme ça pendant plusieurs minutes…
« Mais, en conclusion, comparé à son frère, cet homme était un saint ! Que Dieu ait son âme ! »

Marius et Olive se prélassent sur un quai de Marseille.
Ils apprennent qu’un concours de nage se tient sur la Seine à Paris.
Olive dit à Marius :
« Un homme comme toi, tu devrais y participer ! »
Marius prend le train pour Paris et s’inscrit au concours.
Au signal du départ, Marius part en trombe ! Il est loin devant les autres, mais au fur et à mesure que la course progresse, il perd du terrain et finit le dernier !
Olive s’offusque et se demande qu’est-ce qui est arrivé ?
« – Au départ, j’étais en forme, je m’en allais à grandes brasses. Je regardais sur les bords de la Seine, alors j’ai vu toutes ces belles femmes en costume de bain, et tout à coup… J’ai ancré au fond.
– Mais, tu n’avais qu’à nager sur le dos !
– J’y ai bien pensé, mais il y avait les ponts ! »

Un avion décolle d’Orly et après avoir atteint son altitude de croisière, le pilote fait son annonce :
« Mesdames et Messieurs, c’est votre capitaine (Haddock) qui vous parle…
Bienvenue sur le vol 144 à destination de New-York. Le ciel est dégagé, les conditions météo sont optimales, nous devrions avoir un vol particulièrement agréable… Oh ! Non ! Non ! Nooon ! » hurle-t-il désespéré…
Puis suit un long silence plutôt inquiétant.
Le commandant de bord revient finalement au micro et reprend :
« Je suis désolé de vous avoir fait peur mais alors que je vous parlais, le chef de cabine m’a apporté une tasse de café, et l’a renversée sur moi.
Vous devriez voir l’état dans lequel est ma chemise ! »
Alors Jean-Marc, un passager, depuis le fond de l’appareil, s’écrie :
« Ça, ce n’est rien ! Avec la trouille qu’il nous a faite, il devrait voir l’état dans lequel est MON PANTALON ! »

Jean-Marc à Jean-Paul :
« – Tu sais ce que dis une femme devant un gros zizi ?
– Non.
– Moi je sais ! »

Sans rancune et bon week-end à toutes et tous !

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