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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 31 octobre 2015

Nouvelles du cosmos…

Un astéroïde va « frôler » la Terre pour Halloween !

Alors que la terre tremble à en déplacer des montagnes en « islamie-diverse », c’est grand florilège en ce moment dans les cieux : 
 
1 – Son doux nom est « 2015 TB145 » et il mesure environ 300 à 450 mètres de diamètre, selon les estimations.
C'est 28 fois la taille du météore de Tcheliabinsk qui a pénétré l'atmosphère au-dessus de l'Oural, en Russie, en février 2013…
Et a fini en lumière et poussière dans l’atmosphère.
« 2015 TB145 » va aussi très vite, une vitesse est « inhabituellement élevée », de 35 km/s, indique la Nasa.
Quand la Terre tourne sur elle-même à environ 450 m/s à l’équateur…
 
Il va passer à quelque 490.000 km de nous, soit 1,3 distance lunaire.
C'est la plus proche « rencontre » de ce type depuis 2006 : Les autres astéroïdes listés par ce centre s'approchent très rarement aussi près.
 
Rassurez-vous « aucun astéroïde ne représente un danger pour la Terre », qu’ils en disaient à l'agence américaine cet été, alors qu'Internet pullulait de rumeurs sur un « astéroïde-tueur » qui se profilerait pour septembre 2015, à proximité de l'éclipse totale de la Super Lune…
Or, la Nasa ne connaissait pas l'existence de « 2015 TB145 » à l'époque de ce communiqué rassurant : L'astéroïde d'Halloween n'a été découvert que le 10 octobre dernier.
 
C'est le télescope Pan-STARRS 1 (Panoramic Survey Telescope & Rapid Response System) qui l'a trouvé, à Hawaii. Sa tâche principale est de « repérer et traquer les astéroïdes et les comètes qui pourraient être dangereux pour notre planète », rappelle le site du Cnet.
Plus précisément, l'astéroïde a été observé pour la première le 10 Octobre 2015 à une magnitude apparente de 20 (pas lourd) à l'aide d'un télescope d’1,8 m d’ouverture, le télescope Ritchey-Chrétien.
 
Mais comment 2015 TB145 a-t-il pu échapper à son œil de lynx… et à tous les scientifiques qui travaillent les yeux rivés au ciel ?
La Nasa n'a qu'une explication : Son orbite est « excentrique ».
Rappelons que la Nasa et les autres agences spatiales ne savent pas encore dévier un astéroïde de sa trajectoire.
Plusieurs missions, impliquant l'agence américaine et sa cousine européenne (ESA), prévoient de mieux étudier les astéroïdes et même d'en capturer un pour le placer en orbite autour de la Lune… mais il faudra attendre les années 2020 pour cela.
 
S'il n'est donc pas plus dangereux, 2015 TB145 nous offrira-t-il pour autant du grand spectacle ?
C'est surtout en Amérique du Nord, avant le lever du soleil le 31 octobre, qu'il sera visible… mais pas à l'œil nu. Trop proche de la Lune, alors qu'il passe à 280.000 km de notre satellite, mais aussi trop proche du Soleil, l'astéroïde devrait être difficilement observable avec de petits télescopes.
 
Les scientifiques, eux, se frottent déjà les mains, notamment sur le continent américain où les télescopes situés en Californie (Goldstone Radar), en Virginie occidentale (Green Bank) et à Puerto Rico (Arecibo Radio-Telescope) vont traquer 2015 TB145. D'autant que l'objet « pourrait être proche d'une comète, par nature », glisse la Nasa, encore dans le flou sur ce point.
 
Il s'agit d'une répétition générale grandeur nature avant le prochain rendez-vous avec un astéroïde aussi proche : « 1999 AN10 » qui passera à 1 distance lunaire de la Terre en août 2027… avant de peut-être se rapprocher plus dangereusement lors de son passage en 2044 ou … en 2046 ! Ce qui nous laisse quelques délais pour anticiper un éventuel impact.
 
Fiche technique : Découvert par Pan-Starrs (F51), le 10 Octobre 2015.
Désignations : « 2015 TB 145 », Catégorie de planète mineure Apollo NEO.
Caractéristiques orbitales : Incertitude paramètre 8, Observation d'arc : 11 jours.
Aphélie : 3,93 UA, Périhélie : 0,2947 UA, Demi-grand axe : 2,11 UA, excentricité : 0,861. Période orbitale : 3,07 ans, Inclination : 39,70 °.
Pour les astronomes amateurs : Longitude du nœud ascendant 37,74 °, Argument du périhélie 121,5 °.
Caractéristiques physiques : Dimensions 280-620 mètres, Magnitude absolue 19,8.
 
Pendant l'approche proche de la Terre l'astéroïde devrait atteindre environ magnitude apparente 10, mais la Lune sera un 80 % gibbeuse décroissante.
Au pic de la luminosité, l'astéroïde sera une cible difficile pour les astronomes amateurs avec de petits télescopes, mais il sera mieux vu dans l'hémisphère Nord. 
Le 31 Octobre 2015 au 11h00 UT (4 heures du mat’ sur la côte ouest des USA) cet astéroïde se situera dans la constellation du Taureau, à environ 9 degrés de la Lune.
Après une approche au plus près, l'astéroïde va rapidement devenir trop faible et trop près du Soleil dans le ciel pour être vu. 
 
2 – Pendant ce temps-là, la Nasa observe la destruction d'un système solaire par une « étoile de la mort ».
L’avant-veille de « Star War VII », c’est assez sympathique…
 
Ici en jeu, une simple force irrésistible pour le dernier acte d’un opéra cosmique.
À plus de 500 années-lumière de la Terre, une « étoile de la mort » est en train de cannibaliser une planète naine. « Un humain n’a jamais vu ça. Nous assistons à la destruction d’un système solaire », se réjouit l’astronome d’Harvard, Andrew Vanderburg.
 
Située dans la constellation de la Vierge, l’étoile « WD1145 + 017 » est une naine blanche en fin de vie. Après avoir consommé la majorité de son carburant lors d’une phase d’expansion, elle s’est effondrée sur elle-même, pour une taille comparable à celle de la Terre mais avec une densité un million de fois supérieure à celle du Soleil, de l’ordre une tonne par centimètre cube.
L’observation a été réalisée par le télescope Kepler.
 
L’étoile se trouve au voisinage d’une planète naine de la taille de Cérès d’environ 1.000 km de diamètre. Un peu plus de 800.000 km séparent les deux objets, soit deux fois la distance Terre-Lune. À chaque passage, toutes les quatre heures et demie, l’étoile cannibale arrache un petit bout de planète et l’aspire, provoquant une traînée de débris qui évoque celle d’une comète.
 
Cela va empirer. Bientôt, l’attraction gravitationnelle de la force de marée va disloquer le corps rocheux. D’ici un million d’années, il ne restera qu’un petit nuage de gaz, et du métal incorporé à la naine blanche.
 
Le destin de la Terre devrait être différent. Les scientifiques en débattent encore mais beaucoup estiment que notre planète sera avalée lors de la phase d’expansion du Soleil en géante rouge, dans environ 7 milliards d’années.
Mais les conditions seront invivables bien avant, sans doute d’ici un à deux milliards d’années, alors que le Soleil va doubler de tailler d’ici 500 millions d’années et doucement transformer notre planète en désert.
Si nous ne l’avons pas fait avant.
 
3 – La comète Lovejoy, un paradis pour moi : Du sucre pour stimuler mon pancréas et de l’alcool pour entretenir mon foie !
 
Nous avions pu l’admirer à l’œil nu pendant plus d’un mois. Après s’être dévoilée lors de son passage au plus près du Soleil et de la Terre en janvier 2015, la comète Lovejoy livre aujourd’hui quelques-uns de ses secrets.
Une équipe internationale, menée par des chercheurs gaulois de l’Observatoire de Paris, vient de mettre au jour la présence d’alcool et de sucre dans la comète. Une découverte détaillée dans une étude est parue avant-hier dans la revue Science Advances.
 
Grâce au radiotélescope de l’Institut de Radioastronomie millimétrique (IRAM), sorte de parabole géante de 30 mètres de diamètre située dans la Sierra Nevada près de Grenade (Espagne), les chercheurs ont pu sonder à distance l’atmosphère de la comète Lovejoy, qui recèle une multitude de molécules diverses.
Ce radiotélescope, équipé de puissants systèmes de détection, a permis aux chercheurs d’identifier vingt et une molécules.
 
« Parmi les molécules détectées, nous avons pour la première fois découvert la présence d’alcool éthylique (C2H5OH) et de glycolaldéhyde (CH2OHCHO), un sucre, dans la comète ».
Mais Lovejoy est cependant loin d’être comme une épicerie interstellaire. « Ce sont des molécules présentes à la base dans les glaces de la comète. À l’approche du soleil, ces glaces se subliment et les molécules qu’elles contiennent sont alors libérées dans l’atmosphère sous forme de gaz ».
Notez que je reste un amateur de glace « Rhum-raisin » à la crème-fraîche, quand je les fais moi-même…
Le glycoaldéhyde, identifié pour la première fois dans l’atmosphère d’une comète, est « le plus simple des sucres. Rien à voir avec le sucre de table ».
Faut vous dire que je n’attendais pas y découvrir des « fontaines de miel » non plus !
 
Découverte en août 2014 par l’astronome amateur australien Terry Lovejoy, la comète du même nom est issue du nuage d’Oort, un réservoir de comètes situé aux confins du système solaire, dans l’une de ses régions les plus froides.
Vestiges de la formation du système solaire il y a 4,5 milliards d’années, les comètes sont une source précieuse d’informations, et bien plus encore.
 
« Il y a 3,8 milliards d’années, la Terre n’avait pas encore d’océans lorsqu’elle a, avec d’autres planètes du système solaire, été bombardée par une pluie de comètes et d’astéroïdes ».
Composés en grande partie de glaces, ces corps célestes sont considérés par la communauté scientifique comme étant la source de l’eau sur Terre.
« Notre découverte met au jour la présence de molécules de plus en plus complexes dans les comètes. En plus d’avoir apporté l’eau sur Terre, elles ont certainement apporté sur notre planète des éléments qui ont facilité l’apparition d’autres molécules, bien plus complexes, comme l’ADN par exemple », indique-t-on généralement.
Les chercheurs, qui ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin, pourraient même, qui sait, découvrir un jour que les comètes sont à l’origine de la vie sur Terre.
 
4 – Et puis pour les passionnés de notre banlieue céleste immédiate, cette petite vidéo intéressante :
 
Un clip de 13 minutes, offert par www.operation-suricate.fr découverte grâce à nos amis animant ce site : http://www.ovni66.canalblog.com.
J’y ai laissé des remerciements de votre part !
 
Bonne lecture à vous toutes et tous !

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PS : Signalons également des molécules d'oxygène gazeux sur Tchouri : Mais là encore, pas de quoi y passer des vacances...

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