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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 22 octobre 2025

Si vous visitez ce blog, vous le savez : La Russie est en guerre.

Et elle intensifie sa guerre hybride contre nous.
 
J’avoue que j’en suis resté sur le kul que d’entendre suggérer par « Tagada-à-la-fraise-des-bois », ex-capitaine de pédalo dans le civil, « Gras-nul-lé » dans la tempête, que le récent cambriolage du Louvres, où la sécurité payée par le kontribuable sur ordre de « Jupiter » qui y aura mis les moyens (qu’il n’a pas, mais peu importe) serait une opération sous faux-drapeau d’une puissance étrangère pour venir saper les certitudes impériales de notre Président « troupe-au-sol »…
On y reviendra rapidement, parce que ça me paraît délirant : Bientôt, quand il y aura un accident d’automobile sur la chaussée, il faudra rechercher les responsabilités du côté de Moscou.
 
En revanche, ce qui est sûr, c’est qu’il ne se passe pas un jour sans que la Russie ne viole les frontières européennes ou ne lance des attaques hybrides, tout en menaçant d’un « conflit militaire » ouvert et saignant contre l’OTAN.
« L’Europe est sur la voie de l’escalade, les risques sont très élevés », clame haut et fort le « vice-sinistre » russe des Affaires étrangères soulignant que les tensions s’intensifient en raison de l’augmentation de l’aide au régime de Kiev et de la multiplication des exercices militaires « agressifs » de l’OTAN sur son flanc Est.
Lavrov en a marre de devoir faire tout lui-même : Il délègue son « vice-sinistre » ou envoie « Pet-skoff » faire le boulot depuis le Kremlin au nom du « big-boss ».
 
Selon Grushko (le vice), le fait que l’Europe soit « sur la voie de l’escalade » est démontré par « l’aide croissante que les pays occidentaux fournissent à l’Ukraine, y compris des armes de plus en plus meurtrières et à longue portée. Cela se reflète également dans la situation militaro-politique sur le flanc Est de l’OTAN, où le nombre d’exercices est en augmentation. La nature de ces exercices devient de plus en plus agressive ».
Il a même accusé l’OTAN de préparer un conflit contre la Russie, car les exercices simulent des opérations offensives, y compris des débarquements, et que les activités de reconnaissance aérienne sont en augmentation, tout comme la composante nucléaire de ces exercices : « Les bombardiers stratégiques américains volent le long de nos frontières. Il s’agit là d’un pas évident vers une confrontation militaire avec la Russie et, d’une manière générale, vers la préparation d’un conflit militaire avec la Russie. Si l’on considère la nature de l’activité militaire et de la planification qui y sont menées, cela est clair ».
En bref, ils ont « les nerfs »…
 
D’un autre côté, Moscou poursuit ainsi cette action de propagande principalement à l’intention des citoyens russes, en lançant des « accusations miroirs », reprochant à l’Europe sa guerre d’agression continue en Ukraine : Et ça a l’air de prendre…
Mes potes « ruskoffs » se sentent agressés et en danger…
 
En réalité, les « Teutons » et les « Polaks » parlent d’une « guerre hybride » lancée contre eux et, plus généralement, contre les pays du Vieux Continent. Même « Ursule-Là-Des-Lyres » a invité tout le monde à ne pas tomber dans le « piège » du tsar qui veut diviser l’Union.
« C’est la guerre. Aujourd’hui, la tâche la plus importante, la tâche la plus importante de tous les leaders d’opinion, est de faire prendre conscience, au plus profond de l’esprit et du cœur, à toute la communauté occidentale et à toute la communauté transatlantique qu’il y a une guerre. Une guerre non désirée, parfois étrange, d’un nouveau type, mais toujours une guerre. C’est notre guerre, et si l’Ukraine perd, cela signifie notre échec. Il est tout à fait évident que nous devons mettre fin à certaines illusions.
La première illusion était et reste qu’il n’y a pas de guerre. Certains d’entre nous aiment ces définitions, comme « agression à grande échelle », « incidents » ou « provocations ».
Non, c’est une guerre, une guerre d’un nouveau genre, très complexe, mais c’est une guerre. »
 
Et de poursuivre : « Le seul avantage de la Russie dans cette guerre est qu’elle est prête à se battre. Que le Kremlin est prêt à sacrifier ses soldats, prêt à faire souffrir sa population, et cela représente un avantage psychologique.
Mais l’Europe est beaucoup plus forte que la Russie. »
C’est une évidence : Nous faisons peur aux dirigeants de la « Sainte-Russie » (et même à mes « potes-locaux »), même sans rien faire d’agressifs car ils font peur à leur population pour qu’elle les laisse poursuivre leur fuite en avant… qui n’a jamais été décisive, au moins jusque-là…
Paradoxal et incompréhensible, sauf à se dire que c’est le symptôme d’une folie meurtrière d’un régime aux abois qui n’a plus que la peur qu’il inspire, à l’intérieur de ses frontières comme au-delà de celles-ci, pour se maintenir !
 
Le « Premier sinistre » polonais aura lancé un avertissement sévère : « … non seulement en raison de notre histoire, mais aussi de notre géographie… nous savons quelque chose des intentions et des plans russes. Nous savons que s’ils gagnent contre l’Ukraine, ce sera la fin de mon pays et de l’Europe à l’avenir, je n’ai aucun doute là-dessus. C’est pourquoi nous devons être aussi déterminés que Volodymyr Zelensky, son peuple et Maia Sandu, en Moldavie, et sa nation. »
Paroles, paroles ?
Non pas seulement : « C’est notre guerre, car la guerre en Ukraine n’est qu’une partie d’un projet sinistre qui réapparaît cycliquement dans le monde. L’objectif de ce projet politique est toujours le même : comment soumettre les peuples, comment priver les individus de leur liberté, comment faire triompher l’autoritarisme et le despotisme, la cruauté et la négation des droits de l’homme. » Et les exploiter jusqu’à ce que le dernier esclave en meure : Ces futurs « Maîtres du monde » exigerons même qu’on leur dise « merci », comme en Chine, au Laos ou au Cambodge après un séjour en camp de rééducation.
Là, c’est vrai, c’est une constante de l’Histoire depuis au moins l’antiquité, à croire que c’est génétique au genre humain : L’herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin et sa pouliche plus « chaleureuse » (comme dirait Brel, Jacques, pas les autres nuls) que sa Germaine à soi…
 
Le chancelier « Teuton » en rajoute : « Nous ne nous laisserons pas intimider et nous nous défendrons efficacement contre cette menace » évoquant les survols de drones en « Teutonnie-réunifiée » et dans d’autres pays de l’OTAN.
« Poux-tine » veut bouleverser l’ordre politique en Europe, a-t-il ajouté, et « c’est pourquoi nous soutenons l’Ukraine » en ajoutant que son pays défendra l’ordre politique des « sociétés ouvertes et libérales » en Europe.
J’en connais à qui ça ne plaira pas, comme programme. Et ils sont plus en plus nombreux à cracher sur leur Liberté gagnée pour eux par leurs ancêtres…
 
D’ailleurs, au cours du débat sur les deux motions de censure contre l’exécutif présentées par les « Patriotes » et la « Gauche » au Parlement européen, « Ursule-là » a accusé le président « Poux-tine » de vouloir affaiblir l’Union et c’est pourquoi il ne faut pas tomber dans le « piège » qu’il tend : « Le tsar ne cache pas son mépris pour notre Union et ne cache pas sa joie à affaiblir notre détermination et notre résilience. C’est un piège ! Nous ne pouvons tout simplement pas échouer : le message le plus fort que nous pouvons envoyer est celui de l’unité ».
Justement, les motions ont échoué mais elles reviendront, et le Hongrois va recevoir un criminel de guerre sur son territoire – comme l’avait fait « Trompe » en Alaska cet été – avant ses propres élections, faisant cavalier seul en UE pour assurer sa propre légitimité à asservir son pays contre la doxa européiste…
 
Le contrôle de la mer Baltique est ainsi devenue une route fondamentale pour les exportations de pétrole russe, où transitent plus de 60 % des livraisons effectuées par voie maritime avec les navires de la « flotte fantôme » et leur contrôle par la marine russe n’est plus seulement une question de sécurité, mais aussi d’importance économique : Une prochaine limitation de leur capacité à acheminer leur précieuse cargaison vers les ports des États qui violent les sanctions (dont beaucoup sont les mêmes Européens qui les ont imposées) représenterait une réduction considérable des profits du Kremlin, avec pour conséquence une indisponibilité des fonds destinés à financer la guerre.
C’est très logiquement pour ces raisons que l’agressivité de Moscou à l’égard des pays baltes et de l’Europe s’intensifie, jusqu’à la limite maximale pour rester en dessous du seuil d’un conflit ouvert.
Et outre les différentes violations de son espace aérien au cours des dernières semaines et les tentatives quotidiennes de franchissement illégal de la frontière polonaise avec la Biélorussie par des miliciens russes, la Pologne a révélé la présence dans ses eaux territoriales, près du port de Szczecin, d’un « navire fantôme » russe, qu’elle a sommé de quitter ses eaux territoriales.
Selon le ministère polak de l’Intérieur, le navire a été aperçu à seulement 300 mètres du gazoduc reliant la plate-forme offshore au continent.
 
Le Danish Defense Intelligence Service (DDIS), le service de renseignement extérieur et militaire du Danemark, a récemment de son côté émis un nouvel avertissement sévère : La Russie mène une « guerre hybride » de plus en plus agressive contre l’OTAN, caractérisée par des menaces, des visées radar (qui indiquent que des systèmes d’armes russes sont pointés vers des hélicoptères danois acquis comme cibles) et des « manœuvres de quasi-collision » – manœuvres de quasi-collision que les navires et les Mig russes effectuent en impliquant les forces navales et aériennes danoises, avec des changements réactifs de cap, de vitesse ou d’altitude conçus pour déclencher les systèmes d’alarme à bord et forcer les pilotes à effectuer des manœuvres brusques pour éviter les collisions.
Dans plusieurs cas où un accident a failli se produire, les navires russes ont navigué à grande vitesse et sur une trajectoire de collision, obligeant les équipages danois à effectuer des manœuvres d’évitement.
Les navires de guerre russes ont provoqué à plusieurs reprises des interférences et des perturbations des émissions radar et des signaux GPS, créant des risques d’accidents pour les hélicoptères et les navires militaires danois transitant dans les détroits stratégiquement importants entre la mer Baltique et la mer du Nord.
Un navire de guerre russe est même resté à l’ancre dans des zones proches des eaux territoriales danoises pendant plus d’une semaine, une manœuvre que les analystes du renseignement soupçonnent d’être liée aux efforts visant à protéger la navigation de la « flotte fantôme » de la Russie, les pétroliers qui contournent les sanctions occidentales.
 
L’évaluation des services de renseignement danois inscrit le comportement de Moscou dans une campagne prolongée de « coercition et de perturbation » : Intrusions informatiques, désinformation et politique militaire du risque calculé, conçue pour créer des tensions et le chaos afin de briser l’unité de l’OTAN, déjà sous pression en raison des politiques et de la posture militaire de l’administration « Trompe », ce candidat béni des dieux pour « Poux-tine ».
D’ailleurs, le timing coïncide avec les opérations de pression plus larges menées par la Russie contre les pays de l’ancienne Union soviétique et dans les régions baltiques et arctiques, soulignant un changement stratégique vers la guerre dans la « zone grise » qui, dans la doctrine militaire russe, précède les combats ouverts.
 
Pourquoi l’avertissement du Danemark est-il si important ? Parce qu’il s’ajoute à l’inquiétude croissante de l’Europe quant au fait que les tactiques hybrides de la Russie érodent la frontière entre la paix et le conflit, qui caractérise la guerre hybride moderne.
Avec les forces de l’OTAN en état d’alerte maximale, la mer Baltique est devenue un point critique où une erreur de calcul – ou d’intention – pourrait déclencher une crise plus large.
Les agences de renseignement estoniennes et danoises, qui ont participé à l’AFCEA TechNet Europe 2025 qui s’est tenu à Rome les 1er et 2 octobre derniers, avertissent que l’activité de la Russie en mer Baltique devient de plus en plus dangereuse et se transforme en une menace directe pour l’Europe.
 
Le Centre de renseignement des forces de défense estoniennes a publié un rapport décrivant la menace croissante que représente la « flotte fantôme » russe dans la mer Baltique : Il s’agit de pétroliers sans immatriculation claire et de navires de guerre qui se livrent à des provocations, à de l’espionnage et même à des actes de sabotage à proximité des territoires des pays de l’OTAN.
Un peu comme le navire espion « Yantar » – qui fait partie de l’unité secrète russe GUGI – Direction principale des recherches en eaux profondes, une structure qui s’occupe officiellement de recherche scientifique, mais qui en réalité mène des opérations militaires et d’espionnage pour le GRU (Direction principale du renseignement).
Le Yantar a passé trois mois dans les eaux européennes, naviguant près des côtes norvégiennes, passant par la Manche, traversant la mer d’Irlande pour se diriger vers le canal de Suez et la Méditerranée-Orientale.
Avec l’apparence et la configuration d’un navire civil, mais équipé de dispositifs sophistiqués pour intercepter des données et potentiellement placer des sondes et des explosifs, il a pu cartographier et surveiller les câbles sous-marins des mers européennes, essentiels pour les communications mondiales, l’approvisionnement énergétique et les communications militaires de l’OTAN.
 
On présume toutefois que malgré les menaces et les provocations constantes, la Fédération de Russie ne peut soutenir un conflit cinétique imminent contre l’Europe, sans ça se serait déjà fait. Et plus le temps passe, plus son potentiel est entamé, rongé par le front ukrainien…
Mais il faudrait expliquer aux citoyens européens qu’on ne peut pas lésiner sur la sécurité, et que la solidarité et l’unité de l’Union européenne, de l’OTAN et de toute la famille transatlantique sont des conditions indispensables non seulement pour survivre, mais aussi pour vaincre ceux qui attaqueraient.
Or, avec le retour de « Trompe », le meilleur allié de « Poux-tine » à la Maison Blanche, des fissures inquiétantes sont apparues au sein de cette communauté transatlantique, que le Kremlin tente d’exploiter et d’aggraver.
Résultat, au moins en « Gauloisie-décomposée », il n’y a plus de gouvernement qui gouverne vraiment sur du long terme, depuis juin 2024…
Et on se fait voler les bijoux de l’impératrice par une nuit pluvieuse…
 
Quant à « Trompe », il est toujours sceptique sur l’implication des États-Unis en Europe et a accusé les alliés de ne pas investir suffisamment dans leur propre défense.
Vers la fin de son premier mandat, « Trompe » avait pris des mesures pour retirer certaines troupes de « Teutonnie » et ces derniers mois, certains membres du Congrès ont exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que le Pentagone mette en œuvre le nouveau plan de réduction du nombre des effectifs en Europe, à un moment où la Russie se montre de plus en plus agressive.
C’est que la dernière fois qu’elles s’y sont installées, forcées et contraintes, ça avait coûté chaud au kontribuable « ricain » et en cadavres qui reposent au cimetière de Colleville.
 
Depuis, les messages de Washington sont ambigus. Après le sommet (des officiers généraux) de Quantico convoqué par le secrétaire à la Guerre, le Pentagone a rétrogradé le commandant suprême de l’armée de l’air en Europe au grade de général trois étoiles. Le président « Trompe » a nommé le lieutenant général Jason Hinds prochain commandant des forces aériennes « ricaines » en Europe-Afrique. Mais contrairement à tous les autres commandants permanents de l’USAFE depuis la fin des années 50, la nouvelle fonction de Hinds n’entraînera pas de promotion au grade de général quatre étoiles…
 
L’Europe, devenue « seconde zone d’intérêt », doit donc trouver une nouvelle unité dans sa politique étrangère et de défense, avec le Royaume-Uni, en excluant les États qui ne reconnaissent pas et entravent les valeurs démocratiques fondatrices de l’UE, tout en essayant de convaincre les « ricains » de s’engager davantage et durablement en Ukraine.
Elle doit aussi et d’abord démontrer que les Européens sont capables de mobiliser leurs opinions publiques, leurs gouvernements et l’ensemble de la communauté autour d’une politique efficace de défense, de sécurité et de dissuasion.
Si l’Ukraine n’a pas capitulé, si l’Ukraine continue de se battre, ces actes et paroles doivent également être comprises par les citoyens européens.
Ce qui est loin d’être le cas : Et c’est justement tous les effets de cette « guerre hybride » menée par Moscou…
 
Jusqu’à quand ?
Car clairement, ce que la diplomatie n’obtient pas par la paix et ses bénéfices, elle peut l’obtenir par la guerre. Mais si la guerre n’y parvient pas, alors, aveu de faiblesse, on sape l’adversaire sur ses propres fondements. Ce qui est assez facile pour abattre une démocratie, puisque par définition, dans ce type de régime politique, tout ce qui n’est pas interdit est permis.
D’où l’intensification de cette guerre hybride et « unilatérale » où il n’y a qu’un agresseur et un seul agressé qui se lie les mains derrière le dos et se handicape avec des moufles en plomb aux deux mains…
 
Au demeurant, ça n’empêche pas d’y voir plus clair quant aux faiblesses du pouvoir Russe.
Que j’en suis finalement vraiment navré pour mes « petits-kamarades » Popovs !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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