Pinailler…
« — Un pine ailleurs n’est pas forcément un
homme infidèle !
— Bien sûr… mais c’est
souvent un emmerdeur !
— C’est aussi parfois le
titulaire d’une pine aïllée !
— À cuisiner aux
petits-oignons, peut-être ? »
Plus tard, Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur
bière matinale avant d’aller bosser :
« — Le problème avec la jeunesse d’aujourd’hui, c’est que nous n’en faisons plus partie…
— Ah qui le dis-tu… »
Jean-Paul drague une belle femme et celle-ci engage la
conversation.
« — J’ai un faible pour les hommes qui ont beaucoup souffert dans la vie…
— Moi, j’ai été marié une
fois… »
Jean-Marc à Germaine :
« — Je t’ai déjà dit que tu cuisinais
bien ?
— Non jamais, chéri…
— Alors, pourquoi tu
continues ? »
Jean-Paul, devant une autre bière :
« — C’est drôle tout de même…
— Quoi donc ?
— À chaque fois que je me fais arrêter par un flic sur la route, il me demande ce que j’ai bu…
— En quoi c’est drôle ?
— Jamais aucun ne s’inquiète de savoir ce que j’ai mangé ! »
Jean-Paul persiste à draguer.
Mais cette fois-ci, c’est par texto :
« Si tu dors, envoie-moi tes rêves !
Si tu ris, envoie-moi ton sourire !
Si tu pleurs, envoie-moi tes larmes… »
Réponse :
« Je suis en train de faire caca.
Je t’envoie quoi ? »
Germaine croise Marie-Gabrielle :
« — Comment vas-tu, Marie-Gab ?
— Oh, je n’ai pas le moral…
— Et pourquoi ça ?
— Je viens de perdre mon mari…
— Jean-Claude ?
— Oui…
— Qu’est-ce qui s’est passé ?
— Je l’ai envoyé ramasser au fond du jardin des poireaux, des carottes et une ou deux pommes de terre pour faire la soupe.
— Et alors ?
— Ne le voyant pas revenir, je suis allée dans le potager et je l’ai retrouvé raide mort… Probablement un malaise cardiaque…
— Oui, il était cardiaque.
— J’ai appelé les secours, mais ils n’ont pas pu le sauver.
— Et alors, tu as fait quoi ?
— J’ai fait des pâtes… »
Jean-Paul à Jean-Marc, à table à la coupure méridienne, devant une
bière :
« — Moi, quand je conduis, je ne mets jamais mon clignotant…
— Même quand tu change de voie ou de direction ?
— Bien sûr…
— Mais tu es dangereux toi…
— Pas du tout : Je fais attention !
— Tout de même… Pourquoi tu ne préviens pas les autres usagers de la route de tes intentions ?
— Justement, pour garder mon jardin secret secret ! J’ai le droit d’en avoir un, non ?
Je n’ai pas envie que tout le monde sache où je vais !
— … ! »
Germaine raconte à Marie-Chantal sa première journée en salle de remise en
forme :
« J’étais véritable envoûtée par une machine !
Je suis bien restée 30 minutes devant cette nouvelle machine.
Il y avait des chips, des snickers, des M&M’s… »
Deux petits, dans la cour de leur école :
« — Mon père, il a un pénis !
— Ma mère aussi » raconte son copain. « Dans le tiroir de la table de chevet ! »
Jean-Marc à Jean-Paul, devant une bière vespérale sur le chemin du retour d’une
longue journée de travail harassante :
« — … Et elle me fait la gueule, longue comme ça, depuis
trois jours !
— Pour quelle raison ?
— Parce que l’autre soir, quand nous étions bourrés, je suis rentré pour pisser dans la baignoire : On avait trop bu de bière, tous les deux !
— Oh ! Ce n’est pourtant pas si terrible que ça, dis donc ! Je fais bien dans mon évier !
— Oui, je sais… Mais là, elle prenait son bain…
— … »
Un autre jour :
« — C’est quand même terrible…
— Quoi donc ?
— C’est quand tu rentres en prison pour vol de voiture et que tu en ressors pour bonne conduite…
— C’est l’ironie de certains destins… »
« — Le problème avec la jeunesse d’aujourd’hui, c’est que nous n’en faisons plus partie…
« — J’ai un faible pour les hommes qui ont beaucoup souffert dans la vie…
« — C’est drôle tout de même…
— À chaque fois que je me fais arrêter par un flic sur la route, il me demande ce que j’ai bu…
— En quoi c’est drôle ?
— Jamais aucun ne s’inquiète de savoir ce que j’ai mangé ! »
Mais cette fois-ci, c’est par texto :
« Si tu dors, envoie-moi tes rêves !
Si tu pleurs, envoie-moi tes larmes… »
« Je suis en train de faire caca.
« — Comment vas-tu, Marie-Gab ?
— Et pourquoi ça ?
— Je viens de perdre mon mari…
— Jean-Claude ?
— Oui…
— Qu’est-ce qui s’est passé ?
— Je l’ai envoyé ramasser au fond du jardin des poireaux, des carottes et une ou deux pommes de terre pour faire la soupe.
— Et alors ?
— Ne le voyant pas revenir, je suis allée dans le potager et je l’ai retrouvé raide mort… Probablement un malaise cardiaque…
— Oui, il était cardiaque.
— J’ai appelé les secours, mais ils n’ont pas pu le sauver.
— Et alors, tu as fait quoi ?
— J’ai fait des pâtes… »
« — Moi, quand je conduis, je ne mets jamais mon clignotant…
— Bien sûr…
— Mais tu es dangereux toi…
— Pas du tout : Je fais attention !
— Tout de même… Pourquoi tu ne préviens pas les autres usagers de la route de tes intentions ?
— Justement, pour garder mon jardin secret secret ! J’ai le droit d’en avoir un, non ?
Je n’ai pas envie que tout le monde sache où je vais !
— … ! »
« J’étais véritable envoûtée par une machine !
Il y avait des chips, des snickers, des M&M’s… »
« — Mon père, il a un pénis !
— Parce que l’autre soir, quand nous étions bourrés, je suis rentré pour pisser dans la baignoire : On avait trop bu de bière, tous les deux !
— Oh ! Ce n’est pourtant pas si terrible que ça, dis donc ! Je fais bien dans mon évier !
— Oui, je sais… Mais là, elle prenait son bain…
— … »
« — C’est quand même terrible…
— C’est quand tu rentres en prison pour vol de voiture et que tu en ressors pour bonne conduite…
— C’est l’ironie de certains destins… »
C’est l’histoire de Jean-Marc qui rentre chez lui complètement
bourré d’avoir accompagné Jean-Paul au bar.
Naturellement, il se fait engueuler par Germaine :
« — Espèce d’ivrogne ! C’est comme ça que tu claques l’argent du ménage !
— Tais-toi !
— Me taire ?
— Je suis déjà assez énervé comme ça !
— Et pourquoi donc tu es énervé ?
— Je suis énervé contre moi-même !
— Ah bon, quand même…
— Je bois pour t’oublier. Et là je te vois en double ! »
Parole de sage :
« N’ai pas honte de péter quand tu urines…
Il n’y a pas de pluie sans tonnerre ! »
Les aveux de Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Ce n’est pas facile d’être marié à une femme jalouse…
— Pourquoi ça ?
— L’autre fois, Germaine me téléphone pour me demander où je suis…
— Et alors ?
— Je lui réponds : ‘‘à l’église’’…
— Oh ? Ça t’arrive ?
— Non, mais tu sais ce qu’elle m’a répondu ?
— Non, je ne sais pas, je n’y étais pas…
— Passe-moi Jésus ! »
Elle était épuisée, debout jusqu’à 4 heures du matin avec son bébé dans
les bras qui n’arrêtais pas de brailler…
« Et tu crois que c’est raisonnable de garder éveillé un bébé aussi tard ? »
Jean-Marc :
« — Allo !!!
— Ne criez pas, je vous entends…
— Ma femme veut se jeter par la fenêtre !
— Vous vous trompez de numéro : Moi je suis menuisier, pas un service d’urgence !
— Mais je sais bien : Ma fenêtre ne s’ouvre pas… »
Jean-Michel, partageant une bière avec Jean-Marc et
Jean-Paul :
« — Moi, j’ai acheté une poupée gonflable usagée…
— Pour quoi faire ?
— Je préfère les femmes qui
ont de l’expérience… »
Jean-Marc, avec Jean-Paul, qui s’adresse à Jean-Michel :
« — Tiens, pour la peine, je vais te faire un tour de magie !
— Lequel ?
— Te faire oublier que tu es con…
— Mais je ne suis pas con !
— Tu vois, tu as déjà oublié ! »
Les trois mêmes, chacun devant une nouvelle tournée…
« — C’est mon psy qui est con…
— Tu vois un psy, toi ?
— Il en a besoin, non ?
— Et pourquoi tu dis que c’est un con ?
— Parce qu’il m’a demandé s’il m’arrivait d’entendre des voix sans voir la personne qui me parle…
— Et ?
— Je lui ai répondu que oui, tous les jours et même plusieurs fois par jour…
— Ah oui… tout de même !
— Bé à vous aussi, figurez-vous. Il m’a demandé quand habituellement…
Je lui ai répondu quand je parle au téléphone… comme tout le monde, vous-dis-je !
— Pas si con que ça, finalement…
— Normal après mon tour de magie ! »
Jean-Marc rapporte que la maîtresse de Junior aura demandé quel était le temps dans
la phrase suivante : « Je cherche un homme fidèle ».
« — Et alors ?
— Un de ses gamins a répondu ‘‘du temps perdu’’…
— Tout ça sans connaître Proust ? Chapeau la génération alpha ! »
Un aveu de Jean-Paul :
« Vous ne savez pas, mais à force de me creuser la cervelle… j’ai des trous de mémoire… »
L’économie circulaire (pensée par quelques brillants « sachants ») :
Exemple d’illustration.
C’est la professeure des écoles qui écrit à ses élèves : « Demain, je suis occupée. Il n’y aura pas de cours. Nous le rattraperons la semaine prochaine. »
Un des élèves textote à son père : « Papa, il n’y a pas école demain ! Tu vas pouvoir m’emmener au parc d’attraction ! »
Le père s’empresse de prévenir sa secrétaire : « Désolé, j’ai un contre-temps demain… On se voit une autre fois ! »
La secrétaire saisit son téléphone et appelle son mari : « Finalement je ne pars pas avec la boîte demain… On va pouvoir passer la journée chez tes parents… »
Le mari textote immédiatement à la professeure : « Chérie ma femme est là demain… On ne pourra pas se voir ! Désolé… »
La professeure, quelque peu déçue écrit alors à ses élèves : « J’ai finalement pu me libérer pour demain : Il y aura cours comme d’habitude. »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Dis donc, tu crois que la vie est plus belle après la mort ?
— Ça dépend. Après la mort de qui ? »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — À propos, méfie-toi : La pub pour les barres aux céréales de la marque LION, c’est de la pure arnaque…
— Ah bon ? Pourquoi tu dis ça ?
— Parce qu’hier, j’en ai mangé une et j’ai essayé de rugir après…
— …
— Et le chat s’est foutu de ma gueule ! »
C’est Jean-Michel qui rentre avec Jean-Paul…
« — Tu sais, je n’arrive pas à faire jouir ma femme…
— Je peux passer te montrer, si tu veux…
— Non, non, merci ! Mais j’aimerai y parvenir…
— Je te comprends. Mais tu as essayé les préliminaires ?
— C’est quoi ça, les « préliminaires » ?
— Bé par exemple… tu lèches là où elle fait pipi…
— Ah non, je n’ai pas encore essayé. Je te dirai demain si ça marche… »
Le lendemain, ils font une partie du chemin ensemble à la rencontre de Jean-Marc
qui les attend au café devant sa bière matinale.
« — Alors ? Ça a marché… ?
— Quoi donc ?
— Ta femme… et les préliminaires…
— Tu rigoles ! J’ai passé toute la soirée à lécher la cuvette des chiottes et c’est sans résultat aucun… »
Bon début de week-end à toutes et à tous !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Naturellement, il se fait engueuler par Germaine :
« — Espèce d’ivrogne ! C’est comme ça que tu claques l’argent du ménage !
— Me taire ?
— Je suis déjà assez énervé comme ça !
— Et pourquoi donc tu es énervé ?
— Je suis énervé contre moi-même !
— Ah bon, quand même…
— Je bois pour t’oublier. Et là je te vois en double ! »
« N’ai pas honte de péter quand tu urines…
« — Ce n’est pas facile d’être marié à une femme jalouse…
— L’autre fois, Germaine me téléphone pour me demander où je suis…
— Et alors ?
— Je lui réponds : ‘‘à l’église’’…
— Oh ? Ça t’arrive ?
— Non, mais tu sais ce qu’elle m’a répondu ?
— Non, je ne sais pas, je n’y étais pas…
— Passe-moi Jésus ! »
« Et tu crois que c’est raisonnable de garder éveillé un bébé aussi tard ? »
— Ma femme veut se jeter par la fenêtre !
— Vous vous trompez de numéro : Moi je suis menuisier, pas un service d’urgence !
— Mais je sais bien : Ma fenêtre ne s’ouvre pas… »
« — Moi, j’ai acheté une poupée gonflable usagée…
— Te faire oublier que tu es con…
— Mais je ne suis pas con !
— Tu vois, tu as déjà oublié ! »
« — C’est mon psy qui est con…
— Il en a besoin, non ?
— Et pourquoi tu dis que c’est un con ?
— Parce qu’il m’a demandé s’il m’arrivait d’entendre des voix sans voir la personne qui me parle…
— Et ?
— Je lui ai répondu que oui, tous les jours et même plusieurs fois par jour…
— Ah oui… tout de même !
— Bé à vous aussi, figurez-vous. Il m’a demandé quand habituellement…
Je lui ai répondu quand je parle au téléphone… comme tout le monde, vous-dis-je !
— Pas si con que ça, finalement…
— Normal après mon tour de magie ! »
— Tout ça sans connaître Proust ? Chapeau la génération alpha ! »
« Vous ne savez pas, mais à force de me creuser la cervelle… j’ai des trous de mémoire… »
C’est la professeure des écoles qui écrit à ses élèves : « Demain, je suis occupée. Il n’y aura pas de cours. Nous le rattraperons la semaine prochaine. »
Un des élèves textote à son père : « Papa, il n’y a pas école demain ! Tu vas pouvoir m’emmener au parc d’attraction ! »
Le père s’empresse de prévenir sa secrétaire : « Désolé, j’ai un contre-temps demain… On se voit une autre fois ! »
La secrétaire saisit son téléphone et appelle son mari : « Finalement je ne pars pas avec la boîte demain… On va pouvoir passer la journée chez tes parents… »
Le mari textote immédiatement à la professeure : « Chérie ma femme est là demain… On ne pourra pas se voir ! Désolé… »
La professeure, quelque peu déçue écrit alors à ses élèves : « J’ai finalement pu me libérer pour demain : Il y aura cours comme d’habitude. »
« — À propos, méfie-toi : La pub pour les barres aux céréales de la marque LION, c’est de la pure arnaque…
— Parce qu’hier, j’en ai mangé une et j’ai essayé de rugir après…
— …
— Et le chat s’est foutu de ma gueule ! »
« — Tu sais, je n’arrive pas à faire jouir ma femme…
— Non, non, merci ! Mais j’aimerai y parvenir…
— Je te comprends. Mais tu as essayé les préliminaires ?
— C’est quoi ça, les « préliminaires » ?
— Bé par exemple… tu lèches là où elle fait pipi…
— Ah non, je n’ai pas encore essayé. Je te dirai demain si ça marche… »
« — Alors ? Ça a marché… ?
— Ta femme… et les préliminaires…
— Tu rigoles ! J’ai passé toute la soirée à lécher la cuvette des chiottes et c’est sans résultat aucun… »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire