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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 9 octobre 2025

13 heures et 56 minutes

La dernière bouffonnerie de « Jupiter » ! 
 
Après un effroyable et à peine supportable suspense de près de 4 semaines, 27 jours exactement, et plusieurs retards à l’allumage, le premier gouvernement « Le-cocu-cornu » n’aura survécu que 13 heures et 56 minutes exactement…
 
À peine installé dimanche soir, qu’on n’a même pas eu le temps de se demander qui était éjecté (l’ajaccien), qui y entrait (pimprenelle ?) et pourquoi tous les autres avaient été si méritants pour y rester, qu’il a été emporté dès le lundi matin par la démission soudaine du « Premier sinistre ».
Que désormais, certains se demandent si on ne devrait pas supprimer le poste et verser directement dans un régime présidentialiste intégral ?
 
En effet, moins de vingt-quatre heures après leur nomination, les « sinistres » fraîchement reconduits ont donc dû rester à leur poste, contraints de redéballer leurs bagages avant même d’avoir pu véritablement se réinstaller pour assurer les affaires courantes et les décisions urgentes (signer les parapheurs préparés par leurs administrations réciproques).
Quant à ceux qui sont arrivés, ils sont repartis, avec leurs indemnités et autres avantages comme la voiture avec chauffeur et le secrétariat payé à vie – sauf pour « Le-Mère » qui y renonce puisqu’il a déjà tout ça depuis son départ pour « l’Helvétie » – et tous laissent la presse étrangère abasourdie par cette démission éclair qui se poursuit par des consultations tous azimuts…
 
« Aggravation de la crise politique française », « le plus grand désordre de la Vème République » (eh oui, elle ressemble désormais tellement à la IVème et à la VIème rêvée par « Mes-Luches ») …  que les mots de la presse étrangère ne sont pas assez forts pour qualifier cette démission, même nos amis du « plat pays » qui sont restés sans gouvernement durant plus de 500 jours sans que ça ne gêne vraiment personne…
Sauf que pour tous, le chaos politique « tricolore » incombe à notre « Jupiter » national.
Ce qui, à mon sens (mais qui s’en soucie ?) est une grave erreur d’analyse… puisque « Jupiter », le « maître des horloges », ne fait qu’exploiter l’éparpillement, la décohésion de l’électorat qui a du mal à se mobiliser, gangréné par l’abstention nourrie par le « tous pourris »…
Pas fou : Il n’y a pas de hasard à cette situation, au contraire.
 
Nombreux sont les quotidiens internationaux qui ont souligné dès le petit matin qu’il s’agit-là du plus éphémère « premier sinistre de la Vème République ».
Je vais vous dire, ça aura été tellement rapide que les sites gouvernementaux n’ont même pas eu le temps se mettre à jour quant à la composition du gouvernement que déjà ils étaient obsolètes !
(Un lundi matin, au retour d’un beau week-end d’insouciance : Dur-dur !)
Un record qui ne va pas être facile à dépasser…
Bien moins donc que les quatre autres « premiers sinistres » qui ont démissionné successivement depuis le début du second mandat de « Jupiter » en 2022 (« Lili-Bête-Borgne », « Gaby-le-Magnifique-@tal », « Barre-niée » et « Bébé-roux-de-secours »).
 
Une démission qui cause un « désordre encore jamais vu depuis les débuts de la Vème République » selon la Frankfurter Allgemeine Zeitung, quotidien conservateur « Teuton ».
Une analyse partagée avec d’autres médias à l’image du journal conservateur Ibérique ABC, qui décrit « la crise politique la plus grave de l’histoire de la Vème République » (que là ils exagèrent franchement pour faire œuvre d’autisme-appliqué en omettant mai 68 et la fuite de De Gaulle à Baden-Baden, les rues de la kapitale à feu et à sang, le pays bloqué par une grève générale qui provoquait des pénuries de tout dans les cités, la plage sous les pavés, voire même l’époque du « putsch du quarteron des généraux », d’Alger, mais c’était en mai 1958, provocant la fin de la IVème République agonisante).
Une crise qui « s’aggrave encore et plonge la France dans l’incertitude la plus profonde ».
Mais non : Il y en a qui savent ce qu’ils font…
 
Justement, les plumitifs flamands précisent que « ceux qui croyaient nager déjà dans un chaos complet seront surpris : la politique française est parvenue à renforcer la dose », souligne, railleur, le quotidien De Standaard : « La France erre depuis des mois telle un bateau à la dérive, et d’aucuns espéraient que le nouveau Premier ministre apporterait l’accalmie dans le pays. Ils avaient tort ».
Tu parles : Ce sont des doux rêveurs !
« Le-Cocu-cornu », c’est un pote de la première heure de « Jupiter »…
 
J’avais moâ-même envisagé qu’il le nommait là comme d’une récompense (pour les avantages liés à la fonction) de sa fidélité de serviteurs zélés, à condition qu’il prenne son temps et qu’il règle quelques affaires opaques en douce (même si je ne sais pas encore lesquelles, mais je vais trouver…), alors que l’Est de l’UE flambe et que « Vlad-Poux-Tine » voit certainement les galéjades parigotes comme le dernier épiphénomène de la décomposition systémique des démocraties occidentales qu’il exècre et qu’il s’est donné pour mission de détruire afin de rendre sa gloire à l’éternelle « Sainte-Russie » et en profiter pour donner les derniers coups de boutoirs d’un conflit asymétrique et cybernétique qu’il orchestre de main de maître pour vaincre enfin en Ukraine… puisqu’il n’y parvient pas par la force de son armée (d’incapables).
Mais non, j’imagine désormais que c’est pire que ça…
 
Certains titres mettent l’accent sur le risque de crise économique majeure, d’autres préfèrent disserter sur les ratés de « Jupiter » et sa possible chute.
« Seb-Le-Cocu-cornu » aura été un Premier ministre « trop intransigeant », analyse le quotidien « ritalien » la Repubblica.
Il faut dire qu’il serait plutôt très maladroit si on entend « Re-Taïaut-Taïaut »… le « sinistre de l’ordre et des cultes » par intérim reconduit qui se voit déjà « Calife à la place du Calife » (et a la tête du grand vizir Iznogoud).
 
Ces semaines de négociations se sont révélées être « d’inutiles marchandages », dénonce le journal « hispanique » ABC. D’autant que l’ancien « sinistre des Armées » a finalement annoncé un gouvernement quasiment inchangé vis-à-vis du précédent, qui signait le retour du contesté « Pruneau-le-Mère », « l’homme aux 1.000 milliards » de dettes publiques, qui avait pourtant annoncé son retrait de la vie politique gauloisienne pour partir se réfugier dans un paradis proche fiscal voisin.
Sa volte-face « vient de plonger la France dans le chaos politique », d’après le média zurichois Blick.
 
La démission du « premier-sinistre » « est une humiliation pour lui, pour la France et pour Emmanuel Macron », tranche de son côté le quotidien anglais The Spectator.
Car de nombreux médias internationaux pointent du doigt la responsabilité du président de la République dans la crise actuelle…
« Ce n’est probablement pas la faute des Premiers ministres qui ont échoué, puisqu’ils étaient différents les uns des autres.
Si quelqu’un est à blâmer pour la situation actuelle, c’est bien le président qui choisit les premiers ministres », estime le journal Hellène Kathimeriní.
Ce qui est exact.
Depuis 2022, « le président fait (presque) comme si de rien n’était », poursuit le quotidien genevois Le Temps.
Ce qui est également exact.
 
La presse souligne les mauvais choix de celui qu’on ne voit plus qu’à la télévision « en train de pontifier devant les Nations unies » (il aime ça : Il lui manque juste le trône de Bokassa Ier. On n’est pas « Jupiter » pour rien…).
Blick écrit que « l’impression que Macron cherche avant tout à protéger sa fin de mandat jusqu’en mai 2027 a de quoi déranger, dans un pays où seulement 17 % des Français font encore confiance au chef de l’État dans les derniers sondages ».
 
Pas seulement, à mon sens : Il a toujours été secrètement déçu d’une part, par le fait qu’il n’a jamais été aimé pour ce qu’il croit être aux yeux du monde et surtout de « sa Bibi » comme le centre incontournable de l’univers et, d’autre part, par une castration liée à la limitation de deux mandats consécutifs imposés par la constitution alors qu’il ne prendra sa mesure que dans l’alignement de plusieurs, tellement il est si jeune.
Souvenez-vous, sitôt élu, il voulait déjà modifier ce texte fondateur et aura été arrêté par les « frangins-trois-points », dont « Gégé-Co-long » le maire de Lugdunum de l’époque, en gardien de siècle des Lumières…
Une ambition qui par des détours improbables prend corps…
 
« Ce n’est pas une question de personnalité. Macron a commis de nombreuses erreurs », pointe de son côté Rzeczpospolita.
Ce qui n’est pas faux.
Le quotidien « Polak » s’avançait en titrant « La France en difficulté : le crépuscule d’Emmanuel Macron ».
D’autres canards se montrent moins affirmatifs, mais interrogent la pérennité du président à la tête du pays, à l’instar du grec Kathimeriní : « Emmanuel Macron va-t-il rester président jusqu’en 2027 ? (…) Jusqu’à récemment, beaucoup auraient qualifié d’improbable (la chute de cinq gouvernements en deux ans), désormais, tout est possible ».
 
Eh oui, c’est bien la conséquence des théories du chaos qui auront emporté le « Brexit » sur des mensonges, et porté « Trompe » et « Mélodie » au pouvoir selon les même méthodes de fakes-news respectivement aux USA et en « Ritalie ».  
« La France est à l’agonie et ses souffrances ne peuvent qu’empirer tant que Macron sera au pouvoir », résume de son côté l’éditorialiste conservateur de The Spectator, journal politique britannique.
Pourtant, elle peut en supporter encore plus.
Et plus on lui fera avaler des couleuvres, plus ça arrangera « Jupiter » dans ses desseins…
 
Outre-Atlantique en revanche, on s’inquiète de l’incertitude dans laquelle est plongée la « Gauloisie-sempiternelle ».
Les options de « Jupiter » « se réduisent » pour tenter de « contenir une dette française qui s’envole tout en obtenant un consensus a minima dans une Assemblée nationale fragmentée », écrit à ce sujet le Wall Street Journal.
Comme si la dette nationale devenait tout d’un coup un sujet alors qu’il aurait dû en être débattu au moment du « quoiqu’il en coûte »…
Depuis qu’elle est établie, ce n’est même plus un sujet politique, tout juste à peine une question financière et comptable…
Financière pour décaisser ce qui est encaissé, comptable pour évaluer le risque à provisionner chez les créanciers du pays.
Parce qu’il va y avoir de la casse, à peu près comme en Hélénie il y a une décennie, ou comme aura su en tirer profit « Mille-&-i » en Argentine.
En rappelant, au hasard, la bonne gestion de « Mélodie-la-ritale » et le bon exemple ibérique.
Les problèmes d’argent n’emportent pas mort d’homme et trouvent toujours des solutions.
 
En revanche, vous aurez déjà noté comme moâ que certains agitent déjà la solution politique de ringardiser le Parlement (on a déjà évoqué le sujet) : Puisque le peuple des électeurs ne parvient pas à formuler une majorité – une aubaine entretenue sciemment qui vise à détourner aussi le citoyen de son droit vote jusqu’à éventuellement l’en déposséder –, une fois de plus on fera sans lui (comme avec la constitution européenne).
Vous ne votez pas, ou pas assez, ou pas « comme il faut », eh bien on passera outre demain.
 
Deux solutions : Soit on change la constitution pour créer un vrai régime présidentiel à l’américaine, mère de toutes les démocraties électives, avec des scrutins uninominaux à un seul tour et donc un bon bipartisme de façade qui simplifie tout, format « acceptable » à qui il manque seulement un large consensus interne en « Gauloisie-des-Lumières » alors qu’il est déjà validé à l’international ;
Soit, il n’y a aucun consensus à espérer, le boxon est toujours plus compact et plus indescriptible, ce à quoi on rajoute peu ou prou, avant ou après, quelques tentatives de « sédition » et « Jupiter » use de l’article 16 de la Vème !
Il est placé au bon endroit pour ça…
 
Les pleins pouvoirs dégénèrent rapidement en état d’urgence – il l’a déjà décrété et ça a bien marché à l’époque du « Conard-virus », pris comme d’une vaste répétition grandeur nature – face au défouloir de la rue qui tente alors un coup de force en réaction avec quelques « zadistes », « skinheads » et autres « black-blocks » (là encore, ça fonctionne assez bien et sur commande, avec ou sans « Ben-Allah » en support ou en observateur) et ça se termine par quelques exécutions sommaires, des ordonnances d’exception, l’instauration de la loi martiale et l’avènement du « troisième empire » (qui prendra un autre nom) selon le schéma du « neveu de mon cousin » (celui qui dort aux Invalides…).
 
Je vous le signale, c’est un plan qui existe depuis l’arrivée de « Jupiter » à l’Élysée et qui a été suggéré à « Marinella-tchi-tchi » par les anciens de l’OAS : Il est toujours plus que d’actualité, juste retardé qu’il a été par diverses contrariétés.
Au moins, vous aurez été prévenus très en avance pour organiser votre exil…
Le mien est prévu en Balagna indipendente!
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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