Elle n’est même pas de Jean-Marc :
La langue française (celle de l’académie du même pays, chargée d’unifier une langue des affaires autre que le Latin, à travers les mille et une langue régionale et aura choisi le « Francilien-natif » pour être des « parigots-assumés ») :
C’est un délice que cette langue…
Que c’est beau ce langage châtié.
Toutes ses subtilités et la richesse de son vocabulaire…
Ne dit-on pas que c’est une langue très difficile à apprendre et maîtriser ?
En voici un exemple :
Chez le notaire, entendu cette imprécation du patron de l’étude à son clerc principal en la présence d’une vieille demoiselle venue parfaire l’enregistrement de l’acte d’achat d’un terrain agricole.
Une fois sa cliente installée confortablement, il commande à son clerc :
« Veuillez, s’il vous plait, ouvrir la chemise de la demoiselle, examiner son affaire, et si les règles ne s’y opposent pas, faites une décharge pour quelle entre en jouissance immédiate ! »
On n’a toujours pas pu rattraper la demoiselle…
Vu sur un marché, un écriteau où est écrit :
« Toute femme surprise en train de tâter les fruits, subira le même traitement ! »
Marie-Chantal, sur le ton docte des « sachantes », devant une tasse de thé :
« Un mari, c’est seul l’homme qui te soutient dans tous les problèmes que tu n’aurais pas eus si tu ne l’avais pas épousé… »
« — À propos, comment va ton mal à la tête ?
— Il est parti travailler… »
Les mêmes, se racontant les corvées auxquelles elles s’astreignent l’une et l’autre :
« — Mais chérie, tu n’as plus l’âge de faire ça…
— Je n’ai surtout plus l’âge qu’on me dise ce
que j’ai à faire ou à ne pas faire…
— Moi pareil… »
Le soir, Jean-Marc à Germaine…
« — Là, tu as simulé, j’en suis sûr…
— Bé non ! Qu’est-ce que tu veux que je foute de six mulets en de
pareil moment ? »
Jean-Paul, toujours aussi craignos dès qu’il a dépassé sa dose de Picon-bière matinal :
« — Il va falloir m’expliquer…
— Mais quoi donc ?
— Qu’est-ce qu’il vaut mieux dans la vie ? Un pull-over qui moule ou
une moule qui pue l’ovaire ?
— … Je n’ai pas compris ta question ?
— Tu ne veux pas répondre ou tu n’en sais rien !
— Si tu veux ! »
Jean-Paul drague Marie-Antoinette :
« Dis donc, toi… crois-tu au coup de foudre au premier regard, ou il faut que je repasse devant toi encore une fois ? »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Je me sens vieux…
— Ah oui ? Quelle idée…
— Plus je vieillis, plus j’ai mal partout, plus je me sens raide, plus j’ai
de mal à récupérer…
— C’est curieux, moi c’est l’inverse…
— Comment ça ?
— Bé je me sens devenir comme un bébé…
— Ah oui ?
— Je n’ai plus de dent, plus de cheveux et je fais pipi dans ma culotte… »
Jean-Marc philosophe devant une bière en compagnie de son ami Jean-Paul :
« — Finalement, je me contre-cogne de ce
que les gens pensent de moi !
— Tu as bien raison ! Santé !
— Santé ! Au point où on en est, si les gens pensent, c’est déjà ça ! »
Germaine se brûle les lèvres avec sa tasse de thé et demande à Marie-Chantal…
« — Dis-moi, chérie…
— Oui, chérie ?
— Comment fais-tu pour que les gens ne regardent que toi quand tu t’assieds quelque
part ?
— Oh c’est facile… Je m’assieds à côté d’une moche…
— C’est pas con, ça ! »
Jean-Marc, à Jean-Paul :
« — Finalement, si tu es du genre à ne
jamais rien réussir du premier coup, comme moi…
— Oui ?
— Bé le parachutisme n’est pas fait pour toi !
— Tu sais ça parce que tu as déjà essayé ?
— … »
Les mêmes, un peu plus tard dans la journée, devant une autre bière…
« — Finalement, embrasser une femme sur le front, c’est de la protection.
L’embrasser sur les joues, c’est de l’amitié…
Dans le cou, c’est du désir…
— Oui…
— L’embrasser sur la bouche, c’est de la passion !
— …
— Mais l’embrasser de la sorte devant son mari, c’est du courage ! »
Encore plus tard…
« Si seulement on pouvait épiler ceux qui sont de mauvais poil ! »
Jean-Paul se plaint auprès de Jean-Marc :
« — J’en ai marre !
— De quoi ?
— De toutes ces femmes qui me prennent pour un météorologue !
— Comment ça ?
— C’est la seconde cette semaine qui me parle de cunnilingus.
Mais je n’y connais rien aux nuages, moi ! » s’emporte-t-il.
Probablement une « revenue », je ne me souviens plus bien :
Marie-Chantal se plaint auprès de Germaine :
« — J’ai un gros problème, en ce moment…
— Lequel ?
— Tu ne le répètes à personne ?
— Muette comme un carpe… sur la tête de mes gamins.
— Ça ne va pas du tout : Je retrouve plein de timbre
venant du Costa-Rica dans et autour de mes parties intimes !
— Des timbres ? Tu es sûre que ce ne sont pas des
étiquettes de bananes, par hasard… »
Les deux mêmes, devant une autre tasse de thé, probablement un autre jour, Germaine :
« — Je m’amuse…
— De quoi donc !
— De la situation dans laquelle ma mère se trouve…
— Qu’est-ce qu’elle a encore fait ?
— Oh rien de bien grave… Mais elle m’a toujours dit qu’elle
souhaitait que j’ai des enfants deux fois plus désagréables et chiants que je n’ai
pu l’être avec elle…
— Et alors ?
— Elle n’avait pas imaginé qu’un jour c’est chez elle qu’ils
passeraient des vacances ! »
Jean-Marc a fait l’acquisition d’un matelas à eau.
« Je vais le remplir d’eau de mer… »
fait-il à Germaine.
« — D’eau de mer ? Mais pourquoi ?
— J’espère que comme ça, avec l’eau de mer, que je peux m’attendre
à ce que ta moule s’ouvrira plus souvent ! »
Jean-Marc s’excuse auprès de son patron :
« Je suis désolé de vous avoir traité de con…
Je vous prie de bien vouloir m’excuser de l’avoir
dit à haute voix devant tous les membres du comité de direction…
Mais j’étais persuadé que vous le saviez déjà comme tous les autres présents à cette réunion ! »
Marie-Gabrielle va à confesse…
Le curé l’entend, longuement, lui pardonne ses péchés de chair et autres perversion, et lui intime de prier pour le salut de son âme :
« — Deux Pater Noster et trois Ave Maria comme châtiment pour punir votre chair et purifier votre âme…
— Euh… Mon père… Je ne pourrai pas aussi avoir une bonne fessée ? »
Jean-Paul rapporte à Jean-Marc l’information suivante, après leur première bière de la journée :
« — J’ai lu dans une revue savante qu’un écolo sur trois est aussi con que les deux autres !
— Ah ? »
À la deuxième tournée de bière, celle d’avant aller bosser, il raconte à son ami la chose suivante :
« — Hier, j’ai pris le raccourci qui traverse par le cimetière pour rentrer plus vite.
— Ah oui ? Il faut dire que la bruine tombait avec le brouillard…
— Oui. Et j’ai croisé deux jeunes filles qui m’ont demandé de les
accompagner…
— Deux ? Elles n’étaient pas trop inquiètes ?
— Si justement. Elles m’ont dit qu’elles craignaient un peu de traverser le
cimetière comme ça toute seule à la tombée de la nuit…
— Je pensais que c’était d’être avec toi qui pouvait leur faire peur…
— Eh bien justement : Je leur ai affirmé que je les comprenais.
Exactement, je leur ai dit que « moi aussi j’avais peur…
quand j’étais vivant ».
— …
— Dis donc, je n’ai jamais vu quelqu’un courir aussi vite jusqu’à la sortie
du cimetière ! »
Les deux mêmes, au soir après la fermeture des ateliers…
« — C’est quand même pas banal ce monde extraordinaire de perversion…
— Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as soif ou tu t’es pris de bec avec le
contre-maître ?
— Non pas du tout… Je viens de me rendre compte que j’ai fait 5 années d’études
supérieures post-bac après avoir arraché mon ticket d’entrée au bout d’un
concours impitoyable et hasardeux…
— Oui, et ?
— Et pourtant je gagne dix fois moins qu’une minette de 14 ans qui exhibe son
maquillage sur Youtube… »
« — Bé tu sais, je dois être con…
— Non, ne dis pas ça : Tu te fais du mal, là…
— Non mais c’est vrai quoi… Ça fait des années que j’ai lu que les bananes,
ça nettoyait le colon…
— Oui, c’est exact…
— Mais j’ai compris hier seulement que c’était en les mangeant…
— … ! »
— Tiens à propos, tu sais que c’est au moyen-âge qu’on a inventé les « gens d’arme » pour protéger les voyageurs des bandits qui les détroussaient sur les chemins au coin du bois…
— Oui !
— Depuis, nous avons fait un immense pas en avant : Un bon gigantesque,
même !
— Ah bon ? Comment ça ?
— Ce sont maintenant les gendarmes qui rançonnent au coin du bois les
voyageurs qui passent devant leur radar… Pendant que les bandits courent
toujours…
— Exactement !
— 1.000 ans de progrès, je te dis : C’est finalement magnifique… »
Aparté :
À propos de contrôle radar, ci-dessous le dernier modèle validé par vos députés à l’occasion de la session des amendements de la loi de finances 2026 :
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
La langue française (celle de l’académie du même pays, chargée d’unifier une langue des affaires autre que le Latin, à travers les mille et une langue régionale et aura choisi le « Francilien-natif » pour être des « parigots-assumés ») :
C’est un délice que cette langue…
Que c’est beau ce langage châtié.
Toutes ses subtilités et la richesse de son vocabulaire…
Ne dit-on pas que c’est une langue très difficile à apprendre et maîtriser ?
En voici un exemple :
Chez le notaire, entendu cette imprécation du patron de l’étude à son clerc principal en la présence d’une vieille demoiselle venue parfaire l’enregistrement de l’acte d’achat d’un terrain agricole.
Une fois sa cliente installée confortablement, il commande à son clerc :
« Veuillez, s’il vous plait, ouvrir la chemise de la demoiselle, examiner son affaire, et si les règles ne s’y opposent pas, faites une décharge pour quelle entre en jouissance immédiate ! »
On n’a toujours pas pu rattraper la demoiselle…
Vu sur un marché, un écriteau où est écrit :
« Toute femme surprise en train de tâter les fruits, subira le même traitement ! »
Marie-Chantal, sur le ton docte des « sachantes », devant une tasse de thé :
« Un mari, c’est seul l’homme qui te soutient dans tous les problèmes que tu n’aurais pas eus si tu ne l’avais pas épousé… »
« — À propos, comment va ton mal à la tête ?
Les mêmes, se racontant les corvées auxquelles elles s’astreignent l’une et l’autre :
« — Mais chérie, tu n’as plus l’âge de faire ça…
Le soir, Jean-Marc à Germaine…
« — Là, tu as simulé, j’en suis sûr…
Jean-Paul, toujours aussi craignos dès qu’il a dépassé sa dose de Picon-bière matinal :
« — Il va falloir m’expliquer…
Jean-Paul drague Marie-Antoinette :
« Dis donc, toi… crois-tu au coup de foudre au premier regard, ou il faut que je repasse devant toi encore une fois ? »
Jean-Marc à Jean-Paul :
Jean-Marc philosophe devant une bière en compagnie de son ami Jean-Paul :
Germaine se brûle les lèvres avec sa tasse de thé et demande à Marie-Chantal…
« — Dis-moi, chérie…
Jean-Marc, à Jean-Paul :
Les mêmes, un peu plus tard dans la journée, devant une autre bière…
« — Finalement, embrasser une femme sur le front, c’est de la protection.
Dans le cou, c’est du désir…
— Oui…
Encore plus tard…
« Si seulement on pouvait épiler ceux qui sont de mauvais poil ! »
Jean-Paul se plaint auprès de Jean-Marc :
« — J’en ai marre !
Probablement une « revenue », je ne me souviens plus bien :
Marie-Chantal se plaint auprès de Germaine :
« — J’ai un gros problème, en ce moment…
Les deux mêmes, devant une autre tasse de thé, probablement un autre jour, Germaine :
« — Je m’amuse…
Jean-Marc a fait l’acquisition d’un matelas à eau.
« — D’eau de mer ? Mais pourquoi ?
Jean-Marc s’excuse auprès de son patron :
Mais j’étais persuadé que vous le saviez déjà comme tous les autres présents à cette réunion ! »
Marie-Gabrielle va à confesse…
Le curé l’entend, longuement, lui pardonne ses péchés de chair et autres perversion, et lui intime de prier pour le salut de son âme :
« — Deux Pater Noster et trois Ave Maria comme châtiment pour punir votre chair et purifier votre âme…
Jean-Paul rapporte à Jean-Marc l’information suivante, après leur première bière de la journée :
« — J’ai lu dans une revue savante qu’un écolo sur trois est aussi con que les deux autres !
À la deuxième tournée de bière, celle d’avant aller bosser, il raconte à son ami la chose suivante :
« — Hier, j’ai pris le raccourci qui traverse par le cimetière pour rentrer plus vite.
— …
Les deux mêmes, au soir après la fermeture des ateliers…
« — C’est quand même pas banal ce monde extraordinaire de perversion…
« — Bé tu sais, je dois être con…
— Tiens à propos, tu sais que c’est au moyen-âge qu’on a inventé les « gens d’arme » pour protéger les voyageurs des bandits qui les détroussaient sur les chemins au coin du bois…
Aparté :
À propos de contrôle radar, ci-dessous le dernier modèle validé par vos députés à l’occasion de la session des amendements de la loi de finances 2026 :
Bon début de week-end à toutes et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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