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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 31 octobre 2025

Une vielle « revenue » pour commencer…

Elle n’est même pas de Jean-Marc :
 
La langue française (celle de l’académie du même pays, chargée d’unifier une langue des affaires autre que le Latin, à travers les mille et une langue régionale et aura choisi le « Francilien-natif » pour être des « parigots-assumés ») :
C’est un délice que cette langue…
Que c’est beau ce langage châtié.
Toutes ses subtilités et la richesse de son vocabulaire…
Ne dit-on pas que c’est une langue très difficile à apprendre et maîtriser ?
En voici un exemple :
Chez le notaire, entendu cette imprécation du patron de l’étude à son clerc principal en la présence d’une vieille demoiselle venue parfaire l’enregistrement de l’acte d’achat d’un terrain agricole.
Une fois sa cliente installée confortablement, il commande à son clerc :
« Veuillez, s’il vous plait, ouvrir la chemise de la demoiselle, examiner son affaire, et si les règles ne s’y opposent pas, faites une décharge pour quelle entre en jouissance immédiate ! »
On n’a toujours pas pu rattraper la demoiselle…
 
Vu sur un marché, un écriteau où est écrit :
« Toute femme surprise en train de tâter les fruits, subira le même traitement ! »
 
Marie-Chantal, sur le ton docte des « sachantes », devant une tasse de thé :
« Un mari, c’est seul l’homme qui te soutient dans tous les problèmes que tu n’aurais pas eus si tu ne l’avais pas épousé… »
 
« À propos, comment va ton mal à la tête ?
Il est parti travailler… »
 
Les mêmes, se racontant les corvées auxquelles elles s’astreignent l’une et l’autre :
« Mais chérie, tu n’as plus l’âge de faire ça…
 Je n’ai surtout plus l’âge qu’on me dise ce que j’ai à faire ou à ne pas faire…
Moi pareil… »
 
Le soir, Jean-Marc à Germaine…
« Là, tu as simulé, j’en suis sûr…
Bé non ! Qu’est-ce que tu veux que je foute de six mulets en de pareil moment ? »
 
Jean-Paul, toujours aussi craignos dès qu’il a dépassé sa dose de Picon-bière matinal :
« Il va falloir m’expliquer…
Mais quoi donc ?
Qu’est-ce qu’il vaut mieux dans la vie ? Un pull-over qui moule ou une moule qui pue l’ovaire ?
… Je n’ai pas compris ta question ?
Tu ne veux pas répondre ou tu n’en sais rien !
Si tu veux ! »
 
Jean-Paul drague Marie-Antoinette :
« Dis donc, toi… crois-tu au coup de foudre au premier regard, ou il faut que je repasse devant toi encore une fois ? »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« Je me sens vieux…
Ah oui ? Quelle idée…
Plus je vieillis, plus j’ai mal partout, plus je me sens raide, plus j’ai de mal à récupérer…
C’est curieux, moi c’est l’inverse…
Comment ça ?
Bé je me sens devenir comme un bébé…
Ah oui ?
Je n’ai plus de dent, plus de cheveux et je fais pipi dans ma culotte… »
 
Jean-Marc philosophe devant une bière en compagnie de son ami Jean-Paul :
« Finalement, je me contre-cogne de ce que les gens pensent de moi !
Tu as bien raison ! Santé !
Santé ! Au point où on en est, si les gens pensent, c’est déjà ça ! »
 
Germaine se brûle les lèvres avec sa tasse de thé et demande à Marie-Chantal…
« Dis-moi, chérie…
Oui, chérie ?
Comment fais-tu pour que les gens ne regardent que toi quand tu t’assieds quelque part ?
Oh c’est facile… Je m’assieds à côté d’une moche…
C’est pas con, ça ! »
 
Jean-Marc, à Jean-Paul :
« Finalement, si tu es du genre à ne jamais rien réussir du premier coup, comme moi…
Oui ?
Bé le parachutisme n’est pas fait pour toi !
Tu sais ça parce que tu as déjà essayé ?
 »
 
Les mêmes, un peu plus tard dans la journée, devant une autre bière…
« Finalement, embrasser une femme sur le front, c’est de la protection.
L’embrasser sur les joues, c’est de l’amitié…
Dans le cou, c’est du désir…
Oui…
L’embrasser sur la bouche, c’est de la passion !

Mais l’embrasser de la sorte devant son mari, c’est du courage ! »
 
Encore plus tard…
« Si seulement on pouvait épiler ceux qui sont de mauvais poil ! »
 
Jean-Paul se plaint auprès de Jean-Marc :
« J’en ai marre !
De quoi ?
De toutes ces femmes qui me prennent pour un météorologue !
Comment ça ?
C’est la seconde cette semaine qui me parle de cunnilingus.
Mais je n’y connais rien aux nuages, moi ! » s’emporte-t-il.
 
Probablement une « revenue », je ne me souviens plus bien :
Marie-Chantal se plaint auprès de Germaine :
« J’ai un gros problème, en ce moment…
Lequel ?
Tu ne le répètes à personne ?
Muette comme un carpe… sur la tête de mes gamins.
Ça ne va pas du tout : Je retrouve plein de timbre venant du Costa-Rica dans et autour de mes parties intimes !
Des timbres ? Tu es sûre que ce ne sont pas des étiquettes de bananes, par hasard… »
 
Les deux mêmes, devant une autre tasse de thé, probablement un autre jour, Germaine :
« Je m’amuse…
De quoi donc !
De la situation dans laquelle ma mère se trouve…
Qu’est-ce qu’elle a encore fait ?
Oh rien de bien grave… Mais elle m’a toujours dit qu’elle souhaitait que j’ai des enfants deux fois plus désagréables et chiants que je n’ai pu l’être avec elle…
Et alors ?
Elle n’avait pas imaginé qu’un jour c’est chez elle qu’ils passeraient des vacances ! »
 
Jean-Marc a fait l’acquisition d’un matelas à eau.
« Je vais le remplir d’eau de mer… » fait-il à Germaine.
« D’eau de mer ? Mais pourquoi ?
J’espère que comme ça, avec l’eau de mer, que je peux m’attendre à ce que ta moule s’ouvrira plus souvent ! »
 
Jean-Marc s’excuse auprès de son patron :
« Je suis désolé de vous avoir traité de con…
Je vous prie de bien vouloir m’excuser de l’avoir dit à haute voix devant tous les membres du comité de direction…
Mais j’étais persuadé que vous le saviez déjà comme tous les autres présents à cette réunion ! »  
 
Marie-Gabrielle va à confesse…
Le curé l’entend, longuement, lui pardonne ses péchés de chair et autres perversion, et lui intime de prier pour le salut de son âme :
« Deux Pater Noster et trois Ave Maria comme châtiment pour punir votre chair et purifier votre âme…
Euh… Mon père… Je ne pourrai pas aussi avoir une bonne fessée ? »
 
Jean-Paul rapporte à Jean-Marc l’information suivante, après leur première bière de la journée :
« J’ai lu dans une revue savante qu’un écolo sur trois est aussi con que les deux autres !
Ah ? »
 
À la deuxième tournée de bière, celle d’avant aller bosser, il raconte à son ami la chose suivante :
« Hier, j’ai pris le raccourci qui traverse par le cimetière pour rentrer plus vite.
Ah oui ? Il faut dire que la bruine tombait avec le brouillard…
Oui. Et j’ai croisé deux jeunes filles qui m’ont demandé de les accompagner…
Deux ? Elles n’étaient pas trop inquiètes ?
Si justement. Elles m’ont dit qu’elles craignaient un peu de traverser le cimetière comme ça toute seule à la tombée de la nuit…
Je pensais que c’était d’être avec toi qui pouvait leur faire peur…
Eh bien justement : Je leur ai affirmé que je les comprenais.
Exactement, je leur ai dit que « moi aussi j’avais peur… quand j’étais vivant ».

Dis donc, je n’ai jamais vu quelqu’un courir aussi vite jusqu’à la sortie du cimetière ! »
 
Les deux mêmes, au soir après la fermeture des ateliers…
« C’est quand même pas banal ce monde extraordinaire de perversion…
Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as soif ou tu t’es pris de bec avec le contre-maître ?
Non pas du tout… Je viens de me rendre compte que j’ai fait 5 années d’études supérieures post-bac après avoir arraché mon ticket d’entrée au bout d’un concours impitoyable et hasardeux…
Oui, et ?
Et pourtant je gagne dix fois moins qu’une minette de 14 ans qui exhibe son maquillage sur Youtube… »
 
« Bé tu sais, je dois être con…
— Non, ne dis pas ça : Tu te fais du mal, là…
Non mais c’est vrai quoi… Ça fait des années que j’ai lu que les bananes, ça nettoyait le colon…
Oui, c’est exact…
Mais j’ai compris hier seulement que c’était en les mangeant…
… ! »
 
Tiens à propos, tu sais que c’est au moyen-âge qu’on a inventé les « gens d’arme » pour protéger les voyageurs des bandits qui les détroussaient sur les chemins au coin du bois…
Oui !
Depuis, nous avons fait un immense pas en avant : Un bon gigantesque, même !
Ah bon ? Comment ça ?
Ce sont maintenant les gendarmes qui rançonnent au coin du bois les voyageurs qui passent devant leur radar… Pendant que les bandits courent toujours…
Exactement !
1.000 ans de progrès, je te dis : C’est finalement magnifique… »
 
Aparté :
À propos de contrôle radar, ci-dessous le dernier modèle validé par vos députés à l’occasion de la session des amendements de la loi de finances 2026 :

 

Bon début de week-end à toutes et à tous !

 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org) 

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