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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 octobre 2025

La collecte de la semaine…

C’est l’histoire de Germaine…
 
…qui marche dans la rue avec son fils.
Ils croisent Marie-Estelle, une cousine germaine de Jean-Marc, une dame fort jolie. Et Germaine lui fait la bise et s’adresse à son fiston :
« — Embrasse Marie-Françoise, s’il te plaît !
— Non !
— Mais enfin, tu vas obéir Jean-Jean !
— Non !
— Et pourquoi ça ? » demande Germaine ulcérée et confuse.
« Parce qu’hier, elle a giflé Papa quand il a voulu l’embrasser… »
 
Jean-Marc et Germaine :
« — Excuse-moi chérie… Tu peux répéter s’il te plaît ? Je ne t’ai pas bien écoutée.
— Où veux-tu que je répète ? À partir de quand ?
— Euh… depuis 2001, environ… »
 
Les mêmes au restaurant :
Après avoir consulté la carte, Germaine passe commande au garçon :
« — Un demi-poulet rôti, s’il vous plait…
— Excellent choix, madame… Et pour le légume, nous prévoyons quoi ?
Il prendra la même chose… »
 
Jean-Marc, en fin de journée, à Germaine :
« — Ce soir il faut que je me couche tôt !
— Ah bon ? Et pour quelle raison ?
— Parce que demain je dois m’énerver de bonne heure ! »
 
Germaine à Marie-Chantal, devant leurs tasses de thé accompagnées de quelques mignardises gourmandes :
« — Tu fumes, toi, après l’amour ?
— Je ne sais pas… Je n’ai jamais regardé ! »
 
Préconisation de Jean-Paul :
« Pour être en pleine forme le matin il faut boire un grand verre d’eau dix minutes avant le réveil ! Cest scientifique... »
 
Le même, à Jean-Marc, chacun devant sa bière matinale.
« — Bé tu sais quoi, ce matin je me suis regardé dans le miroir pour me raser et je me suis trouvé beau ! Beau et jeune ! Jeune comme si j’avais 20 ans…
— …
— Tu me fais penser à racheter la même bouteille de vin qu’hier ! »
 
Les deux mêmes, devant une autre bière chacun :
« — Tu sais, moi je ne comprends pas les gens qui sont fatigués après une heure de jogging…
— Pourquoi tu dis ça ?
— Ça fait trois heures que je porte le mien et je me sens encore très bien ! »
 
Toujours les mêmes, mais un peu plus tard :
« — En fait, je viens de me rendre compte qu’avoir des relations sexuelles après 50 ans est vraiment très excitant !
— Ah oui, certainement !
— Bé en fait tu ne sais jamais si tu vas avoir un orgasme, une crampe ou un accident cardiaque ! »
 
À la coupure méridienne, au café du coin, les deux mêmes :
« — J’ai appris par Juan-Paulo de l’atelier mécanique que le badminton a été inventé pour les femmes !
— Ah bon ? Et pour quelle raison ?
— Eh bien ça leur permet de tenir un volant sans faire de blessés !
— … Mais quel kon, ce Juan-Paulo ! »
 
Germaine admirative pose une question à son mari, Jean-Marc :
« — Mais comment fais-tu pour toujours bien faire ?
— Très simple : J’apprends des erreurs que font ceux qui suivent mes conseils ! »
 
Jean-Paul et Jean-Marc :
« — Tu la connais celle de Coluche ?
— Laquelle ?
— Celle où il dit qu’il aime bien manger épicé ?
— Non…
— Eh bien, il aime bien, mais pas en même temps…
— … »
 
Les mêmes :
« — Et tu vas voir qu’à la prochaine Saint-Valentin, une fois de plus, tous les mecs vont arriver avec leur bouquet de fleurs dans les bras et une boîte de chocolat dans les mains !
— Vraisemblablement…
— Mais jamais on ne verra une de nos femmes arriver avec un pack de canettes de bière dans un caddie !
— …
— C’est la preuve qu’on est encore bien loin de l’égalité des sexes dans ce foutu pays ! »
 
Jean-Paul à son copain Jean-Marc :
« À propos, l’année dernière, j’ai pas mangé de bûche glacée à Noël.
J’ai pas mangé de galette des rois à l’épiphanie de cette année.
J’ai pas non plus mangé de crêpe à la chandeleur,
Du coup j’ai pas niqué à la Saint-Valentin…
Donc, cette année, je vais changer mes habitudes ! »
 
« — Tu aurais dû faire sauter tes crêpes pour la Saint-Valentin…
— Pourquoi ça ? C’est à la Chandeleur qu’on fait des crêpes…
— Non, c’est juste une idée…
— …
— Pour faire sauter quelque chose ! »
 
Une revenue de très loin :
C’est l’histoire du corps humain qui se demande qui est le chef !
Le cœur dit : « C’est moi ! Je fais circuler le sang dont vous avez tous besoin pour fonctionner ! »
Le cerveau dit : « Non c’est moi ! Je contrôle tout, même toi le cœur ! »
Le foie dit alors : « Ah que non ! Je métabolise tout pour vous nourrir. Sans moi, nous serions tous morts ! »
C’est alors que l’anus la ramène et affirme que c’est lui qui est le chef !
Tous les autres organes éclatent de rire !
Alors vexé, l’anus refuse de s’ouvrir durant 7 jours…
Résultat, le foie explose, le cerveau est en compote et le cœur s’arrête.
« Moralité de l’affaire » en conclue Jean-Marc, « C’est que même un trou du cul peut être chef ! »
 
Germaine appelle :
« Chéri, tu es où ?
Dans la salle de bain !
Qu’est-ce que tu fais ?
Je fais un joint…
Oh, non ! Tu t’es remis à fumer cette merde ?
Mais non pas du tout : Je mastique !
Bouge pas : J’arrive !
Je pose du mastic sur un joint ! Qu’est-ce que tu vas imaginer… »
 
Marie-Chantal philosophe sur la condition humaine au salon de thé en compagnie de Germaine :
« C’est simple : Si tu penses au sexe trois fois par jour, tu es un grosse coquine.
Mais si tu y penses 30 fois pas jour, tu es une nymphomane…
Et quand c’est tout le temps ?
C’est que tu es un homme ! »
 
Marie-Chantal :
« Mon boss m’a souhaité une bonne journée ce matin en arrivant au bureau…
Bien dis donc ! Il est accueillant, au moins. Tu en as fait autant ?
Non ! Parce que je suis rentrée à la maison pour que ma journée soit bonne ! »
 
Une autre « revenue » de loin :
« — Tu veux une preuve que les femmes aiment plus leur mari que leurs enfants…
— Oui… laquelle ?
— Elles sont capables de laisser leurs enfants aux bons soins de la voisine. Leur mari, jamais ! »
 
Jean-Marc avec Jean-Paul, chacun avec sa bière vespérale avant de rentrer à la maison :
« Finalement, les femmes sont des êtres merveilleux, incapables de se rappeler où elles ont garé ta voiture il n’y a pas 20 minutes, mais qui sont capables de te décrire parfaitement comment était habillée la pétasse qui t’a dit bonjour il y a 25 ans jour pour jour ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Pour moi, c’est la levrette qui est la meilleure position, la plus pratique…
— Ah bon ? Et pourquoi ?
— C’est la seule qui permet à un couple de regarder le même programme télévision ! »
 
Les mêmes, un peu plus tard, mirant les gens debout dans le métro avec leur casque sur les oreilles et leur téléphone à la main :
« — Quelle époque !
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que je trouve dommage que les doigts de nos contemporains effleurent plus les claviers de leur smartphone que des clitoris…
— … Navrant, effectivement ! »
 
Jean-Marc rentre chez lui et voit Germaine qui fait la tête, l’air contrarié :
« — Qu’est-ce qu’il y a chérie ?
— Mais rien ! T’occupes ! Je n’ai rien.
— Non mais je voulais dire « à dîner » ! »
 
Le lendemain, Jean-Marc et Jean-Paul, au bar matinal devant leur bière, se posent la question, parce qu’ils ont appris le décès de Jean-Grégoire :
« Mais toi, tu irais à l’enterrement de quelqu’un qui n’est pas venu au tien ? Sérieux ? »
 
Jean-Paul raconte son retour au foyer conjugal d’antan :
« — Je lui ai fait ‘‘Salut, chérie, je suis de retour !’’. Et là je me suis fait engueuler…
— Comment ça ?
— ‘‘Oui, ça fait trois ans que tu es parti chercher du lait et c’est maintenant que tu rentres !’’… Alors je lui ai fait : ‘‘Ah zut ! Le lait ! Je reviens tout de suite…’’ et je suis reparti ! »
 
Jean-Marc à son ex-pote Jean-Christian :
« — Ah tiens, comment vas-tu ? Tu ne sais pas, mais je suis allé visiter ton lieu de naissance la semaine dernière…
— Comment ça ? Tu as visité mon village natal ?
— Mais non : Je suis seulement allé déglinguer ta mère !
— @#¤$~ !!! »  
 
Jean-Marc fait la leçon à Jean-Paul, entre deux bières :
« — Tu sais une femme, c’est un peu comme l’électricité.
— C’est-à-dire ?
— Si tu sais t’y prendre, ça illumine ta vie.
Si tu la fatigues, elle finira par s’éteindre…
Si tu joues avec, tu finiras par de brûler.
Et si tu l’énerves, elle finira par disjoncter ! »  
 
Jean-Paul, énervé :
« À propos, je te signale que j’ai fait pipi dans la mer.
Tâche d’y penser quand tu mangeras tes huîtres à Noël… »
 
Marie-Chantal se confesse à Germaine, un après-midi au salon de thé :
« Je vais te dire, Chérie… Au 237ème jour sans sexe…
… ???
Eh bien je me suis allongée par terre pour sentir quelque chose de dur
… !!! »
 
Une vieille recuite (pour la route) :
Jean-Paul se fait une raison devant une dernière bière avec Jean-Marc :
« Finalement, les femmes, c’est comme les places de parkings…
Tu penses à quoi au juste en disant ça ?
Bé les bonnes sont déjà prises. Il reste les folles, les handicapées et les payantes… »
 
Bon début de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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