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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 octobre 2025

C’est l’histoire de Jean-Marc

 Qui rapporte que…
 
« — Germaine et moi avons été victime d’une intoxication à l’eau minérale…
— Tu es sûr ? Ce n’est le pastis frelaté qui mouille ton eau ?
— Non… Nous avons porté plainte Contrex !
— Et comment le Vittel ?
— Mal ! Elle est dans un Salvétat. C’est qu’elle n’a pas été Hépar-niée.
— Ne te laisse pas faire… Badoit jusqu’au bout et revient à la bière… »
 
Jean-Paul, toujours élégant, discute avec une dame qui lui demande :
« — Mais quel âge me donnez-vous ?
— Les yeux, 25 ans. La peau, 20. Le corps 18.
— Vous savez parler aux femmes, vous !
— Non mais attendez… Il faut faire l’addition… »
 
Le même, mais à mâtine avec Jean-Marc devant une bière…
« — Entre la blonde, la brune et la rousse, laquelle est la plus intelligente, d’après toi ?
— Je te dirai que la plus perverse c’est celle qui accepte de sortir avec toi, mais la plus intelligente c’est forcément la rousse.
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce qu’on en a fait un dictionnaire… »
 
Lu pour vous dans la rubrique des petites-annonces du Corse-matin local :
« Cherche un ou des associés pour ouvrir un magasin.
J’ai déjà les cagoules et le pied de biche… »  
 
Germaine avertit Jean-Marc avant de sortir :
« — Je descends 5 minutes chez la voisine pour lui emprunter un peu de sel…
— Ok…
— Si je ne suis pas remonté dans une demi-heure, tu seras gentil de penser à mettre un peu d’eau sur le rôti qui est dans le four ! »
 
Le soir même Germaine trouve un mot de la main de Jean-Marc sur la table de la cuisine :
« Chou, je suis allé chez Jean-Paul le dépanner d’une bière ou deux.
Je reviens dans 30 minutes.
Si je ne suis pas rentré dans 30 minutes, relis ce message ! »
 
Jean-Paul, le lendemain… au café devant sa bière matinale :
« — Hier soir, j’ai croisé ma voisine qui parlait à ses chats.
Figure-toi qu’elle pensait clairement que ces chats la comprenaient…
Quand je suis arrivé chez moi, j’ai raconté ça à mon chien.
Eh bien tu ne sais pas quoi ?
— Non !
— Il s’est mis à rigoler bruyamment ! »
 
Marie-Chantal et son médecin traitant :
« — … Et ma grosseur au sein ?
— Je vous dis que ce n’est rien : On a fait une radio et une IRM la semaine dernière…
— Sinon, pour mes maux de tête ?
— Le stress… Toutes vos analyses sont bonnes !
— Ne me dites pas que mes douleurs lombaires…
— Si, si, je vous l’affirme : Elles sont liées au stress. Tous les tests sont bons…
— Tout de même…
— Écoutez chère Madame, je vous vois tous les trois jours et je vous l’assure vous n’avez rien !
Vous êtes en pleine forme…
— Et mes douleurs à l’estomac ?
— De l’acidité gastrique passagère ! Le scanner est parfait ! Merci de votre visite ne vous inquiétez pas…
— Si vous le dites, docteur…
— Eh ! N’oubliez pas votre sac ! »
Elle se jette alors sur son toubib en hurlant :
« Alzheimer !!! C’est ça hein ! Dites-moi la vérité, je vous en conjure ! »
 
Jean-Marc à la douane sur le port de Bastia, au volant de sa « Totoya », de retour de vacances :
« — De l’acool ? Du tabac ? Du vin ? De la drogue ?
— Non merci, j’ai ce qu’il faut ! »
 
Le même rapportant à Jean-Paul le mot de son toubib :
« — Je lui ai demandé ce qu’il pensait du nouveau vaccin contre le nouveau virus ?
— Et alors ?
— Il m’a répondu qu’il ne savait, qu’il n’était pas journaliste… »
 
Germaine à Marie-Chantal, devant leur tasse de thé pos-méridienne…
«  Jean-Marc va encore m’offrir des fleurs ce soir…
— C’est un annoiversaire, non ?
— Oui. Celui de notre première rencontre… Le problème c’est que je vais encore devoir écarter les cuisses…
— Pourquoi ? Tu n’as pas de vase pour des fleurs ? »
 
Injonction de Marie-Madeleine :
« Je ne retouche jamais mes photos…
Si je disparais un jour, personne ne me reconnaitra ! »
 
Jean-Paul rapporte qu’un sondage réalisé sur une cohorte de 5.000 hommes a donné des résultats logiques…
À la question « Pourquoi ils aimaient les fellations ? », trois pour cent on dit aimer la chaleur, quatre pour cent la sensation, quatre-vingt-treize pour cent le silence !  
 
Un fou téléphone à un autre fou :
« — Allo ? Je suis bien au 60 13 28 à Menton ?
— Non monsieur, vous faites erreur, ici on n’a pas le téléphone ! »
 
Un soir, au détour d’une tournée de bière entre Jean-Marc et Jean-Paul sur le chemin du retour du boulot :
« Si ça se trouve, les salariés d’Ikéa sont juste d’anciens clients qui n’ont jamais trouvé la sortie… »
 
Jean-Marc interroge son pote de Jean-Paul :
« — Et qu’est-ce qui t’a le plus frappé chez elle ?
— Son mari ! »
 
Jean-Paul avec une belle de nuit :
« Chou, je vais t’appeler Eve…
Quelle drôle d’idée ! Et pourquoi ça ?
Parce que tu es ma première de l’année…
Alors je vais t’appeler Peugeot !
Euh… Pourquoi ça ?
Parce que tu es au moins de 5.008ème de l’année… »
 
Jean-Marc chez le boulanger :
« — Une baguette s’il vous plait !
— 1,20 !
— Je préférerais une bière, à cette heure-ci !
— La bière c’est 1,69 !
— Volontiers… »
 
Un matin, Germaine à l’adresse de Jean-Marc :
« J’ai rêvé que tu m’avais quittée.
Quelle horreur de découvrir que tu étais encore là à mon réveil ! »
 
Pas content, Jean-Marc réplique :
« — Ne me parle pas avant mon premier café, s’il te plaît…
— Mais tu ne prends jamais de café… Tu es toujours avec ta cannette de bière…
— Voilà ! »
 
Jean-Paul se désole devant une bière matinale en se confiant à Jean-Marc :
« Aujourd’hui, on rencontre sa femme sur Meetic,
On la trompe sur Badoo,
On annonce son divorce sur Facebook,
Et on vend sa baraque sur LeBonCoin…
C’est ça la génération du net ! »
 
Ne pas confondre : « Je t’adore ! Tu es marrante ! »
Et : « Je t’adore : Tu es ma rente ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Tu savais que seulement 85 % des marins savaient nager ?
— Non, mais c’est quand même un gros avantage sur les aviateurs… aucun ne sait voler ! »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« Les seins d’une femme est tout de même la preuve vivante qu’un homme peut se concentrer sur deux choses à la fois ! »
 
Toujours Jean-Paul à Jean-Marc, mais un autre jour, dans un autre bar, devant une autre bière :
« Tu sais, je plains bien ces pauvres chinois qui ont des dirigeants menteurs et corrompus…
Alors que tous les nôtres sont francs, honnêtes et intègres… »
 
« Ah merci Bruxelles, une fois ! Je te jure… » hurle Jean-Patrice, le producteur de fraises qui se plaint au marché à qui veut l’entendre…
« Quoi donc encore ? » lui demande Jean-Marc :
« — Non mais tu te rends compte, j’y-aime… l’autre jour, j’ai eu une envie pressante de faire pipi sur mon lieu de travail.
— Tu as fait comme tout le monde : Tu as trouvé un arbre ou une cuvette de chiottard.
— Tu parles, mon bonhomme, il n’y avait pas tout ça. Ça aurait dû être direct le long du chemin. Mais voilà que je me suis demandé si mon urée pouvait être répandue à cette époque de l’année… Si je ne devais pas maintenir une zone tampon avec le ruisseau ? Si la pente de ma parcelle le permettait ou si je devais demander une dérogation ?
Mon taux de liaison au sol me permettait-il de pisser là où j’étais ou allait-il augmenter ?
Devais-je analyser cette urine avant de la répandre ?
Allais-je perdre ma certification Bio et les aides accordées pour ces cultures ou allais-je profiter de la prime pour réduction d’intrants ?
Devais-je le signaler sur ma fiche produit ?
— Bé dis donc, c’est un métier éreintant de cultiver des fraises…
— Finalement, trop tard, je me suis pisser dessus : Merci Bruxelles !
— Les risques du métier…
— Les citadins ne pensent pas à tout ça ! »
 
Un matin, Jean-Paul arrive tout excité au bar où l’attend Jean-Marc pour partager une petite bière avant d’aller au boulot :
« — Tu as vu, la nouvelle garderie à côté du centre commercial ?
— Non… Qu’est-ce que ça peut m’intéresser ?
— Mais c’est une garderie pour maris, si tu ne supportes pas de suivre ta femme quand elle fait des courses…
— Ah bon ? Et c’est quoi le concept ?
— On leur promet de les laisser jouer au billard, au 421, à la belotte, de les laisser regarder le match de foot ou de rugby de notre choix et même de leur servir les boissons de leur choix selon un budget prédéterminé selon l’état dans lequel elles veulent les récupérer…
— Et ça s’appelle comment ?
— La consigne ! »
 
« — Et c’est quoi au juste la théorie de la relativité d’Einstein ?
— Comment t’expliquer simplement… C’est un peu comme si pour venir de chez toi jusqu’à ce café pour boire une bière, tu mettais 5 minutes, mais que pour rentrer cher toi, tu mettais une heure et demie… C’est la dilatation de la flèche du temps.
— Je vois très bien, là… »
 
« — Tu ne connaitrais pas le nom de la préfecture des Deux-Sèvres, par hasard ?
— Si ! C’est Niort !
— Tu parles espagnol, maintenant ? »
 
Bon début de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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