Et il ne s’en prend qu’à lui-même !
« J’ai vraiment d’énormes courbatures aux abdos…
Ça m’apprendra à ramasser la télécommande sans m’échauffer
avant… »
Humour soviétique :
« Le pessimiste c’est celui qui dit : ‘‘Cela ne peut être pire !’’
Ce à quoi l’optimiste lui répond : ‘‘Mais si, mais si !’’…
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — À part les zoiseaux, les zéléphants, les zhommes, les zanimaux et les zalumettes, quel autre mot commence par « Z » ?
— Les zimbéciles ? »
Les mêmes, un matin, chacun devant une bière avant de rejoindre l’atelier,
au café du coin…
« — Les filles espère croiser le mec parfait.
C’est la faute de Disney…
Et les mecs cherchent la fille parfaite…
Sais-tu à cause de qui ?
— Non !
— De Playboy ! »
C’est l’histoire d’une belle femme qui arrive chez son médecin généraliste
et qui lui dit :
« — Docteur, j’ai un service à vous demander…
— Lequel ? Où avez-vous mal ?
— Non, je ne souffre pas… J’aimerai seulement que mon mari devienne comme un taureau avec moi…
— Oh, mais c’est très facile. Déshabillez-vous et allongez-vous : On va commencer par les cornes ! »
Marie-Luce se plaint à Marie-Chantal :
« J’aime bien plaire, je l’avoue.
Mais là je suis un peu vexée que ce soit un radar routier
qui ait flashé sur moi… »
Jean-Marc se plaint à son tour auprès de son copain Jean-Paul :
« — Tu me dis que mes blagues sont parfois d’un mauvais goût…
— Mais non, pas parfois : Tout le temps…
— Je te rappelle que je ne t’ai jamais obligé à les avaler !
— C’est vrai ! Mais je ne veux pas non plus te vexer… »
Deux vieilles, devant une tasse de thé, à la table d’à côté de celle de Germaine qui
« écoute aux portes » :
« — J’ai un truc entre les seins que je n’avais pas quand j’étais plus jeune…
— Ah bon ? Et qu’est-ce donc ?
— Mon nombril ! »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Tu peux me prêter ta voiture ?
— Si c’est pour aller loin, ce ne sera pas possible. J’en ai
besoin et il faut refaire le plein d’essence.
— Non c’est juste pour aller à côté…
— Alors vas-y à pied ! »
Jean-Paul qui drague sa cousine Marie-Geneviève…
« — Ma belle, si tu devines la réponse à l’énigme suivante, tu gagneras une nuit d’amour et de sensualité fantastique …
— Avec qui ?
— Avec moi !
— Bof, quelle énigme ?
— Quel est l’animal qui a quatre pattes, une queue poilue et qui miaule ?
— Ouh là, c’est trop difficile, ça !!!
— Réfléchis un peu et tente ta chance. Sans ça j’irai demander à ta sœur, Marie-Paule.
— Ah oui ? Je dirai un crocodile !
— Bravo, tu as gagné ! Tu es vraiment une veinarde toi : Tant pis pour Marie-Paule ! »
Deux vieux sur un banc public…
« — Fait chier… demain c’est le week-end et ensuite c’est déjà lundi…
— M’en fous : Je suis à la retraite ! »
Jean-Marc se plaint à Jean-Paul, devant la bière méridienne en attendant que son
cassoulet-maison soit réchauffé :
« — Je suis de mauvaise humeur…
— Ah oui ? Je n’avais pas noté la différence… Et pour
quelle raison ?
— Parce que ce matin, Germaine m’a souhaité de passer une bonne journée…
— Mais c’est gentil, ça…
— Non mais tu te rends compte !!!
— De quoi donc ?
— J’en ai marre qu’on me dise tous les matins ce que je dois faire de ma journée !
D’abord, je fais que ce que je veux, point barre ! »
Manif’ des agriculteurs. Analyse de Jean-Paul à Jean-Marc :
« Finalement, les paysans demandent du blé à des fumiers pour ne pas être sur la paille… »
Jean-Marc, à Jean-Paul, au café d’en face sur la route du retour à la maison,
devant une bière-comptoir :
« — Finalement, quand tu as 5 ans et que tu entends un bruit la nuit,
tu es sûr que c’est un monstre qui se cache sous ton lit…
À 10 ans, c’est ton père qui rentre pour te filer une raclée
parce que ta mère s’est plainte que tu n’aies pas fait tes devoirs.
À 16 ans, c’est sûrement ta mère qui vient vérifier que tu ne te branles pas…
À 30 ans, c’est forcément un voleur qui vient te dépouiller voire te trucider.
Mais à partir de 50 ans, c’est ton genou quand tu le bouges.
Et passé 60 ans, c’est ton dentier quand tu ronfles.
— C’est un peu ça, effectivement… »
À l’école :
« — Qu’y a-t-il après 69, Jean-Marc ?
— 70 !
— Alors pourquoi tu as écrit ‘‘cracher les poils’’ ? »
Jean-Paul :
« Je signale que si les tôles ondulées, les vaches aussi ! »
Marie-Chantal à Germaine :
« — Allo Germaine !
— Oui ?
— Au secours ! Je suis perdue en forêt… est-ce que tu peux venir me chercher avec Jean-Marc…
Ne me laisse pas seule avec lui, hein !
— Ok… Tu es où exactement ?
— Exactement… bé au pied d’un arbre ! »
Jean-Paul à Jean-Marc, un matin de la semaine, au comptoir de leur
bar préféré sur le chemin du boulot :
« — Hier, j’ai passé ma soirée devant la télé…
— Aaaah ! Intéressant ?
— Oui… Tu savais toi que le meilleur moyen d’échapper à l’attaque d’un requin c’était de grimper à un arbre ?
— … ! »
Germaine à Jean-Marc :
« — Tu te souviens du jour où tu m’as demandée en mariage ?
— Oh oui ! Je m’en souviens très bien…
— J’étais tellement émue que je n’ai rien pu dire pendant plus d’une heure…
— La plus belle heure de ma vie ! »
Marie-Chantal à Germaine :
« — Les mecs, c’est comme les radiateurs…
— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
— Bé simplement que quand ce n’est pas purgé de temps en temps, ça fonctionne mal ! »
Jean-Marc, philosophe au comptoir du bar, devant sa bière vespérale, en compagnie
de Jean-Paul :
« Finalement, que les méduses aient pu survivre durant 650
millions d’années sans cerveau, donne de l’espoir à beaucoup de personnes… »
Jean-Paul à Jean-Marc, le même soir mais devant une autre bière :
« Le courriel du notaire ivoirien que j’ai reçu est formel : J’ai gagné le gros lot au tirage de l’EuroMillion… »
C’est l’histoire du mec à qui on demande ce qu’il fait dans la vie :
« — Je fais dans le trafic d’organes…
— Oh mon dieu ! Mais vous n’avez donc pas de cœur ?
— C’est une critique ou une commande ? »
Marie-Chantal à Germaine, chacune devant une tasse de thé :
« — … et alors il s’est approché de moi et m’a dit : ‘‘Puis-je vous faire la cour’’ ?
— Et qu’est-ce que tu lui as répondu ?
— Je lui ai dit : ‘‘Mais bien sûr ! Je vais vous chercher un balai ! »
Germaine à Marie-Chantal :
« — Hier, je me suis fâchée avec une fille de mon immeuble !
— Pour quelle raison ?
— Elle m’a bloquée sur fesse-bouc, WhatsApp et Instagram…
— Quelle salope !!!
— Alors ce matin je l’ai bloquée dans l’ascenseur… Elle doit y être encore à l’heure qu’il est ! »
Jean-Luc, ce matin au café du coin devant un double triple-sec, en
compagnie de Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Cette fois-ci, c’est décidé : Je quitte définitivement ma meuf !
— Ah oui ? qu’est-ce qu’elle t’a encore fait ?
— Non, mais vous vous rendez-compte : Hier c’est allé trop loin !
— Ah bon ? Mais elle t’a fait quoi au juste ?
— Elle a jeté mes affaires en vrac dans la rue par la fenêtre et a changé les serrures de l’appartement ! »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« En fait, l’univers est majoritairement composé de protons, de
neutrons, d’électrons et d’une grande quantité de couillons… »
Jean-Paul se fâche avec Jean-Marc (pour une broutille) :
« — Mais t’es con, toi !
T’es vraiment con !
C’est pas possible ce que t’es con !
J’ai jamais vu un con pareil !
Tiens, c'est simple, s’il existait un concours de cons, tu finirais deuxième !
— Pourquoi seulement deuxième ?
— Parce que t’es trop con pour finir premier ! »
Les mêmes un peu plus
tard, plaisantant autour d’une bière :
« — Tu la connais, celle-là ?
— Laquelle ?
Je bordélise,
Tu bordélises,
Il bordélise,
Nous bordélisons,
Vous bord’Élysée !
— … ? »
Bon début de week-end à toutes et à tous !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
« Le pessimiste c’est celui qui dit : ‘‘Cela ne peut être pire !’’
« — À part les zoiseaux, les zéléphants, les zhommes, les zanimaux et les zalumettes, quel autre mot commence par « Z » ?
« — Les filles espère croiser le mec parfait.
Et les mecs cherchent la fille parfaite…
Sais-tu à cause de qui ?
— Non !
— De Playboy ! »
« — Docteur, j’ai un service à vous demander…
— Non, je ne souffre pas… J’aimerai seulement que mon mari devienne comme un taureau avec moi…
— Oh, mais c’est très facile. Déshabillez-vous et allongez-vous : On va commencer par les cornes ! »
« J’aime bien plaire, je l’avoue.
— Je te rappelle que je ne t’ai jamais obligé à les avaler !
— C’est vrai ! Mais je ne veux pas non plus te vexer… »
« — J’ai un truc entre les seins que je n’avais pas quand j’étais plus jeune…
— Mon nombril ! »
« — Tu peux me prêter ta voiture ?
— Non c’est juste pour aller à côté…
— Alors vas-y à pied ! »
« — Ma belle, si tu devines la réponse à l’énigme suivante, tu gagneras une nuit d’amour et de sensualité fantastique …
— Avec moi !
— Bof, quelle énigme ?
— Quel est l’animal qui a quatre pattes, une queue poilue et qui miaule ?
— Ouh là, c’est trop difficile, ça !!!
— Réfléchis un peu et tente ta chance. Sans ça j’irai demander à ta sœur, Marie-Paule.
— Ah oui ? Je dirai un crocodile !
— Bravo, tu as gagné ! Tu es vraiment une veinarde toi : Tant pis pour Marie-Paule ! »
« — Fait chier… demain c’est le week-end et ensuite c’est déjà lundi…
— Parce que ce matin, Germaine m’a souhaité de passer une bonne journée…
— Mais c’est gentil, ça…
— Non mais tu te rends compte !!!
— De quoi donc ?
— J’en ai marre qu’on me dise tous les matins ce que je dois faire de ma journée !
D’abord, je fais que ce que je veux, point barre ! »
« Finalement, les paysans demandent du blé à des fumiers pour ne pas être sur la paille… »
À 16 ans, c’est sûrement ta mère qui vient vérifier que tu ne te branles pas…
À 30 ans, c’est forcément un voleur qui vient te dépouiller voire te trucider.
Mais à partir de 50 ans, c’est ton genou quand tu le bouges.
Et passé 60 ans, c’est ton dentier quand tu ronfles.
— C’est un peu ça, effectivement… »
« — Qu’y a-t-il après 69, Jean-Marc ?
— Alors pourquoi tu as écrit ‘‘cracher les poils’’ ? »
« Je signale que si les tôles ondulées, les vaches aussi ! »
« — Allo Germaine !
— Au secours ! Je suis perdue en forêt… est-ce que tu peux venir me chercher avec Jean-Marc…
Ne me laisse pas seule avec lui, hein !
— Ok… Tu es où exactement ?
— Exactement… bé au pied d’un arbre ! »
« — Hier, j’ai passé ma soirée devant la télé…
— Oui… Tu savais toi que le meilleur moyen d’échapper à l’attaque d’un requin c’était de grimper à un arbre ?
— … ! »
« — Tu te souviens du jour où tu m’as demandée en mariage ?
— J’étais tellement émue que je n’ai rien pu dire pendant plus d’une heure…
— La plus belle heure de ma vie ! »
« — Les mecs, c’est comme les radiateurs…
— Bé simplement que quand ce n’est pas purgé de temps en temps, ça fonctionne mal ! »
« Le courriel du notaire ivoirien que j’ai reçu est formel : J’ai gagné le gros lot au tirage de l’EuroMillion… »
« — Je fais dans le trafic d’organes…
— C’est une critique ou une commande ? »
« — … et alors il s’est approché de moi et m’a dit : ‘‘Puis-je vous faire la cour’’ ?
— Je lui ai dit : ‘‘Mais bien sûr ! Je vais vous chercher un balai ! »
« — Hier, je me suis fâchée avec une fille de mon immeuble !
— Elle m’a bloquée sur fesse-bouc, WhatsApp et Instagram…
— Quelle salope !!!
— Alors ce matin je l’ai bloquée dans l’ascenseur… Elle doit y être encore à l’heure qu’il est ! »
« — Cette fois-ci, c’est décidé : Je quitte définitivement ma meuf !
— Non, mais vous vous rendez-compte : Hier c’est allé trop loin !
— Ah bon ? Mais elle t’a fait quoi au juste ?
— Elle a jeté mes affaires en vrac dans la rue par la fenêtre et a changé les serrures de l’appartement ! »
« — Mais t’es con, toi !
C’est pas possible ce que t’es con !
J’ai jamais vu un con pareil !
Tiens, c'est simple, s’il existait un concours de cons, tu finirais deuxième !
— Pourquoi seulement deuxième ?
— Parce que t’es trop con pour finir premier ! »
« — Tu la connais, celle-là ?
Tu bordélises,
Il bordélise,
Nous bordélisons,
Vous bord’Élysée !
— … ? »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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