Quand « Poux-tine » conférence…
Celui-là, quand il cause, on se demande s’il ne vit pas « ailleurs », « hors sol », dans les étoiles ou un monde imaginaire…
Pensez donc, l’autre jour, le président russe s’est longuement exprimé au cours d’un forum de discussions à Sotchi. Il y a surtout vanté le rôle de la Russie qui défendrait un « monde multipolaire » libre et pacifique face à l’Occident unipolaire, belliqueux et totalitaire quand il dit observer « la militarisation de l’Europe » à laquelle il promet une « réponse aux menaces ».
Moâ, j’aurai fait savoir mon désarroi face à des dépenses inutiles qui saignent le kon-tribuable et les générations futures, mais pas lui…
Il sait tout connaît tout, a un avis éclairé sur tout ! C’est le Mao-Tsé-tout du millénaire naissant : L’un avait un « livre rouge » dans lequel étaient déjà inscrites toutes les réponses à toutes les questions possibles et imaginables, eh bien « Poux-tine » est une lumière, la source lumineuse de toutes les vérités qui éclairent l’univers (connu et inconnu…) !
Ainsi, au passage, il qualifie de « piraterie » l’interception d’un pétrolier par la « Gauloisie-jupitérienne », qui vivrait « une situation de politique intérieure difficile ». Mon pays, pas le navire qui est d’ailleurs reparti livrer son pétrole de contrebande à l’Inde…
« Le pétrolier était sous le pavillon d’un pays tiers, en effet, avec un équipage international. Honnêtement, je ne sais dans quelle mesure il est lié à la Russie », a-t-il ajouté. C’est vrai quoi, il n’y a rien à en dire puisque « Poux-tine » joue l’autiste en omettant de dire qu’il a été chargé de pétrole – normal pour un pétrolier – dans un port russe de la Baltique…
Et puis l’équipage est commandé par un chinois, pas de Formose…
Par ailleurs, il dit suivre attentivement « la militarisation croissante de l’Europe ».
« La réponse aux menaces sera, pour le moins, très convaincante. Je dis bien la réponse. Nous n’avons nous-même jamais commencé une confrontation militaire », a-t-il assuré. Non, jamais et jamais aucune, ça tombe sous le sens…
Car là, c’est de l’autisme authentique pur et dur : Il n’a jamais envahi l’Ukraine. Probablement que ses troupes étaient invitées à faire du tourisme…
« Toutes les menaces d’une Russie agressive sont des paroles en l’air, mais il ne faut pas nous provoquer. »
Il est vraiment magnifique si c’est lui qui l’affirme… ou c’est son clone écervelé !
Un discours désarmant, probablement à usage exclusivement interne pour pouvoir dire que « l’Europe est responsable de l’absence de paix sur le sol ukrainien. Elle échouera dans sa recherche d’une défaite stratégique de la Russie », a-t-il clamé.
Pour ensuite mieux accuser les pays occidentaux de « fournir à l’Ukraine renseignements, armes, formation », et s’interroger sur la nécessité de « prendre des contre-mesures face à la militarisation de l’Europe » en assurant que la Russie « surveille de près les déclarations sur l’armée forte de l’Allemagne ».
Il a raison : mes grands-parents et mes arrière-grands-parents se sont battus pour réduire à trois fois rien les armées « Teutonnes & Prussiennes ». Et quand enfin elles ont repris de l’ampleur, l’Europe est entrée de plain-pied dans un second conflit mondial…
Que j’en reste inquiet…
« Les élites au pouvoir de l’Europe unie continuent d’attiser l’hystérie en disant que “la guerre avec les Russes est pratiquement à notre porte”. Ils répètent ces absurdités, ce mantra, encore et encore… Ils sont soit incroyablement incompétents s’ils y croient vraiment, car il est impossible de croire à ces absurdités, soit ils sont simplement malhonnêtes », a-t-il taclé. Lui, jamais il ne se remet en cause, ne s’interroge…
Il n’y a jamais eu aucun bombardement au-delà de la frontière de la Pologne, chacun peut se le dire, n’est-ce pas, ou comment se foutre de son propre peuple.
Et puis, l’Europe n’est jamais victime de cyber-attaque sur ses réseaux, comme on le constate tous les jours…
Puis il a justement accusé l’Europe d’empêcher un règlement de la guerre en Ukraine et de mener « une escalade permanente » du conflit.
Il a estimé que la Russie se battait contre « tout le bloc de l’Otan » en Ukraine et que l’armée russe avançait sur le front. « Le tigre de papier, c’est donc l’Otan ? », a-t-il ajouté, en réagissant à cette formule employée récemment par le président « ricain » (qui ne raconte que des âneries) pour qualifier la puissance militaire russe. « C’est impossible de croire que la Russie pourrait attaquer l’Otan », a-t-il soufflé à son auditoire dans le même geste : Il veut la Paix éternelle, lui, c’est bien évident.
« Vlad » s’est aussi qualifié de « président élu » et non de « tsar » et a prétendu « stupide » la décision de la Suède et de la Finlande de rejoindre l’OTAN : Sans doute que ces pays ne se sentaient pas du tout menacés !
Le président russe a précisé que Moscou n’avait jamais eu de problème avec ces deux pays nordiques (l’armée rouge s’y est même cassé les dents au siècle précédent) et que, en intégrant l’alliance militaire, « la Finlande et la Suède ont perdu les avantages de leur statut neutre ».
Il a ensuite tourné en dérision les accusations visant la Russie après plusieurs incidents de drones en Europe, affirmant que « l’hystérie attisée par les Européens » autour des drones russes sur le Vieux continent est fabriquée pour « détourner l’attention des problèmes en Occident ». D’un ton ironique, il a ajouté que l’armée russe n’a « pas de drones capables de voler jusqu’à Lisbonne ». Ce qui est exact : Ceux qui perturbent les trafics aériens des aéroports européens et inquiètent les autorités sont lancés depuis le voisinage de leurs cibles… probablement par des plaisantins !
Le président russe s’est ainsi amusé en promettant de ne plus « survoler le Danemark », où des fermetures d’aéroports ont eu lieu la semaine dernière.
« Je ne le ferai plus, c’est promis », a-t-il raillé : C’est donc lui qui l’a fait ou au moins commandé de le faire !
Mais Moscou nie toute responsabilité, alors que la Pologne et ses alliés de l’OTAN ont récemment abattu des drones russes (forcément pas russes) dans leur espace aérien et que plusieurs pays européens évoquent désormais la création d’un « mur de drones ». Probablement un mirage collectif !
« Vlad » a aussi accusé l’armée de Kiev de mener des frappes autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, sous contrôle russe et privée d’alimentation électrique externe depuis plus d’une semaine, menaçant de s’en prendre en riposte aux infrastructures énergétiques ukrainiennes. « Ils (les autorités ukrainiennes) ont encore des centrales électriques qui fonctionnent, des centrales nucléaires de leur côté. Qu’est-ce qui nous empêcherait de riposter ? Qu’ils y réfléchissent… », a-t-il lancé. Même pas une menace déguisée…
Le président russe affirmera aussi, dans sa logorrhée, que l’Ukraine « ferait mieux de chercher un accord ». Il assure que la Russie « n’impose pas de mobilisation forcée », contrairement à Kiev, et appelle les Ukrainiens « à fuir » leur armée.
S’il a oublié les 700.000 jeunes exilés russes – que j’en croise même souvent sur mes trottoirs parigots – qui vivent désormais ailleurs, il reconnaît néanmoins avoir « aussi des déserteurs », mais « moins qu’en Ukraine » (sans même parler des morts, des blessés et des handicapés), et dit espérer « que les dirigeants ukrainiens accepteront de négocier ».
Négocier quoi sinon leur reddition sans condition ?
Sur les avancées russes, « Poux-tine » aura affirmer que Kiev contrôle 0,13 % de la région de Louhansk et 19 % de celle de Donetsk, ainsi que la ville de Pokrovsk. Il ajoute que l’armée russe est entrée à Kostyantynivka et contrôle les deux tiers de Koupiansk. « Les forces militaires russes progressent sur l’ensemble du front ukrainien », a-t-il résumé.
Comme quoi, elles n’étaient pas forcément invitées… mais s’imposent sans faire la guerre à des ukrainiens bellicistes qui restent tout de même être « chez eux »…
Et ses troupes ne parviennent pas, depuis plus de trois ans, à réduire au silence ses ennemis.
« Vlad » estime par ailleurs que l’envoi à Kiev de missiles longue portée « ricains » Tomahawk serait « une nouvelle escalade » entre Moscou et Washington, alors que la vente de ces armements est prévue pour les Européens qui les livreront ensuite à l’Ukraine. « Employer des Tomahawk est impossible sans la participation directe de militaires américains (ce qui est vrai). Cela signifierait une nouvelle escalade (…), notamment dans les relations entre la Russie et les États-Unis. Ils ne changeraient pas la situation sur le terrain et les envoyer serait dangereux », a-t-il averti.
Il faut retenir également, que pour mieux assoir ses prétentions territoriales (et politiques et même diplomatiques : On reste entre gens civilisés), il est aussi revenu sur les origines du conflit, accusant « ceux qui se sont considérés comme vainqueurs » à la fin de la Guerre froide d’avoir voulu imposer « à tous des conceptions unilatérales et subjectives de la sécurité ».
« C’est devenu la véritable cause originelle non seulement du conflit ukrainien, mais aussi de nombreux autres conflits graves » du début du XXIème siècle, a-t-il soutenu, disant défendre un « monde multipolaire » face à l’Occident.
Pour la première proposition du dire, c’est aussi oublier que « les vaincus » ne se sont même pas battus : Ils se sont effondrés, sans un coup de fusil, même tiré en l’air.
Il doit y avoir une raison que « Poux-tine » et sa clique refusent de voir.
Quant à la seconde partie du dire, justement, « Poux-tine » est le défenseur d’un « monde unipolaire » centré sur les régimes autocratiques de Moscou – et ses alliés – appuyé par Pékin (et autres régimes sans liberté politique) et ses alliés.
Ils n’ont pas encore compris que pour se maintenir ainsi, il faut l’assentiment des peuples… pas seulement la volonté de quelques despotes autoproclamés.
Le maître du Kremlin a eu en revanche un ton plus doux à l’égard de Washington. « Nos pays, c’est connu, ont pas mal de divergences. Nos points de vue sur de nombreux problèmes mondiaux ne convergent pas. Pour de grandes puissances, c’est normal », a-t-il affirmé, parce qu’il estime être à la tête d’une encore « grande puissance », incapable de réduire la dissidence d’un voisin après bientôt 4 ans d’un conflit sanguinaire…
Il estime par ailleurs que l’administration « Trompe » était guidée par « les intérêts de son pays » et avait une « approche rationnelle ». En foutant le boxon tout autour du monde, y compris chez lui, sans concertation aucune jusqu’à s’en mettre plein les poches au passage ?
Un autiste, vous dis-je…
« Donald Trump est une personne qui peut écouter », a-t-il ajouté, en précisant que les deux hommes avaient discuté d’un règlement de la guerre en Ukraine et du rétablissement des relations entre leurs pays au cours de leur réunion en Alaska le 15 août.
Entre kleptomanes, on peut effectivement s’entendre…
Car la Russie est prête à soutenir le plan de « Trompe » pour Gaza s’il conduit à une solution à deux États, du moment que « Trompe » peut mettre la main sur les champs gaziers…
Concernant la proposition d’un organe international dirigé par « Tonio-Blase », il estime que « c’est un politicien expérimenté qui pourrait jouer un rôle positif », tout en jugeant qu’« il vaudrait mieux que Gaza soit gérée par l’administration Abbas ».
Forcément, ces deux-là n’ont pas la même espérance de vie…
La Russie « est en contact avec le Hamas » et il est essentiel que ce dernier « soutienne aussi » la démarche. Selon lui, « le problème de Gaza ne peut être résolu que par la création d’un État palestinien ».
C’est là qu’il se confirme autiste : Il se dit prêt à soutenir le plan « Trompe » alors que celui-ci n’a jamais envisagé un plan à deux États dont Israël ne veut pas…
Ou alors il est sourd et aveugle….
Et alors, il me faut vous rapporter ses commentaires sur le meurtre de Charlie Kirk qui illustrerait, d’après « Poux-tine » « la profonde fracture » aux États-Unis.
Mais si !
« Vlad » s’est permis de qualifier de « répugnant » le meurtre de l’activiste « ricain ».
Là, comme tout argumentation d’un provocateur populiste qui commence par énoncer une opinion à laquelle on ne peut qu’adhérer, il continue en énonçant que selon lui, ce drame illustre cette « profonde fracture » qui divise la société aux États-Unis : « C’est une atrocité répugnante, surtout parce qu’elle a été diffusée en direct. Nous l’avons tous vue. C’était vraiment répugnant, horrifiant. J’adresse mes condoléances à la famille de M. Kirk et à tous ses proches. Nous compatissons et ressentons de l’empathie. Ce qui s’est passé est un signe d’une profonde fracture dans la société (« ricaine »). Aux États-Unis, je ne pense pas qu’il y ait besoin d’aggraver la situation à l’extérieur parce que la direction politique du pays essaie de rétablir l’ordre à l’intérieur », a-t-il glissé devant son auditoire en oubliant les assassinats de sa propre administration, jusque dans ses prisons : Souvenez-vous de Navalny, empoisonné une première fois, exécuté dans son goulag pas la suite !
Probablement que le sort de son dissident était légitime aux yeux de « Poux-tine », puisque c’état un opposant, alors que Kirk aura été flingué par un cinglé qui aurait dû être interné…
Et puis le russe a évoqué la prolongation d’un an du traité de désarmement nucléaire New START, précisant que « le dialogue avec les États-Unis n’est pas simple, nous avons maintenant les missiles Oreshnik ». Il a proposé de prolonger volontairement les plafonds de têtes nucléaires si Washington faisait de même, tout en soulignant sa confiance dans le bouclier nucléaire russe en cas de refus « ricain ».
Mais il a également insisté sur l’importance de prendre en compte d’autres puissances dans les négociations futures : « S’il faut inclure la Chine, pourquoi ne pas inclure aussi la France et la Grande-Bretagne ? », a-t-il estimé, et a souligné que « de nombreuses questions restent, telles que la participation de la Chine ».
Il oublie le Pakistan, l’Inde, bientôt l’Iran et même Israël…
Pourtant il sait que ces pays existent puisqu’il a critiqué les pressions « ricaines » sur l’Inde et la Chine pour réduire leurs liens énergétiques avec Moscou. Selon lui, « l’imposition de tarifs plus élevés aux partenaires commerciaux de la Russie ferait grimper les prix mondiaux », obligerait la FED à maintenir des taux élevés et ralentirait l’économie des États-Unis. « Ça n’a pas de sens économiquement », ajoute-t-il.
Hélas si, ça a un sens, mais clairement, ce n’est pas favorable au libre-échange…
Et tant pis pour tout le monde.
Et enfin, il aura affirmé que l’économie mondiale « ne peut pas fonctionner sans le pétrole russe », qui, en bon prétentieux, prévient qu’en cas de coupure des approvisionnements, les prix dépasseraient la barre des 100 dollars le baril.
Une réponse aux propos de « Trompe », qui avait appelé l’Europe, l’Inde et la Chine à cesser d’acheter du pétrole russe afin de réduire la capacité de Moscou à financer sa guerre en Ukraine.
« Poux-tine », s’en tamponne : Il a sa flotte fantôme de pétrolier et ses prochains oléoducs pour continuer à toucher sa rente pétrolière : Et plus le prix du baril grimpe, plus il encaisse…
Il n’a donc pas encore tout bien compris.
En revanche pas un mot sur la cyberguerre, pas un mot sur les difficultés économiques de son pays, sur les pénuries diverses et variées sur l’inflation, sur les difficultés monétaires : En bon autiste – il n’a pas les nôtres qui sont également souvent trisomiques, au moins parmi nos « sachants » – il ignore ce qui ne l’intéresse pas, puisque ça n’existe pas !
Un exercice libre de la « bonne gestion » de « bon père de famille » d’un « petit-frère du peuple ». Un personnage dangereux même pour lui-même.
J’admire ! « Zézé-Amour » a raison : On n’en a pas d’aussi talentueux, nous !
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Celui-là, quand il cause, on se demande s’il ne vit pas « ailleurs », « hors sol », dans les étoiles ou un monde imaginaire…
Pensez donc, l’autre jour, le président russe s’est longuement exprimé au cours d’un forum de discussions à Sotchi. Il y a surtout vanté le rôle de la Russie qui défendrait un « monde multipolaire » libre et pacifique face à l’Occident unipolaire, belliqueux et totalitaire quand il dit observer « la militarisation de l’Europe » à laquelle il promet une « réponse aux menaces ».
Moâ, j’aurai fait savoir mon désarroi face à des dépenses inutiles qui saignent le kon-tribuable et les générations futures, mais pas lui…
Il sait tout connaît tout, a un avis éclairé sur tout ! C’est le Mao-Tsé-tout du millénaire naissant : L’un avait un « livre rouge » dans lequel étaient déjà inscrites toutes les réponses à toutes les questions possibles et imaginables, eh bien « Poux-tine » est une lumière, la source lumineuse de toutes les vérités qui éclairent l’univers (connu et inconnu…) !
Ainsi, au passage, il qualifie de « piraterie » l’interception d’un pétrolier par la « Gauloisie-jupitérienne », qui vivrait « une situation de politique intérieure difficile ». Mon pays, pas le navire qui est d’ailleurs reparti livrer son pétrole de contrebande à l’Inde…
« Le pétrolier était sous le pavillon d’un pays tiers, en effet, avec un équipage international. Honnêtement, je ne sais dans quelle mesure il est lié à la Russie », a-t-il ajouté. C’est vrai quoi, il n’y a rien à en dire puisque « Poux-tine » joue l’autiste en omettant de dire qu’il a été chargé de pétrole – normal pour un pétrolier – dans un port russe de la Baltique…
Et puis l’équipage est commandé par un chinois, pas de Formose…
Par ailleurs, il dit suivre attentivement « la militarisation croissante de l’Europe ».
« La réponse aux menaces sera, pour le moins, très convaincante. Je dis bien la réponse. Nous n’avons nous-même jamais commencé une confrontation militaire », a-t-il assuré. Non, jamais et jamais aucune, ça tombe sous le sens…
Car là, c’est de l’autisme authentique pur et dur : Il n’a jamais envahi l’Ukraine. Probablement que ses troupes étaient invitées à faire du tourisme…
« Toutes les menaces d’une Russie agressive sont des paroles en l’air, mais il ne faut pas nous provoquer. »
Il est vraiment magnifique si c’est lui qui l’affirme… ou c’est son clone écervelé !
Un discours désarmant, probablement à usage exclusivement interne pour pouvoir dire que « l’Europe est responsable de l’absence de paix sur le sol ukrainien. Elle échouera dans sa recherche d’une défaite stratégique de la Russie », a-t-il clamé.
Pour ensuite mieux accuser les pays occidentaux de « fournir à l’Ukraine renseignements, armes, formation », et s’interroger sur la nécessité de « prendre des contre-mesures face à la militarisation de l’Europe » en assurant que la Russie « surveille de près les déclarations sur l’armée forte de l’Allemagne ».
Il a raison : mes grands-parents et mes arrière-grands-parents se sont battus pour réduire à trois fois rien les armées « Teutonnes & Prussiennes ». Et quand enfin elles ont repris de l’ampleur, l’Europe est entrée de plain-pied dans un second conflit mondial…
Que j’en reste inquiet…
« Les élites au pouvoir de l’Europe unie continuent d’attiser l’hystérie en disant que “la guerre avec les Russes est pratiquement à notre porte”. Ils répètent ces absurdités, ce mantra, encore et encore… Ils sont soit incroyablement incompétents s’ils y croient vraiment, car il est impossible de croire à ces absurdités, soit ils sont simplement malhonnêtes », a-t-il taclé. Lui, jamais il ne se remet en cause, ne s’interroge…
Il n’y a jamais eu aucun bombardement au-delà de la frontière de la Pologne, chacun peut se le dire, n’est-ce pas, ou comment se foutre de son propre peuple.
Et puis, l’Europe n’est jamais victime de cyber-attaque sur ses réseaux, comme on le constate tous les jours…
Puis il a justement accusé l’Europe d’empêcher un règlement de la guerre en Ukraine et de mener « une escalade permanente » du conflit.
Il a estimé que la Russie se battait contre « tout le bloc de l’Otan » en Ukraine et que l’armée russe avançait sur le front. « Le tigre de papier, c’est donc l’Otan ? », a-t-il ajouté, en réagissant à cette formule employée récemment par le président « ricain » (qui ne raconte que des âneries) pour qualifier la puissance militaire russe. « C’est impossible de croire que la Russie pourrait attaquer l’Otan », a-t-il soufflé à son auditoire dans le même geste : Il veut la Paix éternelle, lui, c’est bien évident.
« Vlad » s’est aussi qualifié de « président élu » et non de « tsar » et a prétendu « stupide » la décision de la Suède et de la Finlande de rejoindre l’OTAN : Sans doute que ces pays ne se sentaient pas du tout menacés !
Le président russe a précisé que Moscou n’avait jamais eu de problème avec ces deux pays nordiques (l’armée rouge s’y est même cassé les dents au siècle précédent) et que, en intégrant l’alliance militaire, « la Finlande et la Suède ont perdu les avantages de leur statut neutre ».
Il a ensuite tourné en dérision les accusations visant la Russie après plusieurs incidents de drones en Europe, affirmant que « l’hystérie attisée par les Européens » autour des drones russes sur le Vieux continent est fabriquée pour « détourner l’attention des problèmes en Occident ». D’un ton ironique, il a ajouté que l’armée russe n’a « pas de drones capables de voler jusqu’à Lisbonne ». Ce qui est exact : Ceux qui perturbent les trafics aériens des aéroports européens et inquiètent les autorités sont lancés depuis le voisinage de leurs cibles… probablement par des plaisantins !
Le président russe s’est ainsi amusé en promettant de ne plus « survoler le Danemark », où des fermetures d’aéroports ont eu lieu la semaine dernière.
« Je ne le ferai plus, c’est promis », a-t-il raillé : C’est donc lui qui l’a fait ou au moins commandé de le faire !
Mais Moscou nie toute responsabilité, alors que la Pologne et ses alliés de l’OTAN ont récemment abattu des drones russes (forcément pas russes) dans leur espace aérien et que plusieurs pays européens évoquent désormais la création d’un « mur de drones ». Probablement un mirage collectif !
« Vlad » a aussi accusé l’armée de Kiev de mener des frappes autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, sous contrôle russe et privée d’alimentation électrique externe depuis plus d’une semaine, menaçant de s’en prendre en riposte aux infrastructures énergétiques ukrainiennes. « Ils (les autorités ukrainiennes) ont encore des centrales électriques qui fonctionnent, des centrales nucléaires de leur côté. Qu’est-ce qui nous empêcherait de riposter ? Qu’ils y réfléchissent… », a-t-il lancé. Même pas une menace déguisée…
Le président russe affirmera aussi, dans sa logorrhée, que l’Ukraine « ferait mieux de chercher un accord ». Il assure que la Russie « n’impose pas de mobilisation forcée », contrairement à Kiev, et appelle les Ukrainiens « à fuir » leur armée.
S’il a oublié les 700.000 jeunes exilés russes – que j’en croise même souvent sur mes trottoirs parigots – qui vivent désormais ailleurs, il reconnaît néanmoins avoir « aussi des déserteurs », mais « moins qu’en Ukraine » (sans même parler des morts, des blessés et des handicapés), et dit espérer « que les dirigeants ukrainiens accepteront de négocier ».
Négocier quoi sinon leur reddition sans condition ?
Sur les avancées russes, « Poux-tine » aura affirmer que Kiev contrôle 0,13 % de la région de Louhansk et 19 % de celle de Donetsk, ainsi que la ville de Pokrovsk. Il ajoute que l’armée russe est entrée à Kostyantynivka et contrôle les deux tiers de Koupiansk. « Les forces militaires russes progressent sur l’ensemble du front ukrainien », a-t-il résumé.
Comme quoi, elles n’étaient pas forcément invitées… mais s’imposent sans faire la guerre à des ukrainiens bellicistes qui restent tout de même être « chez eux »…
Et ses troupes ne parviennent pas, depuis plus de trois ans, à réduire au silence ses ennemis.
« Vlad » estime par ailleurs que l’envoi à Kiev de missiles longue portée « ricains » Tomahawk serait « une nouvelle escalade » entre Moscou et Washington, alors que la vente de ces armements est prévue pour les Européens qui les livreront ensuite à l’Ukraine. « Employer des Tomahawk est impossible sans la participation directe de militaires américains (ce qui est vrai). Cela signifierait une nouvelle escalade (…), notamment dans les relations entre la Russie et les États-Unis. Ils ne changeraient pas la situation sur le terrain et les envoyer serait dangereux », a-t-il averti.
Il faut retenir également, que pour mieux assoir ses prétentions territoriales (et politiques et même diplomatiques : On reste entre gens civilisés), il est aussi revenu sur les origines du conflit, accusant « ceux qui se sont considérés comme vainqueurs » à la fin de la Guerre froide d’avoir voulu imposer « à tous des conceptions unilatérales et subjectives de la sécurité ».
« C’est devenu la véritable cause originelle non seulement du conflit ukrainien, mais aussi de nombreux autres conflits graves » du début du XXIème siècle, a-t-il soutenu, disant défendre un « monde multipolaire » face à l’Occident.
Pour la première proposition du dire, c’est aussi oublier que « les vaincus » ne se sont même pas battus : Ils se sont effondrés, sans un coup de fusil, même tiré en l’air.
Il doit y avoir une raison que « Poux-tine » et sa clique refusent de voir.
Quant à la seconde partie du dire, justement, « Poux-tine » est le défenseur d’un « monde unipolaire » centré sur les régimes autocratiques de Moscou – et ses alliés – appuyé par Pékin (et autres régimes sans liberté politique) et ses alliés.
Ils n’ont pas encore compris que pour se maintenir ainsi, il faut l’assentiment des peuples… pas seulement la volonté de quelques despotes autoproclamés.
Le maître du Kremlin a eu en revanche un ton plus doux à l’égard de Washington. « Nos pays, c’est connu, ont pas mal de divergences. Nos points de vue sur de nombreux problèmes mondiaux ne convergent pas. Pour de grandes puissances, c’est normal », a-t-il affirmé, parce qu’il estime être à la tête d’une encore « grande puissance », incapable de réduire la dissidence d’un voisin après bientôt 4 ans d’un conflit sanguinaire…
Il estime par ailleurs que l’administration « Trompe » était guidée par « les intérêts de son pays » et avait une « approche rationnelle ». En foutant le boxon tout autour du monde, y compris chez lui, sans concertation aucune jusqu’à s’en mettre plein les poches au passage ?
Un autiste, vous dis-je…
« Donald Trump est une personne qui peut écouter », a-t-il ajouté, en précisant que les deux hommes avaient discuté d’un règlement de la guerre en Ukraine et du rétablissement des relations entre leurs pays au cours de leur réunion en Alaska le 15 août.
Entre kleptomanes, on peut effectivement s’entendre…
Car la Russie est prête à soutenir le plan de « Trompe » pour Gaza s’il conduit à une solution à deux États, du moment que « Trompe » peut mettre la main sur les champs gaziers…
Concernant la proposition d’un organe international dirigé par « Tonio-Blase », il estime que « c’est un politicien expérimenté qui pourrait jouer un rôle positif », tout en jugeant qu’« il vaudrait mieux que Gaza soit gérée par l’administration Abbas ».
Forcément, ces deux-là n’ont pas la même espérance de vie…
La Russie « est en contact avec le Hamas » et il est essentiel que ce dernier « soutienne aussi » la démarche. Selon lui, « le problème de Gaza ne peut être résolu que par la création d’un État palestinien ».
C’est là qu’il se confirme autiste : Il se dit prêt à soutenir le plan « Trompe » alors que celui-ci n’a jamais envisagé un plan à deux États dont Israël ne veut pas…
Ou alors il est sourd et aveugle….
Et alors, il me faut vous rapporter ses commentaires sur le meurtre de Charlie Kirk qui illustrerait, d’après « Poux-tine » « la profonde fracture » aux États-Unis.
Mais si !
« Vlad » s’est permis de qualifier de « répugnant » le meurtre de l’activiste « ricain ».
Là, comme tout argumentation d’un provocateur populiste qui commence par énoncer une opinion à laquelle on ne peut qu’adhérer, il continue en énonçant que selon lui, ce drame illustre cette « profonde fracture » qui divise la société aux États-Unis : « C’est une atrocité répugnante, surtout parce qu’elle a été diffusée en direct. Nous l’avons tous vue. C’était vraiment répugnant, horrifiant. J’adresse mes condoléances à la famille de M. Kirk et à tous ses proches. Nous compatissons et ressentons de l’empathie. Ce qui s’est passé est un signe d’une profonde fracture dans la société (« ricaine »). Aux États-Unis, je ne pense pas qu’il y ait besoin d’aggraver la situation à l’extérieur parce que la direction politique du pays essaie de rétablir l’ordre à l’intérieur », a-t-il glissé devant son auditoire en oubliant les assassinats de sa propre administration, jusque dans ses prisons : Souvenez-vous de Navalny, empoisonné une première fois, exécuté dans son goulag pas la suite !
Probablement que le sort de son dissident était légitime aux yeux de « Poux-tine », puisque c’état un opposant, alors que Kirk aura été flingué par un cinglé qui aurait dû être interné…
Et puis le russe a évoqué la prolongation d’un an du traité de désarmement nucléaire New START, précisant que « le dialogue avec les États-Unis n’est pas simple, nous avons maintenant les missiles Oreshnik ». Il a proposé de prolonger volontairement les plafonds de têtes nucléaires si Washington faisait de même, tout en soulignant sa confiance dans le bouclier nucléaire russe en cas de refus « ricain ».
Mais il a également insisté sur l’importance de prendre en compte d’autres puissances dans les négociations futures : « S’il faut inclure la Chine, pourquoi ne pas inclure aussi la France et la Grande-Bretagne ? », a-t-il estimé, et a souligné que « de nombreuses questions restent, telles que la participation de la Chine ».
Il oublie le Pakistan, l’Inde, bientôt l’Iran et même Israël…
Pourtant il sait que ces pays existent puisqu’il a critiqué les pressions « ricaines » sur l’Inde et la Chine pour réduire leurs liens énergétiques avec Moscou. Selon lui, « l’imposition de tarifs plus élevés aux partenaires commerciaux de la Russie ferait grimper les prix mondiaux », obligerait la FED à maintenir des taux élevés et ralentirait l’économie des États-Unis. « Ça n’a pas de sens économiquement », ajoute-t-il.
Hélas si, ça a un sens, mais clairement, ce n’est pas favorable au libre-échange…
Et tant pis pour tout le monde.
Et enfin, il aura affirmé que l’économie mondiale « ne peut pas fonctionner sans le pétrole russe », qui, en bon prétentieux, prévient qu’en cas de coupure des approvisionnements, les prix dépasseraient la barre des 100 dollars le baril.
Une réponse aux propos de « Trompe », qui avait appelé l’Europe, l’Inde et la Chine à cesser d’acheter du pétrole russe afin de réduire la capacité de Moscou à financer sa guerre en Ukraine.
« Poux-tine », s’en tamponne : Il a sa flotte fantôme de pétrolier et ses prochains oléoducs pour continuer à toucher sa rente pétrolière : Et plus le prix du baril grimpe, plus il encaisse…
Il n’a donc pas encore tout bien compris.
En revanche pas un mot sur la cyberguerre, pas un mot sur les difficultés économiques de son pays, sur les pénuries diverses et variées sur l’inflation, sur les difficultés monétaires : En bon autiste – il n’a pas les nôtres qui sont également souvent trisomiques, au moins parmi nos « sachants » – il ignore ce qui ne l’intéresse pas, puisque ça n’existe pas !
Un exercice libre de la « bonne gestion » de « bon père de famille » d’un « petit-frère du peuple ». Un personnage dangereux même pour lui-même.
J’admire ! « Zézé-Amour » a raison : On n’en a pas d’aussi talentueux, nous !
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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