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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 20 octobre 2025

Vous me savez passionné…

Alors quand la science m’éclaire, je suis ravi !
 
Ainsi, j’ai été au bord de la jouissance – intellectuelle, cela va sans dire – quand mon charmant secrétariat m’a fait savoir que mes éjaculations répétées et enviées dépendaient d’un autre organe qui ne serait ni au bout de mon sexe tendu, ni dans les tréfonds de mon cerveau primaire (vous savez bien, mon unique neurone en fonction…)
Et dire qu’on m’avait fait croire qu’on savait tout sur le fonctionnement de mon « nerfs honteux »…
 
Eh bien, pas du tout, car la recherche continue de lever le voile sur les mystères du corps humain. On en disait effectivement depuis toujours que le cerveau dirigeait seul le scénario du plaisir masculin : L’excitation, le point de bascule, l’éjaculation.
Or, une récente étude, publiée dans la revue Nature Communications par une équipe internationale de neurobiologistes, vient bousculer cette certitude : Elle révèle qu’un autre organe, longtemps considéré comme un simple relais d’exécution, jouerait en réalité un rôle bien plus décisif qu’on ne l’imaginait jusque-là.
 
Pour comprendre comment l’éjaculation se déclenche, des « trouveurs » (qui sont des « trouveuses », comme quoi elles restent aussi passionnées que moâ) ont utilisé la souris comme modèle.
Contrairement au rat, dont le comportement sexuel est des plus simples et quasi-réflexe, la souris présente des séquences de copulations répétées, plus proches de celles observées chez les sapiens-sapiens. Cela permet de suivre précisément chaque étape du comportement sexuel, de l’excitation initiale post-préliminaires à l’orgasme post-coïtale.
« Les rats peuvent faire de bons modèles pour étudier l’éjaculation précoce, mais les souris pourraient être plus adaptées pour comprendre le fonctionnement de la sexualité humaine, comment l’excitation se développe et comment l’éjaculation est régulée », affirme la sémillante neurobiologiste Constanze Lenschow qui aura piloté la recherche…
 
L’objectif de son travail était de déterminer si certains circuits nerveux, situés en dehors du cerveau, pouvaient jouer un rôle actif dans ce processus. Et en observant l’activité neuronale et musculaire à chaque étape, son équipe de scientifiques a pu cartographier les interactions entre signaux sensoriels, muscles et circuits nerveux, et mesurer leur influence sur le déclenchement de l’éjaculation.
Cette approche a permis de montrer que certains neurones, longtemps ignorés, jouent un rôle actif bien avant le moment de l’éjaculation, modulant l’excitation et le comportement copulatoire.
Comme le souligne l’affriolante Susana Lima (une de ses collègues tout autant intéressée par « la chose »), « la moelle épinière n’est pas simplement un relais passif exécutant les ordres du cerveau. Elle intègre les signaux sensoriels, réagit à l’excitation et ajuste sa réponse en fonction de l’état interne de l’animal. »
(J’aime bien l’idée d’être une bête en présence d’une belle…).
 
Autrement dit, les expériences qu’elles ont menées toutes les deux montrent que l’éjaculation n’est pas seulement commandée par le cerveau.
Ces « trouveuses-là » ont stimulé certains neurones situés dans la moelle épinière et ont observé que seuls certains muscles se contractaient, sans provoquer l’éjaculation complète.
Ça, j’aurai pu le leur dire depuis qu’on m’a fait torturer de gentilles grenouilles en électrocutant leur nerf sciatique en classe de première de lycée….
Et cela prouverait que la moelle épinière joue un rôle actif, en coordonnant plusieurs muscles et signaux pour déclencher le réflexe.
Ces neurones tiennent ainsi compte de l’état d’excitation et de l’activité sexuelle précédente : Quand ils sont désactivés, l’éjaculation est plus lente, le rythme des accouplements est perturbé et certaines tentatives échouent, montrant que la moelle épinière influence tout le comportement sexuel, pas seulement le réflexe final.
Si la science le dit…
 
Cette découverte réévalue donc notre vision du rôle du cerveau. La moelle épinière ne se contente pas d'exécuter un ordre : Elle intègre aussi les autres signaux du corps et ajuste le comportement sexuel en temps réel.
Pour les scientifiques, cela ouvre de nouvelles pistes pour comprendre des troubles sexuels comme l’éjaculation précoce ou retardée, en étudiant ces circuits précis plutôt que seulement le cerveau.
En révélant que la moelle épinière joue un rôle actif dans l’éjaculation et le comportement sexuel, cette étude inviterait aussi à repenser entièrement les interactions entre cerveau et corps, et ouvre de nouvelles perspectives pour mieux comprendre la sexualité et ses dysfonctionnements.
Admettons…
 
Notez que nous nous doutions bien, nous les kouillus, que nos éjaculations n’étaient pas le seul fait d’un « nerfs honteux » qui commandait notre activité sexuelle débridée depuis les tréfonds de nos cerveaux primaires…
Il nous faut aussi tout un environnement de sensualité extrême, qui met en jeu l’ensemble de nos sens et au moins la vue, l’audition, le toucher, en divers endroits plus ou moins bien localisés d’ailleurs (les zones érogènes) et une bonne part de fantasmes pour jouir et se réjouir du moment où « on lâche les chevaux »…
Autrement dit, on en passait aussi par notre réseau de nerfs sensoriels qui finalement circule à travers la moëlle épinière…
Et puis nous avons aussi vu les éjaculations de poissons rouges (et autres crustacés) qui ne brillent pas nécessairement par la puissance de leur intellect. Autrement dit, certaines espèces sans cerveau savent aussi se reproduire : Pensez donc aux arbres et autres fleurs qui éjaculent leur pollen aux quatre vents depuis leurs étamines…
Et c’est sans cerveau ni moëlle épinière.
 
En bref, j’ai rapidement changé de sujet après avoir signé quelques parapheurs et ce fut pour parler d’une autre découverte essentielle de la vie des bêtes.
 
On en sait un peu plus sur l’infidélité masculine qui reste un phénomène complexe et qui touche de nombreux couples.
Une étude récente menée par l’Université de New Hampshire révèlerait ainsi que l’âge joue un rôle crucial dans le comportement infidèle des hommes, avec un pic surprenant à 55 ans.
Surprenant, pas tant que ça puisqu’on parle bien du démon de midi…
 
En bref, l’infidélité masculine ne serait pas l’apanage de la jeunesse.
Quoique…
Cette étude « ricaine » révèle que plus les hommes vieillissent, plus ils sont susceptibles d’être infidèles. Il faut dire que certaines « pouliches » savent y faire dès que ça respire l’odeur du fric (et des métiers à fric, radiologue, dentiste, industriel…)
Un récent sondage Ipsos vient d’ailleurs corroborer ces résultats en présentant des chiffres soi-disant éloquents : 38 % des hommes entre 18 et 34 ans admettent avoir été infidèles. C’est 51 % pour la tranche d'âge 35-49 ans et 66 % pour les plus de 50 ans.
Normal me direz-vous : Plus le temps passe et plus les occasions d’infidélités se multiplient…
Mais l’étude « ricaine » va plus loin en identifiant 55 ans comme l’âge précis où les hommes seraient les plus susceptibles de tromper leur partenaire.
Ce « pic d’infidélité » coïncide d’ailleurs avec ce qu’on appelle communément la « crise de la cinquantaine », une période de questionnements profonds sur l’identité et les choix de vie.
Il est toujours temps de grandir au moins dans sa tête…
Moâ, ça m’a pris autour de mes 18 ans…
 
Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer ce phénomène : Soit un besoin de se prouver qu’on est encore capable de séduire (laissez-moi en rire !), soit une remise en question de la vie conjugale après de longues années de mariage (là, c’est plus sérieux, parce que bon, hein…) soit la peur du vieillissement et le désir de revivre une « seconde jeunesse » font la besogne (là encore, j’en rigole !).
Cela dit, ce n’est pas non plus une règle universelle : J’ai ainsi connu un Conseiller d’État, remarquable juriste, homme de principes et d’une rare rigueur morale, qui a trompé sa femme à l’âge dépassé de 80 balais avec « une minette » d’à peine 70 ans…
Ils étaient marrants tous les deux à se bécoter sur les bancs du jardin du Luxembourg (à « Paris-sur-la-plage »).
Et puis d’autres, à pas 20 ans, qui ont commencé dès le soir de leurs noces pour se tromper de chambre…
 
Comme quoi, le « nerf-honteux », télécommandé depuis le fin fond du cerveau primaire, pollué ou non par les sensations véhiculées par la moëlle épinière, ça peut faire faire n’importe quoi à n’importe qui.
C’est que finalement, ce n’est pas le plus important. Qui reste d’être capable d’assumer en « honnête-homme » ses propres âneries.
Ça aura été le problème d’un de mes potes qui en épouse une, en cloque jusqu’aux dents (j’étais son témoin) et qui en engrossait une autre qu’il voulait me refourguer « en deuxième main »…
Que la situation a fait des nœuds jusqu’à ce que les gamins soient devenus adultes à leur tour, et s’est dénouée quand le père de remplacement est mort d’avoir trop picolé (il devait avoir de bonnes raisons…) parce qu’en 30 ans, toute la région était au courant, sauf les intéressés…
Ou comment détruire des vies par manque de courage…
 
Je ne sais pas vous, mais moâ j’ai proposé à mon « secrétariat de compétition » de passer aux travaux pratiques pour vérifier toutes ces assertions et les remercier d’être devenu plus savant…
Sans succès, dois-je vous dire…
Alors bon début de semaine plus chanceux à toutes et tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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