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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 28 octobre 2025

Il a dû se passer quelque chose…

« Trompe » devait rencontrer « Poux-tine »…
 
… Sur le sol européen, chez « Or-Bahn », le séparatiste pro-russe hongrois qui lèche les bottes de ses anciens bourreaux pour un peu de gaz…
Bourreaux qui auront tout de même chassé les envahisseurs nazis, à une autre époque, hors d’une Hongrie de « Sisi-l’impératrice » qui ne sait plus qui elle est…
 
C’était tout de même osé après avoir violé le droit international positif et reçu à Anchorage en Alaska avec les honneurs, sans même envisager de l’arrêter pour le transférer dans les prisons de la Cour pénale internationale en attente de jugement, « Trompe » réinvite « Poux-tine », à Budapest, cette fois-ci, s’appuyant sur un autre autocrate qui se fout comme de l’an quarante des engagements de son pays à l’égard de ses partenaires européens…
Sauf que cette réunion au sommet, qui devait mettre un terme aux bains de sang en Ukraine ne s’est pas tenue…
C’est qu’il a dû se passer quelques chose…
 
Alors, on nous a envoyé divers indices et signaux pour fournir une explication plausible, notamment que certains dirigeants des pays de l’UE, et parmi eux plus particulièrement visé « Jupiter », étaient prêts à aller jusqu’au bout en forçant les États-Unis à entrer dans une guerre que ne voulait pas « Trompe », ni même « Poux-tine » qui n’a d’ailleurs jamais voulu envahir Kiev et le pays tout entier autour si on ne l’avait pas poussé dans ses derniers retranchements d’homme de paix universelle, et qui d’ailleurs continue à limiter la conscription et la nature de on engagement militaire, me fait-on remarquer…
C’est que pour être « éclairé » des véritables intentions des uns et des autres il faut relire les analyses qui insistent toujours sur les conditions nécessaires, y compris à l’arrière, qui exigeraient le « socialisme-authentique » comme dans la grande guerre patriotique ou comme en Chine, ce que ne nient ni Lavrov (souvenez-vous du pull CCCP en Alaska), ni l’armée russe, ex-rouge.
 
Mais du côté de l’UE, on aurait choisi l’escalade, et partout, en particulier en Roumanie, en Moldavie et en Hongrie, se sont accumulées les mises à feu.
Il faut dire que la Transnistrie s’est crue l’égale de Donesk… les fous.
Mais la torche serait tenue par des malades que sont derrière « Zèle-en-ski », des chefs d’État comme « Jupiter », « Étoile-de-mer » et tous ceux qui refusent de voir qu’ils sont sur un siège éjectable.
Alors que dans les autocraties, leur force c’est qu’il n’y a pas de siège éjectable : Le pays tout entier est nécessairement solidaire de son pilote… même solitaire !
Plus que jamais il y a là une crise de régime qui atteint les belligérants de la guerre en Ukraine avec au centre le « socialisme-authentique » (stalinien) et c’est sous ce prisme que l’on veut nous faire juger de jusqu’où irait la folie mégalomaniaque de notre « Jupiter-national ».
Et la musique commencerait à prendre…
 
Les plans de ladite réunion hongroise avançaient nous assurait-on. Le « sinistre »
magyar des Affaires étrangères était venu à Washington pour travailler à la planification de la réunion.
Alors qu’il était encore là, le secrétaire d’État « ricain » a même eu un appel téléphonique « productif » avec son homologue russe, puis a recommandé à « Trompe » d’annuler cette réunion avec « Poux-tine ».
On nous a affirmé que la question principale concernait la demande « ricaine » d’un cessez-le-feu immédiat.
Or, les Ruskofs n’auraient jamais accepté une telle chose.
 
En réalité, l’échange Rubio-Lavrov a eu lieu le lundi 20 octobre. Cela s’est produit après que « Zèle-en-ski » ait rencontré « Trompe » le 17 octobre, lors d’une réunion qui a été houleuse. La plupart des fuites dans la presse se sont concentrées sur deux choses : Le président a dit à l’ukrainien qu’il ne livrerait pas de missiles Tomahawk et que l’Ukraine devait accepter des concessions territoriales pour qu’un accord de paix puisse être conclu.
« Zèle-en-ski » était arrivé à la Maison-Blanche équipé de cartes montrant des cibles à l’intérieur de la Russie pour les Tomahawks fournis par les « Ricains ».
Il s’attendait à ce que Washington accepte le plan visant à frapper des infrastructures Russes, son complexe militaro-industriel et, très probablement, ses principaux organes de décision, y compris le Kremlin.
On se souvient que le 3 mai 2023, l’Ukraine avait lancé une attaque de drone contre le Kremlin, visant spécifiquement le bureau de « Poux-tine » (qui était ailleurs dans un de ses bunkers moscovites).
 
Les drones, c’est lent et interceptables, mais ils ont explosé sur le Kremlin, au centre de Moscou. Les Tomahawks, en revanche, ça vole beaucoup plus vite, près du sol, ça peut contourner les défenses aériennes et autres obstacles, et ça dispose d’une ogive hautement explosive de 1.000 livres capable de détruire des cibles durcies, avec des effets de souffle et de fragmentation qui peuvent largement tuer faisant de la cible du Kremlin une priorité ukrainienne élevée.
En bref, les Tomahawks pour l’Ukraine étaient destinés à donner une capacité de décapitation destinée à chasser Moscou de la guerre.
Or, l’offre d’envoyer des Tomahawks aurait des conséquences potentiellement désastreuses, en supposant que « Poux-tine » ait survécu à une telle attaque : La Russie dispose d’une capacité nucléaire tactique profonde, et une attaque par décapitation Tomahawk pourrait très bien conduire à une escalade nucléaire sans précédent.
Et peu importe qui lance ces missiles de croisières : Pour être efficaces, une collecte et une cartographie minutieuses des renseignements, bien au-delà des capacités de l’Ukraine, sont nécessaires. Une telle cartographie chercherait à masquer l’approche d’un Tomahawk vers sa cible désignée, et identifierait les menaces de défense aérienne, en particulier les radars.
Très probablement, pour vraiment fonctionner, au-delà de la cartographie et de l’imagerie qui seraient nécessaires, le brouillage et d’autres tâches devraient être effectués pour contrecarrer les contre-mesures russes. Des avions américains spéciaux capables devraient brouiller l’électronique ennemie, avec une portée appropriée pour soutenir les opérations Tomahawk.
 
Les États-Unis se sont sagement retirés de l’accord Tomahawk redoutant une escalade mais ont par la suite imposé de lourdes sanctions aux principales compagnies pétrolières russes : « Compte tenu du refus du président Poutine de mettre fin à cette guerre insensée, le Trésor sanctionne les deux plus grandes compagnies pétrolières russes qui financent la machine de guerre du Kremlin. Le Trésor est prêt à prendre d’autres mesures si nécessaire pour soutenir les efforts du président Trump pour mettre fin à une autre guerre. Nous encourageons nos alliés à se joindre à nous et à adhérer à ces sanctions ».
Ce qu’ils ont fait dans la foulée, en tout cas ceux de l’Otan.
 
La réponse de la Russie aux sanctions du département du Trésor a été rapide et furieuse, certains dirigeants russes affirmant que la Russie était maintenant en guerre avec les États-Unis.
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a ensuite déclaré : « Les nouvelles sanctions imposées par le département du Trésor américain à l’encontre de Rosneft et Lukoil ne poseront pas de problèmes à la Russie, qui a développé une forte immunité contre de telles restrictions. Cependant, ils envoient un signal contre-productif, y compris du point de vue du règlement ukrainien ».
 
Derrière la guerre de communiqués et de postures, c’est la confusion qui ressort entre ce que « Trompe » pensait avoir entendu de « Poux-tine » qui lui aurait dit et ce qu’il aurait pu réellement dire.
Rappelez-vous, « Trompe » avait déclaré qu’il considérait un cessez-le-feu et un accord territorial comme la manière dont tout accord avec la Russie pourrait être conclu.
Et peu de temps après l’appel, les porte-parole du Kremlin, suivis de commentaires publics de Lavrov, ont clairement indiqué que la Russie n’accepterait pas un cessez-le-feu sans résoudre les autres problèmes avec l’Ukraine (territoriaux, militaires et politiques).
Mauvaise interprétation ou mauvaise traduction d’une conversation téléphonique de deux heures ?
 
Mais il y a d’autres possibilités veut-on me faire savoir.
L’une d’entre elles est que « Poux-tine » était en effet d’accord avec « Trompe » au départ, mais qu’il s’est heurté à une forte résistance de la part de l’establishment de la sécurité russe, y compris de l’armée russe, qui lui aurait probablement dit qu’ils subiraient un grave revers s’ils acceptaient de mettre fin aux opérations.
De même, « Trompe » aurait essuyé des réactions négatives de la part de l’UE, dont certaines se reflètent dans des articles majeurs dans les médias européens, en particulier le très réputé Financial Times.
Mark Rutte, le secrétaire général de l’OTAN, a également pris des dispositions pour se rendre d’urgence à Washington.
Ainsi, veut-on que j’en conclusse, il se peut bien qu’au lieu d’un malentendu, il y ait au contraire eu trop de compréhension.
 
D’ailleurs, il convient de rappeler que « quelqu’un » a lancé des attaques contre des raffineries de pétrole hongroises et roumaines : Dans la nuit du 20 au 21 octobre 2025, une explosion s’est produite à la raffinerie MOL de Százhalombatta, en Hongrie.
Quelques heures plus tôt, le 20 octobre, une autre explosion s’est produite à la raffinerie de Lukoil à Ploieşti, en Roumanie…
Il n’y a pas de fumée sans feu et de signaux faibles qui fassent de si gros dégâts…
Car ces raffineries traitent le pétrole de l’oléoduc de Droujba.
Auparavant, l’Ukraine avait frappé l’oléoduc de Druzhba en Russie à plusieurs reprises à l’aide de drones, causant d’importants dommages causés par le feu d’une station de pompage dans la région de Briansk.
Pendant ce temps, des drones ukrainiens ont frappé la plus grande raffinerie de Rosneft à Riazan – la troisième frappe sur cette installation clé en moins de trois mois.
 
L’attaque contre la Hongrie est donc politiquement significative, car la Hongrie était censée être le site du sommet de Budapest.
Et juste avant ces attentats, la Pologne avait déclaré que si l’avion de « Poux-tine » se dirigeant vers Budapest traversait l’espace aérien polonais, il serait forcé d’atterrir et « Poux-tine » serait arrêté. Et s’il refusait d’obtempérer, il prenait le risque de se faire abattre : Après tout, c’est à la fois l’application de la jurisprudence du vol MH17 abattu au-dessus de Donetsk sans sommation par un Buk300 russe, ou de celle du vol Ryanair 4978 détourné par Minsk pour arrêter un dissident qui rejoignait Vilnius depuis Athènes…  
Résultat, le plan de vol prévoyait de passer autour de la Mer Noire, de traverser la Turquie puis de s’enfoncer au-dessus de la Roumanie ou la Bulgarie… ce qui restait risqué !
 
L’armée russe progresse très modestement en Ukraine, pas assez pour forcer les Ukrainiens à faire des concessions même si la Russie continue d’attaquer les infrastructures énergétiques de l’Ukraine et certaines cibles militaires profondes, ce qui a un certain impact. Mais c’est loin d’être suffisant pour forcer les dirigeants ukrainiens à un compromis avec la Russie.
Et c’est probablement cette profonde frustration à l’échelon politique de la Russie qui a d’abord conduit « Poux-tine » à appeler « Trompe » et à mettre une première offre sur la table.
Cette offre était probablement un cessez-le-feu avec des concessions territoriales à l’avance dans le cadre de l’accord, et cela a été rapporté par le Financial Times. « Trompe » en crétin-des-alpes qu’il peut être parfois, l’a interprété différemment, pensant que le cessez-le-feu viendrait en premier.
Le dilemme est simple : La guerre peut s’éterniser, mais les Russes doivent se décider s’ils peuvent réellement gagner la guerre, ou baisser le profil et s’accrocher à ce qu’ils ont obtenu jusqu’à présent.
Le problème avec le fait de s’accrocher, c’est que cela entraîne plus de victimes et de coûts économiques que la Russie ne peut pas supporter trop longtemps.
Pire encore, s’accrocher signifie que les problèmes internationaux de la Russie vont se multiplier et que son secteur commercial continuera à déprimer.
Les « ricains » font des percées dans le changement d’opinion en Inde, après un mauvais départ, et la Chine semble vaciller car elle pourrait être confrontée à des défis de leadership. Quoi qu’il en soit, la volonté de la Chine de soutenir la Russie soulève de sérieuses questions, y compris en interne où les purges se succèdent.
 
L’idée générale est que la Russie essaie de soutenir un très long front avec une armée relativement toute petite (maximum 700.000 soldats) qui ne peut pas se rassembler pour une attaque contre les centres névralgiques politiques et militaires de l’Ukraine. Et rien n’indique un changement dans cette équation opérationnelle.
Il n’y a pas d’intensification du recrutement en Russie et les dirigeants russes ne veulent pas d’une mobilisation de masse parce qu’elle serait interprétée comme une préparation à une guerre beaucoup plus large en Europe ce qui serait extrêmement impopulaire et dangereux pour son régime.
Les « ricains » ont beaucoup moins à perdre et peuvent continuer à fournir des armes à l’Ukraine en utilisant les ressources européennes.
Et poursuivre d’affaiblir la « Sainte-Russie » sans verser la moindre goutte de sang des Gis n’est pas pour déplaire.
 
Mais dans la réalité, la peur a changé de camp : « Poux-tine » redoute les Tomahawks. Il sait très bien qu’il n’est plus à l’abri nulle part en Russie, peu importe le nombre de ses gardes du corps qui sont remplacés tous les 4 mois, peu importe ses refuges et les moyens qu’il emploie pour se déplacer de l’un à l’autre.
C’est d’ailleurs la principale raison pour laquelle il ne prend pas l’avion au-dessus de l’Europe : Trop facile à abattre…
Il garde en souvenir le destin cruel de son « cuisinier », un temps à la tête des mercenaires du groupe « Wagner » Evguéni Prigojine, devenu son ennemi…  
Une erreur de manipulation d’une grenade à bord ou un missile perdu comme pour la caravelle Ajaccio-Nice (AF 1611), voire une petite bombe comme dans l’avion de « Big-Moustache » (Christophe de Margerie, patron de Total en exercice), ou le DC10 du vol UTA 772, dans le Ténéré…
Une affaire qui aura valu quelques jours de prison à « Bling-bling » que d’avoir oublié le passé et de chercher des financements illicites auprès de dictateurs infréquentables…
 
Les « services » ont de la mémoire : Voilà la véritable explication de cet échec Budapestois de l’ex-futur prix Nobel de la paix « ricain »…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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