Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 23 octobre 2025

Fuite des millionnaires : Ce qu’on veut ne pas vous dire…

Ou la vérité derrière l’exode des fortunes européennes
 
« Si on taxe les riches, ils vont partir ». Une assertion qui résonne régulièrement dans les débats politiques, brandie comme un argument choc contre toute réforme fiscale (alors qu’il faudrait s’y atteler pour en finir avec 50 % de la population qui n’entre même pas dans la première tranche du barème de l’IR : Un scandale qui démontre la paupérisation et la précarité de tous ceux-là !).
Et les médias relaient abondamment les départs médiatisés de quelques fortunes emblématiques, alimentant le narratif d’une « fuite des millionnaires » qui viderait l’Europe de ses capitaux. Certes, mais fumisterie tout de même…
La « fuite des millionnaires hors d’Europe » est certes un des « signaux faibles ». Mais celui-là a des implications fortes.
Un mouvement statistiquement marginal qui révèle l’émergence d’une « élite » hyper-mobile qui est contrainte de considérer la résidence et la citoyenneté comme des actifs à optimiser.
Et ça me chagrine.
 
Car ce phénomène se traduit aussi par une nouvelle compétition entre États pour attirer les capitaux mobiles. Les pays européens traditionnels concurrencent désormais des hubs plus agiles et fiscalement attractifs. Sans stratégies garantissant la prévisibilité réglementaire et la compétitivité, ils risquent de voir leur influence s’éroder.
L’enjeu n’est plus d’empêcher les départs, mais de s’adapter à ce « nomadisme patrimonial » en trouvant l’équilibre entre l’attractivité du capital et le pacte social équitable.
C’est que le nombre de millionnaires dans le monde ne cessant de grandir, un phénomène inverse et préoccupant s’observe au cœur des économies traditionnelles : L’année 2025, pour la première fois en une décennie, un pays européen, le Royaume-Uni, connaîtra la plus grande perte nette de millionnaires au monde !
Un phénomène qui touche l’ensemble du continent où on affiche également des soldes migratoires négatifs pour leurs populations fortunées, dans un contexte où l’Europe a perdu 2,1 % de ses millionnaires en 2024 tandis que l’Amérique du Nord progresse encore.
 
Cette « fuite des millionnaires » est probablement le symptôme d’une reconfiguration profonde des flux de capitaux mondiaux et de talents qui devrait interroger sur l’attractivité des économies européennes traditionnelles.
De nouveaux pôles de richesse émergent avec des stratégies d’attraction agressives, alors que les anciens bastions du grand-capital semblent perdre de leur superbe.
Il faut dire que bien des fortunes « sur le papier », ne sont que du vent, valorisé à un moment donné par des marchés d’échange lilliputiens démultiplié par le gigantisme du nombre de titres émis. Le jour où plus personne ne voudra de Bitcoins parce qu’on ne paye pas sa baguette de pain avec ça, sa valeur astronomique qui ne repose sur rien s’évaporera…
Mais c’est une autre histoire.
 
Historiquement un continent attracteur de richesses (notamment foncière et industrielle, du concret quoi), l’Europe voit sa position s’inverser, avec plusieurs de ses économies majeures devenant des sources nettes d’émigration de millionnaires.
Le cas du Royaume-Uni est emblématique : Autrefois l’un des principaux pôles d’attraction mondiaux, le pays est devenu un exportateur net de millionnaires depuis le vote du Brexit en 2016 !
Mais non, ça n’avait aucun impact sauf à générer que du bonheur…
Et cette tendance s’est accélérée de manière spectaculaire, avec une perte nette projetée de 9.500 « HNWIs » (pour High Net Worth Individuals comme on dit en Auvergne ou Particuliers fortunés en francilien-natif) en 2024, qui devrait plus que doubler pour atteindre un record absolu de – 16.500 en 2025.
 
Et ce phénomène ne se limite pas aux frontières britanniques : Pour la première fois, les trois plus grandes économies de la zone euro devraient également enregistrer des pertes nettes en 2025. Les projections font état de soldes migratoires négatifs de – 800 millionnaires en « Gauloisie-fiscale », – 400 en « Teutonnie-unifiée » et – 500 en Ibérie. D’autres pays européens, comme la « Norge-maritime » (– 150) ou la « Royale-Mocka-Baltique » (– 50), sont également touchés par cette tendance.
Et pendant que l’Europe de l’Ouest voit partir ses fortunes, de nouvelles destinations s’affirment comme les grands gagnants de cette redistribution.
 
On n’y trouve ni la Sainte-Russie-impériale, ni « l’Ukraine-dévastée », ni la « Chine-avancée », mais les Émirats arabes unis (EAU) qui confirment pour la troisième année consécutive leur statut de premier « aimant à richesse » au monde. Ils devraient accueillir un afflux net record de + 9.800 millionnaires en 2025, creusant l’écart avec leur principal concurrent, les États-Unis, qui anticipent un gain net de + 7.500 « HNWIs ».
La montée en puissance du Moyen-Orient est également illustrée par l’Arabie saoudite, qui connaît la plus forte progression dans le classement des pays attractifs avec un gain net attendu de + 2.400 « HNWIs ».
Des pays où il fait bon vivre dès que la climatisation fonctionne…
 
Mais paradoxalement, certains pays européens tirent remarquablement leur épingle du jeu. L’Europe du Sud, en particulier, émerge comme un nouveau centre de gravité pour la migration de richesse. La « Ritalie » (+ 3.600), ce qui fâche son voisin transalpin et « Jupiter » soi-même, la « Lusitanie-océanique » (+ 1.400) et l’Ελλάδα égéenne (+ 1.200) s’attendent à des afflux records, tandis que « l’Helvétie-alpine », valeur refuge traditionnelle, devrait attirer un solde net de + 3.000 millionnaires.
En parallèle, des destinations historiques semblent marquer le pas. Singapour (+ 1.600), l’Australie (+ 1.000) et le Canada (+ 1.000) enregistrent leurs plus faibles entrées nettes depuis plusieurs années, signe d’une concurrence mondiale accrue ou d’une possible saturation.
 
Les capitaux quittant l’UK, la « Gauloisie ou la « Teutonnie » ne traversent pas tous les océans. Une part significative est recaptée par des voisins européens ayant mis en place des stratégies d’attractivité ciblées, eux.
La décision de délocaliser un patrimoine et une famille est rarement mono-factorielle. Cela résulte d’une combinaison de « push factors » (facteurs de répulsion) qui rendent le pays d’origine moins attractif.
Et la fiscalité reste le déclencheur le plus visible des départs. Le Royaume-Uni illustre parfaitement ce « Wexit » (Wealth Exit) avec l’accélération spectaculaire des départs liée aux réformes fiscales récentes.
Principal catalyseur ? La suppression du statut « non-domicilié » (non-dom) en avril dernier (2025). Ce régime permettait aux résidents d’origine étrangère d’éviter l’impôt britannique sur leurs revenus et plus-values étrangers. Cette suppression, combinée aux hausses des impôts sur les plus-values (Capital Gains Tax) et sur les successions (Inheritance Tax), a créé un environnement défavorable à la préservation patrimoniale.
Dans d’autres pays comme la « Gauloisie-fiscale » ou la « Teutonnie-radicale » avec des taux marginaux de 40-50 % d’impôts sur le revenu, associés à une fiscalité lourde sur le patrimoine et les successions, constituent manifestement une incitation structurelle à rechercher des juridictions plus clémentes.
S’il n’y avait pas d’enfer fiscaux, il n’y aurait pas non plus de paradis fiscaux…
C’est comme ça. Et l’âge aidant, les millionnaires disparaissent aussi sûrement que le reste de la population : Il y a ceux qui veulent les remplacer et ceux qui les vire par haine du parvenu…
 
Mais au-delà de la fiscalité, c’est un climat d’incertitude qui pousse les « nantis » à nous délaisser pour compte. Se concentrer sur la seule fiscalité serait bien trop réducteur. Les détenteurs de capitaux sont également et avant tout guidés par l’aversion au risque et à l’incertitude.
Selon le rapport 2025 d’UBS sur les « family offices », leurs principales inquiétudes sont une guerre commerciale mondiale (70 % des sondés) et un conflit géopolitique majeur (52 %).
La fiscalité devient alors la « goutte d’eau » qui fait déborder le vase et déclencherait les stratégies d’exil.
 
L’instabilité politique et économique est un facteur de fond majeur. Au Royaume-Uni, les conséquences à long terme du Brexit continuent de peser, avec une croissance économique plus faible et un accès dégradé au marché unique européen, ce qui diminue son attractivité comme base d’affaires.
Plus largement, l’incertitude réglementaire, marquée par des changements de politiques fréquents, érode la confiance et complique la planification patrimoniale à long terme qui a besoin de certitudes pour prospérer.
La suppression du statut « non-dom » d’un trait de plume, après des décennies d’existence, est un exemple parfait de cette instabilité qui pousse les fortunes à chercher des cadres juridiques plus prévisibles.
Enfin, des facteurs qualitatifs liés au cadre de vie, bien que plus difficiles à quantifier, jouent un rôle croissant : La recherche d’un environnement plus sûr, d’un meilleur accès aux soins de santé ou à des systèmes éducatifs d’excellence pour les enfants, sont des considérations de plus en plus importantes dans la décision de relocalisation.
 
Un dernier facteur, souvent sous-estimé, est la capacité d’un pays à attirer de nouvelles fortunes pour compenser les départs. Le Royaume-Uni illustre bien ce point : La suppression du visa « Tier 1 Investor » en février 2022 a éliminé une voie d’entrée essentielle pour les investisseurs et entrepreneurs étrangers fortunés.
Cette politique, combinée à un durcissement général des cadres migratoires, crée un « déséquilibre croissant entre les richesses entrantes et sortantes ».
Un pays qui perd son attractivité fiscale tout en fermant ses portes aux nouveaux capitaux s’expose forcément à un solde migratoire négatif accéléré.
Et au-delà des facteurs de répulsion, la migration des fortunes est également tirée par un changement générationnel profond.
Les « Next-Gen HNWIs » (Génération X et Millennials), qui s’apprêtent à hériter de patrimoines colossaux, ont une approche de l’investissement et de la mobilité radicalement différente de celle de leurs aînés : Contrairement à la génération des baby-boomers, focalisée sur la préservation du capital, ces nouveaux millionnaires sont majoritairement des « preneurs de risques ».
Cette appétence pour le risque se traduit par une préférence marquée pour les classes d’actifs à forte croissance, comme le capital-investissement (private equity) et les cryptomonnaies, qui occupent une place de plus en plus importante dans leurs portefeuilles.
Cette stratégie les pousse à rechercher activement des écosystèmes financiers plus dynamiques, innovants et ouverts à ces nouvelles formes d’investissement.
Ils ne fuient donc pas seulement des contraintes, mais sont attirés par des environnements offrant de meilleures opportunités de croissance, qui peuvent se trouver en dehors des cadres économiques européens plus traditionnels.
 
Face aux « push factors » des économies traditionnelles, les pays qui réussissent à attirer les millionnaires déploient des stratégies d’attractivité sophistiquées, ou « pull factors », qui vont bien au-delà de la simple concurrence fiscale.
Les Émirats Arabes Unis illustrent parfaitement cette stratégie intégrée. Leur succès dépasse l’absence d’impôt sur le revenu : Ils combinent cadre réglementaire pro-business, stabilité politique régionale, infrastructures de classe mondiale et une régulation qui traite le « capital comme un partenaire et non comme une proie ».
 
Cette offre s’appuie sur des politiques migratoires proactives, notamment le programme « Golden Visa » lancé en 2019. Régulièrement assoupli, il offre des résidences de 5 à 10 ans conditionnées à des investissements immobiliers ou entrepreneuriaux, apportant la prévisibilité recherchée par les « HNWIs ».
D’autres hubs émergents comme Singapour, Hong Kong et l’Arabie Saoudite adoptent des stratégies similaires, misant sur des écosystèmes financiers solides et une stabilité politique pour attirer les capitaux.
Cependant, cette nouvelle génération n’abandonne pas complètement les centres traditionnels et continue de rechercher des opportunités dans des places fortes comme « l’Helvétie » et la « Grosse-pomme » (New York), témoignant d’une stratégie de diversification mondiale complexe.
 
D’ailleurs, au sein même de l’Europe, les pays qui attirent les fortunes ont développé des outils fiscaux et réglementaires spécifiques : « l’Helvétie-huguenote », havre de paix traditionnel, continue de séduire grâce à sa stabilité et à son régime fiscal du « forfait » (lump-sum). Ce dispositif permet aux nouveaux résidents, sous condition de ne pas exercer d’activité lucrative dans le pays, de s’acquitter d’un impôt calculé sur la base de leurs dépenses annuelles mondiales (souvent un multiple de leur valeur locative), et non sur leurs revenus et leur fortune réels : C’est un outil de prévisibilité fiscale puissant.
Plus récemment, l’Europe du Sud est devenue un laboratoire d’attractivité fiscale.
La « Ritalie-de-Mélodie » a mis en place un régime de « flat tax » très compétitif : Les nouveaux résidents peuvent opter pour un impôt forfaitaire annuel de 200.000 € (montant récemment doublé pour les nouveaux entrants) qui solde l’imposition sur l’ensemble de leurs revenus de source étrangère.
Et puis le pays est ce qu’il est avec son charme et ses merveilles…
 
D’autant que ce régime s’accompagne d’exemptions sur les droits de succession et les impôts sur la fortune pour les actifs détenus à l’étranger, offrant un package complet pour la gestion de patrimoine international.
La Lusitanie et Athènes ont également utilisé des régimes fiscaux favorables et des programmes de « visas dorés » pour attirer les capitaux, en les combinant avec l’attrait de leur style de vie. Mais, face au succès de cette stratégie, elle s’est éteinte récemment…
L’existence de ces « programmes de migration par investissement » (Residency/Citizenship by Investment) dans la quasi-totalité des pays attractifs démontre une évolution fondamentale : La résidence et la citoyenneté sont devenues des produits de marché !
Des firmes spécialisées conseillent à la fois les « HNWIs » et les gouvernements, transformant la migration patrimoniale en une compétition active où les États se positionnent comme des « fournisseurs de services » (sécurité, fiscalité, qualité de vie) pour une clientèle fortunée et globale.
 
Alors, si les chiffres de la migration des millionnaires sont frappants, une analyse complète impose de les interpréter avec un esprit critique en les remettant en perspective et en distinguant les différentes formes de mobilité.
Notamment, le terme « exode » suggère un mouvement de masse. Or, il est crucial de rapporter les chiffres de migration à la population totale de millionnaires. À l’échelle mondiale, les 142.000 migrants prévus en 2025 ne représentent qu’environ 0,24 % de la population mondiale de millionnaires, estimée entre 58 et 60 millions.
Le cas du Royaume-Uni est tout aussi parlant : Le pays compte environ 2,85 millions de millionnaires (en pound). Les 16.500 départs projetés pour 2025, bien qu’un record en nombre absolu, ne représentent qu’environ 0,6 % de cette population.
De même, l’Europe dans son ensemble abrite 5,7 millions de « HNWIs » et les quelques milliers de départs nets constituent donc une fraction infime du total.
Parler d’« exode » est donc une « hyperbole médiatique »… plutôt grossière.
Le phénomène est statistiquement marginal, même si sa signification symbolique et son impact en termes de capitaux déplacés (estimés à près de 92 milliards USD pour le seul Royaume-Uni en 2025) restent considérables.
 
Il est également essentiel de distinguer un changement de résidence fiscale d’un départ complet du pays. De nombreux « HNWIs » qui optimisent leur situation fiscale conservent des biens immobiliers, des participations dans des entreprises et une présence physique partielle dans leur pays d’origine, continuant ainsi à y contribuer économiquement et socialement.
Des enquêtes ont montré que des millionnaires très médiatisés, prétendument partis du Royaume-Uni pour des raisons fiscales, conservaient des profils professionnels indiquant qu’ils y étaient toujours basés.
Le phénomène de la « fuite des millionnaires » apparaît ainsi moins comme un mouvement de population que comme une construction narrative destiné à terroriser on ne sait plus qui.
Cette narration, promue par des acteurs ayant un intérêt commercial et amplifiée par les médias friands de chiffres chocs et de cas emblématiques, se concentre sur des données impressionnantes tout en omettant le contexte qui les entourent.
 
En conséquence, le véritable enjeu n’est peut-être pas tant la migration elle-même que l’utilisation de la menace de migration comme un puissant outil d’influence dans les débats sur la politique fiscale et économique.
Néanmoins, quand on avait noté « l’exil-fiscal » des années 80 (du dernier siècle du précédent millénaire) après la création de l’IGF, quand on voit le prix du mètre carré à Monaco que personne ne cite jamais, le PIB par tête dans le Grand-Duché du Luxembourg et quelques autres « niches territoriales » qui ressemblent furieusement à des lieux d’exode attractifs, on se demande bien pourquoi le législateur-rapace s’ingénie à inventer des « exit-taxes » et autres délires confiscatoires dans une course au « toujours plus » pour pourrir la vie du migrant putatif…
À vouloir couper toutes les têtes qui dépassent au nom de l’égalité, on ne peut que constater les effets délétères de la schizophrénie collective et collectiviste des « pilleurs » de richesses nationales : C’est aussi ça le terrorisme fiscal !
Le « savoir-faire » et le « faire savoir » à des fins manifestement électoralistes sinon démagogiques…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire