Le contre-budget du « Air-haine ».
C’était la semaine dernière. Comme tous les ans à peu
près à la même époque du calendrier parlementaire, le parti d’extrême droâte
tente de chasser, autant que possible, la mauvaise réputation dont il souffre
sur le plan économique.
Il faut dire que les lepénistes le savent : Pour accéder au pouvoir, la crédibilité économique n’est pas une option !
Or, ce n’est pas de « Marinella-tchi-tchi » qui est passée de la niaiserie du « Frexit » en 2017, dans le sillage du référendum du 23 juin 2016 sur le « Brexit » – qui aura accouché dans la douleur en un « claquement de doigts » en avril 2021 – à l’orthodoxie budgétaire honteuse en 2025, qui dira le contraire.
Elle aura mis le temps, mais est-elle désormais convaincante quatre ans plus tard ?
D’autant que sur le fond, les principales orientations
du « Air-haine » en la matière sont déjà connues : Il s’agirait
d’aller chercher 100 milliards d’euros d’économie (oui oui) en cinq ans, avec
l’objectif de faire passer, à terme, le déficit sous la barre des 3 % du PIB !
Merci Bruxelles ?
Un seuil fixé par nos engagements avec l’Union européenne et que « Marinella-tchi-tchi » qualifiait pourtant de « viol démocratique » en 2012.
Passons…
Car, bon : Admettons qu’il n’y a que les psychopathes qui ont des idées fixes et on sera rassuré.
Le « Air-haine » entend ainsi faire porter
l’effort indispensable prioritairement sur les dépenses publiques. Comment ? En
supprimant 80 agences ou opérateurs de l’État (sur le gros millier qui existe… c’est
ce que propose le gouvernement, qui irait même au-delà d’après ce que j’en ai
compris, même si on sait bien que ça fera soit des fonctionnaires en plus à
recaser ailleurs soit des chômeurs en plus à indemniser), tout en baissant le
nombre de fonctionnaires (la lubie de bien des « sachants » armés de
leurs tableaux Excel qui font dire n’importe quoi à n’importe quel chiffre) et
en instaurant « la préférence nationale » (une idée de « toton-Georges-Marché »,
PCF des années staliniennes), mais là, nouvelle lecture relevant de l’apartheid,
notamment du côté certaines aides sociales bénéficiant aux migrés.
On ne va pas être dans le kaka si le « migré » qui peuple les effectifs des personnels soignants, les nounous des beaux-quartiers, des ehpads de nos seniors et les jobs que personne ne veut en usine tombent malade sans être soignés…
Le « Air-haine » chiffre à 25 milliards les économies qui pourraient être réalisées en actionnant ce seul levier « immigration » de son plan.
Une paille : Pourquoi nous n’y avons pas pensé avant, SVP ?
Mais il n’y a pas que ça : Il envisage aussi la
baisse de la contribution tricolore à l’Union européenne !
10 milliards à grappiller.
La lutte contre la fraude sociale et fiscale : Encore 15 milliards à gagner comme s’il en pleuvait … et comme si personne n’avait rien fait jusque-là !
Une meilleure organisation de l’État ? Bien sûr, d’autant que c’est entre 10 et 30 milliards d’économies à aller chercher juste en claquant dans les doigts, une fois de plus !
En bref, sur le papier, le parti des fachos prétend ainsi avoir trouvé la formule que tout le monde attendait et qui va permettre à la mon pays de sortir de sa spirale du déficit.
C’est dire si tous les autres – ceux qui ne sont pas du « Air-haine », tous les « sachants » des « bourges-nantis » – ne savent décidément rien des réalités économiques et financières depuis plus de 50 ans !
Assertion sous-jacente vachement crédible que voilà…
Sauf que…
Sauf que, assez gênant pour le sérieux revendiqué, c’est
que les économies envisagées par le « Air-haine » apparaissent
largement surévaluées, un peu comme si personne ne savait compter dans le parti
à la flamme tricolore, ou n’avait pas appris avant de sortir du collège.
Un parti de cancres scolaires, peuplé de microcéphales ?
« Plusieurs évaluations ne me semblent pas raisonnables. En matière d’immigration, un rapport du Conseil d’analyse économique avait estimé en 2021 que l’impact de l’immigration sur les finances publiques se situait entre une perte de 0,5 % du PIB (– 15 milliards d’euros) et un gain de 0,5 % du PIB (+ 15 milliards d’euros).
Même en retenant l’analyse la plus pessimiste (un coût net de 15 milliards), je ne vois pas comment arriver à un gain net de 25 milliards d’euros », juge un ancien magistrat à la Cour des comptes et fondateur d’un site d’information sur les finances publiques.
Il a fini par abandonner la fiscalité pour se dire « spécialiste de la finance pue-blique ». Ce qui n’est pas pareil, même si ce sont deux choses forcément intiment liées.
Autre problème de crédibilité concernant le « contre-budget »
du « Air-Haine » : Certaines mesures préconisées, comme la
préférence nationale pour certaines prestations sociales se heurtent à la
Constitution.
Notez, on peut toujours changer de constitution avant de mettre en place les mesures.
Mais c’est un peu plus complexe qu’un simple claquement de doigts.
D’autant que « Les Sages » se sont déjà prononcés sur le fond de ces mesures, qui figuraient initialement dans la Loi immigration de 2023 (laquelle a été largement retoquée par le Conseil constitutionnel).
On peut aussi citer dans le même ordre d’idée le
rendement (très) incertain de la baisse de la contribution de la « Gauloisie-dispendieuse »
à l’UE : Si effectivement un gouvernement arrivait après d’âpres
négociations à obtenir à un rabais (ce qui est loin d’être évident), difficile
d’affirmer à l’avance que les économies réalisées seraient de l’ordre de 10
milliards.
Et qu’il faudrait donc les compter comme acquises pour bâtir un budget.
D’autant que même les « Brexiteurs » n’ont pas compris un « truc » des mécanismes de financement européen : Tout ce qui est contribution d’un pays revient tôt ou tard dans le dit pays en subvention… « BoJo », il se prenait par « Maggy-Tâte-chair » qui voulait revoir sa « money-back ». Et au total c’est l’UK de « Théière-Mais » qui a dû rembourser une facture de quelques 39 milliards de livres sterling (Msd£) à l'UE.
Il n’y a vraiment que les droits de douanes (sur importations et demain sur les exportations) qui restent une recette de l’UE…
Il faut dire que les lepénistes le savent : Pour accéder au pouvoir, la crédibilité économique n’est pas une option !
Or, ce n’est pas de « Marinella-tchi-tchi » qui est passée de la niaiserie du « Frexit » en 2017, dans le sillage du référendum du 23 juin 2016 sur le « Brexit » – qui aura accouché dans la douleur en un « claquement de doigts » en avril 2021 – à l’orthodoxie budgétaire honteuse en 2025, qui dira le contraire.
Elle aura mis le temps, mais est-elle désormais convaincante quatre ans plus tard ?
Merci Bruxelles ?
Un seuil fixé par nos engagements avec l’Union européenne et que « Marinella-tchi-tchi » qualifiait pourtant de « viol démocratique » en 2012.
Passons…
Car, bon : Admettons qu’il n’y a que les psychopathes qui ont des idées fixes et on sera rassuré.
On ne va pas être dans le kaka si le « migré » qui peuple les effectifs des personnels soignants, les nounous des beaux-quartiers, des ehpads de nos seniors et les jobs que personne ne veut en usine tombent malade sans être soignés…
Le « Air-haine » chiffre à 25 milliards les économies qui pourraient être réalisées en actionnant ce seul levier « immigration » de son plan.
Une paille : Pourquoi nous n’y avons pas pensé avant, SVP ?
10 milliards à grappiller.
La lutte contre la fraude sociale et fiscale : Encore 15 milliards à gagner comme s’il en pleuvait … et comme si personne n’avait rien fait jusque-là !
Une meilleure organisation de l’État ? Bien sûr, d’autant que c’est entre 10 et 30 milliards d’économies à aller chercher juste en claquant dans les doigts, une fois de plus !
En bref, sur le papier, le parti des fachos prétend ainsi avoir trouvé la formule que tout le monde attendait et qui va permettre à la mon pays de sortir de sa spirale du déficit.
C’est dire si tous les autres – ceux qui ne sont pas du « Air-haine », tous les « sachants » des « bourges-nantis » – ne savent décidément rien des réalités économiques et financières depuis plus de 50 ans !
Assertion sous-jacente vachement crédible que voilà…
Sauf que…
Un parti de cancres scolaires, peuplé de microcéphales ?
« Plusieurs évaluations ne me semblent pas raisonnables. En matière d’immigration, un rapport du Conseil d’analyse économique avait estimé en 2021 que l’impact de l’immigration sur les finances publiques se situait entre une perte de 0,5 % du PIB (– 15 milliards d’euros) et un gain de 0,5 % du PIB (+ 15 milliards d’euros).
Même en retenant l’analyse la plus pessimiste (un coût net de 15 milliards), je ne vois pas comment arriver à un gain net de 25 milliards d’euros », juge un ancien magistrat à la Cour des comptes et fondateur d’un site d’information sur les finances publiques.
Il a fini par abandonner la fiscalité pour se dire « spécialiste de la finance pue-blique ». Ce qui n’est pas pareil, même si ce sont deux choses forcément intiment liées.
Notez, on peut toujours changer de constitution avant de mettre en place les mesures.
Mais c’est un peu plus complexe qu’un simple claquement de doigts.
D’autant que « Les Sages » se sont déjà prononcés sur le fond de ces mesures, qui figuraient initialement dans la Loi immigration de 2023 (laquelle a été largement retoquée par le Conseil constitutionnel).
Et qu’il faudrait donc les compter comme acquises pour bâtir un budget.
D’autant que même les « Brexiteurs » n’ont pas compris un « truc » des mécanismes de financement européen : Tout ce qui est contribution d’un pays revient tôt ou tard dans le dit pays en subvention… « BoJo », il se prenait par « Maggy-Tâte-chair » qui voulait revoir sa « money-back ». Et au total c’est l’UK de « Théière-Mais » qui a dû rembourser une facture de quelques 39 milliards de livres sterling (Msd£) à l'UE.
Il n’y a vraiment que les droits de douanes (sur importations et demain sur les exportations) qui restent une recette de l’UE…
Autrement dit, tu réduis ta contribution, tu reçois
moins en retour.
Bref, on reste dans le domaine de l’évaluation « au doigt mouillé de cocaïne » propres aux amateurs…
D’autant qu’au-delà des économies, la partie recettes
fait également tiquer.
En effet le « Air-haine » propose des baisses de TVA, que ce soit sur l’énergie ou les produits de première nécessité, afin de relancer la consommation.
Pas rien et évalué à près de 20 milliards de manques à gagner pour l’État en termes de recettes, qui ne seraient compensés par aucune entrée fiscale, puisque le parti entend préserver (voir accélérer) une politique de l’offre, en baissant certaines contributions pour les entreprises.
Un positionnement visant seulement et finalement « à draguer » les milieux patronaux : « Il faut d’abord réduire les dépenses, avant de penser à relever les recettes. On a aussi besoin de donner des signes encourageants aux entrepreneurs et acteurs, qui pensent de plus en plus à partir », explique un sénateur « Air-haine » (eh oui, il y en a…).
Mais le « Air-haine » envisage aussi un
semblant de « justice fiscale », qui passerait par l’instauration d’un impôt
sur la fortune financière, dont le rendement est estimé à 4 milliards.
Même la NUPES n’en espère pas autant…
Toutefois, en l’état, les intentions du parti sont difficiles à suivre : Certains ont l’air de tenir à la mesure, d’autres ont eu du mal à dire du bien de la taxation des plus riches.
Et finalement « Marinella-tchi-tchi » s’est dit opposée à une « Taxe-Zut-man » ou à ce qui y ressemblerait.
« Moins de riches, ça ne fait pas moins de pauvres. Ça, pour le coup, c’est le logiciel de la gauche », défendait sur « Transinfo » la porte-parole du « Air-haine ».
Sur les plus hauts revenus, le parti est devenu sûr de son l’hostilité à la « taxe Zut-man ».
Qui n’est jamais qu’un retourn élargi aux biens professionnels, de l’IGF de « Mythe-errant » sous un autre nom…
Resteraient encore exonérés les « œuvres d’art » (et autres antiquités), le seul investissement, avec l’or, qui ne produit rien et ne donne de boulot à personne : Cherchez l’erreur…
« La position de Marine Le Pen, et du Rassemblement
national plus généralement, est la même que celle d’Emmanuel Macron »,
expliquait alors encore récemment « Gaby-Zut-Man », rappelant que
l’argument consistant à épargner « les biens professionnels » est le
même que celui utilisé par « Le-Cocu-cornu » pour contester
l’instauration de cet impôt plancher.
Cité par le site Atlantico, un économiste du libéral institut Montaigne, juge quant à lui la copie globale très faible : « Au fond, le contre-budget du RN combine des baisses d’impôts coûteuses comme celle sur la TVA, de nouvelles taxes sur les grandes entreprises et quatorze milliards d’économies non documentées. L’ensemble paraît peu soutenable ».
Pas très crédible, finalement.
Au final, le « Air-haine » propose 36
milliards d’euros d’économies avec 50 milliards de baisses des dépenses et 14
milliards de baisses des recettes…
Dont 32,4 milliards de « dépenses inefficaces » et 11,9 milliards d’économies sur la migration. Côté recettes, ce budget prévoit ainsi 45 milliards de baisses d’impôts et 31 milliards de recettes nouvelles.
Il propose de « remettre l’État à la bonne place, arrêter les dépenses inutiles, inefficaces, voire toxiques et surtout répondre aux préoccupations des Français », Ça c’est vendeur !
Et c’est quoi ces 32,4 milliards de « dépenses
inefficaces » ?
On vient de l’apercevoir : Parmi elles, la baisse de la contribution tricolore à l’Union européenne (8,7 milliards), celle des moyens dévolus aux « agences et opérateurs » de l’État (7,7) et celle de l’Aide publique au développement (7,7) (La fameuse subvention à Pékin pour le développement de nos amis chinois qui bouffent le pain sur le dos de nos OS des industries mécaniques et des métiers du tissage et de la maille…).
Autre poste d’économies (11,9 milliards), la migration,
donc. Avec notamment l’obligation de
cinq ans de travail à temps plein pour les étrangers qui souhaitent bénéficier
d’un certain nombre de prestations de solidarité, ou la transformation de
l’aide médicale d’État en aide médicale d’urgence.
Je te vous le dis, on va avoir des trottoirs jonchés de maladifs.
Déjà que sur le trottoir opposé à l’Hôtel Lutetia – par chez moâ – campent les roms-troubadours toutes les nuits… qui décampent avant les éboueurs pour faire de la récup’ dans les poubelles de la kapitale… Mais ceux-là ne sont jamais inquiétés.
Côté recettes, leur budget prévoit 45 milliards de
baisses ou de suppressions d’impôts (comme précisé ci-avant : Baisse de la
TVA sur les énergies, suppression de la TVA sur 100 produits de première
nécessité…) et 31 milliards de recettes nouvelles avec notamment cet impôt sur
la fortune financière qui ne plait pas à « Marinella-tchi-tchi » (ne
cherchez pas ailleurs le côté schizophrène du parti, c’est ce qui fait son charisme
de bande de konnards), une taxe sur les superdividendes, ou encore un énième
plan de lutte contre les fraudes qui n’en fera pas plus que ce qui est
actuellement fait avec difficultés.
Et le tout permettra d’envisager 7 milliards de nouvelles dépenses, notamment avec le dégel des prestations sociales, mais aussi le financement de la réforme des retraites du « Air-haine » chiffré à seulement 1,5 milliard pour un retour à la retraite d’antan.
Justement, sur la suspension de la réforme des
retraites prévue par le gouvernement dans le projet de budget de la Sécurité
sociale, « nous sommes pour », rappelle « Marinella-tchi-tchi ».
Mais il y a dans les textes budgétaires du gouvernement « des choix que l’on
ne peut pas soutenir », ajoute-t-elle, sans préciser si le « Air-haine »
pourrait s’abstenir sur le projet de budget de la Sécurité sociale pour laisser
passer cette mesure ou pour faire sauter le gouvernement !
C’est que c’est compliqué pour elle : Faire sauter « Le-Cornu-cocu », c’est prendre le risque d’une dissolution anticipée et de ne pas pouvoir présenter grand nombre de condamnés du parti, en commençant par elle…
Autrement dit faire une croix sur des financements bienvenus…
En conclusion, l’effarement, la phase de sidération
passée, pas bien sûr que cette année le « Air-haine » gagne en
cohérence et surtout en crédibilité : Ils ne sont décidément pas mûrs pour
prendre des responsabilités nationales !
Dommage, ils se sont pourtant préalablement « chauffés » dans quelques municipalités…
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Bref, on reste dans le domaine de l’évaluation « au doigt mouillé de cocaïne » propres aux amateurs…
En effet le « Air-haine » propose des baisses de TVA, que ce soit sur l’énergie ou les produits de première nécessité, afin de relancer la consommation.
Pas rien et évalué à près de 20 milliards de manques à gagner pour l’État en termes de recettes, qui ne seraient compensés par aucune entrée fiscale, puisque le parti entend préserver (voir accélérer) une politique de l’offre, en baissant certaines contributions pour les entreprises.
Un positionnement visant seulement et finalement « à draguer » les milieux patronaux : « Il faut d’abord réduire les dépenses, avant de penser à relever les recettes. On a aussi besoin de donner des signes encourageants aux entrepreneurs et acteurs, qui pensent de plus en plus à partir », explique un sénateur « Air-haine » (eh oui, il y en a…).
Même la NUPES n’en espère pas autant…
Toutefois, en l’état, les intentions du parti sont difficiles à suivre : Certains ont l’air de tenir à la mesure, d’autres ont eu du mal à dire du bien de la taxation des plus riches.
Et finalement « Marinella-tchi-tchi » s’est dit opposée à une « Taxe-Zut-man » ou à ce qui y ressemblerait.
« Moins de riches, ça ne fait pas moins de pauvres. Ça, pour le coup, c’est le logiciel de la gauche », défendait sur « Transinfo » la porte-parole du « Air-haine ».
Sur les plus hauts revenus, le parti est devenu sûr de son l’hostilité à la « taxe Zut-man ».
Qui n’est jamais qu’un retourn élargi aux biens professionnels, de l’IGF de « Mythe-errant » sous un autre nom…
Resteraient encore exonérés les « œuvres d’art » (et autres antiquités), le seul investissement, avec l’or, qui ne produit rien et ne donne de boulot à personne : Cherchez l’erreur…
Cité par le site Atlantico, un économiste du libéral institut Montaigne, juge quant à lui la copie globale très faible : « Au fond, le contre-budget du RN combine des baisses d’impôts coûteuses comme celle sur la TVA, de nouvelles taxes sur les grandes entreprises et quatorze milliards d’économies non documentées. L’ensemble paraît peu soutenable ».
Pas très crédible, finalement.
Dont 32,4 milliards de « dépenses inefficaces » et 11,9 milliards d’économies sur la migration. Côté recettes, ce budget prévoit ainsi 45 milliards de baisses d’impôts et 31 milliards de recettes nouvelles.
Il propose de « remettre l’État à la bonne place, arrêter les dépenses inutiles, inefficaces, voire toxiques et surtout répondre aux préoccupations des Français », Ça c’est vendeur !
On vient de l’apercevoir : Parmi elles, la baisse de la contribution tricolore à l’Union européenne (8,7 milliards), celle des moyens dévolus aux « agences et opérateurs » de l’État (7,7) et celle de l’Aide publique au développement (7,7) (La fameuse subvention à Pékin pour le développement de nos amis chinois qui bouffent le pain sur le dos de nos OS des industries mécaniques et des métiers du tissage et de la maille…).
Je te vous le dis, on va avoir des trottoirs jonchés de maladifs.
Déjà que sur le trottoir opposé à l’Hôtel Lutetia – par chez moâ – campent les roms-troubadours toutes les nuits… qui décampent avant les éboueurs pour faire de la récup’ dans les poubelles de la kapitale… Mais ceux-là ne sont jamais inquiétés.
Et le tout permettra d’envisager 7 milliards de nouvelles dépenses, notamment avec le dégel des prestations sociales, mais aussi le financement de la réforme des retraites du « Air-haine » chiffré à seulement 1,5 milliard pour un retour à la retraite d’antan.
C’est que c’est compliqué pour elle : Faire sauter « Le-Cornu-cocu », c’est prendre le risque d’une dissolution anticipée et de ne pas pouvoir présenter grand nombre de condamnés du parti, en commençant par elle…
Autrement dit faire une croix sur des financements bienvenus…
Dommage, ils se sont pourtant préalablement « chauffés » dans quelques municipalités…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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