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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 30 octobre 2025

Le bilan des 3 ans de « Giorgina-Mélodie »

La réalité serait-elle finalement cruelle…
 
En octobre 2022, « Giorgina-Mélodie » devenait présidente du Conseil des « sinistres rital » à la tête d’une alliance entre la droâte et l’extrême droâte, emmenée par son parti post-profasciste « Fratelli d’Italia » qu’elle préside depuis 2014.
Un schéma qui en fait bander plus d’un de ce côté-ci des Alpes…
Elle a gagné son fauteuil en remportant largement des élections parlementaires anticipées, à la suite de la décision du président Sergio Mattarella de dissoudre les deux chambres du Parlement sur fond de crise gouvernementale impossible à démêler : On en sait quelque chose sur « Paris-rives-de-la-Seine ».
Vous voyez donc la configuration ?
Et ça ne vous rappelle rien d’une autre blonde qui se la pète à faire campagne-permanente avec son gigolo qui fait « gendre-parfait » dans le civil…
 
Les similitudes ne sont pas que celles-là : Elle arrive au pouvoir dans un pays en crise politique, un pays endetté jusqu’au cou, mais aussi un pays asphyxié par une inflation à deux chiffres et un chômage élevé qui commencent salement à peser sur sa croissance. Le pays affichait alors une croissance de 4,8 % de son produit intérieur brut (PIB), selon les chiffres de la Banque mondiale. Un niveau supérieur à la moyenne des autres membres de l’Union européenne (3,5 %), que ne peuvent qu’envier les deux plus grandes économies du Vieux Continent que sont la « Gauloisie-jupitérienne » (2,6 %) et la « Teutonnie-Outre-Rhénane » (1,4 %).
Mais bon, à partir de 2022, la croissance « ritale » va rapidement déchanter. Elle tombe à 1 % en 2023, un chiffre récemment révisé à la hausse de 0,3 point.
Aujourd’hui, la croissance n’est pas au beau fixe : Au T2 de 2025, elle s’est affichée en repli (– 0,1 %) contre + 0,2 % sur l’ensemble de l’UE.
En cause le recul des exportations suite à la hausse des droits de douane de son « grand-pote » le « ricain-Trompe-tout-le-monde » sur les produits européens.
Dans ce contexte de guerre commerciale, le gouvernement a divisé par deux ses prévisions de croissance pour 2025. Il table désormais sur un petit + 0,6 % du PIB et peut-être + 0,7 % pour 2026.
 
Il faut dire que le pays est le quatrième exportateur au niveau mondial, derrière la Chine, les « ricains » et les « Teutons ». Ses exportations « ritales » – mode, ameublement, produits alimentaires et vin, matériaux, construction – représentent environ un tiers de son PIB.
Sur les huit premiers mois de 2025, l’excédent commercial du pays a atteint 32,6 Mds€. Le solde commercial était négatif en 2022 (– 41 Mds€). Mais « cela pouvait s’expliquer par la crise de l’énergie », l’invasion russe en Ukraine ayant entraîné une explosion des prix de l’énergie. Hors produits énergétiques d’ailleurs, la « Ritalie » enregistrait un excédent commercial de 86 milliards d’euros.
Un niveau que le pays ne devrait pas retrouver cette année, bien que ses échanges soient attendus dans le vert, car la production industrielle stagne, les entreprises pâtissant de difficultés économiques et d’un manque d’attractivité auprès des jeunes.
Si bien que le modèle « rital » « semble arriver petit à petit à bout de souffle ».
 
Avec un taux de 6 % en août dernier le chômage est à son plus bas niveau depuis 2007. Et il devrait continuer son repli en 2025 et 2026.
(Même si je ne suis pas de cet avis : Mais je peux me tromper…)
« Les perspectives restent favorables sur le marché du travail italien », affirment bien des analystes.
Trois ans plus tôt, le chômage se situait à 8,2 %.
Un niveau incompressible chez nous malgré les efforts « jupitériens ».
Pour autant, ce recul ne peut pas être directement attribué à la politique de « Giorgina » : « Ce sont des résultats de long terme, liés à la stabilité des réformes passées, comme la loi travail du démocrate Matteo Renzi de 2014 qui a bien fonctionné ».
Les chiffres du chômage en « Ritalie » seraient même trompeurs pour l’Institut européen de Florence : « Si l’on analyse la composition de l’emploi, on constate qu’il y a beaucoup de bas salaires et une croissance de l’emploi dans le secteur de l’innovation, où l’Italie n’est pas pionnière (les secteurs clés sont la manufacture textile et le tourisme), donc cela amène des doutes sur la durabilité de la croissance italienne à long terme », explique-t-on. Selon leurs « économistes », cette dynamique n’est pas suffisante pour protéger de la pauvreté les Italiens, qui subissent une forte pression sur leur panier de courses.
 
Comme ailleurs en Europe, l’inflation, elle, s’est fortement calmée en trois ans. En octobre 2022, la hausse générale des prix s’affichait à + 12,6 %. Au global, sur l’ensemble de cette année-là, elle s’est élevée à + 8,1 %, d’après « Lyne-Sait-ritale » (Istat). Soit l’un des pires niveaux de la zone euro et son plus haut niveau depuis quarante ans : « L’Italie n’avait pas connu de hausses de prix aussi fortes et persistantes depuis le milieu des années 1980 », confirme une autre analyse.
En cause là encore : L’explosion des prix de l’énergie.
Un an après l’arrivée de « Mélodie » aux commandes du pays, l’inflation était déjà redescendue sous la barre des 2 %, conformément à l’objectif fixé par la Commission européenne. Et l’est restée depuis, à l’exception de mars dernier. « Cette tendance a entraîné une légère augmentation du pouvoir d’achat des ménages », sans qu’il retrouve son niveau d’avant la pandémie de « Conard-virus », en raison d’une stagnation des salaires.
 
En revanche, s’il y a bien un sujet qui fait consensus, c’est l’amélioration des finances publiques transalpines. C’est même un « spectaculaire redressement » en l’espace de deux exercices budgétaires : Le déficit public « rital » s’élevait à 8,1 % en 2022 contre 3 % en 2025. Et sur la même période, la dette publique a reculé de 155 % à 135,3 % du PIB !
Et il y a des raisons à cette situation dont on pourrait s’inspirer à « Paris-sur-la-plage » : « Ce redressement est dû à des mesures budgétaires et à des réformes structurelles ». Le gouvernement de « Giorgina-Mélodie » a coupé dans la dépense publique, rompant avec ses prédécesseurs souvent qualifiés de trop dépensiers : Les investissements dans le système de santé et la culture ont été freinés, le « super bonus » pour la rénovation énergétique des bâtiments supprimé, tout comme le revenu de citoyenneté et une aide aux plus pauvres perçue par 2,5 millions de personnes.
Ce qui a dû faire mal, au moins autant qu’en Argentine…
L’État italien proche de l’obésité a aussi opéré des privatisations sélectives, cédant des parts dans la compagnie aérienne ITA, la banque Monte dei Paschi ou l’énergéticien Eni.
Il est cependant difficile d’attribuer entièrement le redressement économique du pays à « Giorgina » : « La tendance avait commencé avant son arrivée » !
Et puis, malgré ces améliorations des comptes publics, la « Ritalie » demeure fortement endettée : Sa dette représentant près de 3.000 milliards d’euros, l’une des plus élevées d’Europe !
Et ses perspectives à moyen terme s’avèrent plutôt maussades, compte tenu de sa faible productivité et de sa population vieillissante.
 
Ce qu’on ne peut pas lui retirer, c’est que pour rester « minoritaire » dans les urnes et au Parlement, mais assoir son pouvoir sur une alliance semble-t-il solide et sa politique de stabilité justement sans grandes réformes, lui permet de maintenir une popularité élevée (près de 30 % dans les sondages) et de durer… plus de trois ans, dans un pays qui, par son mode de scrutin, reste politiquement particulièrement instable, toujours à la recherche de compromis qui s’envole dès que le vent tourne.
Son principal échec restera le projet d’externalisation du droit d’asile en Albanie, qualifié de « flop total ».
Pour le reste, dans la vérité toute crue, « elle n’a pas fait grand-chose ».
 
Trois ans à la tête du gouvernement « Rital », c’est une longévité rare dans un pays habitué aux crises politiques à répétition. Depuis « Silvio-Berlu-la-quéquette-sauvage-en-liberté », aucun président du Conseil n’avait tenu aussi longtemps !
Et pour beaucoup d’observateurs, c’est justement parce qu’elle a évité les grands bouleversements que la cheffe du parti postfasciste « Fratelli d’Italia » est encore là : Le secret de sa longévité ?
Il est tout bête : « On a vu un revirement spectaculaire depuis son arrivée au pouvoir. Elle a eu l’intelligence de faire l’exact inverse de ce qu’elle avait promis en campagne », résume un journaliste correspondant à « Paris-sur-les-grands-boulevards » pour des quotidiens « ritaux ».
 
De farouche eurosceptique, elle s’est transformée en docile partenaire de Bruxelles en soutenant l’Ukraine et en s’alignant en « bon soldat aux ordres » sur l’Otan. Celle que ses adversaires redoutaient comme une héritière du néofascisme a surpris par son « pragmatisme » et son « humilité ». « C’est presque Mario Draghi avec une perruque blonde », ironise le journaliste « rital ».
Elle a rapidement compris : Le pays avait besoin de continuité. « Alors qu’elle avait voté contre sous Draghi, elle a tout de suite reconnu en arrivant au pouvoir que les 200 milliards du plan de relance européen seraient absolument nécessaires », souligne le directeur adjoint du département d’études de l’OFCE.
Même constat pour un prof’ de l’Université Côte d’Azur et à l’université à Rome : « Il n’y a pas de rupture avec le gouvernement précédent. La réussite de la dirigeante, c’est d’avoir su gérer les équilibres. »
 
On ne trouver aucune trace de remise en cause des réformes impopulaires menées depuis 2011, notamment celles des retraites. Elle a poursuivi le travail mis en place tout en étant la première bénéficiaire du plan de relance de l’UE.
Résultat ? La Bourse ritale a doublé de valeur, le chômage est tombé de 7,8 % à 6 %, et le déficit public devrait repasser sous la barre des 3 %. « Mais ce n’est pas grâce à elle : Elle récolte les fruits de dix ans d’efforts douloureux, des mesures des gouvernements précédents. Elle, elle n’a quasiment rien fait. »
 
Effectivement, durant 3 ans, « Giorgina » a donc été synonyme de « prudence, d’équilibre et de modestie ».
« En validant de facto tous les choix du gouvernement Draghi et en abandonnant les possibles ruptures scandées pendant sa campagne, elle a donné une politique très plate, sans secousse. »
Et ce choix de « survie » ne peut fonctionner qu’à « court terme ». Ses économistes reprochent même à son gouvernement de ne pas avoir de cap clair sur les investissements publics et privés, la transition écologique, l’innovation, etc.
« Elle a éliminé quelques mesures controversées comme le revenu de citoyenneté et le ''super bonus'' de la rénovation des immeubles. Aujourd’hui, la note de l’Italie est relevée par les agences de notation. Mais on va payer très cher le prix de cette réussite. Une fois l’impulsion du fonds européen terminée, il n’y a aucun projet de pays qui se dégage de ce gouvernement », préviennent-ils.
Autrement dit, la présidente du Conseil ne résout « aucun des problèmes italiens » – croissance faible, manque d’investissement, démographie. « Je ne m’attendais pas à ce qu’elle règle en trois ans des problèmes qu’on traîne depuis trois décennies mais son gouvernement ne commence même pas à proposer des solutions. On ne sait pas vers où il veut aller », affirme même l’un d’eux.
 
La dirigeante a fait « assez peu d’activité législative » peut-on observer. « Il y a eu quelques petits dossiers nauséabonds, comme sur la GPA. Mais au niveau des projets idéologiques, elle ne va pas très loin finalement ». Le seul coup d’éclat de « Giorgina », c’était son projet d’externalisation du droit d’asile des immigrés en Albanie, qui s’est soldé par un fiasco total. « C’est son plus gros échec. Ils ont construit des centres et ça a coûté très cher. Mais personne n’y a jamais été transféré. Le plan a été retoqué par la justice européenne. C’était un peu amateur, elle n’avait même pas vérifié si c’était juridiquement possible. »
D’ailleurs, même sur l’immigration – sa marque de fabrique – « Giorgina » a fini par ouvrir la porte à 500.000 travailleurs étrangers pour pallier la crise démographique ritale et la pénurie de main-d’œuvre.
« Alors qu’elle voulait presque construire des murs tout autour de la péninsule » et qu’elle a même été élue pour ça.
Et cette attitude séduit : Trois ans après son élection, « Fratelli d’Italia » atteint près de 30 % des intentions de vote !
Pas mal…
Mais « les attentes étaient si basses que Giorgia Meloni profite simplement du fait de ne pas faire de catastrophes ». Elle rassure Bruxelles, les marchés financiers et les opinions. « Je ne dirai pas qu’elle est aimée, mais elle est acceptée » en dit un journaliste local.
« Et elle parle simplement, ce qui donne une sorte de proximité avec les gens. Pour maintenir cette popularité, elle en fait le moins possible politiquement, et ça marche. »
 
C’est aussi une certaine forme de réussite : « Contrairement à la Hongrie avec Orban, l’Italie n’a pas subi de destruction de son État de droit. En trois ans, Giorgia Meloni s’est repositionnée jusqu’à devenir une démocrate chrétienne, gardant très peu son héritage d’extrême droite. Elle a démontré qu’elle était une pragmatique avant d’être une néofasciste. »
Assez pour être reconduite en 2027 ?
« Il y a de très grandes chances », estiment les spécialistes, notamment parce que la gôche est toujours et « encore en recomposition ».
Un peu comme chez nous où depuis qu’elle était devenue « plurielle » sous « Tonton-Yoyo », elle est passée par la phase éparpillée avant de se dissoudre dans un émiettement qui n’a même pas retrouvé son nom de « Front Pop’ »…
Quant à « Mélodie », « sa réussite, c’est aussi d’avoir renouvelé la figure de la droite qui était tenue par Berlusconi. Après sa mort, elle a récupéré cette capacité d’incarner une identité et s’est placée davantage au centre, elle qui était tout à droite de l’échiquier politique. »
Comme quoi, la « démocratie » (chrétienne celle-là, parce qu’on est en « Ritalie » papiste) ça reste contagieux.
Même chez les fascistes !
 
C’est finalement assez loin des objectifs des « ingénieurs du chaos » : Une fois au pouvoir, ils peuvent s’embourgeoiser et ne pas casser leur joujou comme d’autres s’y attèlent ailleurs.
Confirmation : La place est bonne !
Et le reste, ce n’était jamais qu’une affaire de « marketing-politique » comme une autre, rien de plus…
Cruelle réjouissance, au bout du bout.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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