Ce soir, « Bling-bling » doit dormir en
prison !
Il va pouvoir se refaire une santé (à la Santé, rue de la Santé cela va sans dire parce qu’elle accueille l’Hôpital Sainte-Anne où on interne aussi les dérangés du neurone…), loin des émeutes provoquées par son fiston au seuil de sa maison du quartier-privé de la Villa Montmorency – une enclave de parvenus dans le « beau-Paris-sur-la-Seine » du XVIème arrondissement, où crèche l’ex-première dame de la « Gauloisie-des-repris-de-justice »…
Et ils se sont mis à plusieurs pour nous annoncer des catastrophes à venir, incapables qu’ils sont d’accepter la réalité des faits !
Pour ceux-là, malgré toutes les explications technico-juridiques (parfaitement valides pour n’être jamais que l’effet des lois votées par le personnel politique quand il veut faire plier les juges), les motifs en droit qui justifieraient de l’incarcération de « Bling-bling » restent incompréhensibles à leurs yeux. N’est pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir… (ni sourd celui qui ne veut pas entendre !).
Ils en disent que la punition qui lui est infligée, alors qu’il a fait appel et doit donc être considéré comme « innocent », relève à l’évidence d’un règlement de compte judiciaro-politique.
Pas du tout !
Il fallait aussi expliquer ça à « Tapis » ex-sinistre de la Ville de « Mythe-errant », à « Alain-Carrie-gnon » « ex-sinistre du « Chi », à « Gens-Mi-Bucheron », ex-secrétaire d’État de « Mythe-errant » sous « Roro-Card », à « Jacquot-Toubib », ex-secrétaire d’État du Tourisme dans le gouvernement du « Chi » et à « Gorges-Tronc » ex-secrétaire d’État chargé de la Fonction publique dans le gouvernement de « Fifi-le-souteneur ».
Mais ce n’est pas pareil vous dira-t-on : « Bling-bling » aura été Président, pas seulement « sinistre de la République ».
Certes : On dira qu’il s’agit d’un « sinistre » qui est allé au bout de son plan de carrière, mais c’est une opinion qui ne résiste pas à l’analyse : Il est condamné comme un voyou avec ses petits-kamarades de fac quand il était « sinistre ».
Président, il aurait (et a été) immunisé par la constitution !
Personnellement, j’en veux surtout aux « politiques » qui réduisent les choix électoraux à la portion congrue de quelques égos surdimensionnés et à leurs « communicants » qui font élire par le bon peuple à peu-près n’importe quel voyou qui n’a jamais rien fait de ses dix doigts…
« Bling-bling » a fait des études de droit… à Nanterre, il est vrai, la fac de seconde zone avec Villetaneuse, il est même avocat, mais qu’a-t-il jamais plaidé ?
Même pas sa propre cause !
Parce que celui-là, on savait dès le départ que c’était un type « pas fréquentable ».
Tu penses, cocufier ma « cousine » ajaccienne après lui avoir fait deux gosses, pour aller engrosser la femme de son ami « Jacques-Marre-tain » après avoir piqué le fauteuil de maire du tonton (mon autre cousin de « Neuilly-sur-la-Seine ») et ensuite se réfugier entre les cuisses d’une charmante gourgandine sur le corps duquel tout le show-biz est passé et la mettre en cloque une dernière fois, c’est bien la preuve indubitable que ce gars-là ne comprend rien à rien à la vie, incapable de tenir sa queue dans son pantalon et multiplier les occasions d’échec sans jamais rien en apprendre…
Comme si se marier une seule fois ne suffisait pas…
Pire encore : Avant de rejoindre sa prison, « Bling-bling » a fait savoir urbi et orbi qu’il avait récemment reçu « J’ordonne-le-Bordel-là ». Ce n’est pas sans importance car, jusque-là, l’ex-président n’avait jamais concédé quoi que ce soit à ce parti d’extrême droâte.
Aura-t-il ainsi donné à cette occasion son approbation, son onction, à cette « union des droâtes » qui semble s’approcher ?
Perso j’y vois comme un passage de témoin entre deux générations de la voyoucratie ambiante, en tout cas celle de la dentelle fine, qui pète dans la soie, mange dans de la porcelaine fine dans les « beaux-quartiers » et celle des bas-quartiers qui veut bouffer du bourgeois pour se sentir roulée depuis des générations par l’Histoire qui passe sans elle (faute de comprendre comment ça marche pour ne pas en avoir assimilé les codes…).
Et que ça ne fait même pas peur au jeune kon de « Marinella-tchi-tchi » d’aller se faire adouber de la sorte dans cette « association de malfaiteurs » !
Quel prestige que voilà !
Alors que ça marque le destin d’un homme qui va marcher désormais vers sa perte.
Il faut dire aussi que ce sera la première fois qu’un ancien président de la République dormira en prison. L’ancien président est-il coupable, comme l’ont décidé les juges et comme je suis porté à le croire ?
Oui bien sûr, tout le monde en est d’accord des flics enquêteurs jusqu’aux juges du siège en passant par le parquet instructeur, les lanceurs d’alerte, les délateurs et les pourfendeurs : Il en faut des étapes et des éléments pour convaincre objectivement tous ces professionnels depuis la découverte des faits répréhensibles.
D’ailleurs, quels sont-ils, ces faits, à part d’avoir cru possible de piquer de l’argent à un dictateur sanguinaire ?
Bé justement, d’avoir envoyé « ChéChilia » libérer les infirmières bulgares prises en otages, qui a manqué de se faire violer par Kadhafi sous son tipi berbère et d’avoir usé des royales largesses de la diplomatie étatique de la quatrième (ou cinquième) puissance mondiale pour offrir aux amazones du cheptel de Mouammar le Libyen un « open bar » monumental dans les grands magasins parigots privatisés à l’occasion d’un dîner d’État à l’Élysée…
Il faut se remémorer « Yamaha-qu’à-des-Radés », secrétaire d’État aux droits de l’homme qui aura accueilli Kadhafi sur le tarmac d’Orly et déclare, ce 10 décembre 2007-là, dénoncer publiquement cette visite officielle. Son visiteur doit « comprendre que notre pays n’est pas un paillasson sur lequel un dirigeant, terroriste ou non, peut venir s’essuyer les pieds du sang de ses forfaits ».
Bé si, justement, avec « Bling-bling »… Entre voyous, finalement…
Ce qui vaut bien quelques séjours en prison, n’est-ce pas ?
Ou alors on n’aime pas mon pays des « droits-de-l’homme » et des Lumières…
Ce qui signifie également que la « Gauloisie-nauséeuse » aura été dirigée, pendant cinq ans, par un vrai malfaiteur, garant des institutions, chef des armées et défenseur de l’indépendance de la… Magistrature !
Mais si…
Et alors, ils sont nombreux à tenter de nous expliquer que finalement, des magistrats peuvent se tromper (il est innocent), ce que nul n’ignore (forcément), mais également se laisser même aveugler par la haine (ils sont partiaux), qu’elle soit d’origine politique ou corporatiste.
Il faut dire qu’avec « Rachi-Dada-Mimi », sa première « garde-des-sots » qui voulait tous « les aligner comme des petits-pois », elle lui aura bien savonner la planche (avant de se faire rattraper à son tour prochainement par ses propres vilenies).
Ce qui fait deux raisons d’être attristé car ces deux assertions présentées comme incontournables par certains, ne peuvent qu’affecter doublement l’image de mon pays et la confiance de nos concitoyens, que ce soit en leur justice ou en leurs élus.
De quoi s’inquiéter pour l’institution judiciaire de mon pays…
Aucun doute les suppôts de « Bling-bling » sont prêts à tout !
Quitte à piétiner ou laisser à d’autres le soin de le faire, une institution qui ressort du pouvoir régalien étatique : Sans justice autonome, ce serait le far-West à chaque coin de rue et la loi du plus fort et du plus rapide…
On souffre déjà assez comme ça, tous les jours, des incivilités bien puériles (en comparaison) mais récurrentes et restées à jamais impunies…
Alors, un gouvernement des juges ?
Ce serait une tendance qui traverse notre pays et parfois la magistrature, me fait-on aussi savoir, quand, notamment on a prétendu, après la pandémie de « Conard-virus », faire condamner d’anciens « sinistres de la Santé » pour mise en danger de la vie d’autrui, ou quand on attaque l’État en justice pour l’insuffisance de sa politique en matière climatique (parce qu’on n’hésite plus à marcher sur la tête avec le « pognon pas à soi »).
Mais il faut rappeler que c’est le peuple qui est souverain, non les juges, donc que c’est aux élections de trancher quant à la politique suivie, non aux tribunaux.
Et c’est aux élus de contraindre la magistrature à travers des lois nouvellement votées, s’ils estiment que c’est un progrès populaire (et électoral) : On sait faire des lois d’amnistie dans ce pays qui rendent caduque le pouvoir judiciaire de sanctionner (ce qu’on lui demande de faire habituellement)… et « nos élus » ont rarement été parcimonieux en la matière !
Ce qui ne dispense pas de respecter l’égalité des justiciables devant la loi, comme le veut notre Constitution et comme les magistrats ont le devoir de s’y plier. Si un élu viole la loi, il est juste qu’il soit sanctionné, et par les mêmes peines que n’importe qui. Et ils sont un sur deux à être condamné sans sursis à exécution en première instance.
C’est ce que vient de nous rappeler le tribunal judiciaire de Paris, confirmant par-là que nous vivons encore dans un État de droit.
D’ailleurs, « Domino-Vil-pain » aura mis en garde contre les attaques visant l’institution judiciaire. Et là, il a raison.
« Tous les reproches adressés à la justice sont dangereux pour notre démocratie », a-t-il déclaré. Tout en refusant de « commenter une décision de justice », il estime que « Nicolas Sarkozy se défend sur un terrain politique ».
Selon lui, « il invoque, et c’est son droit, la défense de son honneur, la vision qu’il a du dossier. Aujourd’hui, nous sommes dans un cadre qui est fixé par le droit et par la loi. C’est dans ce cadre-là que la décision a été rendue et je ne crois pas qu’il soit sain, dans notre démocratie, de contester ce cadre qui constitue l’État de droit ».
D’autant que ni « Bling-bling » ni ses avocats, ni ses complices (la bande de malfaiteurs) n’auront su convaincre les juges ou, finalement, démolir un « dossier en béton »…
Depuis le verdict, la présidente de la chambre correctionnelle du tribunal de « Paris-sur-la-plage », qui a ordonné l’incarcération de « Bling-bling » a reçu des menaces de mort. Deux enquêtes ont été ouvertes. Le Syndicat de la magistrature a notamment dénoncé le « silence assourdissant » de « Jupiter » (qui sent le vent du boulet de canon, quand on va enquêter sérieusement sur son patrimoine et ses sources passées d’enrichissement personnel) face à ces tentatives d’intimidations.
De son côté, « Bling-bling » continue de dénoncer une décision « infamante » (là il a bien raison : L’infamie, c’est de l’avoir laissé faire sans le contrarier, la bride sur le cou), estimant que « les limites de l’État de droit ont été violées » : Là encore il a raison pour avoir été le premier et le seul, dans ses dossiers, à les violer.
Il s’agit quand même d’un multirécidiviste qu’il convient de protéger de lui-même, puisqu’il ne s’arrête pas : Le volet Libyen (5 ans ferme), Affaire des écoutes (Azibert-Bismuth) 3 ans dont un ferme (aménagé), les comptes de la campagne de 2012 (Bygmalion), doublement condamné à un an ferme (1ère instance et appel, actuellement en Cassation, un arrêt qui sera rendu dans quelques jours), mis en examen pour la rétractation de Ziad Takieddine (qui ne vaut pas culpabilité), idem pour la coupe du monde au Qatar, une information judiciaire dans l’affaire Lagardère-Qatar, sous-enquête préliminaire dans l’affaire russe (Reso-Garantia).
Il est mis hors de cause dans l’affaire de Karachi mais a déjà bénéficié de l’immunité dans l’affaire de « Nanar-Tapis », celle de l’arbitrage du Crédit lyonnais, ainsi que dans celle des sondages de l’Élysée.
Trois délits présumés effacés par l’effet de la constitution…
Il aura bénéficié d’un non-lieu dans l’affaire « Bête-en-court » et dans celle des pénalités des comptes de campagne qu’il aura remboursé au parti sans qu’on ne sache d’où provient ses 363.615 euros.
Même le mek qui partait en Belgique depuis la rue Vaugirard et s’est fait piquer avec sa mallette aux billets par les douanes, gare du Nord, il n’a jamais dit d’où ses mégas euros venaient et à quoi il devait servir…
Et puis il y aura probablement prescription pour tous les « autres viols » de l’État de droit…
Que d’ailleurs, le prochain où même le Conseil Constitutionnel s’est fait rouler, c’est son « Bling-bling-au-thon » soi-disant financé par des sympathisants dont certains ont assuré que c’est « sûrement pas » et qu’on recherche toujours les kontribuables qui auraient bénéficié du crédit d’impôt attaché à leur don.
Ça en aura fait marrer quelques-uns, alors que d’autres ont été écœurés, a commencé par « J’y-Elfe-Coopé », président du parti à ce moment-là, qui aura fini par faire détruire les fichiers pour éviter un contrôle un peu plus pointu, parce que les relevés de banques ne correspondent pas du tout…
En bref, « Bling-bling » aura l’occasion de se faire une santé et d’écrire son bouquin pour crier sa vérité : Au moins, il enrichira peut-être un éditeur, fera rentrer un peu de la TVA au taux de « D’Jack-Langue » et on aura une nouvelle fois l’occasion d’en rire.
Merci aux magistrats qui ont eu les kouilles de nous faire vivre ces moments intéressants.
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Il va pouvoir se refaire une santé (à la Santé, rue de la Santé cela va sans dire parce qu’elle accueille l’Hôpital Sainte-Anne où on interne aussi les dérangés du neurone…), loin des émeutes provoquées par son fiston au seuil de sa maison du quartier-privé de la Villa Montmorency – une enclave de parvenus dans le « beau-Paris-sur-la-Seine » du XVIème arrondissement, où crèche l’ex-première dame de la « Gauloisie-des-repris-de-justice »…
Et ils se sont mis à plusieurs pour nous annoncer des catastrophes à venir, incapables qu’ils sont d’accepter la réalité des faits !
Pour ceux-là, malgré toutes les explications technico-juridiques (parfaitement valides pour n’être jamais que l’effet des lois votées par le personnel politique quand il veut faire plier les juges), les motifs en droit qui justifieraient de l’incarcération de « Bling-bling » restent incompréhensibles à leurs yeux. N’est pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir… (ni sourd celui qui ne veut pas entendre !).
Ils en disent que la punition qui lui est infligée, alors qu’il a fait appel et doit donc être considéré comme « innocent », relève à l’évidence d’un règlement de compte judiciaro-politique.
Pas du tout !
Il fallait aussi expliquer ça à « Tapis » ex-sinistre de la Ville de « Mythe-errant », à « Alain-Carrie-gnon » « ex-sinistre du « Chi », à « Gens-Mi-Bucheron », ex-secrétaire d’État de « Mythe-errant » sous « Roro-Card », à « Jacquot-Toubib », ex-secrétaire d’État du Tourisme dans le gouvernement du « Chi » et à « Gorges-Tronc » ex-secrétaire d’État chargé de la Fonction publique dans le gouvernement de « Fifi-le-souteneur ».
Mais ce n’est pas pareil vous dira-t-on : « Bling-bling » aura été Président, pas seulement « sinistre de la République ».
Certes : On dira qu’il s’agit d’un « sinistre » qui est allé au bout de son plan de carrière, mais c’est une opinion qui ne résiste pas à l’analyse : Il est condamné comme un voyou avec ses petits-kamarades de fac quand il était « sinistre ».
Président, il aurait (et a été) immunisé par la constitution !
Personnellement, j’en veux surtout aux « politiques » qui réduisent les choix électoraux à la portion congrue de quelques égos surdimensionnés et à leurs « communicants » qui font élire par le bon peuple à peu-près n’importe quel voyou qui n’a jamais rien fait de ses dix doigts…
« Bling-bling » a fait des études de droit… à Nanterre, il est vrai, la fac de seconde zone avec Villetaneuse, il est même avocat, mais qu’a-t-il jamais plaidé ?
Même pas sa propre cause !
Parce que celui-là, on savait dès le départ que c’était un type « pas fréquentable ».
Tu penses, cocufier ma « cousine » ajaccienne après lui avoir fait deux gosses, pour aller engrosser la femme de son ami « Jacques-Marre-tain » après avoir piqué le fauteuil de maire du tonton (mon autre cousin de « Neuilly-sur-la-Seine ») et ensuite se réfugier entre les cuisses d’une charmante gourgandine sur le corps duquel tout le show-biz est passé et la mettre en cloque une dernière fois, c’est bien la preuve indubitable que ce gars-là ne comprend rien à rien à la vie, incapable de tenir sa queue dans son pantalon et multiplier les occasions d’échec sans jamais rien en apprendre…
Comme si se marier une seule fois ne suffisait pas…
Pire encore : Avant de rejoindre sa prison, « Bling-bling » a fait savoir urbi et orbi qu’il avait récemment reçu « J’ordonne-le-Bordel-là ». Ce n’est pas sans importance car, jusque-là, l’ex-président n’avait jamais concédé quoi que ce soit à ce parti d’extrême droâte.
Aura-t-il ainsi donné à cette occasion son approbation, son onction, à cette « union des droâtes » qui semble s’approcher ?
Perso j’y vois comme un passage de témoin entre deux générations de la voyoucratie ambiante, en tout cas celle de la dentelle fine, qui pète dans la soie, mange dans de la porcelaine fine dans les « beaux-quartiers » et celle des bas-quartiers qui veut bouffer du bourgeois pour se sentir roulée depuis des générations par l’Histoire qui passe sans elle (faute de comprendre comment ça marche pour ne pas en avoir assimilé les codes…).
Et que ça ne fait même pas peur au jeune kon de « Marinella-tchi-tchi » d’aller se faire adouber de la sorte dans cette « association de malfaiteurs » !
Quel prestige que voilà !
Alors que ça marque le destin d’un homme qui va marcher désormais vers sa perte.
Il faut dire aussi que ce sera la première fois qu’un ancien président de la République dormira en prison. L’ancien président est-il coupable, comme l’ont décidé les juges et comme je suis porté à le croire ?
Oui bien sûr, tout le monde en est d’accord des flics enquêteurs jusqu’aux juges du siège en passant par le parquet instructeur, les lanceurs d’alerte, les délateurs et les pourfendeurs : Il en faut des étapes et des éléments pour convaincre objectivement tous ces professionnels depuis la découverte des faits répréhensibles.
D’ailleurs, quels sont-ils, ces faits, à part d’avoir cru possible de piquer de l’argent à un dictateur sanguinaire ?
Bé justement, d’avoir envoyé « ChéChilia » libérer les infirmières bulgares prises en otages, qui a manqué de se faire violer par Kadhafi sous son tipi berbère et d’avoir usé des royales largesses de la diplomatie étatique de la quatrième (ou cinquième) puissance mondiale pour offrir aux amazones du cheptel de Mouammar le Libyen un « open bar » monumental dans les grands magasins parigots privatisés à l’occasion d’un dîner d’État à l’Élysée…
Il faut se remémorer « Yamaha-qu’à-des-Radés », secrétaire d’État aux droits de l’homme qui aura accueilli Kadhafi sur le tarmac d’Orly et déclare, ce 10 décembre 2007-là, dénoncer publiquement cette visite officielle. Son visiteur doit « comprendre que notre pays n’est pas un paillasson sur lequel un dirigeant, terroriste ou non, peut venir s’essuyer les pieds du sang de ses forfaits ».
Bé si, justement, avec « Bling-bling »… Entre voyous, finalement…
Ce qui vaut bien quelques séjours en prison, n’est-ce pas ?
Ou alors on n’aime pas mon pays des « droits-de-l’homme » et des Lumières…
Ce qui signifie également que la « Gauloisie-nauséeuse » aura été dirigée, pendant cinq ans, par un vrai malfaiteur, garant des institutions, chef des armées et défenseur de l’indépendance de la… Magistrature !
Mais si…
Et alors, ils sont nombreux à tenter de nous expliquer que finalement, des magistrats peuvent se tromper (il est innocent), ce que nul n’ignore (forcément), mais également se laisser même aveugler par la haine (ils sont partiaux), qu’elle soit d’origine politique ou corporatiste.
Il faut dire qu’avec « Rachi-Dada-Mimi », sa première « garde-des-sots » qui voulait tous « les aligner comme des petits-pois », elle lui aura bien savonner la planche (avant de se faire rattraper à son tour prochainement par ses propres vilenies).
Ce qui fait deux raisons d’être attristé car ces deux assertions présentées comme incontournables par certains, ne peuvent qu’affecter doublement l’image de mon pays et la confiance de nos concitoyens, que ce soit en leur justice ou en leurs élus.
De quoi s’inquiéter pour l’institution judiciaire de mon pays…
Aucun doute les suppôts de « Bling-bling » sont prêts à tout !
Quitte à piétiner ou laisser à d’autres le soin de le faire, une institution qui ressort du pouvoir régalien étatique : Sans justice autonome, ce serait le far-West à chaque coin de rue et la loi du plus fort et du plus rapide…
On souffre déjà assez comme ça, tous les jours, des incivilités bien puériles (en comparaison) mais récurrentes et restées à jamais impunies…
Alors, un gouvernement des juges ?
Ce serait une tendance qui traverse notre pays et parfois la magistrature, me fait-on aussi savoir, quand, notamment on a prétendu, après la pandémie de « Conard-virus », faire condamner d’anciens « sinistres de la Santé » pour mise en danger de la vie d’autrui, ou quand on attaque l’État en justice pour l’insuffisance de sa politique en matière climatique (parce qu’on n’hésite plus à marcher sur la tête avec le « pognon pas à soi »).
Mais il faut rappeler que c’est le peuple qui est souverain, non les juges, donc que c’est aux élections de trancher quant à la politique suivie, non aux tribunaux.
Et c’est aux élus de contraindre la magistrature à travers des lois nouvellement votées, s’ils estiment que c’est un progrès populaire (et électoral) : On sait faire des lois d’amnistie dans ce pays qui rendent caduque le pouvoir judiciaire de sanctionner (ce qu’on lui demande de faire habituellement)… et « nos élus » ont rarement été parcimonieux en la matière !
Ce qui ne dispense pas de respecter l’égalité des justiciables devant la loi, comme le veut notre Constitution et comme les magistrats ont le devoir de s’y plier. Si un élu viole la loi, il est juste qu’il soit sanctionné, et par les mêmes peines que n’importe qui. Et ils sont un sur deux à être condamné sans sursis à exécution en première instance.
C’est ce que vient de nous rappeler le tribunal judiciaire de Paris, confirmant par-là que nous vivons encore dans un État de droit.
D’ailleurs, « Domino-Vil-pain » aura mis en garde contre les attaques visant l’institution judiciaire. Et là, il a raison.
« Tous les reproches adressés à la justice sont dangereux pour notre démocratie », a-t-il déclaré. Tout en refusant de « commenter une décision de justice », il estime que « Nicolas Sarkozy se défend sur un terrain politique ».
Selon lui, « il invoque, et c’est son droit, la défense de son honneur, la vision qu’il a du dossier. Aujourd’hui, nous sommes dans un cadre qui est fixé par le droit et par la loi. C’est dans ce cadre-là que la décision a été rendue et je ne crois pas qu’il soit sain, dans notre démocratie, de contester ce cadre qui constitue l’État de droit ».
D’autant que ni « Bling-bling » ni ses avocats, ni ses complices (la bande de malfaiteurs) n’auront su convaincre les juges ou, finalement, démolir un « dossier en béton »…
Depuis le verdict, la présidente de la chambre correctionnelle du tribunal de « Paris-sur-la-plage », qui a ordonné l’incarcération de « Bling-bling » a reçu des menaces de mort. Deux enquêtes ont été ouvertes. Le Syndicat de la magistrature a notamment dénoncé le « silence assourdissant » de « Jupiter » (qui sent le vent du boulet de canon, quand on va enquêter sérieusement sur son patrimoine et ses sources passées d’enrichissement personnel) face à ces tentatives d’intimidations.
De son côté, « Bling-bling » continue de dénoncer une décision « infamante » (là il a bien raison : L’infamie, c’est de l’avoir laissé faire sans le contrarier, la bride sur le cou), estimant que « les limites de l’État de droit ont été violées » : Là encore il a raison pour avoir été le premier et le seul, dans ses dossiers, à les violer.
Il s’agit quand même d’un multirécidiviste qu’il convient de protéger de lui-même, puisqu’il ne s’arrête pas : Le volet Libyen (5 ans ferme), Affaire des écoutes (Azibert-Bismuth) 3 ans dont un ferme (aménagé), les comptes de la campagne de 2012 (Bygmalion), doublement condamné à un an ferme (1ère instance et appel, actuellement en Cassation, un arrêt qui sera rendu dans quelques jours), mis en examen pour la rétractation de Ziad Takieddine (qui ne vaut pas culpabilité), idem pour la coupe du monde au Qatar, une information judiciaire dans l’affaire Lagardère-Qatar, sous-enquête préliminaire dans l’affaire russe (Reso-Garantia).
Il est mis hors de cause dans l’affaire de Karachi mais a déjà bénéficié de l’immunité dans l’affaire de « Nanar-Tapis », celle de l’arbitrage du Crédit lyonnais, ainsi que dans celle des sondages de l’Élysée.
Trois délits présumés effacés par l’effet de la constitution…
Il aura bénéficié d’un non-lieu dans l’affaire « Bête-en-court » et dans celle des pénalités des comptes de campagne qu’il aura remboursé au parti sans qu’on ne sache d’où provient ses 363.615 euros.
Même le mek qui partait en Belgique depuis la rue Vaugirard et s’est fait piquer avec sa mallette aux billets par les douanes, gare du Nord, il n’a jamais dit d’où ses mégas euros venaient et à quoi il devait servir…
Et puis il y aura probablement prescription pour tous les « autres viols » de l’État de droit…
Que d’ailleurs, le prochain où même le Conseil Constitutionnel s’est fait rouler, c’est son « Bling-bling-au-thon » soi-disant financé par des sympathisants dont certains ont assuré que c’est « sûrement pas » et qu’on recherche toujours les kontribuables qui auraient bénéficié du crédit d’impôt attaché à leur don.
Ça en aura fait marrer quelques-uns, alors que d’autres ont été écœurés, a commencé par « J’y-Elfe-Coopé », président du parti à ce moment-là, qui aura fini par faire détruire les fichiers pour éviter un contrôle un peu plus pointu, parce que les relevés de banques ne correspondent pas du tout…
En bref, « Bling-bling » aura l’occasion de se faire une santé et d’écrire son bouquin pour crier sa vérité : Au moins, il enrichira peut-être un éditeur, fera rentrer un peu de la TVA au taux de « D’Jack-Langue » et on aura une nouvelle fois l’occasion d’en rire.
Merci aux magistrats qui ont eu les kouilles de nous faire vivre ces moments intéressants.
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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