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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 27 août 2023

Opération Juliette-Siéra (10/33)

Dixième chapitre : L’opération Haddock 
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
« Il est urgent de créer une fondation – la fondation Division Daguet – pour nos soldats blessés ou tués en opération, car vous savez que nos militaires sont peu indemnisés. D’autre part, la Marine a besoin de grands voiliers-écoles et la révélation au public de ce scandale permettra d’assurer la communication sur le « projet Euroclippers » que je développe avec des amiraux. Car le but ultime de « l’opération Haddock », ce n’est pas que ça. Mais bien plus de contrôler nos dirigeants, parce que la Vème République est devenue d’un tel totalitarisme mafieux, sans autre équivalent sur la planète – avec tous les partis politiques impliqués dans ces affaires… ». 
Paul coupe court : « Commandant ! Je vous somme de vous taire : je ne veux pas en entendre un mot de plus ! Vous m’offenseriez ! »
Passe encore pour Paul et sa loyauté envers ses chefs et les institutions de son pays, des rumeurs, des ragots, des présupposés, des on-dit, même les plus absurdes, même un jugement quant à la qualité des institutions, ou quant à celle des hommes.
Mais pas d’un contrôle des institutions et des dirigeants politiques, même au prétexte qu’ils sont tous mouillés, pourris jusqu’à la gorge ! 
« Ce serait une tentative de putsch ! Une entreprise anticonstitutionnelle, Commandant ! 
User d’éventuels « dérèglements comportementaux » de quelques-uns, même de tous si nécessaire, et transformer une affaire pour des conséquences politiques incalculables, c’est un coup d’État en perspective : inacceptable ! 
« Je ne m’en ferai pas le complice, même involontaire ! De près comme de loin, Commandant ! » 
                                                                                       
Le « capitaine Haddock », étonné par la soudaine reculade de son cadet, s’arrête, incertain, un léger sourire en coin. Il avale une gorgée de champagne et continue en se disant que ce gars-là, il n’est pas facile à convaincre : un pur produit de la technostructure ambiante et obéissante jusqu’à l’aveuglement, ou simplement un loyalisme ancré au plus profond de l’inconscient ? 
Peut-être est-il déjà allé trop loin. Mais son instinct lui commande d’aller encore plus loin… 
« Lorsque le détournement des indemnités de la guerre du Golfe sera révélé au public, le scandale provoquera une crise politique qui entraînera inéluctablement la fin de la Vème République avec la rédaction d’une nouvelle constitution et de très importants aménagements pour que les citoyens puissent contrôler beaucoup plus efficacement leurs dirigeants… ».
« Arrêtez ! Si c’est une tentative de coup d’État que vous me racontez-là, je vous répète que je serai obligé de faire prendre des mesures par nos services de sécurité ! » 
Mais non ! 
« Lorsque le dossier sera rendu public, les choses seront tellement simples que je n’aurai pas d’autre choix que d’être ministre de la défense, et je vous assure que cela ne m’amuse pas car je suis en retraite !... » 
Paul se demande s’il a bien entendu ! Un plaisantin ! 
Mondain peut-être, mais un plaisantin : il a failli s’y laisser prendre. 
« Oui bien sûr, je m’y prépare depuis une dizaine d’années car la tension sera beaucoup trop forte au sein des armées pour qu’un des hommes politiques des trois dernières décennies puisse être ministre de la défense car ils sont tous corrompus, ou pire, sont lâches. Je vous suggère de prendre connaissance de mon blog « Alerte Éthique[1] » sur lequel vous trouverez mes courriers aux différents ministres des finances depuis 1998, mais aussi à « Krasosky », à « Rackchi », etc… »
Bon d’accord ! Paul éclate de rire…
Tout ça pour aller faire de l’audience sur un blog inconnu au nom accrocheur, franchement, il apprécie le « Capitaine Haddock » finalement, même s’ils n’ont pas le même sens de l’humour. 
Drôle de bonhomme ! 
Et de se demander si l’un ou l’autre n’a pas abusé du champagne ou d’autres molécules hallucinogènes prohibées. 
« Cher Ami, vous ne connaissez rien ni à la défense, ni à la gestion de la chose publique, comment pourriez-vous être ministre ?... » 
Là, le rire de son vis-à-vis, plus le ton railleur de la dernière question, « Haddock » commence à être franchement agacé. 
« Et les autres, ceux qui nous gouvernent depuis trois décennies, pensez-vous qu’ils y comprennent grand-chose ?... Je prendrai tout simplement trois coministres, des anciens chefs d’état-major – il y en de très haute valeur – qui feront le travail et j’aurai ainsi une autorité indiscutable et indiscutée. Dans un deuxième temps une sélection psychologique sera faites chez les anciens militaires de façon à avoir des coministres civils ». 
N’importe quoi ! Des psy-militaires qui se cooptent entre eux pour gouverner : on nage en plein délire ! Ce sont les peuples du monde entier qui vont rigoler un grand moment de la « patrie des droits de l’homme »… 
« Vous avez raison ! On fera comme ça et on internera tout le monde au passage. Cela marchera même si ce n’est pas prévu comme ça dans nos textes et constitutions ! Staline et Hitler, faisaient exactement de la sorte et ça leur a si bien réussi... Quand même mieux que Pol-pot, Pinochet, ou Mao, hein ! Eux se passaient des psys, les andouilles. »
  
Le « capitaine Haddock » devient franchement de mauvaise humeur. C’est presqu’agressif qu’il invective Paul de Bréveuil. 
« Ces connards de politiques n’auront que ce qu’ils méritent. Ils n’auront qu’à fermer leurs gueules. D’ailleurs ils ont un groupe terroriste sur le dos, le groupe AZF, qui a mis des bombes sous les voies ferrées au début 2004 et qui, s’il réapparaît, bloquera les voies ferrées et mettra sous tutelle la bande de crapules ou de lâches qui nous gouvernent !... Mille millions de mille sabords !... » 
Paul comprend pourquoi l’ancien commandant de bord d’Air-France est surnommé le « capitaine Haddock » : sous le vernis de civilité et de bonhommie, il y a un caractère trempé et inflexible, jusqu’à l’absurde. 
Il serait presque capable de n’importe quoi pour faire face aux coups durs, y compris de prendre les mesures radicales, seules capables à ses yeux de régler les problèmes cruciaux, tel que le niveau de corruption desdits supposés « connards »…
Dangereux le bonhomme ou simple hurluberlu, se demande Paul laissant l’autre s’énerver tout seul à la recherche d’un nouveau verre plein ?
« Haddock » finit par le trouver et se calmer. 
« Vous voudrez bien m’excusez, capitaine… Je m’emporte, je m’emporte alors que je viens d’apercevoir la grande Valérie qui arrive et s’intéresse aux OVNI ; c’est l’ancienne secrétaire de « Cri-cri d’Amour », l’ancien président d’Air-Transe, et je dois vous avouer que cette très belle brune-là, d’une très grande sensibilité, m’intéresse beaucoup plus que toutes ces affaires de détournement de fonds et de soucoupes volantes !… ».
Ouf, le calvaire va-t-il se clore ? 
« Capitaine », fait-il en se retournant vers son interlocuteur, « pour finir, je vous conseille aussi d’aller à Genève rencontrer Ferrayé. Ou son avocat à Paris, Maître Lardco. Eux en savent presque autant que moi. Mais sur un autre aspect de ces détournements. Normalement, tout ça devrait vous mener sur la banque cantonale privée d’investissement de Lucerne et peut-être sur la trace de Sir-Veine : la presse locale suisse s’en est même fait l’écho, un temps. Et si par hasard vous y trouvez ce que vous cherchez, je vous souhaite bien du plaisir pour mettre la main dessus. » 
Et de tourner le dos à Paul, une première fois, puis se ravisant, de lui lancer : 
« Ah ! Capitaine, si par hasard vous arrivez à voler les voleurs sans faire de scandale, prévenez-moi et pensez à mes petits Clippers, s’il vous plaît ! » fait-il avant de partir discuter avec « la grand Valérie » qui, effectivement, le captive bien plus que toutes ces affaires.
Non, le « capitaine Haddock » n’a pas picolé plus que de raison. Mais de tout ce qu’il a pu dire, Paul le stocke dans sa mémoire en pensant que dans d’autres circonstances, ce doit être un personnage fabuleux. 
Encore qu’il faille se demander s’il s’agit d’un affabulateur, mythomane doublé d’un mégalomaniaque. Mais dans ce cas, pourquoi l’aurait-on envoyé jusqu’à le rencontrer ?  
Bref, le détour par Malaga vaut finalement bien la peine : deux noms, plus celui d’une banque, sur la trace de l’homme de l’ombre d’un groupe pétrolier aujourd’hui absorbé. C’est maigre, mais c’est déjà ça. 
Et s’il n’y avait pas eu le « numéro burlesque » politico-machin-chose, c’aurait pu être tristounet, finalement. Tout en se disant que vraiment, dans l’aviation commerciale, ils resteront à jamais incompétents à distinguer les grades de la marine nationale. 
Après l’hommage aérien rendu ce matin par le triple ballet des ailes de l’Otan, ce n’est vraiment pas la peine d’espérer des civils, dont il est redevenu, hormis ses parenthèses d’exception[2]. 
 
Il se fait tard et Paul n’est pas bien avancé. AZF, pas l’explosion de l’usine toulousaine, Lardco, le célèbre ténor du barreau[3], Ferrayé, un inconnu, une banque Suisse, c’est toujours ça de pris. 
Mince récolte en fait.
Il se décide à repartir pour l’aéroport alors que la nuit tombe. 
Palma de Majorque ? 
Pourquoi pas ? Il trouvera sûrement gîte et bon accueil en cette saison touristique. Il a sa dose, pour ce soir.
Et comme il n’a pas vu les acolytes de Gijou, la « Dominiquette », ce n’est pas la peine de l’avertir non plus de ce détour impromptu avant de rejoindre Paris et la « Miss Joëlle », pense-t-il pour lui-même. 
L’hôtel qui l’accueille à proximité de l’aéroport, un peu loin de la station balnéaire, est équipé d’accès internet à haut débit. C’est l’occasion de faire des recherches sur ces fameux clippers, l’affaire Ferrayé et Cie. 
Il prend le risque de passer un courriel à « DD » et Charlotte, la vraie, celle dont le nez bouge quand elle parle, sous un de ses nombreux pseudos improbables : elles sont plus douées que lui à ce jeu-là.
Et il se décide à aller prendre un verre avant d’aller dîner dans le restaurant de l’hôtel, pour pouvoir dormir le ventre plein.
  
Avant midi, le lendemain, il est de retour au siège social. Les dégâts de la fusillade ont disparu. Les deux acolytes de « Dominiquette » sont à poste.
La secrétaire est présente et annonce l’arrivée de la Présidente en titre de la boutique. Elle a passé le week-end avenue Foch dans le loft familial qui sert de refuge à ses allers-et-venues quand elle est parisienne.
La conseillère de la Cour régionale des comptes, loin de ses bases est rue Cambon et est descendue dans un grand hôtel parisien.
Elle devrait être de retour avant la fin de l’après-midi. 
L’équipe est au complet.
Effectivement, Isabelle Nivelle arrive et convoque son directeur général dans son bureau. Tout sourire la patronne. 
Il lui doit bien une explication. 
« Je suis en service commandé. Nos projets industriels ne sont pas en danger, simplement, je suis bien obligé de fournir ce que le ministère demande, si on veut un jour se faire bien voir par ceux-là, tu comprends ? »
De quoi s’agit-il ? Elle ne le saura pas, naturellement : « secret défense ! ». 
« J’organise tout ça à partir d’ici. Je ne veux pas mettre mes acolytes d’enquêtrices au courant, compte tenu des enjeux qui ne les regardent pas. »
« Ah ? Pas confiance dans ton panier de gouines ? », fait-elle par pure perfidie féminine totalement hétérosexuelle… 
Si elle veut. 
« Je serai bien obligé de disparaître de temps à autre, mais vous, toi et ta famille, vous vous mettez à l’abri, on ne sait jamais. » 
Ramatuelle, pour l’été qui reste clément, ça sera suffisant ?
Pourquoi pas ? « J’y passerai peut-être quelques jours à l’improviste. » 
La porte est bien évidemment ouverte. D’autant que tous ces mystères méritent bien quelques compensations. 
  
La capitaine de corvette met fin à ce duo-là en arrivant à son tour. Paul présente les deux femmes et demande s’il est possible d’organiser une surveillance et une protection autour de la villa de Ramatuelle. 
Une corvée de plus qui mobilisera les gendarmes de Saint-Tropez durant une partie de l’été. 
Arrive et entre alors la conseillère de la Cour des comptes marseillaise. 
« Mesdames, j’ai du travail. Je vous laisse papoter chiffon ! » 
Minute. « Vous étiez où, là, durant les dernières 48 heures ? » questionne la militaire. 
Isabelle tend l’oreille. 
« J’ai des comptes à vous rendre, commandant ? Vous êtes seulement chargée d’assurer la protection des biens et des personnes de mon entourage, dois-je vous rappeler. Mais si vous voulez savoir où je dîne ce soir, je vous laisse le choix de la table, et je vous invite.
Ce sera l’occasion de mettre au point deux ou trois petites choses pour être plus efficace. Parce qu’il est vrai que je ne vous ai pas vraiment vu, ni vos hommes, ces derniers temps ! »
Présenté comme ça, elle ne sait pas si c’est du lard ou du cochon. 
« Au bar du Crillon. Vingt heures. D’ici-là, mes hommes ne vous lâchent pas ! », répond-elle. 
« Isabelle, tu peux prendre la voiture et le chauffeur, ces messieurs me piloteront. » 
Paul sort du bureau d’Isabelle en entrainant Joëlle par le bras : « À nous deux maintenant, je vais vous montrer pourquoi vous êtes là ! » 
Les deux femmes croisent leur regard, quasi-incrédule. « Il est comme ça : insatiable ! » fait Isabelle à Dominiquette, fripée de l’uniforme. 
 
Paul et Joëlle s’enferment en faisant tourner le verrou de la double-porte capitonnée elle-même verrouillée. Personne ne peut les déranger pendant toute leur entrevue. 
C’est elle qui n’y tient plus. Elle enlace sensuellement « son pilote » au nez et à la barbe des deux pouffiasses qui piaffent de l’autre côté de la cloison.
« Voyons ! Ce n’est pas le moment, Joëlle ! » Mais si !
Elle tombe la veste de son tailleur en retirant ses chaussures et se met à genoux devant Paul dans la claire intention de « remettre le couvert ».
« Pas comme ça ! » lâche Paul déjà au garde-à-vous à la perspective de ce qui va suivre.
Il la bascule alors en arrière sur le bureau et retrousse sa jupe sans qu’elle n’ait le temps de dégrafer son corsage.
À la hussarde, rapide, long et intense, presque brutal que même le collant de la dame ne s’en remettra jamais, et encore, s’il n’y avait eu que le collant…
Ils finiront à terre, en extase, sur la moquette, Paul ravi d’avoir fait vibrer toute cette chair offerte à ses assauts…
 
Sitôt cet épisode enflammé passé, ils se décident à ouvrir leurs machines. C’est qu’il s’agit d’être efficace et la conseillère, qui se remet à peine, d’expliquer comment elle entreprend d’entrer par effraction dans des systèmes informatiques sans laisser de traces, à coups de schémas sur son écran. 
« Attends, Madame la conseillère ! Je croyais qu’on disposait du fameux programme « Promis » des américains qui nous aurait facilité les choses ! » 
Ben non, mais elle connaît : « Promis » pour « Prosecutor's Management Information System » est un système de gestion de l’information, bâti comme un système de base de données et est développé par Inslaw Inc. 
Le progiciel a tout d'’bord été conçu par Inslaw dans les années 1970 en vertu de contrats et subventions pour l’aide à l’administration « aide à l’exécution » (LEAA) du ministère de la justice américain. 
Mais le gouvernement américain a d’abord disposé de licences exclusives avec interdiction de modifier le programme ou de créer des programmes dérivés, et de distribuer « Promis » en dehors du gouvernement fédéral. 
Ce programme a considérablement évolué depuis 1982 et est référencé par pas mal de fournisseurs commerciaux[4]. 
Conçu comme un système de gestion de données, « Promis » peut traiter jusqu’à un échelonnement de 570.000 lignes de sous-codes informatiques et intégrer des bases de données innombrables, sans nécessiter une seule reprogrammation. Il peut aussi transformer les données en informations aveugles. Il a la capacité de combiner des bases de données disparates, et de suivre les gens dans n’importe quel système d’information. 
« Imagine que tu es en charge de la branche juridique du gouvernement le plus puissant sur la surface du globe, mais que ton système d’information interne est embourbé dans la technologie désuète des années 1960. Il y a des milliers de bases de données, mais aucune d’entre-elles ne peut partager ses informations. « Promis » peut le faire !
Soit à partir d’énormes systèmes informatiques centraux ou des petits réseaux alimentés par les ancêtres des ordinateurs d’aujourd'hui, « Promis », peut, juste à partir de son « lecteur de premier test », être en mesure de lire simultanément et d’intégrer un grand nombre de différents programmes informatiques. 
Ou des milliers de bases de données simultanément, quel que soit le langage dans lequel les programmes originaux avaient été écrits ou le système d’exploitation ; ou des plates-formes sur lesquelles cette base de données a ensuite été installée. » 
Un vaste fichier « edwige » ou « stik », mais à l’échelle planétaire en somme[5] 
« Mais nous n’en disposons pas en France ! » rajoute-t-elle.  Faudra faire sans… 
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] http://euroclippers.typepad.fr/alerte_éthique/, Alerte éthique (typepad.fr) notamment.
[2] NdA : une grande partie de ce chapitre a été adapté des conversations qu’a eues l’auteur avec JCD, dit « le capitaine Haddock » et a été validé par lui-même. En revanche, impossible de savoir avec certitude que est « Cri-cri-d’Amour »…
[3] Un avocat qui se mettra plus tard personnellement « à l’abri » en qualité de député « Bleu-Blanc-Rouge » avant de rejoindre les frontistes, puis, plus récemment il adhère au parti de « Patrick Ziguinchor » (personnage de la vie politique récente du pays qu’on retrouve dans l’épisode « La croisière d’Alexis » des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3).
[4] Cf. http://www.newdawntech.com notamment
[5] Il s’agit de l’ancêtre historique des « data-base » et de tous les programmes « butineurs » de données qui ont été développés par la suite.




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