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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 13 août 2023

Menaces de chaos (51/54)

50 – Visite aux Chagos…
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
En effet, plus tard encore, le 10 février 2023, un « objet cylindrique et gris argenté de la taille d’une petite voiture » est abattu au large de la côte Nord de l’Alaska dans la mer de Beaufort à environ 12.000 m d’altitude par un F-22 de la base aérienne d’Elmendorf tirant un missile AIM-9X, après avoir vérifié qu’il n’était pas habité !
Mais si…
Le 11 février 2023, un autre « objet cylindrique non identifié » est également abattu à 12.000 m d’altitude par un F-22 dans le Yukon au Canada, à environ 160 km de la frontière entre le Canada et l’Alaska.
Et ce n’est pas fini !
Le 12 février 2023, un objet volant non identifié « octogonal sans nacelle visible » volant à 6.000 m d’altitude est abattu au-dessus du lac Huron, situé dans le Michigan, par un missile Sidewinder tiré par un F-16 de la garde nationale aérienne du 148ème Fighter Wing basé à Duluth dans le Minnesota.
Que des « UFO » (Ovni en français), naturellement, tel qu’on en ressort des cartons toute une série de reportages et d’images, de ragots et de racontars, de spéculations et d’archives laissant supposer la réalité des soucoupes volantes et d’un grand secret qui les entoure en forme de complotisme aigu autour des « petits hommes verts » !
Mais ça n’agite finalement que les têtes étoilées qui paradent devant les caméras de télévision avec des airs sérieux d’expert en la matière : l’opinion publique assimile l’information, la digère et la métabolise sans aucune réaction particulière…
 
Le même jour, le 12 février, les autorités chinoises ont envoyé dans l’après-midi un message d’avertissement aux navires opérants près des coordonnées 35° 22′ N, 120° 31′ E, une position au Sud de Qingdao en mer Jaune, au large de la province de Shandong, demandant à ces derniers d’éviter la chute de débris d’un objet volant non identifié que l’Armée populaire de libération s’apprête à abattre.
Encore un Ovni ?
Et puis la série s’arrête : les chinois ont mis provisoirement en pause leur programme d’espionnage par ballon qui avait tendance à déborder lamentablement en provoquant des tensions diplomatiques inutiles entre les deux rives de l’océan Pacifique.
 
Une fois encore, les choses se précipitent après quatre semaines de calme relatif, celles du court mois de février, dans l’attente infructueuse d’une offensive « décisive » russe dans le Donbass, à l’initiative des voyous du groupe Wagner qui s’épuisent le long de la ligne de front, ou d’une contre-offensive des Ukrainiens qui reçoivent des promesses de chars lourds, avec leurs munitions, qui arriveront plus tard, comme il se doit.
Pour l’heure, les ukrainiens se contentent de pilonner des cibles faciles à longue distance, affaiblissant encore et toujours les lignes d’intendance de l’agresseur russe.
 
Le staff de la CISA est convoqué aux Chagos par le maître des lieux avant le second week-end de mars 2023 et Julie, Alexis et Gustave arrivent par le vol de ravitaillement du vendredi soir avec escale à Djibouti.
Le temps de se remettre du décalage horaire et de s’acclimater aux alizées, débarquent les jours suivants toute une escouade des services secrets, qui assure la sécurité de la vice-présidente US attendue sur la piste de « Paradize-city-airport ».
À peine ont-ils posé leurs bagages et leurs armes de service, ils se mettent à arpenter l’îlot en tous sens, étonnés qu’ils sont d’être accompagnés par des « numéros 13 » qui ne cachent pas leur côté « cyborg » et s’expriment parfaitement en anglais, avec un accent américain dans le texte.
Les batteries anti-aériennes leur plaisent bien, la centrale électrique et les chantiers de la ville et du tunnel également, les chambres mises à leur disposition tout autant.
Quant aux poupées, passé le moment d’incrédulité…
Ils restent un long moment autour du hangar qui abrite « le Loup », la vedette de Cherbourg vendue par Israël et surtout le prototype de « 003.1 » qui est inspecté une fois de plus sous toute ses coutures par quelques ingénieurs spécialistes détachés de la NASA, sous la surveillance de Gustave qui mord son frein.
Mais ils ne demandent pas de participer à un petit vol de démonstration…
Probablement un peu inquiet du design si particulier du démonstrateur.
En plus il leur manque les explications techniques de Paul qui reste sur le chantier du tunnel. Et les ingénieurs qui ont participé à la fabrication du prototype sont repartis à Aubenas pour peaufiner leurs calculs de l’orbiter, le « 003 » final.
 
Les officiers de sécurité apprécient l’équipement radar de l’îlot. Non pas seulement celui de l’aéroport, mais surtout celui qui est déjà déployé au-dessus de l’île, au Nord au-dessus de l’usine de désalinisation, qui consiste en un ballon captif qui supporte une antenne rotative. Avec ça, on peut surveiller le trafic maritime et aérien sur une distance de plus de 600 kilomètres, pratiquement de La Réunion aux côtes de l’Australie, de l’Indonésie et du Sri Lanka aux Îles Kerguelen au Sud de l’océan Indien, englobant les Maldives voisines, les Seychelles et naturellement Diego Garcia…
De quoi les rassurer pleinement : 600 km, ça laisse plus de 10 minutes pour qu’un missile hypersonique progressant au ras des flots percute sa cible sur l’île depuis le moment de sa détection.
Autrement dit largement le temps de se mettre à l’abri dans le blockhaus qui passe sous la piste d’envol de l’aéroport de « Paradize-city ».
 
C’est le premier ministre britannique qui arrivent le premier, après une escale technique à l’Île Maurice, suivi de près par Kamala Harris qui aura fait une discrète escale à Henderson Field, situé sur l’atoll de Midway au milieu du Pacifique, pour éviter de voler au-dessus du territoire russe par la route directe depuis les USA.
Un voyage un peu long et fatigant.
Et ils se retrouvent tous pour un déjeuner dans le restaurant de la maison de maître de « l’actionnaire », qui aura fait dresser les petits plats dans les grands, cuisine de Mylène importée l’avant-veille.
Autrement dit fraîche.
Ou presque.
L’ambiance est excellente : la vice-présidente américaine élève à leurs grades respectifs et à titre honoraire Gustave et Paul et leur remet leurs décorations… promises pour actes de bravoure.
Il en va tout autant pour Serge et même Alexis qui elle, n’en revient pas : ce sont leurs premières !
Pas trop habitués à faire un petit discours de remerciement devant un tel parterre de galonnés ceinturés de garde-du-corps à la mine patibulaire et en présence de deux hauts-dignitaires des USA et du Royaume-Uni.
Dont la plupart transpire dans leurs costumes mal adaptés aux conditions météorologiques locales.
 
Le britannique et l’américaine posent beaucoup de question, notamment sur les détails des « plans de Paul » pour son « spatioport ».
Et ils s’inquiètent des collaborations avenirs avec les entreprises anglo-saxonnes.
À table et ensuite, Julie et Paul les rassurent : des contacts fructueux avaient déjà été pris dans les mois qui précèdent.
« Sauf que Virgin Galactic en jettera l’éponge dans ses propres projets à la fin du mois, faute de financements pérennes et Musk va essuyer une mauvaise passe… une de plus ! »
Mais il s’en remettra rassure-t-il.
Paul détaille alors le schéma de contrôle de la future fondation qui pilotera l’ensemble des installations ultérieurement.
« J’investis pour les futures générations et n’envisage pas d’en toucher les dividendes : c’est cadeau à l’humanité ! »
 
Mais ce qui les étonne le plus, ça reste les cyborgs.
D’autant mieux que Paul leur fait son cinéma sur le fonctionnement de ses machines.
Et puis il décrit les « poupées » qui font le service avec les cyborgs : « En fait, la technologie a été mise au point pour fabriquer des « poupées » qui naviguent sur les navires de ma compagnie de croisière.
J’en ai actuellement deux qui circulent. L’un au large du Japon et l’autre en mer Rouge. Le troisième ira aux caraïbes ! »
Et à quoi servent les poupées ?
« À contenter sexuellement mes clients ! »
Leur tête, tout d’un coup…
« Mais elles font aussi le service ici même ! »
Les yeux des convives…
Même ceux de Gustave alors que Julie n’a pas l’air surprise devant la révélation.
 
« Sur mes navires, les séjours sont limités à trois jours, le temps d’épuiser les passagers, mais la rentabilité est assurée par la vente de poupées dédiées…
Un bon business qui garantit la pérennité financière de la fondation… et surtout les rentes futures de ma famille… ce qui vous explique que je n’ai pas besoin des dividendes de nos futures activités spatiales qui peuvent être transférées à une fondation quand ce sera au point. »
Et aucun ne s’offusque tellement les « poupées » qui font leur service font tourner de l’œil les invités et de leurs troupes de sécurité !
Il n’y a que Kamala Harris qui affichera un sourire de connivence : « Au moins, les détraqués sexuels n’auront plus d’intérêt à agresser les femmes isolées ! »
« Vous avez tout compris, Madame… »
 
Si tout le monde s’est intéressé au tunnel et à sa fronde ainsi qu’au démonstrateur « 003.1 », personne n’aura posé la moindre question sur le soi-disant « BBR 3.0 », le logiciel prédictif de Paul qui, même en mode bêta lui aurait tout de même permis d’éviter eux épisodes catastrophiques pour la paix dans le monde !
Ça ne viendra que dans l’avion qui ramène les américains et le britannique à San Diego.
Kama Harris poursuivra jusqu’à Washington en croisant dans les airs Air Force One.
Julie et Gustave en rapportent ce qu’ils en savent, c’est-à-dire pas grand-chose, mais portent surtout le message que Paul n’aura pas pu délivrer lui-même.
À savoir qu’il ne faut pas compter sur la technologie pour faire des miracles. Là, c’est un peu un double « coup de chance », même si c’est assez peu crédible.
« Désormais, il faudra se débrouiller avec l’accroissement des moyens humains traditionnels : alors l’intelligence artificielle pourra être bien plus efficace. »
Rappelons qu’on est au commencement des débats et essais autour des premiers « ChatGPT » de la tech…
Et que Paul n’aura pas mentionné le séisme du début du mois de février qui aura secoué la Turquie et la Syrie en faisant de nombreuses victimes.
Pour Alexis, il ne pouvait pas ignorer, mais subtilement il en fera un argument assez crédible : « Quand je vous dis que le logiciel prédictif n’est pas au point…
Il aurait pourtant dû détecter une forte probabilité dans la région, vu l’ampleur du cisaillement des plaques en surface, mais bon, ça n’a pas été le cas…
Même pas une alerte ! »
 
Car dans la soirée, les deux dirigeants décollent, très satisfaits de ce qu’ils ont découvert, escale à Diégo Garcia, puis Midway.
Le surlendemain, le britannique se retrouve en compagnie du nouveau premier ministre australien, Anthony Albanese et du Président Biden à San Diego, pour une première réunion de l’AUKUS qui n’avait rien d’urgente et faire ainsi un tour du monde en moins de 60 heures : une performance physique que les charges de premier ministre de la couronne.
Gustave sera également présent à San Diego alors que Paul, resté aux Chagos sera reparti dans l’autre sens à courir après le soleil pour passer la fin de semaine en famille en Normandie.
 
Avec l’alliance AUKUS, depuis plusieurs mois, les États-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni veulent contrer les ambitions militaires de la Chine. Ces trois pays ont signé un partenariat pour produire des sous-marins à propulsion nucléaire. Un plan gigantesque, qui va s’étaler sur des décennies et qui se veut la concrétisation de l’accord annoncé en septembre 2021.
Un accord qui est présenté comme un effort industriel immense, un partenariat inédit et une préoccupation commune : la Chine.
« Un jour historique », a salué le président américain.
Les trois pays vont notamment s’associer pour fabriquer une nouvelle génération de submersibles d’attaque, baptisés « SSN-Aukus ».
Une « usine à gaz » en perspective…
Dès cette année, à des fins de formation, des effectifs australiens seront embarqués dans des sous-marins américains et britanniques, qui feront aussi davantage de rotations en Australie.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 

 
Éditions I3

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