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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 17 août 2023

Opération Juliette-Siéra (0/33)

0 – Prologue de l’auteur
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
En hommages à tous les personnels politiques de mon pays (et de quelques autres) de ces dernières décennies !
 
Madame, Monsieur,
 
L’ouvrage que vous tenez devant vos yeux ne devrait pas exister. Il n’a d’ailleurs pas été conçu pour être publié et être largement diffusé, mais seulement pour répondre à des « accusations » pour le moins aberrantes d’un des « acteurs » que vous retrouverez au long des prochains chapitres : le « Capitaine Haddock ».
Il était persuadé que le premier Président socialiste de la Vème République était à l’origine d’un gigantesque détournement de fonds public passé inaperçu, opéré à l’occasion de la guerre Irako-Koweïtienne de 1990/1991…
Ce n’est pas aussi simple qu’un vulgaire enrichissement personnel.
Depuis et jusqu’à son décès, l’auteur aura entretenu avec Jean-Charles DUBOC de longues relations d’amitié ainsi que de nombreuses conversations amicales.
 
« Haddock » est le surnom connu dans tout le monde aéronautique civil du Commandant Jean-Charles DUBOC, pilote retraité de Boeing 747 dans la compagnie nationale française, décédé en avril 2018.
En 1992, il est le témoin inattendu mais attentif de « ragots de cockpit » faisant état d’un voyage aérien resté « discret » du Président français de l’époque entre DOHA (Qatar) et LUCERNE (Suisse) datant de février 1991 – avant de rentrer à PARIS (France), dans un avion du GLAM – où il aurait ouvert un compte numéroté dans une banque ayant pignon sur rue, en compagnie d’un Conseiller Fédéral et y aurait versé environ un milliard de dollars en billet de banque. Ce n’est que deux décennies plus tard qu’on a pu retrouver les traces de ce vol…
 
Une affaire ubuesque, naturellement, sauf qu’à l’occasion du mondial de football de 1998, les membres du Syndicat National des Pilotes de Ligne débrayent sauvagement pour obtenir ce qui sera plus tard l’accord « salaire contre actions ».
Le 11 juin 1998, le ministre des transports du Gouvernement de Monsieur Lionel JOSPIN, le communiste Jean-Claude GAYSSOT, met fin abruptement au mouvement le lendemain de la menace de dévoiler en mondovision l’affaire des « Milliards disparus de la Division Daguet » (du nom du contingent militaire français engagé dans la reconquête du Koweït)[1].
Tout d’un coup, l’affaire « prenait corps »…
 
Depuis lors « Haddock » est convaincu que les institutions du pays sont vérolées par une corruption active jusqu’au plus haut des responsabilités et voit d’ailleurs dans sa mise à l’écart – avec des plans de vols « à casser » le mental de n’importe quel pilote conscient de ses responsabilités avec des rythmes infernaux et contraires aux règles internationales de sécurité aérienne (il est alors versé commandant de bord d’avion-cargo gros-porteur) – la conséquence de son action (tout comme le patron du SNPL aura été ultérieurement ruiné) et ne se sent soutenu que par des « militaires écœurés » par « les politiques », avec lesquels il reste en contact au plus haut niveau.
Et il fait alors un rapprochement avec l’action du « groupe AZF » qui menace de poser des bombes sur le réseau ferré français : le vocabulaire, le sigle, les références des messages laissés aux autorités de l’époque le confortent dans cette idée.
 
D’autres éléments appuient la thèse d’une vaste escroquerie que l’on tente d’étouffer, ayant eu lieu à l’occasion de la guerre du Koweït, notamment le « scandale de l’affaire Ferrayé » relayé par la presse helvétique en février 1997 et par la seule émission censurée de Monsieur Julien COURBET (« Sans aucun doute » du 12 mai 2000) dont c’est alors un des sujets[2].
Et le faisceau des indices – qui forme une conviction – s’épaissit quand il rapproche ses éléments avec ce que la presse nomme des « morts suspects ». À l’époque, on peut en compter plusieurs dizaines, mais qui se rapportent à plusieurs affaires de corruption ou autres turpitudes probables.
Il y en a deux « majeures » qui ne trouvent toujours pas d’explication logique : le suicide de l’ancien premier ministre Pierre BÉRÉGOVOY, avec l’arme de service de son garde-du-corps (!) le 1er mai 1993, et celui de François de GOSSOUVRE, un « très proche » du Président en exercice, suicidé dans son bureau des combles du Palais de l’Élysée avec une arme de « gros calibre » qui n’est pas la sienne (!) le 7 avril 1994 sans que personne n’entende la moindre détonation…
 
Tous ces éléments amènent l’auteur de cet ouvrage à « épaissir » un peu sa connaissance du sujet. La « guerre du Golfe », c’est loin et à l’époque il payait moult impôts et taxes pour être un ex-« plus jeune Directeur Administratif et Financier d’une société cotée » (la montée en puissance des jeunes talents rend le titre très éphémère…) et s’attendait à devoir payer « un peu plus » pour financer les 10,5 milliards de francs qu’aurait coûté l’opération « Tempête du désert » à son pays.
Curieusement, il n’y aura pas eu de « rallonge » demandé au peuple des contribuables. Les débats budgétaires font état d’explications plus ou moins convaincantes et depuis, les réponses aux questions de quelques députés et sénateurs, et ce jusqu’en 2017, sur cette période-là, sont évasives, reçoivent des fins de non-recevoir ou sont carrément oubliées par les membres des ministères (défense, budget, anciens combattants).
 
Remettons-nous juste un instant dans le contexte du moment : en 1981, le peuple emmène le premier Président socialiste à la tête de la Vème République. Il a toujours combattu cette institution. En 1982 éclate par surprise la guerre des Malouines prise en charge par les seules autorités britanniques et conduites par la « Dame de fer ». On est en pleine guerre-froide. En fin d’année 1989, c’est la chute du « Mur de Berlin ». L’Armée-Rouge est embourbée en Afghanistan depuis une décennie et se retire sans gloire devant les Talibans. L’Afrique du Sud se retire de Namibie alors que l’Angola est toujours plongé dans une atroce guerre civile.
C’est l’époque d’un renouvellement des frontières d’influence des grandes puissances géopolitiques.
En France, le personnel politique est renouvelé à l’occasion des élections présidentielles de 1995. La nouvelle administration ne veut assumer ni le passif de la seconde cohabitation, ni celui du précédent septennat. Ce qui va créer des tensions. Une dissolution ratée de l’Assemblée Nationale plus tard, le pays entre dans une troisième cohabitation où le premier ministre socialiste n’assume l’héritage de son mentor décédé que « sous réserve d’inventaire ».
Ça ne plaît pas, ni dans la péninsule arabique, ni jusqu’à Washington, Moscou n’étant plus « dans le jeu », Pékin n’y étant pas encore et Tokyo se débattant avec sa « désinflation ». Tout est fait pour éliminer les socialistes, avec une feuille de route qui reçoit un coup d’arrêt avec l’échec du référendum européen de 2005.
Monte alors en puissance le maire de Neuilly-sur-Seine qui, grâce à des manœuvres durant les « primaires socialistes », se retrouve en face d’une candidate à peine crédible en 2008 pour une élection « qu’il ne peut pas perdre ». C’est d’ailleurs une fois qu’il est élu, que débute la narration du présent ouvrage…
 
Son auteur a déjà une idée du scénario, mais hésite encore à se lancer dans l’écriture (qui est un travail long et fastidieux) : il lui faut « un final » qui ait « du sens » et pour l’heure, tout cela n’a aucun sens…
Jusqu’à la conférence de presse de décembre 2009 du Président qui annonce un « Grand-Emprunt » de 35 milliards d’euro (après un plan de relance de 26 milliards) pour « financer des projets d’avenir » (PIA 1) avec deux coprésidents de commission chargés de piloter l’engagement desdits fonds : deux anciens premiers ministres, l’un socialiste, l’autre issu du RPR (comme pour s’assurer de la neutralité du dispositif) qui connaissent en principe les dessous de tous les dossiers gouvernementaux et avaient jusque-là gardé le silence.
Le vrai « déclic » tient dans la présentation faite à la presse : du n’importe quoi où les débits et les crédits (les dépenses et les ressources) sont savamment mélangés…
 
Le proto-manuscrit est envoyé à « Haddock » en avril 2010 qui, contrairement aux instructions reçues, le diffuse à sa cohorte ! Mais l’enrichit tout de même à la marge… Très rapidement, l’auteur voit apparaître, sous les fenêtres de son bureau et sur le trottoir – pas la chaussée, sur le trottoir (!) – un véhicule immatriculé au Portugal, type fourgonnette, bardé de petites antennes qui y restera stationné durant trois mois sans jamais recevoir la moindre contravention pour stationnement gênant (!) alors que son quartier est une « superbe rente » pour les agents de la maréchaussée !
Au même moment, son activité internet est lourdement entravée et il décide de mettre en ligne cet opus (version 1.1), afin de pouvoir le récupérer en cas de « plantage » de ses outils de travail (le cloud n’existait pas encore).
C’était le 11 mai 2010 (http://infreequentable.blogspot.com/2010/05/operation-juliette-siera.html) vers midi, depuis une machine et un accès internet mis à disposition par un de ses amis.
           
Et puis le temps a passé… De nouvelles informations sont venues compléter, sans les dénaturer, les informations et analyses délivrées en 2010 au point qu’il a fallu « remettre le couvert » à plusieurs reprises et encore jusqu’à dernièrement (les PAI 2 et PAI 3).
Entre-temps, l’auteur aura repris goût à l’écriture (il avait déjà « construit » ses personnages pour d’autres usages – des romans policiers jamais terminés, préférant ses études de commentaires approfondis d’arrêts et de lois en matière fiscale : son métier), à comprendre l’importance de ce qui n’est pas officiellement dit, à expliquer « logiquement » telle ou telle information qui semble être « orpheline » dans la marée des news qui se déverse tous les jours, à « décrypter » les « signaux faibles ». Une petite mécanique de « pure construction intellectuelle ».
Une romance qui s’inscrit dans l’actualité des dernières années.
En aucun cas il ne vise – contrairement à « Haddock » – à déstabiliser les institutions de son pays, encore moins ceux qui exercent les responsabilités au nom du peuple français : il aime trop son pays pour ça !
Désormais les « tensions » sont apaisées dans ces affaires d’État, le temps qui passe ayant fait le ménage dans les mémoires (et dans les effectifs). Il est possible de « réintéresser » un public plus large, à condition de rester « logique » et uniquement sur le plan « d’un roman », d’une « pure fiction » !
Une histoire sans importance qui atterrit dans vos mains et que vous ne deviez pas, à l’origine, découvrir : trop dangereux pour l’avenir.
 
Finalement, ce recueil trouve un éditeur improbable après un premier problème grave de santé de l’auteur : quitte à ne plus avoir rien à perdre, autant mettre ce texte à disposition des générations futures sous la forme d’un vrai livre broché, histoire de leur faire savoir que « nous n’étions pas dupes » !
L’éditeur s’appelle « pourrito » et le manuscrit est rapidement enterré alors même que les billets reprenant ce texte sur internet sont « caviardés » volontairement pour booster les ventes…
Peine perdue, naturellement.
 
Désormais, les délais de prescription sont dépassés, les acteurs de ces « turpitudes » d’un autre millénaire ont été emportés par la vie. Ces histoires n’intéressent plus personne.
C’est l’occasion pour l’auteur de réitérer à la fois la mise en ligne de ce texte et de tenter une seconde mise à disposition chez un éditeur « à la demande » (une industrie bien pratique…).
D’autant que par un mécanisme totalement invraisemblable, le principal personnage prend corps au fil du temps, jusqu’à potentiellement devenir réel et qu’il est le premier à demander d’avoir accès à ses propres aventures[3] !
C’est qu’il en aura fait quantité d’autres depuis cette époque reculée.
Mais c’est une autre histoire que vous pouvez découvrir dans la même série des « Enquêtes de Charlotte », chez le même éditeur « à la demande ».
Par conséquent, vous avez là la seconde édition de l’ouvrage original, à peine corrigé de ses « fautes de frappe » originelles et à peine enrichi.
 
Il ne vous reste plus qu’à vous projeter dans l’actualité de l’année 2009…
Nous vous en souhaitons une bonne lecture : qu’elle puisse vous éclairer, nous ne pouvons pas en présumer, mais au moins qu’elle vous distraie quelques heures, c’est ce que nous souhaitons.
 
Madame, Monsieur, bien respectueusement vôtre !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] « Haddock » en fera un livre disponible chez Amazon depuis octobre 2014, « Les milliards disparus de la Division Daguet » (cf. https://www.amazon.fr/milliards-disparus-Division-Daguet/dp/1503038017/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1543386858&sr=8-1&keywords=les+milliards+disparu+de+la+division+daguet)
[2] Cf. https://www.youtube.com/watch?v=n7L-BrTdgUo&t=6s
C’est d’ailleurs à cette occasion que Julien Courbet aura reconnu, des années plus tard, avoir eu ses locaux fouillés de fond en combles, sans trace d’effraction, où un seul document aura été volé… Des « pros » !
[3] Cf. épisode « Menaces de chaos », série les « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3


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