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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 14 août 2023

Menaces de chaos (52/54)

51 – Escale à San Diego
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Il est aussi prévu qu’à compter du début des années 2030, dès que le Congrès américain aura donné son approbation, les USA comptent céder à l’Australie trois sous-marins usagés de classe Virginia, « avec la possibilité d’en vendre encore deux si nécessaire », précise le communiqué commun.
Washington investira de son côté 2,4 milliards de dollars dans ses sites industriels et 2,2 milliards à la maintenance des submersibles de la classe Virginia, entre 2023 et 2027, soit un premier défi industriel redoutable.
Le design américain des prochains et massifs SSN(X), chargés de remplacer les navires submersibles de la classe Virginia, était en concurrence avec celui, plus modeste en taille mais encore au stade de la planche à dessin, d’hypothétiques SSN(R) britanniques, destinés à remplacer les bâtiments de la classe Astute.
Et c’est la Grande-Bretagne qui devrait tirer les marrons de ce feu atomique qui couve sous les mers. Ceci provoquant l’ire de la Chine que le pacte AUKUS vient contrer dans son pré-carré, ainsi que celle de la France qui a vu les chantiers de Naval Group privés d’un contrat massif annulé l’année précédente.
 
Destiné à remplacer les vieillissants submersibles de la classe Collins, le prochain sous-marin à propulsion nucléaire de la marine australienne devrait ainsi être un assemblage, une sorte de monstre, de « Frankensub », le surnom affublé par Bloomberg, parce qu’il adoptera un design britannique, mais sera en partie composé de pièces conçues et fabriquées aux États-Unis.
Ceux-ci pourront également être mis à contribution pour les évolutions futures du navire.
Pour être plus clair, le pacte AUKUS reste finalement un sacré embrouillamini et, comme pressenti depuis longtemps déjà, l’Australie n’est pas près de pouvoir mettre à l’eau les huit sous-marins flambant neufs qu’elle espérait faire construire alors que Naval Group les lui préparait…
Car la Grande-Bretagne comme les États-Unis souffrent chacun de sérieux problèmes de production avec leurs propres chantiers navals pour les programmes SSN(X) et SSN(R). L’annonce ne les règlera pas d’un coup de baguette magique.
Des mesures « provisoires » en jugent la plupart des analystes et experts.
D’autres estiment plus précisément que l’Australie envisage d’acquérir cinq de ces navires américains à propulsion nucléaire de la classe Virginia, afin de remplacer ses Collins conventionnels à propulsion diesel et attendre l’arrivée de ces « Frankensubs », que l’on voit mal pouvoir être bâtis et mis à l’eau avant la décennie 2040.
 
Ce qui est annoncé ce jour-là, qui aura été préparé depuis plus d’un an et que tout le monde savait déjà, c’est d’abord la confirmation d’une importante commande australienne de sous-marins américains, puis le lancement d’un nouveau sous-marin de pointe associant les trois partenaires au pacte AUKUS.
« Notre projet renforce pour des décennies la capacité industrielle de nos trois nations à produire et déployer des sous-marins à propulsion nucléaire, il développe notre présence sous-marine dans l’Indopacifique et contribue à la sécurité et à la stabilité mondiales », ont déclaré les trois dirigeants dans leur communiqué commun.
Le programme se déroulera donc en trois phases et dans le respect du principe de non-prolifération nucléaire, assure l’exécutif américain.
 
Tout d’abord une phase de familiarisation pour l’Australie avec ces engins, via la formation de marins, ingénieurs, techniciens au sein d’équipages américains et britanniques, ainsi que dans les chantiers navals et les écoles spécialisées des États-Unis et du Royaume-Uni, l’Australie ne disposant pas aujourd’hui de sous-marins à propulsion nucléaire ni de technologie nucléaire, qu’elle soit militaire ou civile…
Dans un deuxième temps, et sous réserve du feu vert du Congrès américain, l’Australie va acheter trois sous-marins américains à propulsion nucléaire de la classe « Virginia », avec une option sur deux navires submersibles supplémentaires. Les sous-marins doivent être livrés à partir de 2030.
Enfin, la troisième phase, la plus ambitieuse étape de ce programme, prévoit que les trois pays vont s’associer pour une nouvelle génération de sous-marins d’attaque, baptisée SSN-AUKUS !
Des sous-marins, à propulsion nucléaire et à armement conventionnel.
C’est ce qui est prévu…
Confirmation de l’embrouillamini industriel annoncé par les « politiques »…
 
Ce nouveau partenariat militaire, très étroit et très ambitieux, ne fait d’ailleurs pas que des heureux. La conclusion de l’alliance AUKUS, avec pour corollaire l’annulation par Canberra du contrat d’acquisition de 12 sous-marins français, avait donné lieu en 2021 à une crise diplomatique avec la France, qui avait crié « à la trahison ». Depuis, la tension est retombée entre les deux parties. Le Président Makarond ayant même été reçu en grande pompe d’un dîner d’État à Washington.
L’indignation de la France a surtout fait place aux critiques de la Chine, engagée avec les États-Unis dans une guerre économique et stratégique acharnée. « Nous appelons les États-Unis, la Grande-Bretagne et l’Australie à abandonner la mentalité digne de la guerre froide » et à « faire davantage de choses pour encourager la paix et la stabilité régionales », aura déclaré Mao Ning, une porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois, avant les annonces du lundi.
 
Et puis dès le lendemain de cette réunion « historique », on apprend la perte d’un drone US MQ-9 Reaper au-dessus de la mer Noire.
Naturellement comme à son habitude, Moscou dément toutes les accusations de responsabilité dans « cet accident », tout en dénonçant les vols « hostiles » américains près des frontières russes.
Dans cette zone très surveillée par l’Otan depuis le début de la guerre en Ukraine, un avion de chasse russe a en réalité percuté un drone américain.
Les USA ont dénoncé dans la foulée un acte « irréfléchi » et « unique », tandis que le département d’État américain a convoqué l’ambassadeur russe.
De son côté, Moscou a confirmé avoir intercepté l’appareil, mais a démenti être à l’origine de sa chute.
Or, les images prises par la caméra du bord sont impitoyables : deux chasseurs russes, l’un après l’autre sont en approche par l’arrière tribord, dans le soleil. Et les deux tentent d’inonder de kérosène l’entrée d’air du drone en vidangeant leur réservoir dessus.
Le drone poursuit son vol sans difficulté après la première passe, puis le second prend la même trajectoire d’interception et percute une des trois pales de l’hélice du drone américain.
Aucun doute : au moment de l’impact les images sont totalement brouillées, puis les suivantes montrent un bout d’hélice tournant au ralenti et passablement écornée !
 
Pas culoté pour un sou, l’ambassadeur russe aux États-Unis a demandé le mercredi à Washington de cesser les vols « hostiles » près des frontières de son pays alors que la chute du drone aura lieu dans l’espace international.
Tout comme l’interception.
Kiev accuse, comme à son habitude, Vladimir Poutine de chercher à « étendre » la guerre en Ukraine à d’autres parties.
Pour les États-Unis, pas de doute : un avion de chasse russe Su-27 a percuté, mardi 14 mars, son drone au-dessus de la mer Noire, alors que celui-ci « effectuait des opérations de routine dans l’espace aérien international ».
La « routine » de l’espionnage électronique…
 
L’accident a « entraîné le crash et la perte du MQ-9 », aura précisé le général James Hecker, commandant des forces armées américaines en Europe et en Afrique.
« Cet acte dangereux et non professionnel des Russes a failli provoquer le crash des deux avions », a dénoncé le responsable militaire.
Et il s’est voulu ferme : « Les drones des États-Unis et des alliés continueront à opérer dans l’espace aérien international ». Il appelle les Russes à « se comporter de manière professionnelle ».
Un oxymore, parce que pour réaliser ce type d’interception, sans ouvrir délibérément le feu sur la cible, il faut vraiment être un excellent pilote. D’autant que l’avion percuteur sera rentré à sa base, sans dégât important…
 
Dans les faits, le drone était suivi depuis « trente à quarante minutes » par deux appareils russes, affirme le général français Jérôme Pellistrandi. Selon le rédacteur en chef de Revue Défense nationale, il s’agit donc d’une « action délibérée de la part des Russes ».
Le MQ-9 Reaper est un aéronef d’environ 20 mètres d’envergure et piloté à distance, rappelait-on alors que lors du défilé du 14 Juillet 2022 il avait fait une apparition inédite au-dessus des Champs Élysées. Il s’agit d’un drone « Male » (moyenne altitude longue endurance) équipé de capteurs embarqués qui dispose d’un rayon d’action de 2.500 kilomètres et peut voler durant 24 heures en conditions opérationnelles.
 
Après cet incident, le drone était devenu « incapable de voler et incontrôlable », selon le porte-parole du Pentagone qui explique l’avoir abattu.
Il n’est pas rare que des avions de l’Otan, américains, français ou britanniques par exemple surveillent la zone. « Visiblement, le drone est tombé donc au milieu de la mer Noire, c’est-à-dire dans une zone qui n’est pas sous une juridiction russe. Mais, on le sait, c’est un espace aérien qui peut être disputé. »
C’est aussi un incident grave qui pourrait déboucher sur plus de tensions, conclut un spécialiste.
 
John Kirby, un porte-parole de la Maison Blanche, a donc dénoncé un « acte irréfléchi » de la part des Russes. Tout en rappelant que d’autres interceptions de drones américains par des avions russes ont eu lieu par le passé.
L’ambassadrice des États-Unis à Moscou a de plus adressé un message au ministère russe des Affaires étrangères.
« Les actions agressives des équipages russes pourraient aboutir à des malentendus et une escalade involontaire », avait prévenu l’armée américaine dans son communiqué initial. « Nous sommes en contact directement avec les Russes, au niveau des hauts responsables, afin de leur transmettre notre forte objection face à cette interception », a également déclaré à la presse le porte-parole de la diplomatie américaine, Ned Price.
 
Moscou aura continué de démentir avoir provoqué la chute de l’appareil, tout en reconnaissant que deux de ses chasseurs avaient intercepté le drone américain mardi. « À la suite d’une manœuvre brutale vers 09 h 30, heure de Moscou, le drone MQ-9 a commencé un vol non contrôlé avec une perte d’altitude et a heurté la surface de l’eau », a assuré le ministère russe de la Défense. Il a affirmé que ses deux chasseurs n’avaient pas fait feu, n’avaient pas eu de « contact » avec le drone et « sont rentrés sans encombre à leur base ».
Le ministère russe a aussi argué que le drone a été détecté « dans la zone de la péninsule de Crimée », et qu’il avançait « en direction » de ses frontières.
« Nous réfutons le démenti de la Russie », a déclaré de son côté et un peu plus tard sur CNN John Kirby, ajoutant que les États-Unis avaient « pris des mesures » pour récupérer leur appareil.
 
Pour rajouter à ses « tensions », le Kremlin annoncera son intention d’installer des missiles nucléaires tactiques en Biélorussie, à la grande satisfaction de l’autocrate Loukachenko de Minsk qui poursuit son agenda personnel.
Une manœuvre qui s’accompagnera de la fabrication d’installation idoine sur le sol de la Biélorussie, Moscou annonçant rester maître d’œuvre de leur utilisation ultérieur.
Encore une prédiction du « BBR 3.0 » toujours en mode béta…
« Ah mais non, je n’ai rien dit sur le drone abattu. En revanche pour les missiles, c’était parfaitement logique pour le « BBR ».
L’Otan a pris l’habitude d’en faire autant, en Turquie en Pologne et durant des années en Allemagne de l’Ouest » notamment avec ses fameux SS 20 qui avait fait polémique dans les années 80.
Et ce n’est en aucun cas contraire aux engagements internationaux de limitation des armes nucléaires.
« Mais le BBR ne savait pas situer dans le temps cette décision… »
Alexis regarde son patron, pour une fois incrédule.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 

 
Éditions I3

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