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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 avril 2023

Vendredi Saint : Jean-Marc prend le bus…

Germaine l’accompagne !
 
Une super vamp à la croupe incendiaire, en minijupe découvrant largement ses cuisses, à la poitrine débordante de son chemisier très tendu et s’ouvrant sur les grandes Jorasses, pénètre dans un autobus.
Indignée, Germaine s’énerve
« ― Tu ne trouves pas cela honteux, cette façon qu’ont les hommes de regarder le derrière de cette fille qui monte dans le bus ?
― Quel bus ? »
 
Un fermier demande à son voisin :
« ― Qu’est-ce que tu avais donné à ton cheval quand il est tombé malade le mois dernier ?
― De la térébenthine. »
Une semaine plus tard le fermier dit à son voisin :
« ― J’ai fait comme toi, j’ai donné de la térébenthine à mon cheval, mais il est mort sur le coup !
― Le mien aussi ! »
 
« Cher Jean-Pierre,
Je ne dors plus, je ne vis plus depuis que j’ai rompu nos fiançailles.
Voudrais-tu bien me pardonner et oublier ?
Ton absence ronge mon cœur.
Je n’étais qu’une petite sotte, personne ne pourra jamais prendre ta place.
Je t’aime plus que tout ! Mon ti-toutou.
Amoureusement,
Ta Marie-Luce.
P.S. Mes félicitations pour tes 6 bons numéros au tirage du Loto d’hier soir. »
 
Une petite fille de trois ans est dans le bain avec son petit frère de quatre ans. La petite demande à son père :
« Moi aussi je veux un pénis comme Jean-René. »
Et son père de lui répondre :
« Si tu es gentille lorsque tu seras grande, tu en auras un. Si tu n’es pas gentille, tu en auras plusieurs. »
 
C’est l’histoire d’un gars qui se prépare à faire l’amour.
Tout heureux, il avale une pilule de viagra mais celle-ci est demeurée coincée dans sa gorge.
Alors le gars a eu la langue sortie et raide pendant 3 heures !
 
Histoire Belge :
Quelle est la différence entre un chien belge et un chien français ?
Le chien belge a le trou du cul en dessous de la queue.
Et le chien français a le trou du cul à l’autre bout de la laisse.
 
La revanche :
Ça se passe sur un vol Paris – New York.
Pendant le vol trois gros malabars s’installent en première classe avec des billets de classe économique.
L’hôtesse leur demande de regagner leur place.
Pour toute réponse, ils réclament du champagne et du caviar, puisqu’ils sont en 1er classe.
L’hôtesse refuse et insiste pour qu’ils regagnent leurs sièges en classe économique.
Ils la bousculent.
Elle communique avec son chef de cabine qui intervient, mais sans réussir à calmer les voyous.
Ces derniers élèvent même le ton.
Le chef de bord va voir le commandant pour lui expliquer la situation.
« ― Combien sont-ils ?
― 3 !
― Quelle nationalité ?
― Belge !
― Je vais régler ça ! »
Le commandant s’approche des voyous et leur demande s’ils ont été servis.
En même temps, il se penche et leur glisse un mot à l’oreille…
Aussitôt ils se lèvent et regagnent leurs places en classe économique.
Le chef de cabine :
« Que leur avez-vous dit ? »
Le commandant :
« Que la première classe ne vas pas à New York ! »
 
Jean-Marc arrive chez lui très fatigué, de peine et misère il se traîne à sa chaise préférée et s’y laisse tomber.
Germaine, sa gentille épouse lui demande :
« Est-ce que tu veux un breuvage chéri ? »
Et tout en essayant de le réconforter, lui demande :
« ― Une dure journée aujourd’hui ?
― Oui, ne m’en parle pas, l’ordinateur a planté et nous avons dû penser nous-mêmes, toute la journée. »
 
Une chorale répète pour la messe de minuit du 24 décembre.
Le curé décèle quelque chose d’anormal.
Pour en avoir le cœur net, il demande à chacun des membres de chanter seul.
Viens le tour de Jean-Patrick.
Celui-ci entonne bruyamment :
« ― Leon ! Leon !
― Jean-Patrick ! Arrête ! » fait le prêtre.
« Tu tiens ton livre de chants à l’envers. Les paroles c’est « Noël, Noël » … »
 
Jean-Marc et Marie-Germaine se disputent.
« Tu as un amant ! », s’écrie Jean-Marc
« ― Oui, et alors ?
― Alors, ça veut dire que tu en as assez de moi !
― Mais non. Pauvre cave. Si j’ai un amant, c’est que je n’en ai pas assez de toi ! »
 
« Vous n’avez pas vu le feu rouge ? » demande un policier furieux à Marie-Chantal, plutôt snob, qui vient d’en brûler un.
« Oh ! vous savez », répond-elle dédaigneusement, « quand on en a vu un, on les a tous vus ! »
 
C’est l’histoire de Jean-Luc qui sent l’alcool à plein nez s’assoit à côté d’un prêtre dans le métro.
Sa cravate est souillée, ses joues pleines de rouge à lèvres et le bout d’une bouteille de gin dépassait de la poche de son manteau.
Il ouvre son journal et commence à lire.
Après un certain temps, il se retourne vers le prêtre et lui demande :
« ― Mon Père, qu’est-ce qui cause l’arthrite ?
― Mon fils, l’arthrite est causée par une vie de débauche, par le fait de se tenir avec des femmes de mauvaises vies, une trop grande consommation d’alcool et le mépris des autres.
― Ouais, voilà que ça m’en bouche un coin, là ! » dit-il en repliant son journal.
Le prêtre, croyant qu’il est allé un peu loin, tente de s’excuser.
« ― Je suis navré, je ne voulais pas être méchant. Depuis quand souffrez-vous d’arthrite ?
― Qui ? Moi ? Mais aucunement : C’est le journal qui dit que le Pape est démoli par l’arthrite. »
 
Une revenue d’il y a longtemps !
Un prêtre dit à son ami rabbin :
« ― J’ai un truc pour manger gratuit.
― Super ! Donne-moi ton secret !
― Je vais au restaurant, assez tard, et je commande une entrée, un plat, du fromage, un dessert et puis je prends mon temps en dégustant un café, un cognac et un cigare… Et j’attends la fermeture.
Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser.
Alors je lui réponds : « Mais j’ai déjà payé à votre collègue qui est parti ! » Et le tour est joué… »
Et le rabbin :
« ― Alors, on essaie demain ?
― OK. »
Le lendemain, les deux compères vont au restaurant et tout se passe comme prévu.
Au moment de la fermeture, le garçon demande s’il peut encaisser et le prêtre lui répond :
« Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti. »
Et le rabbin qui ajoute :
« Et d’ailleurs nous attendons toujours notre monnaie… »
 
C’est l’histoire de Germaine qui est en train d’installer sa nouvelle imprimante, reçoit continuellement de son ordinateur le message :
« Ne voit pas l’imprimante ! »
Après de maints efforts, sans succès elle décide de téléphoner le numéro du support technique de l’imprimante, se plaignant qu’il reçoit continuellement le message que l’ordinateur ne voit pas l’imprimante.
Elle dit au technicien :
« J’ai même placé l’imprimante devant l’écran de l’ordinateur, et il continue à me dire qu’il ne la voit pas… »
 
Jean-Charles veut vendre sa maison et donne un mandat à un agent immobilier. Deux jours plus tard, l’agence prévient Jean-Charles qu’ils ont un acheteur…
« Je ne vends plus, j’ai changé d’avis !
J’ai lu votre annonce et je ne me rendais pas compte à quel point cette maison était idéale ! »
 
Un chinois entre dans un bar, avec un perroquet perché sur sa tête.
« ― Super ! » dit le barman. « C’est un vrai ? Où l’avez-vous trouvé ?
― En Chine », répond le perroquet.
 
« ― Monsieur, savez-vous que votre chien aboie toute la nuit ?
― Oh, ça ne fait rien, il dort toute la journée… »
 
C’est l’histoire du jeune marié rentre le soir chez lui, et sa femme lui saute au cou en lui disant :
« Chéri, j’ai une grande nouvelle ! je suis en retard d’un mois… Je crois que nous allons avoir un bébé !
J’ai fait le test chez le médecin aujourd’hui, mais tant qu’on n’aura pas de certitude, on n’en parle à personne. »
Le jour suivant, l’agent de la compagnie d’électricité sonne chez elle.
« ― Vous êtes bien Madame Unetelle ? Madame, vous avez un mois de retard !
― Comment le savez-vous ? » balbutie la jeune femme.
« ― Mais madame, c’est inscrit sur nos registres.
― Qu’est-ce que vous dites ? C’est inscrit… sur vos registres ?
― Absolument. »
Le soir elle raconte cela à son mari, qui, fou de rage, se précipite dès le lendemain dans l’agence de la compagnie.
« ― Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? » hurle-t-il. « Vous inscrivez dans vos registres que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous mêlez-vous ?
― Écoutez », dit le contrôleur, « calmez-vous. Ce n’est pas bien grave. Vous n’avez qu’à l’acquitter et on n’en parle plus…
― La quitter ? Il n’en est pas question ! je ne la quitterai jamais, ni maintenant ni plus tard !
― Dans ce cas, je vous préviens, si vous refusez de l’acquitter, on va vous la couper !
― Quoi ? Me la couper ? mais qu’est-ce que deviendra ma femme ?
― Je ne sais pas… elle n’aura qu’à se servir d’une bougie… »
 
Jean-Marc raconte :
« ― Ma femme voulait un jour que je lui dise des mots d’amour. Alors je lui ai dit : ‘‘Chérie, tu es comme mon paquet de cigarettes, tu empestes ma vie, mais je ne peux pas me passer de toi’’.
― Ah oui ! Romantique à souhait… »
 
Dans la série des « revenues » :
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« ― Pourquoi les veuves n’ont pas d’hémorroïdes ?
 Tu me l’as déjà faite !
― Alors ?
― Parce qu’elles n’ont plus leur trou d’cul. »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« ― Dis-moi, si tu savais que demain ce serait la fin du monde, que ferais-tu d’ici ce temps-là ? »
Et son ami lui répond :
« ― Je coucherais avec tout ce qui bouge ! Et toi ?
Moi ? J’pense que je ne bougerais pas… »
 
Dans une boîte de nuit, deux hommes discutent.
Il y a un homme d’affaires et un play-boy.
L’homme d’affaires explique :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir des actions en bourse. »
Le play-boy répond :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir une bourse en action. »
 
Assise, une petite fille observe sa mère qui lave ses cheveux au-dessus de l’évier de la cuisine.
Elle note tout à coup que sa mère a plusieurs mèches de cheveux blancs, qui contrastent avec ses cheveux brun foncé.
« ― Maman, pourquoi certains de tes cheveux sont-ils blancs ?
― Bien, chaque fois que tu fais quelque chose de mauvais et me fait pleurer, ou me choque, un de mes cheveux devient blanc.
― Maman, pourquoi alors TOUS les cheveux de grand-maman sont-ils blancs?
― … »
 
Joyeuses pâques à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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