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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 21 avril 2023

Je vous avais dit qu’il y en avait d’autres !

 Suite de la livraison des blagues Kameulfs
 
Un Ummo demande à un Kameulf, croisé dans la rue :
« Pardon Monsieur, le trottoir d’en face c’est où ? »
Le Kameulf un peu interloqué lui répond :
« ― Ben c’est de l’autre côté de la rue.
― Impossible », dit le Ummo, « je viens de là et on m’a dit que c’était ici. »
 
Deux Ummos sont à la pêche en canot.
L’un d’eux plonge dans l’eau et reviens dans le canot, alors l’autre demande :
« ― Mais qu’est-ce que tu es allé faire ?
― Je suis allé changer mon vers. »
 
Une Ummo se présente à la pharmacie d’un Kameulf et demande un demi préservatif.
« Un demi condom ? Mais pourquoi un demi condom ? » lui demande le pharmacien
« C’est parce que j’ai une mi-graine. »
 
D’un Ummo à un autre :
« ― Aie ! Qu’est-ce que ça veut dire les XXX lorsque l’on loue un film porno ?
― Dukon ! c’est la signature des trois Ummos. »
 
Un Ummo s’en allant à l’église est transi à cause du vent qui lui gèle la figure. Pendant la messe il demande avec ferveur :
« Mon Dieu, mon Dieu j’ai eu tellement froid, faites que le vent change de direction quand je sortirai de l’église. »
Le bon Dieu lui dit :
« J’ai exaucé ta prière. »
Il a gelé encore plus en retournant chez lui mais elle n’a pas compris pourquoi.
 
Deux Ummos se rencontrent, l’un demande à l’autre :
« ― Comment ça va, vieux ?
― Ça va bien, je suis en route pour mes vacances, deux semaines.
― Vacances ? Comment se fait-il que tu n’aies qu’un sac en papier avec toi ?
― J’apporte seulement une boîte de Pampers ! »
― Une boite de Pampers ? Comment ça ?
― Et oui c’est inscrit sur la boîte : « Les Pampers vous permettent de faire de la bicyclette, la nage, la course et tous les sports ». »
 
Un Ummo ayant vécu toute sa vie à la ville en a soudain assez de la vie de citadin.
Il décide de déménager pour la campagne pour élever des poulets.
Il trouve une jolie fermette à vendre pour pas trop cher.
Il saute sur l’occasion et l’achète.
Quelques jours plus tard, il reçoit la visite de son voisin immédiat, qui est un Kameulf qui lui aussi est éleveur de poulet.
Le voisin lui dit :
« Élever des poulets, de nos jours, ce n’est pas une mince affaire. Par solidarité, je vais te prêter 1.000 poulets pour t’aider à démarrer.
Tu me les rendras quand t’auras assez de sous devant toi. »
Après l’avoir remercié, l’Ummo apprenti aviculteur rentre chez lui avec les poulets.
Deux semaines plus tard, le voisin vient voir à quel stade en sont ses poulets.
« Oh, c’est pas terrible. Tous les poulets sont morts ! »
Le voisin n’y croit pas :
« Je n’ai jamais eu autant de perte sur mes poulets. Ils ont dû avoir un coup de chaleur. Allez, je vais t’en prêter 1.000 autres. »
Deux nouvelles semaines passent.
Le voisin affable vient à nouveau aux nouvelles :
« ― Je ne sais pas si je dois te le dire, mais tes 1.000 poulets sont morts encore une fois. Il n’en reste plus un seul de vivant…
― Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Comment tu expliques qu’ils soient tous morts ?
― Ben je ne suis pas encore sûr… Ou bien c’est parce que je les plante trop profond, ou bien c’est parce que je les plante trop serrés. »
 
Des Ummos sont réunis en congrès sur la planète Kameulf pour comprendre pourquoi les Kameulfs se moquent d’eux dans tout le cosmos.
Un Kameulf demande au représentant des Ummos de monter sur la scène pour le rejoindre.
« Vous tous ici présents, nous allons vous montrer, une fois pour toutes, pourquoi nous nous moquons de vous. »
Le Kameulf appuie ses tentacules sur un poteau de bois et demande au Ummo de les lui frapper.
Le Ummo hésite.
Après plusieurs demandes, le Ummo se décide, prend un recul, met en boule durcie ses propres tentacule et frappe de toutes ses forces vers celles du Kameulf.
À la toute dernière seconde, le Kameulf retire sa main et le Ummo frappe le poteau de bois de plein fouet.
Le Kameulf regarde la foule et dit :
« Vous voyez maintenant pourquoi on se moque de vous, les Ummos ! »
De retour à la maison, les Ummos se rassemblent pour montrer aux autres Ummos les résultats de leur congrès.
Celui qui s’est fait mal aux tentacules demande à un autre Ummo de le rejoindre au milieu de la salle.
Ne trouvant pas de poteau prêt de lui, il met ses tentacules devant son propre visage et dit :
« Donne un violent coup de tentacule ! »
 
Ummo sur une île…
Prisonniers, ils prient et se creuse les méninges pour trouver une solution.
Tout à coup, un génie apparaît.
« Vos désirs sont des ordres ! Que chacun d’entre vous fasse un vœu et je le réaliserai ! »
Le Premier Ummo s’avance…
« Ô maître, faites en sorte que je sois assez intelligent pour quitter cette île. »
Alors le génie lui indique qu’il faut nager jusqu’à la terre.
Le deuxième Ummo demande au génie :
« Ô maître, faites en sorte que je sois plus intelligent que celui qui vient de nous quitter à la nage afin que, moi aussi, je puisse quitter l’île. »
Le génie lui désigne alors un radeau et lui dit de ramer jusqu’à la terre.
Le troisième Ummo demande au génie :
« Ô maitre, faites que je sois plus intelligent que les 2 Ummos qui viennent de quitter l’île afin que je puisse moi aussi quitter l’île sans me mouiller. »
Et le génie le change en Kameulf.
Pour quitter l’île, il traverse alors tout simplement le pont à pied.
 
Un Kameulf s’aperçoit que son voisin de pallier, un Ummo, descend voir dans sa boite aux lettres.
Il n’y a rien et il revient 10 minutes plus tard.
Le manège se répète un quart d’heure plus tard, et l’Ummo revient sans rien.
Même si le facteur n’a pas encore fait sa livraison, l’Ummo répète le même manège à plusieurs reprises.
Notre Kameulf ne peut s’empêcher de lui demander, lorsqu’il passe à sa proximité pour la énième fois :
« ― Bonjour cher voisin. Il semblerait que vous attendez un courrier de la plus grande importance ? Je vous vois passer vérifier le courrier. »
― Non ! » Répond-il. « C’est que mon ordinateur de fabrication terrienne, dois-je préciser, qui me répète constamment que j’ai du courrier. »
 
Deux Ummos sont emprisonnés après avoir été condamnés pour vol.
Le premier soir, le plus vieux dit à l’autre :
« ― Ça pas de bon sens, rester ici trois ans pour ce vol, moi je ne le comprends pas.
― Comment tu vas faire si tu veux t’évader ?
― Eh bien… pendant le break je vais aller inspecter les clôtures, si elles sont trop hautes je vais essayer de passer dessous et si elle sont courtes, je vais passer par-dessus.
― Ah, ok, ok ! »
Après son inspection, son compagnon lui demande :
« ― Alors, va t’on être capable de s’évader ?
― Impossible de s’évader d’ici.
― Comment-ça, on ne peut pas s’évader ?
― Parce qu’il n’y a pas de clôtures… »
 
Un Ummo est en train d’installer sa nouvelle imprimante, reçoit continuellement de son ordinateur le message :
« Ne voit pas l’imprimante ! »
Après de maints efforts, sans succès il décide de téléphoner le numéro du support technique de l’imprimante, se plaignant auprès du Kameulf de permanence qu’il reçoit continuellement le message que l’ordinateur ne voit pas l’imprimante.
L’Ummo dit au technicien :
« J’ai même placé l’imprimante devant l’écran de l’ordinateur, et il continue à me dire qu’il ne la voit pas ! »
 
Deux Ummos, travailleurs de la construction, sont au 10ème étage d’un immeuble lorsqu’ils voient leur patron, un Kameulf, faire une chute mortelle.
Les enquêteurs de la police demandent qui serait en mesure d’identifier la victime.
Outre ses vêtements, personne ne peut le reconnaître car il est totalement défiguré.
Un des Ummo dit :
« Pour vraiment l’identifier, il faudrait le déshabiller, car il nous disait toujours qu’il était très chanceux d’avoir deux trous du cul ! »
 
« Un Ummo qui trichait au golf a un jour fait un trou d’un coup.
Il a marqué 0 sur sa carte de pointage. »
 
Un Ummo se promène et se croise avec un miroir.
Il pense alors :
« J’ai déjà vu ce visage quelque part… Je suis presque certain que je le connais… »
Après un moment elle se dit:
« Ah, je sais !!! C’est ce connard qui me fixait chez le coiffeur ! »
 
Ummos veulent joindre la police Kameulf.
À tour de rôle, ils passent une entrevue avec le capitaine.
Le premier entre et le capitaine lui montre une série de photos d’un criminel.
Il lui demande alors ce que ce bandit avait de bizarre.
L’Ummo lui répond :
« ― Ce gars-là n’a qu’un seul œil !
― T’es bien trop bête ! Il a été photographié de côté ! »
Il fait entrer le deuxième candidat et lui pose la même question.
« ― Ce gars-là n’a qu’une seule oreille !
― T’es aussi bête que ton collègue ! Il a été photographié de côté ! »
Il fait entrer le troisième à qui il pose, encore une fois, la même question.
« Facile ! Ce gars-là porte des verres de contact ! »
Le capitaine, surpris, fouille dans ses fiches et constate qu’il a raison.
Il demande alors à l’impétrant Ummo comment il a pu savoir ce détail :
« Facile ! Le gars n’avait qu’une seule oreille alors il ne pouvait pas porter de lunettes ! »
 
Un Ummo, devant son café, pique une crise dans un restaurant.
« ― Garçon ! Je veux du sucre s’il-vous-plaît !
― Mais ça fait sept morceaux que je vous apporte
― Cessez de vous moquez de moi. Ils ont tous fondu ! »
 
Un Ummo est sur l’autoroute en train de pousser avec grand peine une superbe soucoupe roulante toute neuve.
Un policier Kameulf l’aperçoit et lui propose son aide :
« ― Alors en panne ?
― Non, non, tout va bien, elle est toute neuve !
― Pourquoi vous poussez votre soucoupe roulante comme ça ?
― C’est le concessionnaire, il m’a dit : “50 km maximum en agglomération mais vous la poussez un peu sur l’autoroute.” »
 
Un Ummo vient de perdre son meilleur ami.
Il vient de mourir et la famille a demandé de ne pas envoyer de fleurs.
L’Ummo a envoyé une boîte de chocolats !
 
Pourquoi les mamans Ummos ont de la peine à endormir leur enfant-Ummo ?
Parce qu’elles leur chantent des chansons à répondre.
 
« ― Comment fait-on pour reconnaître un Ummo à la piscine ?
― C’est le seul qui s’assoit sur le tremplin pour pêcher. »
 
Un Ummo vient de s’acheter des chaussures de ski en préparation de son voyage dans les Alpes sur Terre.
« Il a déjà cassé 4 paires de lacets à essayer de les faire démarrer… »
 
Le Ummo est fier comme un paon, parce qu’il a réussi un jeu de patience en cinq mois !
Il invite ses amis à contempler son œuvre et il leur présente son puzzle.
« ― Ben voyons ! Tu ne vas m’dire que tu as fait ça en cinq mois ?
― Ben oui. C’est fort hein ! Sur la boîte, on lit : Jeu pour 3 à 5 ans ! »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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