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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 25 avril 2023

Les « occidentaux » évacuent Khartoum !

Bé oui, c’est la guerre civile…
 
De violents combats entre l’armée soudanaise et des paramilitaires se poursuivent et ont déjà fait des centaines de morts.
On en compte déjà plus de 420, plus 3.700 blessés, selon un bilan provisoire de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Du coup, les États-Unis, la « Gauloisie-présentielle », le « Royaume-Uni », la « Ritalie », la « Teutonnie », la « Batavie », « l’Hispanie », « l’Hellènie », mais plus largement l’Arabie saoudite, l’Irak, la Jordanie, la Turquie, le Liban, la Corée du Sud, le Japon, la Chine, l’Indonésie… tout le monde évacue ses ressortissants du Soudan.
Tout le monde sauf…
 
Mais qu’est-ce qui se passe donc entre l’Égypte et l’Érythrée pour que tout le monde déguerpisse ? Un raz-de-marée, une éruption volcanique, un tremblement de terre ?
Même pas : Deux généraux qui avaient pris le pouvoir lors du coup d’État de 2021, mettant un coup d’arrêt au processus vers une transition démocratique du pays, après la chute du dictateur Omar el-Béchir, en 2019.
Encore « des » qui se pensent sortis de la cuisse de Jupiter.
Or, « Jupiter » s’est réincarné en « Gauloisie-des-retraités » et ils ne le savent pas encore…
 
Les hostilités ont éclaté après qu’ils ont été incapables de s’accorder sur l’intégration des paramilitaires du général Daglo aux troupes régulières du général Burhane, après des semaines de négociations politiques sous égide internationale.
À Khartoum, une ville de cinq millions d’habitants tout de même, de nombreux civils s’aventurent hors de chez eux uniquement pour obtenir des denrées alimentaires d’urgence ou pour fuir.
Et j’ai suivi, via mon « Beauf’ », les péripéties des orthodoxes grecs à la TV Grecque coincés dans une églises sur place…
Car cette semaine, c’était la Pâques grecque, mais aussi l’Aïd el-Fitr, la fin du « Ram-dam » des Mahométans (sunnites dans le coin…).
On célèbre habituellement cette fête « avec des pâtisseries et des cadeaux pour les enfants » (Noël avant Noël), mais cette année, ce sont « des coups de feu et l’odeur de la mort », le « 14 juillet » et la Terreur avant le 14 juillet.
Ces gens-là ne font décidément rien comme tout le monde.
 
Les conditions de vie sont probablement pires au Darfour, théâtre déjà d’un terrible conflit dans les années 2000, personne ne pouvant se rendre dans l’immédiat dans cette région.
Sur place, un toubib de Médecins sans frontières (MSF) évoque une « situation catastrophique ».
On va bientôt vous demander des sous…
Car le Soudan, troisième producteur d’or d'Afrique est l’un des pays les plus pauvres au monde et les services de santé sont à genoux depuis des décennies là où un tiers des 45 millions d’habitants souffre de la faim.
C’est que l’arrêt des opérations de la plupart des organisations humanitaires aggrave la situation : C’est de « l’épuration ethnique » bien pensée.
Sauf que c’est un conflit stupide qui menace désormais de gagner du terrain au-delà des frontières du Soudan.
 
Depuis le 15 avril, de violents affrontements entre factions militaires rivales font rage. À Khartoum et dans le reste du pays, deux généraux se livrent une lutte acharnée pour le pouvoir.
D’un côté, Abdel Fattah al-Burhan, chef de l’armée soutenu par l’Égypte du maréchal al-Sissi.
De l’autre, Mohamed Hamdan Dogolo, dit « Hemeti », chef des Forces de soutien rapide (FSR), une milice proche du groupe paramilitaire russe Wagner.
Lequel est largement implanté dans le pays, où il protège les intérêts du Kremlin…
Et voilà comment on prend en otage une population déjà désespérée !
« Les Russes sont derrière Hemeti, qui a fait acte d’allégeance et prend ses ordres à Moscou », tranche le colonel Peer de Jong, spécialiste des sociétés militaires privées.
Et d’ajouter : « Il aura besoin de leur soutien matériel pour faire face à l’armée soudanaise. »
Alors que rien pour le moment n’indique une désescalade, il faudrait revenir quelques années en arrière pour comprendre comment Moscou a su tisser sa toile à tous les niveaux de l’État.
 
Pour son retour en Afrique, au début des années 2000, la Russie jette son dévolu sur ce grand pays majoritairement peuplé de musulmans sunnites : Une œuvre humanitaire, cela va sans dire.
Carrefour stratégique entre l’Afrique et le Moyen-Orient, le Soudan demeure très pauvre et confronté à une violence endémique, situation dans laquelle il est sciemment maintenu par Moscou.
En 2005, deux ans après le début de la rébellion sanglante du Darfour qui fait environ 300.000 morts, Moscou viole l’embargo de l’ONU, devenant l’unique pourvoyeur d’armes du régime !
« Ce moment marque la perte d’influence des Occidentaux », note une source locale sous couvert d’anonymat.
Bé oui, l’or n’intéresse que les barbares, puisque c’est une devise barbare…
Pour quelle autre raison les russes iraient y perdre leur jeunesse qui s’épuise déjà au Donbass ?
 
« Au plus fort des tensions, l’armée est allée jusqu’à menacer les ONG françaises si elles s’approchaient trop près des frontières. » À la suite de ses crimes de guerre au Darfour, le président Omar el-Bechir, ancien officier parachutiste formé en Égypte, est mis sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale en 2009. Mais il reste le protégé du Kremlin. Et la non-ingérence de Moscou plaît au dictateur, qui le rend bien à « Vlad-Poux-tine ».
En 2014, le Soudan est un des rares pays à reconnaître l’annexion de la Crimée.
Puis, en 2017, Moscou et Khartoum signent un accord pour la création d’une base navale russe en mer Rouge.
Celle-ci doit voir le jour à Port-Soudan, la deuxième ville du pays, qui concentre 90 % des exportations nationales. Décrite comme un « centre logistique », l’emprise militaire est censée pouvoir accueillir jusqu’à 300 marins et quatre navires, notamment à propulsion nucléaire.
Un symbole fort pour la Russie, qui ne dispose plus d’aucune base en Afrique depuis la chute de l’URSS.
 
Aux confins de la mer Rouge, Port-Soudan est au cœur de l’une des voies de navigation les plus fréquentées au monde. Là où sont déjà présents la Chine, les États-Unis, la « Gauloisie-impériale » et le Japon, avec leurs forces stationnées à Djibouti.
Malgré les putschs à répétition (neuf coups d’État ou tentatives depuis les années 1960), dont Khartoum connaît le triste record africain, la coopération avec Moscou est restée forte.
Question de survie pour un régime sous embargo et qui utilise 80 % du budget de l’État à des fins militaires.
Un modus operandi qui conduit à la révolte : En 2019, lors du « printemps soudanais », Omar el-Bechir est finalement destitué par l’armée.
 
Après vingt-neuf années de règne sans partage, des autorités de transition sont formées en août 2020. L’accord avec les Russes est mis entre parenthèses. Mais en octobre 2021, un énième coup d’État ébranle à nouveau le pays.
Le chef d’état-major, le général Abdel Fattah al-Burhan finit par prendre le pouvoir, qu’il partage avec son second : « Hemeti », chef des FSR.
Les rêves de démocratie sont écartés.
« Disposant d’une influence importante au Soudan, les Égyptiens ne voulaient pas de civils au pouvoir. Même chose pour les Russes, qui ont néanmoins besoin d’un parlement pour faire voter des lois qui leur sont favorables », analyse un chercheur au CNRS basé à Sciences-Pô-Paris et spécialiste du Soudan.
Et c’est un mois après le retour des militaires au pouvoir que le président russe « Vlad Poux-tine » annonce officiellement la future création de sa base militaire, dans le cadre d’un contrat de location de vingt-cinq ans.
 
Si l’instabilité ambiante n’aide pas à faire avancer le processus législatif, elle n’empêche pas les Russes de faire discrètement des affaires : Formés et équipés par Moscou, les FSR ont laissé le Groupe Wagner mettre la main sur de nouvelles mines d’or : Se payer d’abord sur la bête !
Déjà sous Omar el-Bechir en 2017, des accords avaient été signés entre des compagnies liées à Evgueni Prigojine, le patron de Wagner, et des autorités soudanaises.
L’homme de main du Kremlin en Afrique a créé une société écran, Meroe Gold, pour gérer ses opérations au Soudan.
Meroe Gold appartient à son tour à M Invest, une entreprise ayant fait l’objet de sanctions en juillet 2020 de la part des États-Unis, qui accusent Evgueni Prigojine « d’exploiter les ressources naturelles du Soudan pour son enrichissement personnel ».
De son côté le pays dément bien entendu la présence du groupe de sécurité russe sur son sol…
 
Malgré ce déni, les visites diplomatiques de haut niveau se succèdent.
En février 2023, tout dernièrement donc, « Sergueï-Lave-roof » a achevé sa nouvelle tournée africaine par une visite au Soudan, où il a insisté pour mettre fin aux sanctions qui lui sont imposées par l’Organisation des Nations unies, louant les efforts de Khartoum « pour attirer des investissements russes ».
Qui ne se bousculent que sur ordre du « Tsar Vlad 1er ».
En outre, la veille de l’invasion russe de l’Ukraine, le 23 février 2022, « Hemeti » s’était rendu en Russie, où il a rencontré le président et son ministre des Affaires étrangères pour « faire avancer les relations » entre le Soudan et la Russie.
« C’était, à l’époque, une délégation gouvernementale conduite par les deux généraux au pouvoir. Les Soudanais voulaient des garanties en matière d’approvisionnement en armes et en céréales ».
 
« Le problème des Russes est qu’ils n’ont pas les moyens de rembourser l’immense dette soudanaise (estimée à environ 60 milliards de dollars en 2021). D’un point de vue économique, personne ne paiera la reconstruction, à part les Occidentaux ou les Chinois.
Cela ne remet pas en question la création de la base militaire, mais oblige les Soudanais à temporiser. »
 
Ce que moâ j’en voie, c’est que ça se passe partout pareil : Là où la Russie, mais ça peut aussi être la Chine, voit une façon habile de sortir de son isolement géostratégique (des puissances continentales qui s’ouvrent sur la mer sillonnée par des puissances maritimes), ça ne manque jamais, c’est forcément le bordel !
Ils ne peuvent pas s’en empêcher, c’est probablement congénital…
Et naturellement, ce sont toujours les autochtones, qui n’ont rien demandé à personne, qui en payent le prix du sang et de la misère…
 
Là, on est sur les rives de la mer Rouge, à l’Est du continent africain.
Quelle importance au juste ? Il n’y a rien derrière les côtes que la douceur de vivre sous les tropiques.
Mais on a eu exactement la même chose, il y a quelques années de ça, sur la côte occidentale avec l’Angola et la Namibie sur fond de régime d’apartheid, où il n’y avait pas plus qu’une certaine douceur de vivre dans l’arrière-pays.
Ce n’était pas la Russie tsariste mais l’URSS néostalinienne.
Alors quand le pape « François 1er » des chez les « papistes » appelle seulement au dialogue, c’est forcément du plus haut comique !
 
À mon avis, il y en a qui, si ça devait être le cas, quand ils vont se retrouver devant leur Créateur, ils vont avoir des surprises.
Plus prosaïquement, je constate que la liste des créatures diaboliques et malfaisantes s’allonge de génération en génération que c’en est désespérant !
Je suis certain que j’ai dû me tromper ou d’époque, ou de planète quand je suis né, ce n’est pas possible autrement…
Il est temps que je me retire : Ça devient vraiment insupportable !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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