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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 18 avril 2023

Les vieilles canailles bougent encore !

C’était la semaine dernière…
 
Et ça ne vous aura probablement pas échappé. « Déesse-khâ » s’est fendu d’un « avis avisé » sur la réforme des retraites de « Jupiter » et « D’jack@tallis », le sherpa lauréat du concours général des lycées, d’un nouveau bouquin.
Les deux ont en commun d’avoir servi sous « Mythe-errant », le maître du Verbe surnommé Dieu, qui aura rendu définitivement utopique le socialisme Gauloisien.
Même si c’est « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui l’aura tué et « Mes-Luches » qui l’aura dépecé…
 
Les deux compères de la « Mythe-errandie » auront eu en commun d’avoir trempé dans des histoires impossibles des finances de « l’Arsouille ».
L’un en qualité de « sinistre des finances et de l’industrie » aura volé son brevet à Joseph Ferrayé pour l’extinction des puits de pétrole du Koweït dans les chaudes années de guerre du Golfe [1] et l’autre d’avoir recyclé ce butin-là de façon totalement anonymisée à travers sa banque pour le développement de l’Europe créée pour l’occasion.
Des fonds qui auront financé la réunification des deux « Teutonnies » et qu’il a fallu reclasser, aux échéances des prêts en trois plans d’investissements pour l’avenir.
Un « Grand emprunt » pour « Bling-bling », un second PIA sous « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et un troisième dans les premiers jours du premier quinquennat de « Jupiter » pour un total de 57 milliards d’euros.
Décompte officiel des budgets votés par le Parlement et recomptés par la Cour des comptes…
C’est que les 22 milliards de dollars d’origine auront fait des petits en plus de deux décennies.
 
« Déesse-khâ » aura économisé ses commissions pour ses vieux jours en achetant de l’or-papier probablement planqué à Hong-Kong tel que quand il s’est entiché de redevenir banquier après l’épisode de l’Hôtel Sofitel de New-York où il avait confondu une femme de ménage avec une Escort-girl selon ses habituelles habitudes de « bon client », souvenez-vous qu’il devait « lever 2 milliards de dollars » en Chine pour sauver la banque de son coreligionnaire en état de cessation de paiements qu’on aura retrouvé 15 étages plus bas au pied de chez lui, à Tel-Aviv.
C’est qu’entre-temps, il ne sait pas comment, il s’est fait piquer son pognon par plus malin que lui.
 
Quant au second, il s’est reconverti à faire « gourou dans le civil », annonçant même l’élection de « Jupiter » avant que celui-ci ne concocte ses affiches de campagne en 2017.
C’est que « frangin trois-points », avec les portes ouvertes au « groupe Bilderberg », un carnet d’adresse qui alimente le Forum économique de Davos, de nombreux contacts Outre-Atlantique et Outre-Manche, il peut se permettre d’anticiper jusque sur les plateaux télés.
C’est histoire de vendre ses bouquins.
Qui ne sont d’ailleurs pas de lui : Ils sont écrits par un bataillon de « nègres » puisés dans les stagiaires prometteurs des grandes ékoles de la République qui noircissent du papier pour lui.
Lui décide du thème le lundi, relit l’ensemble en fin de semaine et c’est publié dans le mois.
Je sais, un de mes neveux l’aura fait.
Et je l’ai moâ-même fait pour un de mes profs de droit…
 
Bref, l’inoxydable « éléphant » du P.soce, ancien directeur du FMI et connu pour tant d’autres choses, « Déesse-Khâ » bouge encore.
Dans une publication « Twister », intitulée « la cinquième erreur », il fait savoir qu’il considère que l’erreur de « Jupiter » est de ne pas avoir voulu réformer notre système des retraites mais de ne s’être attaqué qu’à la partie visible de l’iceberg en repoussant l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
Une réforme « paramétrique » qui n’en est pas une alors que selon « Déesse-Khâ » c’était la durée de cotisations qui devait être modifiée.
Ou parler pour ne rien dire, n’est-ce pas… car il aurait pu l’anticiper sur la foi du « Livre blanc » de « Roro-card » sur le sujet qui circulait en librairie.
 
Mais s’ajoute une autre « erreur », celle de la temporalité.
Le moment explosif dans lequel le pays a été plongée n’était pas, d’après lui, le plus approprié pour mener une réforme aussi délicate.
Sauf que cette réforme aura été retardée par le « Conard-virus », souvenez-vous.
La troisième « erreur » est celle de la stratégie. En d’autres termes celle du rapport de force par le 49.3, qui se surajoute au contexte déjà très tendu.
À sa publication, la loi pourrait faire repartir un cycle de violences sociales.
On va savoir dans les jours qui viennent…
Et de conclure sur un slogan qui, après une démonstration aussi factuelle fait flop par anticipation : « Il est encore temps de trouver des solutions aux couleurs de la République ».
Wouah !
Pas encore mort, mais déjà bien atteint !
 
Ceci étant dit, il faut lui reconnaître un certain culot et un aplomb difficile à égaler, lui qui a été grièvement brûlé par les médias à cause de ses frasques inqualifiables à consommer de la catin dans chaque hôtel des villes traversées.
La posture du « vieux sage » retiré des affaires n’est, non seulement jamais sincère en politique (voyez « Bling-bling »), mais lui va particulièrement mal en qualité de queutard endurci.
En abordant un sujet qu’il connaît relativement bien, la macro-économie alors qu’il était avocat d’affaires avant de devenir « sinistre de la République », sous un angle facile voire ultra simple, celui de la critique du régime de « Jupiter » qu’il n’est pas le seul à labourer, l’ancien favori de 2007 envoie-t-il donc une carte postale de son exil fiscal marocain ?
 
Car sa parole est rare, mais résonne encore dans les médias qui décidément ne s’intéressent jamais aux zones d’ombre (et autre « cassettes Mery » oubliées par inadvertance au fond d’un tiroir !).
Et il en rajoute : « On pense d’abord à la baisse du pouvoir d’achat découlant de l’inflation qui frappe durement la partie la moins aisée de la population. Si, comme nous l’apprend un sondage récent, près de la moitié des Français les plus modestes ont été amenés à supprimer un repas par jour, alors c’est là qu’est l’urgence ! »
À n’en pas douter : Les « laborieux » deviennent miséreux et les classes moyennes se paupérisent à grande vitesse à force de méga prélèvements obligatoires.
 
« Dans cette situation qui peint l’avenir en noir, pouvait-on ne pas escamoter le débat et éviter de passer en force sur les retraites ? On l’aurait pu facilement si le fonds de réserve des retraites, créé par Lionel Jospin, n’avait pas été siphonné fin 2010 par le président de l’époque pour alléger sa contrainte budgétaire. Il aurait vraisemblablement approché les 100 milliards d’euros en 2030, à comparer aux 10 ou 15 milliards annuels promis par la réforme dans sa version actuelle. »
Ce n’est pas totalement faux, mais ce n’est pas non plus absolument vrai, pour être une hérésie cosmique… et budgétaire !
Et puis de toute façon, nous n’avons jamais que les élus que l’on mérite, ni plus ni moins.
C’est cette réforme systémique qu’en 2017 un candidat à la présidence de la République disait, à juste raison, vouloir entreprendre.
Mais il a ensuite subrepticement abandonné cette voie sans raison, ou alors elle était mal expliquée.
 
« C’est cette réforme systémique qu’en 2017 un candidat à la présidence de la République disait, à juste raison, vouloir entreprendre. Mais il a ensuite subrepticement abandonné cette voie. Pourtant, nous devons sortir d’un système qui repose sur l’âge de départ à la retraite pour construire un système fondé sur la durée de cotisation. »
C’est intelligent : Ça ne fait que déporter le problème de l’âge de la liquidation d’une pension, rien de plus…
L’âge couperet disparaîtrait alors : Il se prolonge pour les carrière incomplète et hachée.
« La durée de cotisation s’ajusterait lentement et régulièrement avec l’évolution des besoins de financement », estime-t-il.
C’est exactement ce qui va se passer pour les « régimes spéciaux » dès le mois de septembre 2023.
 
« À cela s’ajoute la lancinante inquiétude que crée l’apathie des gouvernements face au dérèglement climatique pourtant si prévisible », « un usage disproportionné de la violence physique et verbale » et une « situation dramatique » qui « fait suite à la Covid et a pour toile de fond la question de la guerre ».
Géant !
Tout ça à cause de « Jupiter » ?
N’en jetez plus, la coupe est pleine !!!
 
Il critique néanmoins l’exécutif : « Le vocabulaire employé a été à la fois révélateur et exagéré : défendre des idées sociales ne fait pas de nos concitoyens des “ultra-gauchistes” ; manifester pour contester et combattre un projet gouvernemental ne relève pas du “terrorisme” ».
Ça fait surtout des cocus qui n’ont rien compris aux problèmes qui les assaillent, bien enfermés dans leurs ignorances… jusqu’à en ignorer l’étendue.
Et de conclure son texte en évoquant la décision des Sages qui interviendra vendredi 14 avril : « Le Conseil constitutionnel dira s’il a ou non malmené la Constitution. Quoi qu'il en soit, il aura malmené le peuple français. »
Depuis ce dernier a tranché et la loi aura été promulguée dans la foulée, sans ses « cavaliers législatifs ».
Tant pis pour les « avancées » négociées avec les « LRd ».
Bref, le chéri n’aura rien compris, mais maintenant personne ne peut l’ignorer.
 
Ce qui me fait rebondir sur « Jack@tallis » : Lui aussi en tient une couche !
En bon « vrai-faux prophète », il s’est surpassé dans la prédiction autoréalisatrice. Et il annonce « l’immense crise financière » pour « la deuxième quinzaine d’un mois d’août : comme en 1857, en 1971, en 1982 et en 1993. »
Il ne lui manque qu’un détail : L’année !
« Peut-être août 2023 », dit-il, sans en être sûr !
Désolé, pour moâ, si elle ne se déclenche pas « par accident » avant l’été, ce sera pour un mois de septembre… si elle doit avoir lieu.
Je m’explique. Aaoût est un mois dangereux pour les traders qui font et défont les marchés… et les crises.
Or, ils sont en vacances et ont posé des « balises » (des stops) pour prévenir leur absence.
Et les « seconds couteaux » n’ont plus leur mot à dire depuis des lustres sur le sujet, tellement ils ont déjà su déclencher des séismes par le passé.
 
D’autant qu’il est parmi les mieux placés pour constater les dégâts : Il a conseillé tous les Présidents en place, lutté sans relâche contre la « réaction ».
Il détaille donc avec le style prophétique qui a fait sa fortune ce que la plupart des économistes disent partout en « Gauloisie-atteinte-de-cécité » et dans le monde : La situation financière est explosive !
« La situation mondiale ne tient aujourd’hui que par la force du dollar, lui-même légitimé par la puissance économique, militaire et politique des États-Unis, qui restent le premier refuge des capitaux du monde », constate-t-il en docte mondialiste assumé.
À qui la faute ?
« Or, ils sont aujourd’hui menacés par une très grave crise budgétaire, financière, climatique et politique », poursuit-il.
Endettement des promoteurs, banques fragilisées, climat révolutionnaire… C’est la fête, après quarante ans de promesses d’un avenir rose (soce) bonbon.
(Tiens, il a oublié la dette « étudiante », au passage… m’étonne-je !)
 
« Le reste du monde souffrirait terriblement d’une telle crise », prévient-il. « L’Europe, elle-même terriblement endettée, plongerait dans une récession (…). De même pour la Chine. Seule la Russie, qui n’a plus rien à perdre, aurait à y gagner » !
J’en rigole au moins autant qu’un cosaque ruiné par la vodka frelatée.
Ce qui va se passer n’est pas encore écrit, mais très probablement le déclencheur se trouvera sur les frontières de l’Europe orientale.
Mais heureusement, « Jack » a la solution.
Ou plutôt les solutions, car il en a quatre : Des économies radicales, une relance budgétaire, la guerre et la surprise du chef.
« Une réorientation radicale de l’économie mondiale vers un mode de développement nouveau, avec un tout autre rapport à la propriété des biens de consommation et du logement, réduisant à la fois l’endettement et l’empreinte climatique ».
On dirait du Davos dans le texte.
Même pas le communisme mais mieux que ça : Ce monde de rêve ce n’est « vraisemblablement pas à la place de la catastrophe, encore parfaitement évitable, mais après qu’elle aura eu lieu », explique « @tallis ».
Donc, on y va, de gré ou de force.
 
En 2011, il en rêvait déjà tout haut : « Un jour, l’humanité comprendra qu’elle a tout à gagner à se rassembler autour d’un gouvernement démocratique du monde, dépassant les intérêts des nations les plus puissantes (…).
Un tel gouvernement existera un jour. Après un désastre, ou à sa place. »
De là à souhaiter ledit désastre pour accéder à ses rêves, il n’y a qu’un pas… car il en rêve encore, ne se rendant pas compte que ce « monde nouveau » sera le fait des fusils et des canons !
Dix ans plus tôt, en octobre 2000, dans la Revue des deux mondes, il se lâchait : « J’aimerais pouvoir imaginer une société idéale et les moyens d’y parvenir. Selon moi, la « société idéale » est une société mondiale non violente, dotée d’un gouvernement universel qui aiderait chaque personne humaine à trouver et réaliser son propre idéal et son génie. »
Pour Socrate c’était une cité dirigée par des philosophes.
Et puis on ne compte plus les despotes et les autocrates qui fusilleront les peuples.
Lui, on le connaît : Il nous expliquera que si le mondialisme ne marche pas, c’est parce qu’il n’y a pas assez de mondialisme.
La réalité est plus simple : Pendant que des manifestants occupaient le siège parisien de LVMH, première fortune mondiale depuis peu, lui prophétisait, comme tout bon marxiste-caviar de Saint-Germain des Prés, la « crise terminale du capitalisme ».
Inutile de vous dire que le parallèle m’aura bien amusé.
Sont-ils vraiment sur la même longueur d’ondes ?
 
Incarnation de ce « capitalisme de connivence » syndiqué par Davos qui ― de façon publique et déclarée depuis 3 ans ― qui se propose d’écraser la classe moyenne, LVMH occupe dans le paysage de la « Gauloisie-grand-réinitialisée » la place qui est celle de BlackRock dans le paysage mondial de la finance.
Il est donc bien naturel que l’un et l’autre s’attirent l’animosité des masses démocratiques qu’elles se proposent explicitement de réduire à une sorte de néo-servage à l’ancienne ― pour leur bien, celle des masses de gueux étant notoirement homophobes et climato-sceptiques, donc indignes de toute responsabilité politique !
Il s’efforce ainsi de brouiller les cartes, comme tous les « post-cocos » du monde le font depuis un siècle et demi : En diluant cette responsabilité concrète de l’oligarchie kleptocrate dans la critique d’un « capitalisme » abstrait.
 
L’avantage « d’@tallis », c’est que, chez lui, le bobard ne cache pas trop son jeu.
Comment doit-on réformer ce méchant capitalisme ?
En expropriant les empoisonneurs de Big Pharma ?
En nationalisant ou brisant les monopoles ?
Que nenni !
Il faudra « une réorientation radicale de l’économie mondiale vers un mode de développement nouveau, avec un tout autre rapport à la propriété des biens de consommation et du logement ».
Il nous avait déjà fait le coup avec les taxis parigots…
 
Il faudra, en d’autres termes, que ces gueux qui « puent le gasoil et la clope », qui encombrent en ce moment le siège de LVMH de leurs gueules de « sans-dents » deviennent locataires des appartements, des véhicules et même des moyens de paiement dont, de nos jours, ils sont encore bien trop souvent les propriétaires !
Satané déclaration des droits de l’Homme et du citoyen (pourtant rédigée par des « frangins-trois-points » à une époque reculée) !
Ce qui, en les rendant instantanément expulsables et expropriables, tendra à leur faire passer l’envie d’aller déranger les amis philanthropes de monsieur « Jack ».
 
Personnellement j’en pense que voilà en une semaine, la même de la semaine dernière, que des deux dinosaures du « Mythe-errandisme », ce sont montrés égaux à eux-mêmes : Nuls et désorientés par un monde qui les dépasse largement pour ne toujours pas le comprendre.
Le pire c’est que ça se voit.
Notez que ça se voyait déjà quand ils étaient aux affaires !
Ce n’est décidément pas folichon de mal vieillir… mais il y en a qui ne changeront décidément jamais, au moins comme un mauvais vinaigre !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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