Ou quand les trisomiques s’occupent de mon bonheur
Je ne sais pas où ils sont nés, ni qui s’est entiché de les former aux
« plus hautes responsabilités », mais ils sont extraordinaires de « crétinerie-diplômée ».
J’ai appris comme ça que demain, composter ses détritus sera bientôt obligatoire, même en appartement !
Le tri des déchets biodégradables sera en effet obligatoire dès le 1er janvier 2024.
Comment faire quand on réside dans un appartement et que l’on n’a pas de jardin pour installer un bac à compost ?
Déjà, ça pue, ça schlingue, c’est dégueulasse, ça méthanise à l’air libre, mais en plus je devrais en faire de l’engrais dont je n’ai pas l’usage.
Notez que j’ai un pote (je l’appelle « Président » parce que c’est
sérial entrepreneur) dont le père avait fait fortune en ramassant et collectant
les crottes des chevaux de la Garde Républicaine et son propre père les relais
parisiens sur les chemins des Halles (celles du futur forum éponyme).
Ils compactaient tout ça qu’ils réexpédiaient dans les campagnes fournissant ainsi les cultivateurs de champignons de Paris (les bien nommés…).
On va donc tous avoir un « bokashi » dans nos cuisines.
Il s’agit ou composteur hermétique tout droit venu du Japon.
Le tri des déchets biodégradables, ce n’est pas réservé qu’aux
propriétaires d’une maison avec jardin. Même ceux qui résident en appartement
vont devoir s’y mettre. Donc, c’est décrété, à partir de la fin d’année et au
plus tard le 1er janvier 2024, chaque ménage devra se doter d’un bac
à compost, d’après la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le
gaspillage et à l’économie circulaire.
Épluchures de légumes, coquilles d’œufs, marc de café, sachets de thé… tous ces déchets y passeront sauf les déchets de viande et les laitages.
J’ai déjà une poubelle à emballages, une autre pour mes boutanches, j’en aurai donc deux de plus, l’une pour les composts et l’autre pour les viandes et laitages…
Il va falloir que je déménage ou que je campe dans l’escalier pour manger et cuisiner…
« L’État accompagne les collectivités pour qu’elles proposent à tous
les Français une solution de tri des déchets alimentaires », assure le
ministère de la Transition « écolologique » sur son site.
Ce sera donc sur les collectivités que reposera la responsabilité du tri des déchets organiques.
À Besançon, dans le Doubs (25), par exemple, des chalets de compostage sont déjà ouverts en continu dans plusieurs quartiers.
À Alençon (61), on retrouve une cinquantaine d’aires de compostages.
Près de Nantes encore, à La Chapelle-sur-Erdre, une plateforme de traitement de déchets a déjà été installée.
Les habitants subissent toutefois des nuisances olfactives depuis sa mise en place.
Je veux. Ça et l’élevage des poules pondeuses, je ne vous raconte pas.
Il restera à traiter les carcasses (pour en faire du savon), que ça reste parfaitement invivable, je peux vous le dire.
Les copropriétés qui le souhaitent peuvent aussi placer des bacs pour les
biodéchets, une sorte d’initiative collective qui évite aux habitants de se
déplacer (en métro ou dans le bus avec sa boîte à déchets) dans les centres de
tri mis en place par les collectivités.
Le tri des épluchures de fruits et légumes et autres déchets organiques peut aussi s’effectuer de manière individuelle, sur son balcon !
J’ai pas ça : C’est la place de mon figuier.
Pas de panique pour ceux ne disposant pas de balcon m’assure-t-on. Un « lombricomposteur »,
à savoir un bac à compost agrémenté de vers de terre qui absorbent les déchets
et les transforment en engrais, est une installation qui peut trouver sa place
dans une cave par exemple.
Voilà qui va faire plaisir aux rats du quartier, déjà qu’ils pissent sur mes tapis, mes boîtes de maquettes et mes bouquins entassés dans le réduit obscur…
Le bokashi, de la taille d’une poubelle, est également une solution pratique qui ne prend pas de place et que l’on peut installer dans sa cuisine.
Idéal pour mettre en appétit dans les milieux urbains…
Une poudre constituée de levures, bactéries… permet de décomposer les matières tassées dans un petit bac par un processus de fermentation.
Si encore ça pouvait distiller quelques pinards de médiocre qualité…
Selon le ministère de la Transition « écolologique », « 1/3
du contenu de la poubelle résiduelle des Français sont des déchets
alimentaires, alors que ces biodéchets peuvent être valorisés en biogaz utilisé
localement pour le chauffage urbain, ou en compost pour les filières agricoles ».
Chez moâ, c’est déjà le cas avec les chaudières du « chauffage urbain » (CPCU).
Soit plus de 80 kilos de déchets par habitant et par an, selon L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME).
Et en cas de non-respect du nouveau dispositif, le texte de loi ne prévoit pas d’amende : Quand ils ne savent pas être convaincants, ils passent par la case « je te pique du fric ».
Car de toute façon, l’article du Code pénal (R. 632-2) précise que des sanctions sont applicables si l’on dépose des déchets, en vue de leur enlèvement par le service de collecte, sans respecter les conditions fixées par l’autorité administrative compétente.
En pratique, on peut espérer qu’il soit difficile de surveiller chaque poubelle, donc les amendes pourraient ne pas pleuvoir sur les récalcitrants.
Et puis avec la grève des éboueurs…
Passons.
Mais ils trouveront bien un moyen technologique nouveau pour vous arnaquer une fois de plus, je ne me fais pas de souci pour nos autistes-trisomiques…
D’ailleurs, dans la formulation des konneries qui te pourrissent sciemment
la vie (comme si elle n’est pas déjà assez difficile à assumer comme ça…) après
avoir dépenser un fric monumental pour faire des couloirs « à mobilités
douces » (vélos, trottinettes, patins à roulettes et autres
« casse-gueule » à une ou plusieurs roues), réduisant ainsi
magnifiquement les voies de circulation des autos-tractées pour mieux provoquer
des embouteillages et polluer toujours plus, « Sœur-Âne » nous aura
fait un « référendum d’initiative populaire » pour supprimer les
concessions de trottinettes « one shot » en location.
Ça a tellement bien marché (4 % de participation, 89 % de refus de renouvellement desdites concessions), un vrai plébiscite africain (ou russe), faisant la fortune des fabricants de trottinettes électriques (chacun aura la sienne d’ici peu de temps) et de vélos nucléaires (l’électricité en « Gauloisie-infernale » est nucléaire, charbonneuse « écolologique » en Teutonnie…), qu’elle remet ça pour le périphérique urbain qui ceinture la kapitale.
Après les Jeux olympiques, une voie du périphérique parisien est censée
être dédiée aux transports en commun et au covoiturage. La mairie centrale de « Paris-sur-la-Seine »
lance à partir du 17 avril une consultation pour discuter des modalités
d’application du dispositif qui de « provisoire » qui dure, va
devenir définitif !
En effet, les Jeux olympiques de « Paris 2024 » vont bouleverser les habitudes de transport des franciliens. Et parmi les grands changements, le périphérique aura une voie réservée aux officiels des Jeux, athlètes, staff…
Qui circuleront probablement en convois escortés : Reportez-vous sur les boulevards des maréchaux ou sur « le premier cercle » de banlieue.
C’est moins pratique, mais c’est plus sympathique et les riverains vont apprécier, soyez-en sûrs.
Bon très bien, ça ne dure que deux fois 15 jours et je serai en Balagne.
Mais après les JO, « Sœur-Âne » a d’ores et déjà acté que cette « voie
olympique » serait conservée, pour devenir une voie réservée au
covoiturage, aux taxis et aux transports en commun.
Elle va être vite saturée, mais bon, les autres également et encore plus.
Le périphérique parisien passera donc à trois voies de circulation libre et une restreinte (seulement là où il dispose de 4 voies, c’est-à-dire « pas partout »).
Un projet qui fait bondir la région « Île-de-Gauloisie » et sa présidente « Valy-Pète-Cresse ».
En 2021, elle avait organisé une consultation en ligne montrant que 90 % des votants refusaient cette voie réservée.
Pour (tenter de) faire accepter au mieux ce changement, la mairie compte
donc lancer à partir du 17 avril, la semaine prochaine, une consultation
ouverte à tous.
L’objectif n’est pas de discuter de la mise en place de cette mesure. Donc, le citoyen est contre, la « soce » est pour, on ne discute même pas du bienfondé de la mesure, on l’impose !
Après tout, c’est « Jupiter » qui montre la méthode avec ses retraites…
Qui sera concerné ? À quel moment de la journée ? Quelles incitations au covoiturage
? Comment vérifier le nombre de passagers lors d’un covoiturage ?
Ce sont les seules questions restées sans réponse qui seront abordées…
Moâ j’adore : On ne sait pas qui, ni quoi ni comment, mais on impose de faire !
Elle n’est pas magnifique la « trisomie-en-marche » ?
Ca les modalités précises n’ont pas encore été définies… et la mairie
souhaite donc obtenir l’avis des habitants avant de décider. Cette voie du
périphérique pourrait donc être réservée uniquement à certaines heures dans la
journée.
Quant aux contrôles, ils pourraient s’effectuer avec une caméra thermique.
Je vous annonce tout de suite la création d’un marché de niche : La vente de poupées gonflables chauffantes, directement branchée sur l’allume-cigare !
Cette consultation se tiendra sous deux formats : Principalement en ligne,
avec une plateforme dédiée, mais aussi avec des réunions publiques, dont la
première dès lundi 17 avril.
Cette consultation sera accompagnée par la commission nationale du débat public, assure la mairie de Paris.
La même qui merdoie un maximum depuis des années ?
Ou celle qui tourne sur le droit au suicide préventif des retraités ?
Je sens que ça va encore être sportif…
D’ailleurs, « Sœur-Âne » persiste à mettre à sac sa propre
ville.
Vous avez entendu parler des « dark stores ».
Déterminée à les faire disparaître du paysage, elle engagera prochainement les procédures contre 25 des 80 « dark stores » installés dans la capitale.
De la procédure et encore de la procédure.
C’est que forte de la décision du Conseil d’État, « Sœur-âne »
entend bien les bannir.
Personnellement, je ne comprends pas bien, mais bon, je ne suis pas non plus maire de la kapitale.
Donc la Ville ne lâche rien dans sa bataille contre les « dark stores », qu’elle ne veut pas voir fonctionner dans la capitale.
« Les dark stores ont maintenant l’interdiction de s’installer dans des immeubles d’habitation ou des espaces réservés au commerce. Nous avons déclenché des procédures contre 25 d’entre eux et engagerons de nouvelles astreintes administratives » d’un montant plafonné à 250 euros par jour », a « twisté », l’adjoint à l’urbanisme de la maire.
Les locaux d’habitation, je comprends bien, même si j’ai déjà vu des boutiques en étage, des coiffeurs esthéticiens, des bijoutiers joailliers, des modistes, et j’en passe.
J’en rigole mais Pinault (pas celui des Charentes, celui côté en bourse) dispose de plein d’hôtels particuliers dans les murs de la Kapitale pour ses ateliers du luxe, ses show-rooms et que même Boulanger s’est installé sur la rue de Rennes sur trois niveaux dans un ancien immeuble d’habitation.
Mais des locaux commerciaux par destination, je ne pige pas trop…
Si la mairie est si confiante qu’elle a raison, c’est parce que le 23 mars
2023, le Conseil d’État lui avait donné raison en jugeant que les « dark stores
» Frichti et Gorillas étaient des entrepôts.
Et les entrepôts, on le sait, conformément au Code de l’urbanisme et au Plan local d’urbanisme (PLU), sont interdits à « Paris-sur-la-plage » en rez-de-chaussée sur rue. Le Conseil d’État avait donc estimé que la mairie de Paris avait le droit de demander que les deux sociétés restituent ces locaux à leur activité d’origine.
Autrement dit le commerce de biens et de choses… qu’elles n’ont pas le droit de stocker.
Comprendre qui le veut bien…
Les « dark kitchens » sont elles aussi sur la sellette. Dans cette
bataille, le parcours judiciaire n’a pas été facile : C’est en juin 2022
qu’elle avait tout d’abord essayé d’approcher les sociétés Fritchi et Gorillas
directement, en leur ordonnant de restituer leurs locaux à l’activité
d’origine.
Mais cette décision a été suspendue par le juge des référés du tribunal administratif de « Paris-sur-la-Seine ». La mairie s’est donc pourvue en cassation devant le Conseil d’État.
La capitale compte actuellement des dizaines de « cuisines sur cour », et une nouvelle entend s’implanter dans le 20ème arrondissement, et pas des moindres : Celle de Burger King.
Là aussi, la mairie entend empêcher cette implantation : « Pour éviter son implantation, on a déclenché ce qu’on appelle un sursis à statuer, qui permet d’appliquer par anticipation le futur PLU, qui interdira, je l’espère, l’installation de dark kitchen », a fait savoir l’adjoint à l’urbanisme.
Et si ce n’est pas le cas, qui qui paye des dommage et intérêts pour excès de pouvoir ?
Mais pourquoi pas, sauf que qu’elle est la différence entre une cantine,
un restaurant et une « dark kitchen » ?
Si je ne m’abuse, un restaurant d’entreprise peut exister dans un immeuble de bureaux qui reçoit du public, non ?
J’ai bien installé une « petite-crèche » dans un immeuble de producteurs télé et un de mes honorables collègues (du moment) l’aura fait directement dans les locaux de l’Assemblée Nationale…
On nage en plein délires et nos « sachants », même les plus « autistes-trisomiques » ne savent plus comment enquiquiner leurs concitoyens…
C’est d’autant plus triste que les rez-de-chaussée sont plus rares que les
appartements d’habitation.
Dans une époque reculée, c’était le lieu réservé aux concierges. Parfois aux boutiques. En tout cas les étages l’étaient aux « professions intellectuelles » (avocats, huissiers, notaire, toubibs, dentiste, radiologues, etc.) qui vont devoir déménager pour cause d’accessibilité aux handicapés.
Que ça va le redevenir urgent : Les immeubles haussmanniens ne sont pas conçus pour les personnes à « mobilité réduite ».
Même les « vieux kons » comme moi qui ont le cœur fatigué d’avoir parcouru le pays dès deux heures du matin après une douche froide faute d’eau chaude (on a tendance à ne pas trop se rincer comme il faudrait…) ont du mal dans les escaliers.
Et dans les « immeubles classés », il n’est pas possible d’installer un ascenseur « aux normes ».
(J’ai même habité un immeuble où seul l’étroit escalier était classé, les enfoirés…).
Désormais, les rez-de-chaussée vont valoir une fortune pour être particulièrement recherchés.
En conclusion, « la fête » que devait être les JO va devenir
rapidement un enfer qui va perdurer, les « mobilités douces » une
arnaque de plus, et les 80 « dark-machins » vont s’étendre à d’autres
activité enrichissant les propriétaires de rez-de-chaussée qui vont payer de
l’IFI pour ne pas accueillir les boîtes à compostage ou devoir cohabiter avec
les rats !
Franchement, est-ce que ça vaut le coup de vieillir dans un pareil environnement, dites-moâ ?
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ
PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON
RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
J’ai appris comme ça que demain, composter ses détritus sera bientôt obligatoire, même en appartement !
Le tri des déchets biodégradables sera en effet obligatoire dès le 1er janvier 2024.
Comment faire quand on réside dans un appartement et que l’on n’a pas de jardin pour installer un bac à compost ?
Déjà, ça pue, ça schlingue, c’est dégueulasse, ça méthanise à l’air libre, mais en plus je devrais en faire de l’engrais dont je n’ai pas l’usage.
Ils compactaient tout ça qu’ils réexpédiaient dans les campagnes fournissant ainsi les cultivateurs de champignons de Paris (les bien nommés…).
On va donc tous avoir un « bokashi » dans nos cuisines.
Il s’agit ou composteur hermétique tout droit venu du Japon.
Épluchures de légumes, coquilles d’œufs, marc de café, sachets de thé… tous ces déchets y passeront sauf les déchets de viande et les laitages.
J’ai déjà une poubelle à emballages, une autre pour mes boutanches, j’en aurai donc deux de plus, l’une pour les composts et l’autre pour les viandes et laitages…
Il va falloir que je déménage ou que je campe dans l’escalier pour manger et cuisiner…
Ce sera donc sur les collectivités que reposera la responsabilité du tri des déchets organiques.
À Besançon, dans le Doubs (25), par exemple, des chalets de compostage sont déjà ouverts en continu dans plusieurs quartiers.
À Alençon (61), on retrouve une cinquantaine d’aires de compostages.
Près de Nantes encore, à La Chapelle-sur-Erdre, une plateforme de traitement de déchets a déjà été installée.
Les habitants subissent toutefois des nuisances olfactives depuis sa mise en place.
Je veux. Ça et l’élevage des poules pondeuses, je ne vous raconte pas.
Il restera à traiter les carcasses (pour en faire du savon), que ça reste parfaitement invivable, je peux vous le dire.
Le tri des épluchures de fruits et légumes et autres déchets organiques peut aussi s’effectuer de manière individuelle, sur son balcon !
J’ai pas ça : C’est la place de mon figuier.
Voilà qui va faire plaisir aux rats du quartier, déjà qu’ils pissent sur mes tapis, mes boîtes de maquettes et mes bouquins entassés dans le réduit obscur…
Le bokashi, de la taille d’une poubelle, est également une solution pratique qui ne prend pas de place et que l’on peut installer dans sa cuisine.
Idéal pour mettre en appétit dans les milieux urbains…
Une poudre constituée de levures, bactéries… permet de décomposer les matières tassées dans un petit bac par un processus de fermentation.
Si encore ça pouvait distiller quelques pinards de médiocre qualité…
Chez moâ, c’est déjà le cas avec les chaudières du « chauffage urbain » (CPCU).
Soit plus de 80 kilos de déchets par habitant et par an, selon L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME).
Et en cas de non-respect du nouveau dispositif, le texte de loi ne prévoit pas d’amende : Quand ils ne savent pas être convaincants, ils passent par la case « je te pique du fric ».
Car de toute façon, l’article du Code pénal (R. 632-2) précise que des sanctions sont applicables si l’on dépose des déchets, en vue de leur enlèvement par le service de collecte, sans respecter les conditions fixées par l’autorité administrative compétente.
En pratique, on peut espérer qu’il soit difficile de surveiller chaque poubelle, donc les amendes pourraient ne pas pleuvoir sur les récalcitrants.
Et puis avec la grève des éboueurs…
Passons.
Mais ils trouveront bien un moyen technologique nouveau pour vous arnaquer une fois de plus, je ne me fais pas de souci pour nos autistes-trisomiques…
Ça a tellement bien marché (4 % de participation, 89 % de refus de renouvellement desdites concessions), un vrai plébiscite africain (ou russe), faisant la fortune des fabricants de trottinettes électriques (chacun aura la sienne d’ici peu de temps) et de vélos nucléaires (l’électricité en « Gauloisie-infernale » est nucléaire, charbonneuse « écolologique » en Teutonnie…), qu’elle remet ça pour le périphérique urbain qui ceinture la kapitale.
En effet, les Jeux olympiques de « Paris 2024 » vont bouleverser les habitudes de transport des franciliens. Et parmi les grands changements, le périphérique aura une voie réservée aux officiels des Jeux, athlètes, staff…
Qui circuleront probablement en convois escortés : Reportez-vous sur les boulevards des maréchaux ou sur « le premier cercle » de banlieue.
C’est moins pratique, mais c’est plus sympathique et les riverains vont apprécier, soyez-en sûrs.
Elle va être vite saturée, mais bon, les autres également et encore plus.
Le périphérique parisien passera donc à trois voies de circulation libre et une restreinte (seulement là où il dispose de 4 voies, c’est-à-dire « pas partout »).
Un projet qui fait bondir la région « Île-de-Gauloisie » et sa présidente « Valy-Pète-Cresse ».
En 2021, elle avait organisé une consultation en ligne montrant que 90 % des votants refusaient cette voie réservée.
L’objectif n’est pas de discuter de la mise en place de cette mesure. Donc, le citoyen est contre, la « soce » est pour, on ne discute même pas du bienfondé de la mesure, on l’impose !
Après tout, c’est « Jupiter » qui montre la méthode avec ses retraites…
Ce sont les seules questions restées sans réponse qui seront abordées…
Moâ j’adore : On ne sait pas qui, ni quoi ni comment, mais on impose de faire !
Elle n’est pas magnifique la « trisomie-en-marche » ?
Quant aux contrôles, ils pourraient s’effectuer avec une caméra thermique.
Je vous annonce tout de suite la création d’un marché de niche : La vente de poupées gonflables chauffantes, directement branchée sur l’allume-cigare !
Cette consultation sera accompagnée par la commission nationale du débat public, assure la mairie de Paris.
La même qui merdoie un maximum depuis des années ?
Ou celle qui tourne sur le droit au suicide préventif des retraités ?
Je sens que ça va encore être sportif…
Vous avez entendu parler des « dark stores ».
Déterminée à les faire disparaître du paysage, elle engagera prochainement les procédures contre 25 des 80 « dark stores » installés dans la capitale.
De la procédure et encore de la procédure.
Personnellement, je ne comprends pas bien, mais bon, je ne suis pas non plus maire de la kapitale.
Donc la Ville ne lâche rien dans sa bataille contre les « dark stores », qu’elle ne veut pas voir fonctionner dans la capitale.
« Les dark stores ont maintenant l’interdiction de s’installer dans des immeubles d’habitation ou des espaces réservés au commerce. Nous avons déclenché des procédures contre 25 d’entre eux et engagerons de nouvelles astreintes administratives » d’un montant plafonné à 250 euros par jour », a « twisté », l’adjoint à l’urbanisme de la maire.
Les locaux d’habitation, je comprends bien, même si j’ai déjà vu des boutiques en étage, des coiffeurs esthéticiens, des bijoutiers joailliers, des modistes, et j’en passe.
J’en rigole mais Pinault (pas celui des Charentes, celui côté en bourse) dispose de plein d’hôtels particuliers dans les murs de la Kapitale pour ses ateliers du luxe, ses show-rooms et que même Boulanger s’est installé sur la rue de Rennes sur trois niveaux dans un ancien immeuble d’habitation.
Mais des locaux commerciaux par destination, je ne pige pas trop…
Et les entrepôts, on le sait, conformément au Code de l’urbanisme et au Plan local d’urbanisme (PLU), sont interdits à « Paris-sur-la-plage » en rez-de-chaussée sur rue. Le Conseil d’État avait donc estimé que la mairie de Paris avait le droit de demander que les deux sociétés restituent ces locaux à leur activité d’origine.
Autrement dit le commerce de biens et de choses… qu’elles n’ont pas le droit de stocker.
Comprendre qui le veut bien…
Mais cette décision a été suspendue par le juge des référés du tribunal administratif de « Paris-sur-la-Seine ». La mairie s’est donc pourvue en cassation devant le Conseil d’État.
La capitale compte actuellement des dizaines de « cuisines sur cour », et une nouvelle entend s’implanter dans le 20ème arrondissement, et pas des moindres : Celle de Burger King.
Là aussi, la mairie entend empêcher cette implantation : « Pour éviter son implantation, on a déclenché ce qu’on appelle un sursis à statuer, qui permet d’appliquer par anticipation le futur PLU, qui interdira, je l’espère, l’installation de dark kitchen », a fait savoir l’adjoint à l’urbanisme.
Et si ce n’est pas le cas, qui qui paye des dommage et intérêts pour excès de pouvoir ?
Si je ne m’abuse, un restaurant d’entreprise peut exister dans un immeuble de bureaux qui reçoit du public, non ?
J’ai bien installé une « petite-crèche » dans un immeuble de producteurs télé et un de mes honorables collègues (du moment) l’aura fait directement dans les locaux de l’Assemblée Nationale…
On nage en plein délires et nos « sachants », même les plus « autistes-trisomiques » ne savent plus comment enquiquiner leurs concitoyens…
Dans une époque reculée, c’était le lieu réservé aux concierges. Parfois aux boutiques. En tout cas les étages l’étaient aux « professions intellectuelles » (avocats, huissiers, notaire, toubibs, dentiste, radiologues, etc.) qui vont devoir déménager pour cause d’accessibilité aux handicapés.
Que ça va le redevenir urgent : Les immeubles haussmanniens ne sont pas conçus pour les personnes à « mobilité réduite ».
Même les « vieux kons » comme moi qui ont le cœur fatigué d’avoir parcouru le pays dès deux heures du matin après une douche froide faute d’eau chaude (on a tendance à ne pas trop se rincer comme il faudrait…) ont du mal dans les escaliers.
Et dans les « immeubles classés », il n’est pas possible d’installer un ascenseur « aux normes ».
(J’ai même habité un immeuble où seul l’étroit escalier était classé, les enfoirés…).
Désormais, les rez-de-chaussée vont valoir une fortune pour être particulièrement recherchés.
Franchement, est-ce que ça vaut le coup de vieillir dans un pareil environnement, dites-moâ ?
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