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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 6 avril 2023

Dans le Donbass…

Des ukrainiens impatients de lancer leur contre-offensive !
 
… Le groupe de mercenaires russes Wagner a récemment revendiqué la prise de la ville de Bakhmout, mais Kiev dément et l’armée régulière russe ne confirme pas.
Un imbroglio illustrant la confusion sur une ligne de front gelée où les soldats ukrainiens font le dos rond en attendant avec impatience l’ordre de la grande contre-offensive.
Si le front est gelé, les annonces et démentis fusent dans le Donbass. L’armée russe n’a fait état, dans son point quotidien de lundi dernier, d’aucune avancée dans la ville de Bakhmout, malgré la revendication la veille par le patron du groupe de mercenaires barbares Wagner de la prise de la mairie.
Et Kiev a affirmé que ses troupes « tenaient bon » en dépit d’une « situation difficile » après trois mois de combats intenses autour de cette ville devenue un symbole au même titre que Verdun en 1916…
Nous, on connaît la suite !
 
À plusieurs reprises, ces derniers mois, Evgueni Prigojine, le patron brutes acéphales de Wagner, s’est vanté d’avancées militaires qui n’ont pas été confirmées par le ministère, signe des rivalités acerbes entre l’armée régulière et ces mercenaires, ou tout simplement de l’absence de conquêtes réelles.
Pourtant, l’ISW (Institute for the Study of War) a calculé que les forces russes ont conquis seulement 70 km² au mois de mars !
C’est peu mais c’est déjà beaucoup.
Je repose la question depuis le mois de mars 2022 : « Poux-tine » veut-il vraiment gagner son « opération militaire spéciale » qu’il a déclenchée après avoir menti honteusement à toute la communauté internationale durant plusieurs mois (ses troupes faisaient juste des manœuvres à la frontière Sud du pays…) ?
C’est à croire qu’il n’est jamais qu’un pantin d’opérette qui se prend pour un Tsar !
Il a beau empoisonner ses opposants ou les interner, il n’en a décidément pas l’étoffe.
Même pas à la cheville de Staline, d’ailleurs.
 
Car de toute façon, la chute éventuelle de Bakhmout, ville au demeurant peu stratégique, n’entamerait sans doute pas la détermination des Ukrainiens, qui attendent lancer la contre-offensive de printemps promise par Kiev.
Leur (nouveau) « sinistre de la Défense » (l’autre s’est fait jeter pour corruption…) a ainsi récemment indiqué que celle-ci commencerait probablement « en avril ou en mai », en fonction des conditions météorologiques.
Personnellement, mes « potes » russes m’avaient assuré que l’offensive de leur pays pour finir de « dénazifier » leur voisin devait avoir lieu en mars.
Mars est passé et je n’ai rien vu : « C’est tactique, Infree ! Tu ne comprends décidément rien à rien ! » m’assurent-ils.
Côté Ukrainien (je n’ai qu’une potesse mariée à un russe, qui m’avait prévenu que la Crimée n’était pas suffisante, puisque l’eau potable indispensable à la péninsule est pompée dans le Dniepr côté ukrainien et qu’ils avaient fermé le canal d’acheminement depuis 2014 rendant la situation intenable pour les autochtones obligés de faire fonctionner un aqueduc depuis Temriouk et le Kouban), ce n’est pas mieux.
On manque de tout, d’armes lourdes, de munitions, de chars, d’avion et de violentes pluies se sont abattues au cours des derniers jours sur le Donbass.
 
Du coup, les soldats patientent, tandis qu’une boue visqueuse s’agrippe aux bottes et ralentit leurs déplacements. Sur la « ligne de contact » de Toretsk, dans l’Est de l’Ukraine, où se font face forces russes et soldats de la 24ème brigade mécanisée de l’armée ukrainienne, les lignes n’ont ainsi quasiment pas bougé depuis des mois. Tous disent attendre la contre-offensive annoncée depuis plusieurs semaines.
« Les derniers jours ont été plutôt calmes », confirme un vétéran de la guerre du Donbass. Seuls les aboiements des chiens errants et de rares détonations troublent la quiétude de la tranchée.
Pour autant, les soldats sont sur leur garde : Les Russes sont à moins de deux kilomètres, leurs positions retranchées visibles à l’horizon, serpentant entre les terrils et les villages dévastés par les bombardements.
Quelques jours auparavant, des combattants de l’autoproclamée « République populaire de Donetsk » ont tenté, sans succès, de prendre d’assaut les fortifications ukrainiennes.
Mais eux-mêmes semblent ne plus y croire…
Les armes à la disposition des ukrainiens sont pourtant anciennes, pour la plupart des mitrailleuses et lance-roquettes de fabrication soviétique, et les fantassins sont tenus d’improviser : Sur une caisse de munition, un obus de mortier modifié pour être tiré par un lance-roquette témoigne des trésors d’ingéniosité déployés pour compenser les moyens limités dont les ukrainiens disposent.
« C’est plus efficace contre l’infanterie », explique un ex-manager au sein d’une entreprise de transport à Tchernihiv.
 
Parfois, une rafale de mitrailleuse résonne au loin. « Ce sont les nôtres », indique l’officier chargé de l’unité. Avant le 24 février 2022, cet ancien sportif entraînait une équipe de jeunes footballeurs, avec laquelle il a sillonné l’Europe pour participer à des compétitions. Il a rejoint les forces armées quelques jours après le début de l’invasion, et a combattu près de Bakhmout avant sa réaffectation, un mois et demi auparavant, à Toretsk. « En comparaison, c’est plutôt calme ici », affirme-t-il avec un léger sourire.
Lui aussi appelle de ses vœux la contre-offensive, mais estime que celle-ci pourrait être rendue difficile par une nouvelle vague de mobilisation en Russie : « Nous pouvons les repousser, mais je ne sais pas à quel point. »
Selon le président Volodymyr Zelensky, la contre-offensive serait conditionnée à l’envoi de nouvelles armes à l’Ukraine par ses alliés : « Nous ne pouvons pas commencer tout de suite, nous ne pouvons pas envoyer nos braves soldats sur la ligne de front sans chars, artillerie et roquettes à longue portée », a-t-il ainsi déclaré lors d’une interview accordée à un journal japonais.
J’en pleurerai presque…
Quel cinéma !
 
En attendant, les hommes de la 24ème brigade ont juré de ne pas céder un pouce à l’ennemi : « Chacun d’entre nous a des enfants, une famille. Nous avons vu ce que les Russes ont fait à Irpin et Boutcha, on ne peut pas les laisser continuer. »
C’est là que « Poux-tine » aura perdu cette guerre-là sans le savoir, comme les « Viêt-Cong » avaient gagné la leur sous le martyr des tapis de bombes « ricains » au phosphore lâchées sur des palanquées de civils.
 
D’autant que, et c’est là que je voulais en venir, les sanctions occidentales sapent bel et bien la puissance économique russe, contrairement à ce que mes « trolls » affirment encore haut et fort.
Les États-Unis et leurs alliés, par la mise en place de sanctions, visent à affaiblir à long terme l’importance de la Russie dans l’économie mondiale et à entraver sa puissance militaire, à épuiser la Russie et pas seulement militairement.
Et les difficultés sont désormais bien réelles telles qu’ils ne s’en remettront jamais sans un « plan Marshall » massif…
 
Même le président russe l’a reconnu. Pour la première fois : « Les sanctions imposées à l’économie russe à moyen terme peuvent vraiment avoir un impact négatif sur celle-ci », a concédé « Vlad-Poux-tine » la semaine dernière lors d’une réunion avec le gouvernement retransmise à la télévision.
Encore faut-il délimiter précisément l’objectif principal des sanctions occidentales contre la Russie pour en évaluer leur pertinence.
Les sanctions visent à combler le vide entre les déclarations diplomatiques qui n’ont guère d’impact et les opérations militaires qui s’avèrent coûteuses.
Tel est le constat du centre de recherche indépendant du magazine « The Economist ».
Jeudi dernier, on a été mis en garde contre toute confusion des dirigeants politiques. « Ce n’est ni l’effondrement de l’économie ni un changement de régime qui sont recherchés avec les sanctions. L’idée est de peser sur la capacité de la Russie à mener sa guerre contre l’Ukraine ».
Et sur ce plan, l’efficacité semble être au rendez-vous.
Selon la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’année 2022 s’est bien révélée mauvaise pour l’économie russe.
Le produit intérieur brut (PIB) du pays a chuté d'au moins 2,2 % dans le meilleur des cas et jusqu'à 3,9 % dans le pire des cas.
Des données cachées aux Russes, mais ils doivent bien s’en rendre compte sur place, et surtout à mes « trolls » qui poursuivent leur musique d’un marche triomphale vers un « ordre de justice et de paix » de portée mondiale, tous continents confondus, sous les couleurs de leur Tsar…
 
Pour l’année en cours, l’économie russe devrait continuer à se contracter. L’OCDE prévoit un recul de 5,6 %, la Banque mondiale de 3,3 %.
Le fait est qu’il est difficile d’évaluer précisément l’ampleur des dégâts économiques doit-on préciser. « Les statistiques sont un outil de désinformation et les chiffres les moins flatteurs sont dissimulés ».
Forcément…
Un an après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, « les sceptiques crient que les sanctions occidentales n’ont pas réussi à arrêter la machine de guerre du Kremlin. C'est vrai », indiquait en février un chercheur à la Yale School of Management.
Avant d’ajouter : « Plus de 1.000 multinationales occidentales se sont retirées de Russie (…). Pour un pays qui dépend des importations et du transfert de technologie, les sanctions occidentales ont enterré les rêves de tout développement économique pendant des années, voire des décennies. »
Une évidence, même s’il reste encore beaucoup d’entreprises occidentales sur place et que désormais les « fuites » seront taxées…
Parce que bon, les chinois ne peuvent pas tout reprendre non plus et que les oligarques ne sont pas un puits sans fond de financement non plus…
Quand ils soutiennent toujours le régime.
 
Dans la réalité, Washington cherche à asphyxier le secteur énergétique russe. C’est bien le but recherché : L’affaiblissement de la puissance économique russe !
Au niveau global, les États-Unis ont notifié des sanctions sur plus d’une dizaine de milliers de produits. « Ils ont pris plus de sanctions en vingt ans que les Nations unies, l’Union européenne et le Canada réunis », observe-t-on.
Et outre les entraves au développement des capacités militaires russes, l’énergie est tout particulièrement visée. « Washington cherche à asphyxier le secteur énergétique russe et ramener sa part mondiale de 30 % à 15 % à long terme. Ils veulent par exemple entraver toute nouvelle exploitation de champs d’hydrocarbures dans de nouvelles régions russes du grand Nord qui nécessiteront des technologies de pointe dont seuls les États-Unis disposent. »
Et pour l’heure, la Chine ne peut pas être une alternative à la technologie américaine.
Sauf à aller la voler à Taïwan, n’est-ce pas.
Mais que produira au juste une ruine de plus ?
 
La dépendance vis-à-vis de la technologie et des chaînes d’approvisionnement occidentales s’étend d’ailleurs bien au-delà de l’énergie : « L’industrie russe dépend de l’Occident. En 2020, la Chine n’a fourni que 13,3 % des tableaux de commande électriques, 14,1 % des moteurs à combustion et 9,8 % des pièces de machines de travail des métaux.
Les entreprises informatiques russes dépendaient des solutions occidentales pour 80 % de leurs besoins ».
Remplacer les fournisseurs occidentaux par d’autres, notamment la Chine, n’est pas si aisé : « Les entreprises chinoises ne se sont pas précipitées sur le marché russe. Les exportations chinoises vers la Russie n’ont progressé que de 12,8 % l’an passé, au même rythme que les exportations vers d’autres pays », rien de plus…
« Les tentatives russes de mettre en place des programmes de substitution des importations pour remplacer les composants occidentaux par des composants fabriqués en Russie coûteraient des centaines de milliards de dollars » qu’ils n’ont pas, juge le chercheur de Yale.
Résultat : La Russie ne peut espérer retrouver son niveau de PIB d’avant-guerre avant 2027, dans le meilleur des cas.
Or, les sanctions sont bien une affaire de long terme.
Et ça fonctionne, lentement mais sûrement.
 
J’en conclus que « Poux-tine » ne veut décidément pas gagner son « opération militaire spéciale ».
S’il l’avait voulu, ça aurait dû être fait depuis très longtemps.
Au contraire désormais, ce sont des terroristes ukrainiens qui sont capables de réaliser des attentats à Saint Pétersbourg, qui tirent leurs drones sur des dépôts d’essence et de matériels installés loin des frontières, quasiment en toute impunité, des drones marins ont attaqué Sébastopol, le viaduc de Crimée reste toujours fragile et personne ne m’a précisé si des trains pouvaient ou non l’emprunter…
Le armes « invincibles » russes coûtent une blinde à chaque tir (on parle de 10 de millions de dollar l’unité) pour des gains « stratégiques » nuls.
Elles ne servent à rien.
Mais mes « trolls » affirment que plusieurs centaines d’officiers US travaillant en Ukraine auraient péri dans la destruction de leur bunker enterrés à plus de 130 mètres dans le sol.
C’est marrant, ils m’auraient dit qu’ils étaient britanniques, ça aurait eu l’air plus sérieux. Mais même pas.
La situation en est arrivée à un tel point que Moscou s’hérisse de batteries anti-aériennes : On est où au juste ?
C’est qui l’agressé, c’est qui l’agresseur ?
 
Le désastre final se rapproche à grande vitesse, en pense-je…
Je rappelle tout simplement que la coalition avait mis seulement 7 mois pour écraser la 4ème puissance militaire du monde de l’époque au Koweït.
Or, la seconde puissance mondiale ne parvient pas à avoir le dessus sur un lilliputien local après 13 mois d’âpres combats.
Il y a tout de même quelque chose qui cloche là-dedans.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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