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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 27 avril 2023

Les bobos-parigots le savent !

Vivre à la campagne, c’est l’enfer…
 
Ils préfèrent tous vivre en ville, grande de préférence, quitte à mettre la campagne dans la ville : Et voter « écololo-bobo » pour ça !
Car l’espérance de vie est plus élevée en ville qu’à la campagne, et l’écart entre les zones rurales et les zones urbaines s’aggravent, selon une étude de l’Association des maires ruraux de « Gauloisie-urbaine » publiée la semaine dernière.
C’est marqué comme ça depuis l’invention des villes, il n’y a rien à faire !
 
Quel paradoxe, où l’urbain friqué aura une maison « à la campagne », à la montagne et/ou à la mer et le chatelain son pied-à-terre à la ville !
Le rêve des milieux aisés et des classes-moyennes pas encore trop privées de tout par le biais de l’impôt et des charges sociales.
Quand on pense que les barons d’empire ont modelé nos campagnes à leurs activités lucratives, parce que le foncier était moins cher et qu’il fallait bien donner du travail à leurs gueux.
Plutôt que de les voire déferler en ville et en hordes sauvages dans les quartiers bourgeois…
J’en rigole encore, figurez-vous !
 
Moâ, je suis un citadin typique : Si mes arrière-grands-parents étaient tous des campagnards qui aimaient patauger dans la boue, j’habite près de là où je bossais, au milieu de tout.
Parce que parcourir le pays en tous sens depuis « Paris-sur-la-plage », c’est plus commode que de partir de « Trifouillis-les-Oies » et de rejoindre « Paris-sur-la-Seine » afin de naviguer à travers de la « Gauloisie ».
En plus, ça aurait été éreintant, et les ékoles et lycées de « ma Nichée » sont quand même meilleurs que ceux des banlieues, des « no-go-zone » et autres terres découvertes à marée-basse.
Quant à leurs fréquentations, elles sont plus variées et acceptables qu’au « Village » (là où ils se marient et se reproduisent tous entre cousins, d’un village à un autre…).
 
Mais « Paris-la-plage », ça se mérite, ça a un coût plutôt élevé, c’est pollué et stressant, car c’est géré par des « soces-écololos » (qui te bouffe l’espace public en « mobilités douces », tellement douces qu’il n’y a jamais personne qui en use), ce qui implique d’avoir des revenus à la hauteur et t’oblige à payer moult impôts sur les fruits de ton labeur lui-même lourdement « taxé » de charges sociales.
Mais quel bonheur !
 
Même si finalement, parce que c’est hors de prix, et les « campagnes » usent et abusent des comparaisons éhontées (le prix du mètre-carré allant du simple au triple ou au quadruple quand ce n’est pas plus), son accès est réservé soit aux emplois-aidés de la Mairie, soit à une petite élite qui forme un entre-soi parfois détestable.
Heureusement, dans une grande ville, on peut choisir ses amis. Pas vraiment dans les petites villes : Ce sont toujours les mêmes que l’on croise à se faire promener par son chien… (« Conard-virus » oblige…) !
 
Mieux que ça d’ailleurs : Les ruraux et les urbains étaient égaux en 1990 du point de vue de l’espérance de vie.
Mais, sur les trente dernières années, elle s’est améliorée deux fois plus vite en ville qu’à la campagne !
L’écart est passé à 1,4 an entre 1990 et 2021 chez les hommes, et à 0,8 chez les femmes, contre 2,2 et 0,9 entre 1990 et 2019.
Au total, la surmortalité urbaine est devenue rurale et s’élève jusqu’à 14.216 décès annuels excédentaires.
Quelle revanche…
On en rigole, mais ce n’est pas drôle !
 
Pour ne reprendre que les années 2020-2021, le nombre de décès moyen dans les bassins de vie ruraux qui comptent une population totale de 20,3 millions d’habitants était de 236.943.
Dans les bassins de vie urbains (48 millions d’habitants), il s’établissait à 425.531 décès.
Presque deux fois plus tout de même.
Mais pour plus de deux fois plus d’habitants.
Et ce malgré le « Conard-virus » qui avait fait paniquer notre « Jupiter » et ses « sinistres-autistes » en imaginant les contaminations dans les transports en commun dès le début de l’épidémie.
 
L’étude a établi un indice comparatif de mortalité (ICM) selon les bassins de vie. À âge et sexe égaux, l’ICM des bassins de vie ruraux (104) est ainsi supérieur de six points à celui des bassins de vie urbains (98).
Selon une carte de l’ICM à l’échelle des 1.666 « bassins de vie », le facteur principal de risque de mortalité en « Gauloisie-policée » reste la géographie régionale, le Nord enregistrant un risque très supérieur à la moyenne nationale.
Normal : Ils picolent de la mauvaise bière et évite les grands-crus bordelais (et les vins Corses).
Les écarts les plus importants se situent ainsi entre le Nord et l’Est de l’hexagone (autre terre à pinards de qualité), au centre du pays, à la pointe de la Bretagne et dans les départements et territoires d’Outre-mer. »
Hors la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » qui compte un nombre impressionnant de centenaires : 1.500 centenaires en 2017, soit huit fois plus qu’en 2013.
L’évolution serait plus marquée chez les hommes avec un nombre de centenaires multiplié par 14 sur la période. Chez les femmes, ce nombre serait multiplié par 7.
Rappelons que la « Gauloisie-éternelle » comptait en 2023, 30.000 centenaires, dont 25.700 femmes et 4.300 hommes.
30 fois plus qu’en 1970…
Malgré les « nanoparticules », les virus et les déchets en plastique…
 
L’indice comparatif de mortalité peut toutefois varier du tout au tout selon si l’on se trouve dans le centre-ville, en général une préfecture qui concentre les services de santé, ou en milieu très rural, souligne l’étude.
Ainsi dans le Puy-de-Dôme, l’ICM, de 91 à Clermont-Ferrand, ne cesse d’augmenter à mesure qu’on s’éloigne de la ville.
Bé oui : On ne peut pas non plus planter des hôpitaux partout à la campagne.
C’est loin, la campagne.
Surtout au milieu de la « diagonale du vide »…
 
L’étude révèle aussi des « effets de bordure » avec des zones de surmortalité situées « aux limites des départements et très souvent aux marges des régions à cheval sur deux ou trois départements », zones qualifiées de « délaissées ».
On a la même chose pour les curés aux divisions des diocèses. C’est parfois le boxon.
Les synagogues et les mosquées, je n’en sais rien, pour tout vous avouer…
Mais est-ce que pour autant les cimetières ruraux sont dépeuplés ?
 
L’Association des maires ruraux « d’Hexagonie », qui alerte régulièrement sur les déserts médicaux, appelle donc à une « refondation de la démocratie sanitaire » et propose quatre solutions concrètes pour améliorer ces écarts : Donner les moyens aux étudiants en santé de faire des stages hors du lieu de formation initiale, mettre en place les équipes de soins coordonnées autour du patient, faciliter l’installation des professionnels de santé pour une meilleure répartition et développer le partage des compétences et les exercices mixtes.
Une association qui ne s’inquiète que des « vides sanitaires » autour de leurs agglomérations en somme, rien de plus.
D’autant que c’est plus compliqué que ça, surtout quand le réseau routier est « difficile », les trains rarissimes, les aéroports lointains et les métros inexistants.
Comment retenir un toubib au milieu de rien ?
Comment financer les outils de diagnostic des toubibs spécialisés (radiologue, cardiologue, laboratoire d’analyse, pharmacie, etc.) ?
Sans même parler des maternités qu’on aura pu fermer par pelletées entières pendant des années ainsi que les services d’urgence désertés parce que loin d’une autoroute…
 
Qui donc chantait il y a encore peu : On est les oubliés/ La campagne, les paumés/ Les trop loin de Paris/ Le cadet de leurs soucis ?
Parce qu’il n’y a pas que ça : Comment trouver un comptoir de banque loin de tout, un bureau de poste, une épicerie, une mercerie, un plombier, un garagiste, un marchand de chaussures, un boulanger pas trop mauvais, une friperie décente, une librairie, un marchand de tabac et un cafetier quand il n’y a plus personne, que tout le monde va « à la ville » pour travailler… ?
En voiture, naturellement, à essence ou diesel, parce que bon, en cas d’orage le réseau électrique se met en rideau : On est les oubliés/ La campagne, les paumés/ Les trop loin de Paris/ Le cadet de leurs soucis…
Alors qu’un autre le savait et chantait : Ils quittent un à un le pays/ Pour s’en aller gagner leur vie, loin de la terre où ils sont nés/ Depuis longtemps ils en rêvaient/ De la ville et de ses secrets, du formica et du ciné…
(…)
Les filles veulent aller au bal/ Il n’y a rien de plus normal que de vouloir vivre sa vie/ Leur vie, ils seront flics ou fonctionnaires/ De quoi attendre sans s’en faire que l’heure de la retraite sonne/ Il faut savoir ce que l’on aime/ Et rentrer dans son HLM, manger du poulet aux hormones…
 
Voilà, tout est dit en quelques vers.
 
Ce qu’on ne savait pas jusque-là, c’est que l’horrible piquette, celle qui faisait des centenaires à ne plus savoir qu’en faire, si elle ne vous tournait pas la tête, c’est encore un mensonge, une « fake-news » comme on dit aujourd’hui.
Car on meurt plus jeune à la campagne qu’en ville.
Et ça, c’est une bonne nouvelle pour les régimes de retraite, figurez-vous !
Donc, si j’étais un suppôt des « forces de progrès », « soces » et « d’humanisme », au lieu de supporter une « Sœur-Âne » à la mairie centrale de ma ville qui veut mettre la campagne dans mes rues (par essence minérales et même polluées aux huiles lourdes et aux particules fines), quand elles ne sont pas encombrées par les rats et les ordures (qui ne font plus grève), j’irai abréger mes douleurs à la campagne.
Plus exactement, en ce qui me concerne, en Balagne et ses odeurs de maquis en fleur !
Un avant-goût de paradis…
 
Mais je ne suis pas « soce », seulement un sale kon qui n’en finit pas de mourir !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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