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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 avril 2023

Les dernières du mois !

Jean-Marc se souvient de quand il était jeune…
 
… de son père, quand lui n’avait que trois ans.
La chatte de la maison avait eu une portée.
Et il annonce à sa mère qu’il y avait 2 chatons-garçons et 2 chatons-filles.
« ― Comment l’as-tu su ?
― Papa les prit dans sa main et regarda en-dessous. C’est écrit sur leur ventre. »
 
La professeure donne une leçon sur la circulation du sang.
Essayant de mettre la situation plus claire, elle dit :
« ― Maintenant, si je me tenais sur la tête, le sang, comme vous le savez, circulerait à l’intérieur et ferait tourner ma figure au rouge.
― Oui », répondit la classe.
« Mais pourquoi alors, lorsque je me tiens debout, en position normale, le sang ne circule-t-il pas dans mes pieds ? »
Alors Jean-Marc répond :
« Parce que vos pieds ne sont pas vides ? »
 
Tous les enfants ont été photographiés, et la professeure leur suggère à tous d’acheter une copie de la photo de groupe.
« Pensez juste comme il serait intéressant de la regarder, lorsque vous aurez grandi et que vous pourriez dire : « Voici Jenny ; elle est avocate. » ou « C’est David ; il est maintenant docteur. »
La petite voix de Jean-Marc, à l’arrière de la classe, près du radiateur, résonne alors :
« Et voici la professeure. Elle est morte. »
 
Jean-Marc discute sur les baleines avec sa professeure.
Son professeur lui mentionne qu’il est physiquement impossible pour une baleine d’avaler un humain parce que, même si c’est un gros mammifère, sa gorge est très petite.
Jean-Marc lui mentionne alors que Jonas a été avalé par une baleine.
Irrité, sa professeure lui réplique qu’une baleine ne peut avaler un humain. C’était physiquement impossible.
« ― Quand je serai au paradis, je demanderai à Jonas.
― Et si Jonas est en enfer ?
― Dans ce cas, c’est vous qui lui demanderez ! »
 
La professeure discute des Dix Commandements avec ses élèves de 5 et 6 ans.
Après avoir expliqué le commandement « honorer » ton père et ta mère, elle demande :
« Y a-t-il un commandement qui nous enseigne comment traiter ses frères et ses sœurs ? »
Le petit Jean-Marc, toujours près du radiateur au fond de la classe répond :
« Tu ne tueras point. »
 
La professeure de maternelle observe sa classe d’enfants qui dessinent.
Comme elle s’approche du petit Jean-Marc qui travaille consciencieusement, elle lui demande ce que représente son dessin.
« ― Je suis en train de dessiner Dieu.
― Mais personne ne sait à quoi ressemble Dieu. »
Sans arrêter et sans quitter son dessin, la petite fille lui répond :
« Ils le sauront dans deux minutes. »
 
Jean-Marc, Jean-Paul, Jean-Charles et Jean-Jacques jouent régulièrement au golf ensemble.
Depuis des années…
Un jour, alors qu’ils sont au point de départ du 8ème trou qui est situé près de la route, ils aperçoivent un convoi funéraire.
Jean-Jacques, le meilleur joueur ce matin-là, s’agenouille et se signe alors que le corbillard passe tout près.
« ― Tiens, Jean-Jacques, je n’avais jamais remarqué que tu avais autant de respect pour les morts.
― Ouais, … C’est que j’aimais beaucoup ma femme. Réellement…
― Ah bon, tu ne nous avais pas dit que ta femme était morte. »
 
Dialogue rapporté par Jean-Paul :
« Elle : Salut !
Lui : Salut, ça va ?
Elle : Je vais bien et toi ?
Lui : Tout va bien !
Elle : Tu fais quoi dans la vie ?
Lui : Rien et je n’ai pas étudié.
Elle : Pourquoi alors ?
Lui : Je n'aimais pas l'école, je fuyais toujours les bancs.
Elle : Ha !!! Dommage !
Lui : Et alors toi ?
Elle : Moi je suis en Master 2 de communication et je suis fiancée a mon homme que j’aime.
Lui : Ha ? Vraiment c’est bien ça
Elle : Et toi tu es célibataire parce que pas d’argent comme ça ?
Lui : Ha non ! On m’a laissé l’héritage de 10 millions par mon grand-père et je cherche une femme à épouser.
Elle : Tu sais moi et mon fiancé nous venons de rompre.
Lui : Quel dommage pour toi. Tu sais l’argent qu’on a laissé a été brûlé quand notre maison a pris feu.
Elle : On a rompu mais on vient de s’entendre on veut fixer le jour du mariage.
Lui : Heureusement la valise qui contenait mon argent n’a pas pris feu. J’ai pu le récupérer !
Elle : Malheureusement mon fiancé vient de mourir la semaine dernière. »
Vraiment les femmes ne sont pas simples…
 
Jean-Marc appelle son ami Jean-Paul et lui dit :
« Peux-tu venir m’aider ? Ma belle-mère est morte et elle est par terre et je veux la mettre dans le lit avant que l’ambulance arrive. »
Alors Jean-Paul lui répond :
« ― D’accord j’arrive. Mais j’y pense, elle pèse à peine 40 kilos ta belle-mère ! Tu dois être capable de la soulever tout seul.
― Je ne peux pas faire deux choses en même temps, rire et la soulever. »
 
Un homme tombe en bas de la tour Montparnasse située au cœur de Paris.
En s’écrasant au sol, il est complètement chauve.
Deux heures plus tard, ses cheveux tombent doucement du haut de la tour. Pourquoi ?
« Il avait utilisé une lotion qui retarde la chute des cheveux. »
 
Un crocrodile rencontre un chien :
« ― Salut sac à puces !
― Salut sac à mains ! »
 
Jean-Marc, en entrant chez le médecin, rencontre Jean-Charles, un de ses amis qui en sortait et lui demande :
« ― Eh bien, le médecin a-t-il trouvé tout ce que tu avais ?
― Presque ! » répond l’autre.
« ― Comment ça presque ?
― C’est que je n’avais que 15 euros sur moi et il m’en a manqué 10 pour un diagnostic complet ! »
 
C’est l’histoire d’une Anglaise accueille son mari :
« ― Darling, je voulais te faire une surprise et je t’avais confectionné un « cake ». Malheureusement le chien l’a mangé…
― Ne pleure pas ma chérie, je t’achèterai un autre chien. »
 
C’est l’histoire d’une jeune poule pond un bel œuf.
« Oh ! » s’exclame grand-maman poule. « Comme il ressemble à son père au même âge ! »
 
De Jean-Marc à Jean-Paul, quand ils regardent les filles passer sur le trottoir, chacun assis devant une chope de bière.
« ― Sais-tu que l’aspirine est la meilleure pilule anticonceptionnelle ?
― Ah non ! Comment ça ?
― Eh bien si ! Place-le entre tes deux genoux et surtout ne le fais pas tomber. »
 
C’est l’histoire d’un père qui dit à sa fille :
« Ma fille, aujourd’hui tu as 18 ans. Ça fait 14 ans que je paye une pension alimentaire. Tu vas aller voir ta mère pour lui remettre ce chèque de pension et lui dire que c’est le dernier ! Regarde bien l’expression de son visage ! »
Le soir, la fille tend le chèque à sa mère et lui dit :
« Maman, papa te donne ce chèque en te spécifiant que c’est le dernier et il voulait que je voie la face que tu ferais. »
Sa mère de lui répondre :
« Va le voir et dit lui la vérité, à savoir que ce n’est pas lui le père !
Regarde bien l’expression de son visage. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul devant une autre bière :
« ― Quelle différence y’a-t-il entre un grand cognac et Bill Clinton ?
― Bin… euh, je ne vois pas !
― Le premier est une fine appellation. Le second est une pine à fellation. »
 
C’est l’histoire d’un couple après 45 ans de mariage.
Alors la dame dit :
« Au début de notre mariage, tu me caressais souvent le menton. »
Le monsieur sans quitter son journal répond :
« Oui, mais en ce temps-là, tu n’en avais qu’un. »
 
Une dame se présente au bureau de son assureur.
« ― Mon mari est mort. Je viens toucher le capital-décès !
― Mais Madame, votre mari ne s’était assuré que contre l’incendie !
― Justement, c’est pour cela que je l’ai fait incinérer. »
 
Le mariage devait avoir lieu quelques quatre mois plus tard et la mère de la mariée doit trouver une limousine de location pour les mariés.
Or la seule limousine disponible appartient au salon funéraire du village voisin.
Elle téléphone…
« ― Est-ce que vous louer votre limousine pour des mariages ?
― Bien sûr, madame, mais seulement à la condition qu’il n’y ait aucune funérailles cette journée-là.
― Bien ! Avez-vous un mort de réservé pour ce jour-là ? »
 
C’est Jean-Marc qui raconte à Jean-Paul, devant une nouvelle chope de bière :
« L’autre jour, au cinéma, un bonhomme s’installe devant moi, et place son chien sur le fauteuil voisin.
Le film commence.
Et les bras me tombent.
Le chien pleure quand c’est triste et rit quand c’est drôle.
À la sortie, je m’adresse au propriétaire…
« ― Vous avez un chien extraordinaire ! On dirait vraiment qu’il a aimé le film !
― Oui… D’ailleurs ça m’étonne parce qu’il n’avait pas du tout aimé le livre. » »
 
Jean-Marc tombe en panne en pleine campagne.
Il soulève son capot examine le moteur lorsqu’il entend une voix :
« Ce sont les bougies ! »
Il se retourne et s’aperçoit que c’est un cheval qui vient de lui parler.
Il court à la ferme voisine un peu affolé.
Il dit au fermier :
« ― C’est incroyable ! Je suis tombé en panne et votre cheval m’a dit que le problème vient des bougies.
― Le cheval… Il était de quelle couleur le cheval ?
― Noir pourquoi ?
― Faut pas l’écouter il n’y connaît rien en mécanique celui-là ! »
 
Un curé qui revient du village voisin par le petit bois raconte à son sacristain :
« ― Tu ne sais pas ce que j’ai vu il n’y a pas 5 minutes dans le bois…
― Non ?
― Ben elle et lui tout nu… Et un peu plus loin, elle et elle… Et encore un peu plus loin… Lui et lui !
Que le monde est horrible.
― Eh bien, vous seriez passez 5 minutes plus tôt et vous auriez vu… Moi et moi. »
 
Petite devinette pour votre week-end :
Savez-vous pourquoi sur les interrupteurs il est toujours écrit « ON » ou « OFF », toujours en anglais et jamais en français ?
« Eh bien c’est parce que c’est la seule façon pour les anglais de savoir si la lumière est allumée ou éteinte. »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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