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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 11 avril 2023

31 membres de l’Otan.

Bienvenue aux Finlandais !
 
Après trois décennies de non-alignement, la Finlande a rejoint il y a une semaine exactement la maison « Otan ». Un tournant stratégique provoqué par l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
« Pov’ Vlad » qui ne l’avait pas vu venir, celle-là…
 
Tout au long de la guerre froide, l’Alliance atlantique joue un rôle dans la définition des positions politiques du monde occidental face à l’Union soviétique et aux pays du Pacte de Varsovie.
Sur le plan militaire surtout, elle définit les moyens que les pays membres doivent fournir et leurs doctrines d’engagement.
Lors des crises les plus graves, comme celles de Berlin ou de Cuba, et plus récemment au sujet des euromissiles ou après les attaques terroristes du 11 septembre, mon pays aura manifesté sa solidarité atlantiste.
Je rappelle d’ailleurs que la « Gauloisie-triomphale » est un des pays fondateurs de l’Alliance atlantique, en 1949, à l’émergence de laquelle il a activement contribué.
Depuis lors, aucun gouvernement, même de « gôche-soce », avec des « sinistres Cocos » dans les ministères, n’a jamais remis en cause son appartenance à l’Alliance dans sa double dimension politique et militaire.
 
En revanche il a été contesté à plusieurs reprises ses modalités de fonctionnement, notamment en ce qu’elles donnent aux États-Unis un rôle prépondérant.
Sous la présidence du général de Gaulle, la « Gauloisie-supérieure » affirme une volonté d’indépendance et une vision de ce que doit être l’Europe qui sont incompatibles avec l’hégémonie américaine au sein de l’Alliance notamment pour tout ce qui touche au nucléaire et à l’intégration des forces armées des pays membres au sein d’un commandement unifié.
De Gaulle en tire les conclusions logiques et mon pays quitte l’organisation militaire intégrée de l’Alliance en 1966.
Sardou nous chantera « Les ricains » avec beaucoup de conviction et moâ je pleurais déjà, tout jeune, dans les allées du cimetière de Colleville-sur-Mer : Je reste un « grand sensible » aux « présences »…
 
Toutefois des accords de coopération des forces armées tricolores avec les forces de l’OTAN sont rapidement signés qui atténuent quelque peu la portée pratique de cette sortie.
Cette coopération sera renforcée par les présidents « Mythe-errant » (qui vend même sa « taupe » Farewell pour se faire bien voir) et par « Le Chi », jusqu’à ce qu’en 2009 « Bling-bling » décide la réintégration du pays au commandement unifié de l’OTAN.
Il avait été « élu-désigné » par les réseaux de la CIA pour ça en remplacement du « Chi » qui ne voulait rien entendre, resté gaulliste jusqu’au bout, lui.
(Cf. « Opération Juliette-Siéra » dans la collection des « Enquêtes de Charlotte », en réédition aux éditions I3).
Bref, l’alliance prospère et s’étoffe au fil du temps et de l’effondrement du « pacte de Varsovie ».
Reste deux pays scandinaves, autour de la mer Baltique, à n’en pas faire partie.
La Suède et la Finlande.
 
La Finlande est une ancienne possession des « Tsars » moscovites. Et Staline, dans le cadre du pacte Molotov-Ribbentrop, s’était déjà occupé du sort des finlandais.
Il se trouve que la guerre réserve parfois de graves surprises aux agresseurs : Les concitoyens de Sibelius auront bouté l’armée rouge, qui y a perdu nombre de vaillants soldats et d’importants matériels, hors de leur territoire, lors de la guerre d’hiver du 30 novembre 1939 au 13 mars 1940, 105 jours exactement…
Depuis le pays est resté « neutre », non-aligné.
Jusqu’à même permettre à « Giskar-A-la-Barre » de parler de « finlandisation » de l’Europe…
Il n’avait rien compris celui-là…
Pour avoir visité quelques sites sur place, je peux vous dire que même dans les années 80/90 ils restaient fiers et prêts à en découdre à nouveau si jamais on s’en prenait à leur Rollmops et leur excellente vodka (hors de prix…)
 
« L’ère du non-alignement militaire dans notre histoire s’achève. Une nouvelle ère commence », a déclaré le chef de l’État Sauli Niinistö avant que le drapeau finlandais ne soit symboliquement hissé devant le siège de l’Otan à Bruxelles.
Il a pris place entre les drapeaux de l’Estonie et de la « Gauloisie », dans l'ordre alphabétique.
Quelques minutes plus tôt, le chef de la diplomatie américaine Anthony Blinken lui a remis les documents d’adhésion. La Finlande est officiellement devenue le 31ème membre de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord.
Bravo les jeunes !
 
Le pays nordique partage une frontière de 1.300 kilomètres de long avec la Russie.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie a bouleversé la sécurité en Europe et rebattu les cartes, poussant la Finlande et la Suède à vouloir rejoindre le « parapluie » protecteur de l’Otan.
« Le président Poutine est entré en guerre contre l’Ukraine avec l’objectif affiché d’avoir moins d’Otan (…) Il obtient exactement le contraire », a souligné le secrétaire général de l’organisation, Jens Stoltenberg qui n’a rien demandé et à qui on n’a rien demandé non plus.
Que le président ukrainien Volodymyr Zelensky a également présenté ses « sincères félicitations » à la Finlande pour son adhésion. Une appartenance qu’ils présente comme la « seule garantie efficace de sécurité dans la région », face à « l’agression russe » et il sait de quoi il parle, lui.
La Russie, quant à elle, a qualifié l’adhésion de la Finlande comme une « atteinte » à sa sécurité.
 
La Finlande double ainsi la longueur de la frontière avec la Russie de l’alliance dirigée par les États-Unis. Elle obtient la protection de l’article 5, l’engagement de défense collective selon lequel une attaque contre un membre « sera considérée comme une attaque contre tous les membres ».
Et « la Finlande assure être en mesure de protéger sa frontière et ne demande pas de renforts à l’Otan. Mais nous ne savons pas quelle sera la réaction de la Russie. Si elle double ses forces à la frontière, il nous faudra revoir le dispositif », a commenté le représentant d’un pays de l’Alliance.
Les objections de la Turquie et de la Hongrie auront retardé l’adhésion d’Helsinki pendant des mois, et bloquent toujours celle Stockholm.
L’adhésion de la Finlande étant désormais achevée, les regards se tournent désormais vers la Suède.
 
La Hongrie et la Turquie s’opposent toujours à son intégration dans l’Alliance.  D’autres représentants de l’Alliance ont tenu à exprimer leur soutien à la Suède, comme Anthony Blinken, qui a appelé les deux pays à approuver « sans délai » l’adhésion de la Suède.
Le chancelier « Teuton » a également assuré la Suède de son soutien sur « Twister ».
Les adhésions de deux pays nordiques sont la démonstration que « la porte de l’Otan reste ouverte », a martelé Jens Stoltenberg.
« La position de l’Otan reste inchangée : l’Ukraine deviendra membre de l’Alliance », a-t-il poursuivi, propos pour le moins provocateur.
Cependant, a-t-il ajouté aussitôt, « l’objectif principal pour l’heure est sa survie comme un pays souverain et indépendant, sinon parler d’adhésion n’a aucun sens ».
Effectivement, ce n’est pas possible d’après la chartre de l’Otan.
Il en va de même pour la Moldavie, qui a été dépossédée de la Transnistrie par un référendum « trafiqué » au moins autant qu’en Crimée et l’Est de l’Ukraine…
Or l’adhésion n’est possible que si l’État candidat a la totale maîtrise de son territoire…
 
Les ministres des Affaires étrangères de l’Otan rencontreront tout de même leur homologue ukrainien Dmytro Kouleba pour discuter du « soutien à long terme » à Kiev. Une réunion de la Commission Otan-Ukraine a été organisée à cette fin, malgré les objections de la Hongrie.
« Nous ne savons pas quand cette guerre prendra fin. Mais quand ce sera le cas, nous devrons mettre en place des arrangements pour que l’Ukraine puisse dissuader de futures agressions », a expliqué le chef de l’Otan.
 
Le Kremlin a promis le même jour, mardi dernier, de prendre des « contre-mesures » après cette adhésion.
« C’est une nouvelle aggravation de la situation. L’élargissement de l’Otan est une atteinte à notre sécurité et aux intérêts nationaux » russes, a déclaré à la presse le porte-la-parole de la présidence, russe, « Dmitri-Pépeskov ».
« Nous allons suivre attentivement ce qui se passe en Finlande, (…) la façon dont cela nous menace. Des mesures seront prises en fonction de cela. Notre armée fera son compte-rendu en temps voulu », a-t-il ajouté.
Les finlandais sont déjà privés de gaz russe… quoi qu’il pourrait leur arriver de plus grave qui ne soit pas une agression caractérisée ?
 
Bref, après trois décennies de non-alignement militaire, la Finlande a pris un tournant stratégique provoqué par l’offensive de Moscou contre l’Ukraine.
La faute à « Poux-tine ».
D’autant que l’Alliance atlantique est désormais considérée par Moscou comme l’une des principales menaces pour sa sécurité.
Moâ je ne sais pas où il a vu jouer ça : Il n’y a aucune opération d’invasion de la Russie en préparation, ou alors on ne me dit pas tout…
La volonté affichée par Kiev de rejoindre l’Otan était d’ailleurs l’une des raisons invoquées par la Russie pour justifier son offensive militaire contre l’Ukraine.
Juste après la mission salutaire pour le monde libre de « dénazifier » ce pays-là…
Vous aurez d’ailleurs noté que désormais, dans le discours « poux-tinien », « l’opération militaire spéciale » s’est peu à peu transformée ouvertement en « guerre contre l’Otan ».
 
« La Finlande n’est jamais devenue anti-Russie et nous n’avions aucune dispute » avec elle, a déploré « Dmitri Pépeskov ».
Bé alors ? Où est le problème ? Au fond du verre de Vodka qui n’est plus accessible depuis Saint Pétersbourg…
Son adhésion à l’Otan « ne pourra qu’affecter la nature de nos relations », car l’Alliance « est une organisation inamicale, hostile à plus d’un titre envers la Russie. »
Il n’y a pas qu’elle, mais… comment dire… l’Onu et ses injonctions !
D’ailleurs, pour ne rien vous cacher, j’attends l’heure où les autorités moscovites demanderont officiellement l’adhésion de la Russie à l’Organisation atlantique.
Et à l’UE.
Je ne le verrai pas : Il faudra au moins deux générations de dirigeants nouveaux pour le noter dans les livres d’Histoire…
 
En attendant, parmi les autistes-trisomiques des bords de la Moskova, on peut signaler en représailles que des militaires bélarusses ont commencé à être formés en Russie à l’utilisation d’armes nucléaires « tactiques », ont indiqué le même jour Moscou et Minsk, le Kremlin ayant récemment annoncé l’envoi de ce type d’armements au Bélarus qui devaient rester sous contrôle exclusif des « Popovs ».
« Un système de missile opérationnel tactique Iskander-M a été livré aux forces armées bélarusses. Il permet d’utiliser des missiles ordinaires mais également nucléaires », a indiqué le « sinistre russe de la Défense ».
« Depuis le 3 avril, des personnels bélarusses sont formés à son utilisation (…) dans un centre d’entraînement russe », a-t-il ajouté.
 
Le 25 mars, le président russe avait annoncé que Moscou allait déployer ces armes nucléaires « tactiques » chez son allié, suscitant l’inquiétude à Kiev et en Occident.
Selon « Poux-tine », dix avions ont déjà été équipés au Bélarus pour l’utilisation de telles armes nucléaires tactiques et un entrepôt spécial sera terminé d'ici au 1er juillet.
Ces armements nucléaires dits « tactiques » peuvent provoquer d’immenses dégâts, mais leur rayon de destruction est plus limité que celui d'armes nucléaires « stratégiques ».
D’ici à ce que quelques « écervelés » biélorusses fassent un tir au pigeon sur une localité ukrainienne en représailles de missiles tombés du mauvais côté de la frontière, personnellement, j’y vois bien un motif d’escalade à venir…
Il s’agira alors d’avoir les nerfs solides !
Au moins autant qu’à la mi-novembre 2022…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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