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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 10 avril 2023

Certains prétendent que je suis un « climato-septique »

Pas du tout…
 
… mais je reste critique aux dogmes officiels qui font office de religions modernes pour acéphale et trisomique.
Si je devais « croire » en une religion, ce serait celle des « papistes », parce que je suis né comme ça et qu’hier, c’était la belle histoire de la résurrection christique.
Elle est tellement belle qu’elle mérite tout notre respect.
En tout cas le mien… celui d’un sceptique !
Du coup, je n’ai pas pu incrémenter ma rubrique « La science en marche », alors je le fais aujourd’hui en attendant d’y consacrer l’essentiel de ce blog (hors les « histoires d’en rire »… parce que ce n’est pas moâ qui les collecte, mais, vaille que vaille Jean-Marc !), tellement le reste me semble de plus en plus futile.
 
Pour illustrer mon propos « climatique », outre ma désolation de ne plus mirer mes « neiges éternelles » sur les sommets de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » quand je m’y promène, j’ai noté quelques anomalies qui devraient nous interroger.
Non pas sur les causes, mais sur les constats d’un réchauffement, d’un dérèglement précise « ma nichée » (qui m’oblige à trier mes ordures à la maison… seulement quand elle y passe !).
Parce que bon, les causes, elles sont nombreuses, multiples et dans la plupart dues à des circonstances exogènes à l’espèce humaine.
Certes, nos activités économiques sont surtout polluantes, le fait de lever un bras ou de marcher dans les rues se transforme immanquablement en chaleur, chaleur que la planète n’évacue plus aussi bien depuis quelques années que par le passé.
Mais bon, je ne suis pas inquiet pour la terre : Elle en a vu d’autres et sera encore là quand notre espèce aura disparu.
Et puis participer à lui réchauffer (un tout petit peu) les miches, ce n’est pas plus mal : Elle sort ainsi de son ère glaciaire, pas très propice aux petits-oiseaux et aux herbacés.
 
Personnellement, j’ai vécu sous la menace d’un « hiver nucléaire » pendant plusieurs décennies, alors prendre un peu d’avance, ce n’est pas plus mal.
Mais bon, pour l’essentiel, les « délires-verbeux » autour de cet « écocide » généralisé et contemporain, ça passera parce que c’est essentiellement politique, voire « géopolitique ». Il faut pouvoir faire peur ― comme on l’a vu avec le « Conard-virus » pour faire bouger les gens et leur faire prendre conscience de ce qui est essentiel (les poubelles, les soignants, les plombiers, etc…) et ce qui ne l’est pas (le tourisme, les loisirs, buller, promener son poisson rouge au soleil des rues désertes, etc.)
C’est aussi kon que ça, mais ça a fonctionné de façon merveilleuse.
Ils en perdent même leur pouvoir de nuisance, calant sur une « réformette-paramétrique à la kon » des retraites (parce que du niveau du calcul des trains qui se croisent), c’est dire que le retour de bâton est assez marrant, finalement.
 
Il n’empêche, mes « potes scienteux » restent étonnés par quelques anomalies que je vous rapporte. 7 pour faire court, car il y en a bien d’autres.
Après une année 2022 marquée par des records de chaleur sur tous les continents et des phénomènes météo extrêmes accentués par le réchauffement climatique, 2023 semble avoir franchi un nouveau cap en ce qui concerne les anomalies climatiques.
D’abord le cyclone « Freddy ». Aucun n’avait jamais vécu aussi longtemps depuis qu’on les documente sérieusement.
Freddy s’est formé le 5 février et s’est définitivement éteint le 15 mars, après plusieurs affaiblissements, reformations et ré-intensifications qui ont impacté Madagascar, le Malawi et le Mozambique.
Il totalise donc 36 jours de vie, il bat ainsi le cyclone « John » qui avait passé 31 jours dans l’océan pacifique en… 1994.
Pour vous dire qu’on n’en faisant pas toute une histoire à l’époque.
Mais c’est tout de même un des cyclones les plus puissants mesurés selon l’indice ACE (Accumulated Cyclone Energy), avec de plus une trajectoire très inhabituelle d’Est en Ouest à travers tout l’océan indien, avant de faire un demi-tour : Il n’avait pas eu le temps d’admirer le paysage marin au premier passage…
 
On peut également citer la succession quasi-incroyables de rivières atmosphériques en Californie ! L’État a fait face à un hiver historique en termes de cumuls de neige depuis le début de la saison, en lien avec le passage d’une quinzaine de rivières atmosphériques depuis décembre.
Ce qui change avec leurs déluges de feu et les sécheresses historiques des précédentes années !
En plus des pluies diluviennes qui ont inondé les villes, l’accumulation de neige sur la station de ski Mammoth a atteint 17 mètres à 2.000 mètres d’altitude !
Plus haut que les pylônes des télécabines…
Du coup, la station, pour se refaire, restera ouverte aux skieurs jusqu’en juillet…
Les habitations sont littéralement ensevelies sous un manteau blanc, et plongées dans le noir.
Une telle succession de perturbations est très inhabituelle lors d’une année marquée par le phénomène climatique La Niña, plus connu pour aggraver la sécheresse.
 
En « Gauloisie-Jupitérienne », nous avons eu un hiver anormalement sec ainsi que sur une partie de l’Europe. Même que justement notre « Jupiter » national se sera fendu d’un « plan eau » sorti de son chapeau.
Notez que « Giskard-A-la-Barre » nous avait sorti un « impôt sécheresse » du même chapeau, sous forme d’un emprunt indexé sur le cours de l’or, ce qui a fait râler mes parents, mais qui aura coûté une blinde au Trésor public, tel qu’ils ne sont pas près de recommencer l’aventure.
À chacun les effets de sa trisomie…
Après un été chaud et historiquement sec, nos autistes-diplômés comptaient sur les pluies de l’hiver 2022-2023 pour recharger les stocks en eau.
Mais craignait de tomber en panne de gaz.
Eh bien pas du tout : Le déficit de pluie a atteint ― 3 % en janvier, et s’est nettement aggravé en février avec ― 74 %, tel qu’il aura fallu autoriser des « méga-bassines » qui pompent la flotte dans les nappes phréatiques pour avoir des tomates fraîche cet été.
Quant à l’effondrement du réseau électrique, on en recausera l’année prochaine… seulement peut-être.
 
Mais certaines villes n’ont pas connu une seule goutte de pluie. Des records datant de plus de 60 ans ont notamment été battus en région parisienne.
Comme quoi, il y a 60 ans… n’est-ce pas, mais on n’en faisait pas toute une histoire à en inventer, contraints et forcés par les « sachants » les « transitions énergétiques » pour autant !
En cause, des situations de blocage météo interminables avec la présence d’un anticyclone puissant et récurrent.
La pluie est ensuite revenue en force au cours du mois de mars, sauf en Méditerranée.
La sécheresse de surface s’est atténuée sur la plupart des régions, mais ces précipitations restent insuffisantes pour recharger les nappes phréatiques qui sont exceptionnellement pompée pour préparer l’été, malgré les « antitout » qui sont là pour empêcher de faire des récoltes et fournir à manger aux gens, et casser du flic.
Et puis je me rassure pour « mon » été : Les nappes sont rechargées en « Corsi-Bella-Tchi-tchi ». J’aurai peut-être même le droit de laver mon « tas de boue à roulette ».
 
Néanmoins, en « Hispanie », en « Lusitanie » et en « Ritalie », la sécheresse reste présente. Parmi les images les plus insolites de l’hiver, c’est celle des canaux de Venise à sec après une météo atypique et des marées exceptionnelles, images qui auront fait le tour du monde.
Pourtant une excellente façon de régler les problèmes de l’acqua-alta qui abîme la Sérénissime…
Une multitude de facteurs a provoqué cette vision inhabituelle : Tout d'abord, la persistance d’un anticyclone et d’un temps sec, et donc de hautes-pressions qui ont comprimé la mer et fait baisser son niveau, mais aussi le mécanisme des marées.
L’eau a foutu le camp ailleurs.
La faute à leur « Spoutnik » en disait ma grand-mère commandée par une sagesse plurimillénaire.
Déjà la faute aux Russes, ni plus ni moins, que je dis-je…
 
L’eau est vraiment allée ailleurs, car la ville d’Auckland a subi des inondations historiques fin janvier 2023 après des pluies diluviennes. 241 mm de pluie sont tombés en 24 heures, un cumul qui bat de très loin le précédent record de précipitations de 161,8 mm.
La ville a reçu l’équivalent de plus de 8 fois du volume d’eau qu’elle reçoit habituellement en janvier.
Tout comme la Californie cet hiver, la Nouvelle-Zélande a été balayée par une rivière atmosphérique qui a déversé des torrents de précipitations.
L’intensité de ce phénomène météo a probablement été décuplée par le réchauffement des mers et des océans, un large anticyclone présent à proximité a freiné son avancement : En plus d’être très intenses, les pluies ont eu beaucoup plus de temps pour tomber.
 
Cela va de pair avec une sécheresse sans précédent en Afrique. La Corne de l’Afrique subit actuellement sa plus longue et plus intense sécheresse jamais enregistrée.
Des pays comme l’Éthiopie, le Kenya et la Somalie sont confrontés à leur sixième saison des pluies… sans quasiment aucune pluie !
Notez que dans les temps bibliques, on parlait déjà des fléaux dont a été victime pharaon…
Si vous avez lu la Génèse, vous savez l’affaire des 7 vaches maigres et des 7 vaches grasses et vous avez entendu causer aux moins une fois des 10 plaies d’Égypte.
Et je peux vous confirmer qu’il n’y avait pas de Spoutnik ni de « Poux-tine ».
Pas plus de « transition énergétique », de passoire thermique ou de réchauffement global…
 
Là, les prévisionnistes n’entrevoient aucune amélioration jusqu’en mai, mois qui marque la fin de la saison des pluies, avant la sécheresse habituelle de l’été.
La diminution des ressources en eau provoque non seulement des décès et des malades, mais aussi des conflits et de nombreux réfugiés climatiques.
L’ONU estime à 3,3 millions de personnes le nombre d’africains nécessitant une aide urgente et immédiate en raison du manque d’eau.
On va probablement les mettre à la bière et au pastaga…
 
Un double phénomène exceptionnel s’est également produit aux États-Unis début février : La tropopause s’est curieusement abaissée à une altitude extrêmement basse et une température ressentie hallucinante de ― 78 °C a été enregistrée dans le New Hampshire.
De mémoire d’esquimaux, jamais la sensation de froid n’avait été aussi extrême aux États-Unis depuis les premiers calculs de températures ressenties.
Cette valeur historique a été calculée à partir de la température relevée, ― 43 °C, et du vent qui soufflait en rafales à plus de 200 km/h sur l’observatoire du mont perché à 1.900 mètres d’altitude.
Exactement comme fin décembre 2022, mais de manière plus localisée, le vortex polaire s’est affaibli et a subi un décrochage vers l’Est du Canada et le Nord-Est des États-Unis.
Événement particulièrement rare, la tropopause s’est abaissée à 1.900 mètres sur la zone au ressenti record du New Hampshire : C’est justement ce phénomène qui a engendré les rafales surpuissantes enregistrées, il s’agit tout simplement des vents de la stratosphère !
Qu’il convient de remarquer qu’un abaissement à moins de 2.000 mètres est pour le moins extrêmement rare.
Même que « McDo-Trompe » en aurait conclu que le climat ne se réchauffe pas mais se refroidit diablement !
 
J’en avais pris un sur le coin de la tronche l’été dernier (2022). Avant le changement de Lune et la « Refescada di la Santa Maria » des plus classiques en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : Impressionnant pour avoir tout ravagé.
Eh bien on peut compter plusieurs medicanes depuis le début de l’année.
Plusieurs ouragans méditerranéens, des médicanes, se sont formés depuis janvier, dont un à proximité de la Corse début mars.
Vu du satellite, ce phénomène ressemble parfaitement aux ouragans qui circulent dans l’Atlantique, avec un enroulement impressionnant et même un œil en son centre.
Mais contrairement aux véritables ouragans, la température de l’eau, de 14 °C sur la zone actuellement, ne joue pas un rôle majeur dans sa formation.
Alors que cet été on avait eu durant plusieurs semaines une eau à 22/23 °C…
L’air froid présent en altitude ces jours-ci s’est confronté à la dépression et a joué un rôle important dans son renforcement : Le medicane de début mars a donné lieu à des vents modérés, mais à de fortes précipitations sur l’Est de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » (c’est bon pour les tomates et mes clémentiniers), entre autres.
La majorité des medicanes se forment normalement entre septembre et novembre, et beaucoup plus rarement en hiver et au printemps, comme cela a été le cas en 2023.
 
Autrement dit, si les climatologues ne s’étonnent plus de rien, les météorologues restent en alerte.
Moâ, je reste ravi : On a encore des clémentines « tardives » sur les marchés (à moins qu’elles soient en avance dans l’hémisphère Sud) et les miennes (en plaine orientale) seront encore en avance cet hiver. Et ça reste avoir du goût !
Un des rares fruits que je mange volontiers quand ils sortent du « meuble-à-frigorie »…
Ça va finir comme pour les fraises : On en aura toute l’année.
Et avec un peu de chance, on finira par faire deux récoltes annuelles de tout : La « solution majeure » pour éradiquer la faim dans le monde et son cortège de famines.
Une époque merveilleuse, non ?
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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